revue de presse kylia semaine du 3 au 9 février 2014

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La revue de Presse KYLIA 1 LA REVUE DE PRESSE DE LA SEMAINE Du 3 au 9 Février 2014 LES ARTICLES DE LA SEMAINE Pouvoir d’achat immobilier : les écarts se creusent entre les villes Le 3/2/2014 Malgré des résultats très contrastés entre les villes, la tendance va à une légère hausse du pouvoir d’achat immobilier ancien en 2013. C’est à Lille qu’il a le plus chuté, en raison d’une forte hausse des prix et des taux de crédit à l’habitat. Pouvoir d’achat immobilier : les écarts se creusent entre les villes - meilleurtaux.com Aujourd’hui, on peut acheter 4 fois plus de surface à Strasbourg qu’à Paris sur le marché de l’ancien. Et l’écart entre les villes se creuse selon le courtier en crédit immobilier Meilleurtaux.com , qui dresse chaque mois le palmarès des taux (sur 20 ans) les plus compétitifs dans les 10 plus grandes villes de France*. Globalement, le pouvoir d’achat immobilier des Français a légèrement augmenté. C’est-à-

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Revue de presse kylia semaine du 3 au 9 février 2014.

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La revue de Presse KYLIA 1

LA REVUE DE PRESSE DE LA SEMAINE

Du 3 au 9 Février 2014

LES ARTICLES DE LA SEMAINE

Pouvoir d’achat immobilier : les écarts se creusent entre les villes Le 3/2/2014

Malgré des résultats très contrastés entre les villes, la tendance va à une légère hausse du pouvoir d’achat immobilier ancien en 2013. C’est à Lille qu’il a le plus chuté, en raison d’une forte hausse des prix et des taux de crédit à l’habitat.

Pouvoir d’achat immobilier : les écarts se creusent entre les villes - meilleurtaux.com

Aujourd’hui, on peut acheter 4 fois plus de surface à Strasbourg qu’à Paris sur le marché de l’ancien.

Et l’écart entre les villes se creuse selon le courtier en crédit immobilier Meilleurtaux.com , qui dresse

chaque mois le palmarès des taux (sur 20 ans) les plus compétitifs dans les 10 plus grandes villes de

France*. Globalement, le pouvoir d’achat immobilier des Français a légèrement augmenté. C’est-à-

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dire que pour 1.000 euros de mensualité, ils peuvent acheter un appartement plus grand qu’en 2012.

Montpellier affiche ainsi la plus forte hausse (+5m2), puis suivent Strasbourg et Toulouse (+3m2). Une

amélioration due majoritairement à la baisse du prix de l’immobilier de l’ancien et des taux.

Si l’année 2013 restera marquée par le très faible niveau des taux, ceux-ci sont restés globalement

stables sur 12 mois. En moyenne, les taux sur 20 ans ont reculé de 0,10 point pour atteindre les 3,35

% en janvier 2014. Mais ces taux diffèrent sensiblement d’une ville à l’autre, en fonction de la stratégie

locale des banques. Ainsi, les taux négociés sur 20 ans sont beaucoup plus compétitifs à Toulouse

(2,85%), Marseille (2,95%), qu’à Lille (3,15%), qui accuse la plus forte hausse. Grands perdants du

classement, les Lillois achètent un appartement avec 9m2 de moins qu’un an auparavant, pour 1.000

euros de mensualité.

Lille, grande perdante du classement

Une baisse de leur pouvoir d’achat expliquée également par la forte hausse des prix de l’immobilier

lillois (+13% selon Seloger.com ). Sur ce point, la capitale nordiste fait également figure d’exception,

les prix de l’immobilier ayant baissé dans la très grande majorité des villes. Et ceci de façon plus

marquée en 2013 qu’en 2012. Les villes ayant connu les plus fortes baisses de prix sont Montpellier et

Strasbourg (-6%). Le gain de pouvoir d’achat y est respectivement de 5 m2 ou 3 m2. Lyon et Marseille

suivent (-3%). A Paris, où selon Seloger.com la baisse n’est que de 1 %, le pouvoir d’achat est resté

stable à 21 m2 pour 1.000 € de mensualité sur 20 ans.

