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HANDBALL

Pro D2 Masculine:des heureux dénoue-mentsPour conserver sa place en ProD2, le Valence Handball devaitabsolument l’emporter face à lalanterne rouge Strasbourg alorsque son adversaire direct dansla lutte au maintien, Pontault-Combault, ne devait pas gagnerà domicile devant Nancy.Comme dans un rêve extraordi-naire, la première condition étaitremplie avec la victoire du VH36-28, et la seconde arrivaitquelques minutes plus tard avecl’annonce de la défaite de Pon-tault Combault. Il ne restait plus qu’au président Bertini et à ses joueurset au très nombreux public de pousser un grand soulagement et se réjouirde voir le club continuer en Pro D2, la saison prochaine.Pro D2 fémininePour les .lles de Bourg-de-Péage qui jouaient à Mérignac, c’était unmatch à la vie ou à la mort. Grâce à des ressources mentales et physiquesincroyables, Eva Turpin et ses équipières s’arrachaient les tripes dansles dernières secondes pour réduire le score par Maija Janjic et s’incliner.nalement de trois buts 28-25. Comme au match aller, elles avaientgagné 23-19, au goal average particulier sur les deux matches. Ce petitbut d’écart leur permettait de sauver leur place en Pro D2. C’est uneénorme récompense pour les .lles et leurs entraîneurs Franck Bulleuxet Mario Cuscusa qui vont pouvoir quitter le club avec la satisfactiond’avoir rempli leur mission.Nationale 1 FéminineEn déplacement chez le leader Pôle sud Isère, le Pouzin ramenait un jolimatch nul 27-27, concédé dans les ultimes secondes. Le club ardéchoistermine 4e, ce qui est bien. En nationale 1 masculine, Montélimar perdaità domicile devant Grenoble UC 34-33 et .nit sur le podium à la troisièmeplace.

RUGBY

Fédérale 1: Aubenas près de l’exploitEn match retour des quarts de .nale, le RCAV perdait à Aix-en-Provence31-24 sur un essai concédé dans les arrêts de jeu. Cette défaite estrageante et l’on comprendra l’immense déception qui parcourait l’équipeet les quelque 500 supporters qui avaient fait le déplacement. Car MarianoTaverna et ses équipiers venaient de livrer un match exemplaire de cou-rage et d’engagement et ils tenaient encore le nul 24-24 et la quali.cationà quelques secondes du bonheur.Fédérale 3 : la révolte d’Annonay

En 16e de .nale Aller, le CS Annonay s’imposait 12-9 devant Annecy aprèsune partie con.squée par les deux packs. Battu deux fois par le clubsavoyard lors de la phase régulière, le CSA gagnait la belle en s’appuyantsur la grosse activité de ses avants. Le score est Datteur pour Annecyqui a été nettement dominé territorialement. Grâce à la précision de sabotte, Mergoil faisait pencher la balance dans le camp ardéchois. Matchretour, dimanche 24 mai. À Six Fours, Montélimar s’inclinait nettement24-8. Ce sera dur au match retour de combler ce handicap.

BASKET

Nationale 1 masculineEn quarts de .nale aller, Saint-Vallier s’imposait à Rueil 85-67 après unmatch parfaitement maîtrisé, aussi bien dans l’intensité que dans le réa-lisme avec notamment un Rasheed Wright de gala et auteur de 26 points.Ce matelas de 19 points place le SVBD dans des conditions idéales pourle match retour qui aura lieu vendredi 22 mai à 20 h aux Deux-Rives.Mais rien n’est encore joué et il faudra se mé.er de la réaction d’orgueildes Franciliens.

FOOTBALL

Honneur LigueCruas dominait Charvieu 3-1 et faisait un pas décisif vers le maintien.Montélimar perdait chez le leader Annecy 2-0 et Rhône Vallée restaitmuet à Vénissieux, défaite 2-0. La dernière journée aura lieu le 30 mai.

À l’image de l’arrière Stéphane Mandrand qui efface joli-ment son vis à vis, le XV ardéchois a tenté de belles relancesmais sans pouvoir franchir la ligne d’avantage.

