psychologues colloque centre franÇois-michelle · 2011-08-23 · fonctions exécutives et...

Fonctions exécutives et déficience intellectuelle

COLLOQUE CENTRE FRANÇOIS-MICHELLELa déficience intellectuelle légère et les troubles associés

16 octobre 2008

LES FONCTIONS EXÉCUTIVES

ET LE DÉVELOPPEMENT DES HABILETÉS D’ADAPTATION

NORMAND LEBLANC ANDRÉ ROUSSEAU PIERRE-PAUL GAGNÉ

PSYCHOLOGUES


LE COMPORTEMENT ADAPTATIF, par définition

En 2002, l’AAMR revient au terme comportement

adaptatif, maintenant défini comme «l’ensemble des habiletés conceptuelles, sociales et pratiques apprises par les individus pour permettre leur fonctionnement dans la vie quotidienne» (p.14) Traduction libre).


Les comportements adaptatifs


Les comportements adaptatifs sont:


Comportement adaptatif et développement cognitif



La déficience intellectuelle et les fonctions exécutives

1. un ensemble de déficits exécutifs qui entraînent des difficultés importantes dans la négociation des situations quotidiennes.

2. le niveau de déficit intellectuel influence le niveau de fonctionnement exécutif de la personne.

3. L'âge chronologique est un facteur déterminant car ils vont développer leurs habiletés adaptatives tout au cours de leur vie.

4. pas un trouble spécifique mais plutôt un profil déficitaire.


NEUROSCIENCES

NEUROPSYCHO

PSYCHO

ATTENTION

MEMOIRE

LANGAGE

FONCTIONSEXEC


Les fonctions exécutives

… en images … en mots

NOUVEAUTÉ

COMPLEXITÉ

Les processus conscients impliqués dans le contrôle

conscient de la pensée et de l’action


Les fonctions exécutives gèrent

Le comportement social et les

comportements adaptatifs

Les activités intellectuelles supérieures

Les émotions (contrôle, modulation et

élaboration)


Une activité sera exécutive si :

Elle comprend l’établissement de l’intention d’agir ou la formulation d’un plan et son maintien en mémoire.

Elle gère les embûches, les distracteurs, les stresseurs, en un mot tout ce qui nuit à l’exécution de cette intention.

Elle gère un discours interne de régulation cognitive.

Les

fon

ctio

ns

exéc

uti

ves


LES TROIS COMPOSANTES DUMODÈLE DE SHALLICE

ROUTINES(PLANS ACTION)

GESTIONNAIREDE CONFLITS

SASSYSTÈME ATTENTINNEL

DE SUPERVISION

FAIRE FACE À DESSITUATIONS NOUVELLES

ET COMPLEXES

AUTOMATIQUE SEMI-AUTOMATIQUE


ROUTINE

ENVIRONNEMENT(SITUATION

CONNUE)

ACTIONPLAN D’ACTION

NOUVEAUTÉ / COMPLEXITÉ

ENVIRONNEMENT( SITUATIONNOUVELLE)

ACTIONPLAN D’ACTION

FONCTIONSEXÉCUTIVES

FONCTIONSEXÉCUTIVES

ACTIVATIONINHIBITION

PLANIFICATION


Coordination de plusieurs fonctions cognitives et attentionnelles nécessaires à l’exécution de toute tâche complexe.

L’activité intentionnelle prend place quand les routines sur-apprises ne peuvent suffire


Système superviseur


LE LOBE FRONTAL ENTRETIENT DES LIENS AVEC LES TROIS AUTRES PARTIES DU CERVEAU


Les fonctions ou habiletés exécutives sont celles qui permettent à l’individu:

�de s’investir dans une activité cognitive intentionnelle,

�mises à contribution lorsque la personne fait face à des situations nouvelles et complexes,

�et dans une situations de résolution de problème pour atteindre un objectif.

Une définition …


À QUOI RESSEMBLE UN SYNDROME DYSEXÉCUTIF ?

� Capacité d’organisation et de planification pauvre.

� Difficulté à initier et utiliser des stratégies pendant une résolution de problème.

� Persévération et inhabileté à corrigerles erreurs après feedback.

� Pensée rigide.


de l’impulsivité cognitive,

des difficultés à s’organiser avec son matériel, dans son horaire,

des difficultés à trouver des stratégies adéquates de résolution de problèmes,

et à les appliquer à bon escient et de façon systématique,

de la désinhibition comportementale.

des persévérations et des stéréotypies,

Une dysfonction exécutive même légère entraînera…

des erreurs d’inattention,


Donc…


permettent le développement de

l’auto-contrôle

la métacognition

la résolution de problèmes

l’autonomie,

l’adaptation

leur faiblesse ou le retard de leur développement pourra entraîner

Un T.D.A.H.

d’autres atteintes frontales

des troubles d’apprentissage

des psychopathologies

des difficultés d’adaptation ou une mésadaptation


L’ACTIVATION

LA FLEXIBILITE

LA MÉMOIRE DE TRAVAIL

L’INHIBITION

LA PLANIFICATION

LA RÉGULATION ÉMOTIONNELLE


Lien entre l’activation et l’inhibition de l’impulsivité

Deux fonctions exécutives qui gèrent l’énergie propre à la résolution d’une tâche.