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L’environnement économique actuel serait donc très favorable pour financer un projet immobilier,

défend meilleurtaux.com. « Globalement, le nombre de transactions est resté stable en 2013 grâce au

niveau historiquement bas des taux d’intérêt. Pour 2014, si les taux restent actuellement stables à un

niveau très avantageux, ils pourraient remonter progressivement au second semestre. Il y a donc

actuellement de réelles opportunités pour ceux qui ont un projet immobilier de le financer dans les

meilleures conditions » conclut Hervé Hatt, Président de meilleurtaux.com.

*Si meilleurtaux.com ne procède pas à une distinction entre le marché du moderne et de l’ancien dans

la collecte de leurs données, dans les faits, 90 % des transactions qu’ils recensent s’effectuent sur ce

dernier marché.

Source : LesEchos.fr

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Sorti du Sénat, le projet de loi sur le logement va vers un nouveau bras de fer Le 3/2/2014

Le Sénat a achevé sa seconde lecture du texte, en désamorçant à nouveau le Plui, une de ses mesures majeures. En CMP, le 11 février, les députés devraient tenter de le restaurer… contre l'avis de la ministre Cécile Duflot.

En commission mixte paritaire, députés et sénateurs devront trouver un compromis pour le projet de

loi Alur, notamment sur le pouvoir des maires en matière d'urbanisme. - Photo Denis Allard/REA

Sorti du Sénat vendredi soir, le projet de loi sur l'accès au logement et un urbanisme rénové (Alur) va

vers un dernier round musclé. Prévue le 11 février, ce qui permettra une adoption définitive de la loi fin

février, donc avant les élections municipales de mars, la commission mixte paritaire (CMP) promet un

bras de fer musclé entre sénateurs et députés. Elle va en effet devoir trouver un compromis sur des

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points durs conditionnant la construction de logements à l'avenir, notamment le pouvoir des maires en

matière d'urbanisme.

Ces derniers, qui participent à l'élection des sénateurs…, veulent garder la main sur le plan local

d'urbanisme, lequel définit les zones constructibles. Mais le projet Alur prévoyait le transfert obligatoire

de cette compétence à l'intercommunalité, avec un plan local d'urbanisme intercommunal (Plui), afin

d'amener les maires à construire là où des besoins existent.

En première lecture, le Sénat avait désamorcé la mesure en introduisant un droit de veto à ce

transfert, en cas d'opposition d'au moins un quart des communes représentant 10 % de la population.

Contre toute attente, Cécile Duflot, la ministre du Logement, avait approuvé ce torpillage d'une des

dispositions phares de son texte. Les députés, lors de leur seconde lecture en décembre, ont quelque

peu ranimé le dispositif, en relevant la barre de 10 % à 45 %. Cécile Duflot avait alors prévenu qu'elle

y était défavorable et continuerait de soutenir le Sénat ! En CMP, les députés vont donc se retrouver

dans la situation ubuesque de tenter de sauver cette réforme majeure de Cécile Duflot, contre sa

volonté…

Par ailleurs, le Sénat a aussi réintroduit la notion de « coefficient d'occupation des sols » (COS),

supprimée par Alur, afin de faire cesser l'étalement urbain et de permettre la densification les villes et

quartiers pavillonnaires. En revanche, ils n'ont pas supprimé d'autres notions introduites par Alur en

compensation de la suppression du COS. Or la coexistence des deux corpus de normes est

techniquement incompatible. La CMP devra donc gérer ce problème.

En revanche, la garantie des risques locatifs (GUL), telle que retouchée au Sénat, semble maintenant

faire consensus. Le bail de référence pour les locations comportera la GUL par défaut et ce sera au

bailleur d'introduire une mention spécifique pour la refuser.