Handball Valence: Yann Roby(six buts contre Strasbourg)peut prendre des vacancesméritées après une saisontout de même stressantepour son club.

ACTUALITES

Conseiller régional ardéchoisdepuis 2010, Olivier Kellersera candidat Europe Eco-

logie les Verts (EELV) en décembreprochain. Il revient sur son mandatet sur les enjeux de cette électionrégionale pour les écologistes.

Vous avez été élu à la Région en

2010 et vous avez été président

de la commission agriculture du

conseil régional. Quel bilan tirez-

vous de 5 années de mandat ?

EELV a été le seul groupe politiquequi a été au contact des citoyenspour leur dire ce qui est fait. Nousavons systématiquement fait unétat des lieux de nos actions, dece qu’on a pu obtenir ou non enétant dans le groupe majoritaire.On aurait pu avancer plus sur cer-tains dossiers et il reste des pointsd’achoppement, comme la ligneLyon-Turin ou le nucléaire maison a aussi obtenu des choses trèsintéressantes comme imposerl’éco-conditionnalité comme préa-lable à chaque projet.

Vous vous êtes particulièrement

intéressés aux questions agricoles,

avez-vous l’impression d’avoir

été entendu à la Région?

Au départ, il s’agissait d’un mandatde 4 ans, c’est très court. Il fallaitdémarrer vite pour impulser etorienter la politique agricole. Ilfallait aussi privilégier des poli-tiques d’adaptation plutôt quevouloir tout renverser. Le résultat,ce sont des actions pas forcémentvisibles mais importantes dansle fond.

Par exemple?

D’abord nous avons pu réaf1rmerRhône-Alpes comme un territoiresans OGM. Sur la politique fon-cière, il y a eu des choses très inté-ressantes pour le forestier et l’agri-culture. Sur la forêt, on s’orientevers une politique de partenariatentre investisseurs et décideurslocaux. En Ardèche, la Région estnotamment à l’origine de deuxcontrats régionaux d’objectif de1lière (crof, c’est un accompa-gnement technique et 1nancier)sur le caprin et le lait, il y a aussi2 Pida (programme intégré dedéveloppement agricole, déve-loppement d’une 1lière ou d’unproduit sur un marché) avec lachâtaigne et le Fin Gras duMézenc. Il y a en1n des accom-pagnements spéci1ques avec« goutez l’Ardèche » ou la fermeexpérimental du Pradel.

Avez-vous des regrets ?

Sur l’agriculture bio, on aurait dûaller plus loin. Mais nos partenairespolitiques ne souhaitaient pas sefâcher avec le syndicalisme agri-cole majoritaire et lui a donné desdélégations sur certains sujetscomme le bio… Il y a quand mêmeune tendance à systématiquementprivilégier la croissance, ce quin’est pas toujours compatibleavec nos types d’exploitation.

Pourquoi les actions de la Région

sont si peu connues des Ardé-

chois ?

Il y a un dé1cit de communication,les gens ne savent pas qui 1nan-cent quoi. Ils pensent que le Parcnaturel régional des Monts d’Ar-

dèche, c’est l’État alors que c’estla Région. Idem avec les CDDRA(Contrat de Développement Dura-ble Rhône-Alpes, il y en a 3 enArdèche, Pays de l’Ardèche verte,Ardèche méridionale et ValenceDrôme Ardèche Centre, ndlr) qui1nancent de nombreuses actionssans que ça se sache.

La fusion des régions Rhône-Alpes

et Auvergne, vous en pensez quoi?

C’est un mariage sympathique,sans doute dicté par quelquesintérêts. Nous n’y sommes pasopposés car cela va permettred’avoir une Région très forte auniveau européen. Il sera possiblede peser économiquement surles questions agricoles et envi-ronnementales par exemple. Surl’agriculture, il y a une bonne carteà jouer car l’Auvergne a des zonesagricoles très riches.