Dans l’activation, on cherche àmobiliser cette énergie nécessaire à la poursuite de la tâche

Dans l’inhibition de l’impulsivité, on cherche à mieux contrôler cette même énergie


Les fonctions exécutives d’activation et d’inhibition de l’impulsivité

L’activation, c’est:… l’éveil… la mise en action,… l’amorce du comportement

intentionnel

L’inhibition de l’impulsivité, c’est:… se contrôler… retenir un geste, une réponse… s’imposer un délai


L’ACTIVATION

L’activation se définit comme une mobilisation énergétique et cognitive qui permet à la fois le démarrage et le maintien en action des autres fonctions exécutives ainsi que la mise en œuvre des schémas cognitifs au moment d’entreprendre toute action intentionnelle.

Cette mobilisation correspond à un état d’éveil du cerveau qui se prépare àrépondre à une demande, à une situation.

UNE DÉFINITION:


Activation neuro-sensorielle

L’activation cognitive :

aboutissement de

l’activation des systèmes sensoriel et

sensori-moteur liés à la base et à la partie postérieure du cerveau.


Activation ré-activation

• L’activation a une courte durée

• mise en action des stratégies cognitives

• maintien de l’effort jusqu’au bout.

cycle

activation-ré-ac

tivation.


� saisir le problème (se réveiller)

� se donner une intention,

� ce qu’il sait déjà ses connaissances

� débuter, s’investir dans l’action cognitive

� maintenir le rythme, l’effort; persévérer

Les

composa

ntes de l’a

ctivation


Quand l’activation ne fonctionne pas bien…

En activité

Avec les consignes

Temps de mise en action

« Je ne sais pas »

Ils trouvent difficilement quoi faire

En déficience intellectuelle, activation

neurosensorielle.


Ce qu’on peut faire

• Amener les enfants à devenir actifs dans leurs apprentissages.

• Leur donner plus de temps

• Procurer un environnement de travail le moins distrayant possible


L’INHIBITION

LA FLEXIBILITE


LA PLANIFICATION


L’ACTIVATION


L’impulsivité c’est …

Agir sans délai

Actions automatiques ou stopper des actions déjà amorcées

Agir sans réfléchir


L’impact de l’impulsivité

Depuis le trouble déficitaire de l'attention avec

hyperactivité … jusqu’à la dépression

Rigidité d

e pensée

, répétitio

ns et per

sévératio

ns,

crises de

colère, a

gression

s et host

ilité…


•Mauvaise planification

• Mauvaise exécution

•Mauvaise vérification

L’impulsivitécognitive


Contrôle cognitif interne:

Gestion des informations en traitement,

1. Attention à la tâche,

2. Résistance à la distraction,

3. Contrôle des interférences dans l’exécution d’une tâche.

L’inhibition de l’impulsivité Une définition

Auto-contrôle moteur, verbal, émotionnel


Les habiletés liées àl’inhibition de l’impulsivité

Contrôler, arrêter un comportement

Résister à la distraction et aux contrariétés

Freiner les pulsions

Neutraliser une réponse automatique ou prépondérante

S’imposer un délai pour pouvoir juger de la situation et de sa réponse

Inhiber ses

impulsions,

c’est rester cool !!!


Les fonctions cognitives de l’inhibition

Gestion de l’entrée et de la sortie des informations de la mémoire de travail

� bloquer l’accès d’informations

� empêcher l’exécution d’une réponse dominante

� et écarter de la mémoire de travail des informations devenues obsolètes.


Interventions éducatives

� Contrôle sur l’impulsivité cognitive et comportementale.

� Le langage médiateur et la métacognition.


Interventions éducatives

Une médiation des tâches pour aider les élèves.

� anticiper les événements,

� décomposer les tâches,

� nombre et clarté des directives,

� conséquences plus fréquentes et récompenses immédiates,

� délai avant de répondre.

Un environnement structuré


Les composantes� Contrôler son taux d’activité cognitive

et physique

� Anticiper les conséquences potentielles de ses comportements ou le type de réponses attendues.

� Prendre en considération ce qu’il sait déjà.

� Résister à ou filtrer la distraction.

� Résister aux pièges de la tâche.

� Résister aux impulsions .


L’ACTIVATION ( INITIATION)

LA FLEXIBILITE


L’INHIBITION

LA PLANIFICATION



MÉMOIRE DE TRAVAIL

DIFFÉRENCES AVEC:

Mémoire à court terme :traitement des informations

Mémoire à long terme: encodage à long terme.


MÉM

OIR

E D

E TR

AV

AIL

Définition

Système dynamique qui intègre non seulement la rétention de l’information mais aussi sa transformation comme conséquence de l’activité cognitive.