Myriam Chauvot

Source : LesEchos.fr

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2 millions de Français ont renoncé à emprunter pour acheter Le 4/2/2014

Jamais, depuis plus de 25 ans, les banques n'ont vu tomber aussi bas le nombre de leurs clients ayant un crédit à rembourser.

Part des Français déclarant rembourser un ou plusieurs emprunts à leur banque. (FBF & TNS)

Jamais, depuis que la FBF (Fédération bancaire française) et l’institut de sondage TNS mesurent ce

chiffre, c’est-à-dire depuis 1989, les Français n’avaient aussi peu détenu de crédits. 47,6% d’entre

eux, soit environ 13 millions de ménages, déclarent rembourser un ou plusieurs prêt(s), tous types de

crédits confondus. Ceux qui continuent ou commencent à verser des mensualités d'un prêt immobilier

sont encore moins nombreux: 8,5 millions.

Où sont passés ces détenteurs de crédits? Nulle part, répondent les banquiers de la Fédération

bancaire : ils ont soit remboursé leur prêt en cours, soit renoncé à en souscrire un autre. Le

phénomène est général et touche aussi les crédits conso: plus de deux millions d’utilisateurs de "petits

crédits"- eux-mêmes souvent des emprunteurs immobiliers - auraient disparu de ce marché depuis

2007. La mise en place de la loi Lagarde, qui a freiné les ardeurs des établissements de crédit conso,

y est sans doute pour beaucoup, et c’est très bien... Mais les ménages ont aussi été très sensibles à

la conjoncture économique et aux perspectives d’emploi.

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Un demi-million de propriétaires potentiels en moins

Ce sont ces deux préoccupations qui expliquent aussi le peu d’empressement des ménages à

souscrire un prêt immobilier. Plus étonnant, seuls 4,5% des ménages sont aujourd’hui prêts à

s’endetter dans les six mois à venir pour acheter un logement. Ils étaient entre 5,8 et 6% entre 2005

et 2007. Or, comme plus de 80% des achats de logements se font par le biais d’un crédit, cette baisse

d’appétit pour le crédit a un impact direct sur le marché.

Et, de fait, les intentions de Français correspondent bien à ce qu’ils ont fait : depuis 2007, date où

leurs intentions de souscrire un crédit immobilier se sont effondrées, les ventes de biens immobiliers

sont globalement en baisse. Soyons encore plus précis: le passage de 6 à 4,5% des "intentions de

crédit", mesuré par la FBF, équivaut à la perte de 400.000 transactions potentielles.

Ce chiffre correspond à ce qu’ont constaté les experts ces dernières années : entre 400 et 500.000

acheteurs potentiels ont bel et bien disparu du marché. Ce qui explique la déprime actuelle du

marché : un certain nombre de ventes potentielles ont en effet disparu chaque année depuis 2007.

Entre 30.000 et 40.000 par an dans le neuf et environ 50.000 par an dans l’ancien…

Et aux dernières nouvelles, le moral immobilier des ménages ne s’est pas amélioré: ils ne comptent

pas se remettre à acheter, puisqu’ils n’envisagent pas de s’endetter dans les six prochains mois. La

bonne nouvelle -car il y en a une, quand même- c’est qu’avec cette déprime sur la demande, les taux

des crédits ne sont pas près d’augmenter de nouveau. Les banques, qui ont encore de belles marges

de manœuvre, pourraient relancer la concurrence sur les taux pour attirer ces emprunteurs,

décidément de moins en moins nombreux…

Source : Challenges.fr

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Vers un redémarrage du marché immobilier en 2015 selon Xerfi Le 5/2/2014

Dans l’ancien, les transactions devraient repartir à la hausse et la construction de logements neufs devrait s’améliorer en 2015 selon Xerfi.