Pourquoi EELV a choisi de ne pas

faire liste commune avec le PS

lors des élections régionales de

décembre alors que vous êtes

dans le même groupe de la majo-

rité ?

Au niveau régional, notre groupeest une force de propositionsimportante. Or on a observé qu’ily avait une tendance à la prési-dentialisation de la Région. Il estdevenu très dur de co-construire,il y a des intentions mais elles nesont pas menées au bout. On aessayé de corriger ça. Connaissantle mode électoral, on pense qu’ilest plus intéressant de partir seulau premier tour puis ensuite denégocier un contrat de mandaturepour le second tour. C’est commecela que l’on pourra af1rmer nosorientations politiques.

PROPOS RECUEILLISPAR NICOLAS LEMONNIER

« EELV est le seul groupe politiqueau contact des citoyens »

Élu en 2010, Olivier Keller brigue un nouveau mandat de conseillerrégional en décembre prochain.

S ’engager dans l’armée deTerre constitue une premièreexpérience professionnelle

riche et hors du commun. Le goût de l’aventure, la volonté

de partager des valeurs de soli-darité, de cohésion, d’honneur,servir son pays ou simplementenvie de se dépasser, sont d’ex-cellentes raisons qui ont motivévraisemblablement les 11 jeunescandidats, de 19 à 25 ans et venusde bassins différents, signer leurcontrat au Centre d’informationet de recrutement des Forcesarmées (CIRFA de Valence), ave-nue Dupré de Loire.

11 futurs soldats motivés, dyna-miques, choisis sur dossier, quirejoignaient le jour même la for-mation retenue: sapeurs-pom-piers, régiment d’infanterie etinfanterie de marine régimentd’artillerie, matériel et génie del’Air, bataillon de chasseurs alpins.

Partenaire des jeunes dans labataille pour l’emploi, le volumenécessaire à recruter chaqueannée par l’armée de Terre estd’environ 10000 jeunes de CAPà Bac +5 et de 17,5 ans à 29 ans.On compte un peu plus de 180recrutements, par an, sur le bassinDrôme-Ardèche (88 en 2014).

75 % des soldats sont souscontrats de 3, 5, 8 ou 10 ans, cequi implique un renouvellementpermanent. Une armée opéra-tionnelle et bien entraînée estcomposée de jeunes soldats aptesphysiquement à l’engagement,résistants et endurants.

Le parcours professionnel d’unjeune engagé respecte un cyclecomplet: recrutement, formation,escalier social, reconversion. Aucours de ces contrats, l’armée deTerre offre la possibilité de sedécouvrir des capacités insoup-çonnées.

Outre l’acquisition de savoir-faire dont beaucoup sont trans-posables dans le mode civil, l’ap-prentissage du métier de soldatpermet d’acquérir un savoir-êtreunique, valable sa vie entière.

Pour les jeunes qui veulent faireleurs preuves au sein de l’arméede Terre malgré l’absence dediplôme, sans pour autant en faireleur carrière, un nouveau contratde deux ans leur permet d’êtreformés au métier de soldat et dirigévers un emploi précis après 15semaines de formation généraleet technique.

Les 5 étapesde recrutement

Une première phase d’entretiensinformation avec un conseiller

de recrutement permet de déter-miner les motivations et les pre-miers souhaits du candidat. Lequelse rendra au GRS (groupementrecrutement sélection) à Lyon,qui évaluera son potentiel à deve-nir soldat. Il sera ensuite convoquéau CIRFA pour un entretien avecun conseiller en recrutement.

Le dossier est étudié en com-mission et le candidat signe soncontrat s’il est accepté. Il fautcompter un délai de 4 à 6 moisentre le dépôt de dossier de can-didature et la signature du contrat.Les conditions d’admission néces-saires: être de nationalité française,détenir son attestation journéedéfense et citoyenneté, jouir deses droits civiques, avoir été évaluéet être apte médicalement.