Dans l’ancien, les transactions devraient repartir à la hausse et la construction de logements neufs

devrait s’améliorer en 2015 selon Xerfi. Xerfi

Le secteur immobilier, tant dans le neuf que dans l’ancien, ne devrait pas se redresser en 2014, selon

le cabinet d’études Xerfi qui livre ses perspectives pour les 2 prochaines années. Ainsi dans l’ancien,

le volume des ventes devrait rester limiter, et l’on peut même s’attendre à un niveau de transactions

pour 2014 inférieur à celui constaté en 2013. Le cabinet d’étude mise sur 660.000 ventes en 2014

contre 668.000 en 2013 et 700.000 en 2015. Le marché reste assis sur les ventes « contraintes »,

dues principalement aux mutations, naissances, décès ou divorces, et ne voit pas redémarrer les

ventes « de confort », dues aux ménages qui veulent bénéficier d’une pièce supplémentaire ou d’un

jardin par exemple.

"Cette stagnation s’explique par la réticence des ménages à lancer des projets immobiliers, malgré des taux historiquement bas, et par la prudence des investisseurs", analyse Xerfi.

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Les taux des crédits immobiliers ont atteint un niveau historiquement bas en juin 2013, à 2,90 % hors

assurance en moyenne toutes durées d’emprunt confondues. Après une légère remontée au 2nd

semestre 2013, le taux moyen a fléchi de nouveau en janvier, à 3,04 % selon l’Observatoire Crédit

Logement/CSA. Mais cela ne suffit pas à relancer la demande, car les prix restent à des niveaux

élevés, malgré une baisse moyenne de 3 % en France l’an dernier selon la Fnaim. Sans compter la

hausse des droits de mutation prévue à partir du 1er mars, qui vient encore rogner sur le budget des

ménages. Aussi pour 2014, "les ajustements se feront encore et toujours sur les volumes, faute d’un

recul conséquent des prix (- 1,5 % en 2014). Cette amorce de recul des prix ne permettra pas un

rééquilibrage entre une demande excédentaire et une offre insuffisante, notamment en raison de la

faiblesse des mises en chantier", explique Xerfi.

La production de logements neufs à la peine

La production de logements neufs est en effet à de ces plus bas niveaux ces dernières années, avec

332.000 mises en chantier en 2013 selon le ministère du Logement. Selon Xerfi, le niveau des mises

en chantiers devrait rester quasi stable en 2014, avant de repartir à la hausse en 2015, "à un rythme

moyen de 5,5 % par an entre 2015 et 2017 pour atteindre environ 400 000 unités, toujours loin de

l’objectif gouvernemental malgré les réformes mises en place et à venir". Le Gouvernement s’est fixé

l’objectif d’atteindre d’ici la fin du quinquennat la construction de 500.000 logements par an dont

150.000 sociaux.

Source : LeNouvelObs.com

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Immobilier de montagne : les atouts fiscaux de la location meublée Le 7/2/2014

Pour amortir les coûts d’investissement d’un pied-à-terre à la montagne, l’acquéreur peut bénéficier d’avantages fiscaux liés à la location meublée.

Commercialisés par le groupe MGM depuis Noël 2013, 90 % des appartements de la première

tranche du programme de résidence de tourisme Kalinda, à Tignes, ont été vendus. - Studio_Bergoen

En achetant un pied-à-terre à la montagne, le propriétaire peut profiter des avantages fiscaux de la

location meublée. L’acquéreur a ainsi la possibilité de choisir le statut du loueur en meublé non

professionnel (LMNP), qui lui permet de déduire de son revenu locatif les charges liées à

l’investissement. Mais surtout, le loueur peut aussi pratiquer des amortissements, autrement dit

déduire chaque année de son revenu imposable une fraction du prix du bien. Grâce à ces

amortissements, les loyers ne sont pas imposés.