NELLY ZELLER

Armée de Terre : 180 recrutements par ansur le bassin Drôme-Ardèche

Mansour, Liam, Mickaël, Kévin, Florian, Thimotey, Benoît, Thomas,Florian, Loyd et Nicolas, 11 jeunes recrues aux côtés de l’Adjudant-Chef Fabrice Dijoux au centre et l’Adjudant-Chef Masson, à droite.

Postes recherchésIls sont dans le domaine de la mêlée (infanterie, cavalerie), les appuis (artillerie,génie, aviation légère), le commandement, renseignement, la logistique et lesoutien (transport, maintenance, soutien de l’homme) et le domaine admi-nistratif et .nancier. Pour se porter candidat, il convient d’envoyer une demandede contact à partir du site Internet ou de se rendre dans le CIRFA le plusproche de son domicile ou de son lieu d’études. Permanences à Romans,Crest, Montélimar, Privas, Aubenas, Pierrelatte, Annonay et Tournon. Contact :CIRFA de Valence, avenue Dupré de Loire. Tel : 0475784582. Site : www.sen-gager.fr

L’Hebdo de l’Ardèche • 4 • Jeudi 21 mai 2015

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Publié le 09/05/2015 à 05:00

OUEST LYONNAIS. « Il faut développer les transports en commun et diminuer les voiries » Transports. Pour lui, il ne faut pas attendre. Président de la commission transports au conseil régional, l’élu « Verts » Jean-Charles Kohlhaas estime que si l’accent est mis sur les projets de transports en commun, l’agglomération n’aura pas besoin des projets routiers.

« Si on développe les transports en commun, on n’aura pas besoin des projets de transports routiers. » Coprésident du groupe Europe écologie Les Verts au Conseil régional, président de la commission Transports,

Jean-Charles Kohlhaas est un fervent défenseur des transports collectifs. Et au moment où se décide chez les

Verts, à Paris, la candidature qui sera retenue pour la nouvelle région Rhône-Alpes Auvergne (1), le Chaponois

semble en bonne place pour en prendre la tête de liste. En campagne, il vient de tenir une réunion à Brindas pour

faire le bilan de cinq ans de présence au sein du Conseil régional. Nous l’avons questionné sur les questions de transports, notamment dans l’Ouest lyonnais. Pour lui, pas de solution sans passer par un réseau de transports en

commun fiable, fluide, et compétitif en terme de temps de transport par rapport à la voiture. À l’heure du pôle métropolitain (Métropole, Saint-Étienne, Portes de l’Isère, Vienne), le transport doit être collectif pour les individus et ferroviaire pour les marchandises.

Anneau des sciences

« 67 % des véhicules sous Fourvière viennent de l’agglomération et vont dans le centre, 25 % restent dans l’agglo. Si on faisait un vrai tram-train, on pourrait diminuer de 50 % le trafic sous Fourvière. Alors que si on

crée l’Anneau des sciences, on amène encore des voitures supplémentaires. Et le routier appelle le routier. Avec les 3 milliards qu’il coûterait, moi je construis tous les tram-trains dont l’agglomération a besoin ! »

Tram-train

Les tram-trains, il estime qu’il faut les développer. En commençant par doubler le tronc commun de Tassin. « Si on arrive à une fréquence d’un quart d’heure sur les trois lignes, ça fait un train toutes les cinq minutes à Tassin. Plus on mettra de l’amplitude et de la fréquence, plus il y aura du monde dans les trains. » Pour lui, cela passera

aussi par une tarification unique (y compris pour un billet à l’unité) et un développement de la ligne Saint-Paul

Brignais jusqu’à Givors, « qui servirait tout le bassin mornantais ». Puis une liaison Saint-Paul/Part-Dieu, pour le

connecter aux lignes fortes de l’agglomération.

Métro et tramway

« Pas de développement du métro ni du tramway hors Lyon, qui créent de l’étalement urbain. Et pas de parkings tentaculaires, qui coûtent de toute façon trop cher. Il faut un réseau de bus ou des modes doux, qui ramènent les

gens vers les trains. »

Tarification des transports en commun

« Il faut une tarification unique entre la SNCF et le Sytral, c’est obligatoire.

Le Sytral, qui a désormais intégré le territoire du nouveau Rhône, doit réfléchir à une tarification par zone, sinon

on amplifie l’étalement urbain : si les utilisateurs paient le même prix, ils iront habiter plus loin et moins cher. Et finalement, le ticket sera plus cher pour tout le monde. »

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A45 (Lyon/Saint-Étienne)

« Elle va être l’enjeu des régionales. La fusion de Rhône-Alpes et Auvergne la remet dans le débat politique. Et

Laurent Wauquiez (UMP) a annoncé que s’il était élu, la Région financerait sa part de l’A45.

La majorité actuelle avait décidé de ne pas financer et, chez les Verts, nous sommes clairs : il ne faut pas un

centime pour ce projet. »

Contournement ouest de Lyon

« Il semble moins d’actualité mais pour améliorer les déplacements, il faut développer les tram-trains, utiliser les

lignes de chemin de fer qui existent. »

Ligne Express de l’Ouest lyonnais (Leol)

« Elle absorbe aujourd’hui 10 000 voyageurs par jour. Pour en transporter 20 000 par jour demain, il faut passer

par la ligne de chemin de fer. Pour moi c’est la quatrième branche du tram-train, qui permettra de transporter 20

000 personnes par jour. »

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28/5/2015 L'Essor Savoyard - Consultez le journal numérique

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Région : les élus d'EELV font leur bilan le 03 juin 2015 - Denis MEYNARD - Politique - article lu 67 fois L’essor

©DR - Lela Bencharif : « Dans la Loire, on a un problème pour intégrer le réseau Til à la

carte Oura ».

Les ligériens Lela Bencharif, Catherine Herbertz et Olivier Longeon estiment avoir fait

avancer la transition écologique de l'économie et la citoyenneté.

Au crépuscule de leur mandat régional, les trois élus ligériens d’Europe Ecologie Les Verts

ont tenu à faire le point de l’action menée sur les cinq années écoulées. Lela Bencharif, vice-

présidente à la démocratie participative, vie associative et éducation populaire, Catherine

Herbertz, présidente de la commission culture, et Olivier Longeon, ont présenté leur bilan et

échangé avec la poignée de militants venus à leur rencontre.

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Catherine Herbertz a retenu que le groupe de 37 élus EELV, composante de la majorité de

gauche, « s’est battu contre les grosses structures culturelles, telles que l’Opéra de Lyon et

La Villa Gillet, pour plus de transparence dans la gestion d’autres comme Rhône-Alpes

Cinéma et pour plus de débat au sein de la commission culture ». Elle estime avoir abouti à

une meilleure prise en compte de la dimension territoriale et de l’économie sociale et

solidaire propre à ce secteur.

Lela Bencharif rappelle que « Rhône-Alpes est la seule région française à disposer d’un

vice-président qui porte la mention « éducation populaire » dans l’intitulé de sa délégation ».

Satisfaite du doublement du budget de cette dernière, qui atteint désormais 2,4 M€ et permet

notamment la formation des bénévoles du milieu associatif, elle regrette que la proposition

de vote d’un droit d’initiative citoyenne a été retoquée par la préfecture. Elle se félicite aussi

de l’émergence de « contributions citoyennes », grâce au conseil régional qui finance du «

temps humain », comme outil d’accompagnement des politiques publiques.

Pour sa part, Olivier Longeon a retenu l’effet bénéfique sur l’agglomération stéphanoise de la

politique régionale de soutien à l’innovation en matière d’isolation thermique et d’énergies

renouvelables. En matière de transports collectifs, il a rappelé « qu’après avoir été testés sur

Vienne - Villefranche-sur-Saône, des TER 2N avec une capacité de 30% supplémentaire

vont être mis sur la ligne Saint-Etienne / Lyon ». Ajoutant que sur la modernisation de celle

menacée reliant Saint-Etienne à Clermont-Ferrand, l’accent sera mis sur le tronçon

Noirétable - Thiers.

Denis Meynard