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Dans le cadre d’une acquisition en résidence de tourisme, l’investisseur peut profiter de la fiscalité du

LMNP seule ou couplée au régime Censi-Bouvard, selon son profil fiscal et la durée de détention du

bien (voir tableau ci-dessous). Ce régime est accessible jusqu’au 31 décembre 2016. Dans ce cas, il

bénéficie aussi du remboursement de la TVA au taux de 20 % du montant du prix d’achat du bien, à

condition que le bien soit conservé au minimum vingt ans.

Le dispositif Censi-Bouvard permet, de plus, une réduction d’impôt égale à 11 % du prix de revient du

bien (prix d’acquisition, frais de notaire...), dans la limite de 300.000 euros par an investis, à parts

égales sur neuf ans. La réduction d’impôt maximale est donc de 33.000 euros. Elle est imputée à

raison de 3.666 euros par an au titre des années 2014 à 2022. Attention, le bénéfice de cette

réduction d’impôt interdit à l’investisseur d’amortir son bien. Et la réduction d’impôt est prise en

compte pour le calcul du plafonnement global des avantages fiscaux, actuellement de 10.000 euros.

Comparatif de l’optimisation fiscale entre le dispositif Censi-Bouvard et le LMNP classique –

Cerenicimo

Source :LesEchos.fr

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Ventes de logements de l'État : les agences immobilières sans nouvelles Le 7/2/2014

Le gouvernement devrait indiquer dans quelques semaines comment la mise en vente des logements

de l'État s'effectuera.

«Les appartements de fonction que veut vendre l'État pourront-ils être achetés par des particuliers ou

seront-ils vendus par centaines à des grandes sociétés? Ces logements feront-ils l'objet d'une

évaluation par France Domaines? Seront-ils vendus avec un système d'enchères? Pour l'instant, on

ne sait rien. C'est encore un effet d'annonce.» Comme tous les autres agents immobiliers, Laurent

Vimont qui est le directeur général de Century 21 ne connaît pas les modalités du plan échafaudé par

le ministère du Budget pour réduire de 20% le nombre de logements de fonction. «Je préférerais que

ces logements soient vendus à des opérateurs comme Icade qui pratiqueront des prix raisonnables à

la revente», estime Jean-Louis Dumont, député PS et président du Conseil de l'immobilier de l'État. Le

ministre du Budget, Bernard Cazeneuve, devrait préciser dans quelques semaines les modalités de

mise sur le marché de ces logements.

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Seule certitude, il n'y aura pas que des appartements ou des maisons appartenant à l'État mis en

vente. Les établissements hospitaliers, qu'il s'agisse de l'AP HP, des CHU ou des hôpitaux

communaux devront aussi se séparer de biens immobiliers. En tout, ce sont donc plusieurs milliers de

logements qui devraient être mis en vente pour assurer quelques rentrées à un État bien

impécunieux. «Les hôpitaux ont beaucoup de logements à Paris ou ailleurs qui résultent de legs de

personnes physiques contentes de soins qui leur ont été prodigués à l'hôpital, explique Jean-Louis

Dumont. Jusqu'ici, on y logeait des salariés des établissements hospitaliers sans qu'ils aient

d'obligation de service à résider près de leur lieu de travail. Là, on va vendre beaucoup de ces

appartements et maisons.»

«Certains logements de fonction représentaient un avantage disproportionné»

Christophe Caresche

En attendant, même si peu de parlementaires de la majorité étaient dans la confidence pour ce projet,

ils soutiennent la démarche. «Certains logements de fonction représentaient un avantage

disproportionné, estime Christophe Caresche, un député PS qui planche sur le logement. Cela ne me

semble pas illogique de les supprimer pour vendre ces logements et faire entrer de l'argent dans les

caisses de l'État.» Plusieurs dizaines de millions d'euros, plusieurs centaines de millions? Au

ministère de Budget, on n'indique aucun chiffre sur ce que l'on escompte de ces cessions.

Source : LeFigaro.fr

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Impôts: une politique du logement vaine

Le 7/2/2014

Pas plus de deux sur dix à l'État pour sa politique du logement selon l'évaluation exclusive pour L'Express de l'Institut Montaigne.

Les dépenses de l'État pour le logement ont augmenté de 70 % entre 2004 et 2011 sans effet notable.

REUTERS/Mal Langsdon

La collectivité publique n'assume que 10 % de la dépense totale des Français en matière de

logement. Mais ces 44,9 milliards d'euros (en 2011) sont mal utilisés. Cette dépense a augmenté de

70 % entre 2004 et 2011 sans effet notable.

La note de L'Express: 2/10

Avec 62 % de propriétaires, la France est mal classée parmi les cinq plus grands pays de la zone

euro : l'Espagne en compte 83,2 %, l'Italie, 71,8 %, le Royaume-Uni, 69,9 %. Seule l'Allemagne est

moins bien placée (53,2 %).

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La revue de Presse KYLIA 15

La hausse des prix n'a pu être freinée par les politiques publiques. Plus grave, les dispositifs

successifs d'aides (Périssol, Robien, Scellier, prêt à taux zéro, Duflot) font grimper le prix du mètre

carré du montant de l'aide reçue.

Les loyers subissent la même pression inflationniste : les aides personnalisées au logement (APL)

coûtent 16,4 milliards d'euros et poussent les loyers à la hausse.

Les logements sociaux sont mal répartis: en Ile-de-France, par exemple, la demande excède

largement l'offre, mais en Alsace 8% des HLM sont vides, et de 5 à 7 % en Champagne-Ardenne,

Bourgogne, Franche-Comté, Limousin.

La "privation grave de logement" (pas de baignoire ni de toilettes, etc.) touche 3% des personnes,

pour 2,8% au Royaume-Uni, 2,1 % en Allemagne, 1,4 % en Espagne. Mais 6,7 % en Italie.

Le coût: 44,9 milliards d'euros

Le saviez-vous?

Un couple (dont un chômeur) sans enfant, gagnant 18000 euros par an, locataire à Paris pour

700euros par mois touchera 24,12euros d'APL par mois.

Source : L’Express.fr

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Un bon plan méconnu pour les gros patrimoines immobiliers : l'usufruit locatif social Le 7/2/2014

© REA

Acheter un logement neuf avec une ristourne de 35 à 45% sur sa valeur de départ ? C’est possible en

passant par l’usufruit locatif social, un montage conseillé à ceux détenant déjà un gros patrimoine

immobilier. Le principe : vous achetez la seule nue-propriété d’un bien tout en confiant, pour quinze à

vingt ans, l’usufruit à un organisme social (de type société HLM).

Vous n’empocherez du coup aucun loyer pendant toute la durée de ce démembrement de propriété.

Mais en contrepartie, vous ne payez aucune charge ni impôt et êtes sûr de récupérer, à l’issue du

montage, le logement remis à neuf (et vide si vous le souhaitez). Passez plutôt par un opérateur -

reconnu, comme Perl, qui monte l’opération de A à Z en direct avec les promoteurs.

Risque : de faible à moyen Durée : de 15 à 20 ans Rentabilité : de 3,5 à 7% avant impôts

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Fiscalité : aucune pendant le démembrement, puisque vous ne percevez pas de revenu et que le

bien n’entre pas dans l’assiette de l’ISF. En cas d’achat à crédit, les intérêts d’emprunt sont

déductibles des autres revenus fonciers.

Source : Capital.fr

A propos de Kylia

KYLIA, nouvel acteur du marché immobilier, est un réseau d’agences immobilières Nouvelle Génération : Le 1er réseau immobilier à partager sa croissance avec l’ensemble de ses agents. Kylia développe un modèle économique orienté « Agent » : Une entreprise construite par et pour ses agents immobiliers. Plus d’information sur le site Internet : http://www.kylia-immo.com Contact Presse : KYLIA Immobilier

Marie LAURENT / [email protected] / 01 47 70 24 18