Composantes de la mémoire de travail

ADMINISTRATEUR CENTRAL

BOUCLE PHONOLOGIQUE

BOUCLE ARTICULATOIRE

CALEPIN VISUO-SPATIAL

SOUS-COMPOSANTES:

VISUELLE

SPATIALE


Composantes de la mémoire de travail

• Boucle phonologique: se répéter

• Tablette visuo-spatiale: visualiser

• L’exécuteur central: traiter


LE DÉVELOPPEMENT DE LA BOUCLE PHONOLOGIQUE

• 2 ans : 2 éléments




• 11-12 ans : 7 éléments, comme l’adulte


DÉVELOPPEMENT DU CALEPIN VISUO-SPATIAL

• 5 ans : 4 blocs

• 14 ans : 14 blocs

• 3 paliers : 5-6 ans, 8-9 ans , 11-

12 ans

REF: BLOCS DE CORSI


Contributions de la mémoire de travail dans l’apprentissage

� Richesse du vocabulaireLangage expressifHistoire, géographie, langues étrangères

� Compréhension oralePhrases complexes


Compréhension écrite:

� Inférences� Intégrer les éléments d’un texte� Utiliser le contexte� Retrouver les informations dans

un texte



� Calcul

Forte relation avec le raisonnement.

Evolution des stratégie en fonction de l’âge



Mémoire de travail et retard mental

• Plusieurs recherches portent sur les différences entre les syndromes .

• Syndrome de Down: meilleure mémoire visuo-spatiale

que SW

• Syndrome de Williams: meilleure mémoire verbale que SD

• Syndrome du X fragile : déficit global de la MDT associé à la faiblesse des fonctions exécutives


Mémoire de travail et retard mental

• Importance de la stratégie de l’autorépétition pour les apprentissages et la vie quotidienne.

• Âge d’apparition (?)

• Les recherches montrent que c’est possible d’améliorer la performance (empan).

• 60 séances de 10 minutes. Gains significatifs mais légers.

• Résultats meilleurs avec retard léger et bon développement du langage.


L’ACTIVATION ( INITIATION)

LA FLEXIBILITE


L’INHIBITION

LA PLANIFICATION



LA RÉGULATION ÉMOTIVE

La régulation des émotions consiste en des processus d’évaluation, d’autosurveillance et de modification des réactions émotionnelles dans le but de réaliser ses objectifs.

La régulation inclut l’ensemble des stratégies qui sont utilisées afin d’accroître, maintenir ou réduireune ou plusieurs composantes d’une réponseémotionnelle.

Un

e d

éfin

itio

n


L’élève en difficulté de régulation émotive

Perte de contrôle de sa colère: crie, pleure, frappe.

Anxiété envahissante: dramatisation, devientincapable de travailler.

Labilité : passe d’une émotion à l’autre.


Localisation neurologique

Connections entre le système limbique et l’aire frontale


ÉMOTIONS ET MÉMOIRE

Encodage des connaissances avec unerésonnance émotionnelle.

L’amygdale encode les informations de nature affective associées aux souvenirs.


Les moments de la régulation émotive

1- Input sensoriel.

2- Traitement cognitif.

3- Expression émotionnelle.


LES MODALITÉS STRATÉGIQUESDE LA RÉGULATION ÉMOTIVE

• Les moyens sensoriels

• Les moyens physiques

• Les moyens cognitifs

• Les moyens socio-affectifs


Les composantes de la régulation émotive

• Identifier les émotions

• Comprendre

• Nuancer

• Gérer


Régulation des émotions et retard mental

• Ne semble pas y avoir de recherches

• Probabilité que le recul cognitif face auxémotions et que l’utilisation de stratégies de régulation soient plus difficiles à intégrer que chez l’enfant ayant un développement typique.


Régulation des émotions et retard mental

• 1-Identifier les émotions :

Reconnaître les manifestations apparentesLes nommer (vocabulaire)Préciser l’intensité ( 2 niveaux)

• 2-Choix de stratégies simples (pictos)

Je me retire de la situation Je me calme (moyens sensoriels ou moteurs)J’en parle à quelqu’un


L’ACTIVATION


L’INHIBITION

LA PLANIFICATION


LA FLEXIBILITÉ


Une définition …

� une habileté qui permet d’opérer avec souplesse des transitions entre différentes situations en fonction des exigences de la tâche.

� tolérer les changements pouvant survenir en cours d’exécution.

LA FLEXIBILITÉ COGNITIVE


� de considérer plusieurs avenues de solution,

� utiliser des mots précis pour décrire, comprendre et expliquer clairement une situation ou un problème,

� d’être davantage sensible aux signaux internes et externes qui informent de l’adéquacité entre l’objectif poursuivi et les moyens mis en œuvre,

La souplesse cognitive permet de:

SUITE …


� pouvoir opérer des « aller-retour » entre le problème à résoudre et les informations emmagasinées en mémoire de travail,

�établir des comparaisons,

� décider si les moyens mis en œuvre sont adéquats,

� élargir son champ perceptuel.

La souplesse cognitive permet de:


1. Saisir plusieurs perspectives d’une même réalité en adoptant des positions perceptuelles différentes.

2. S’ajuster aux exigences de la tâche et aux changements pouvant survenir « en route».

3. Réfléchir de façon divergente.

4. Établir des relations entre les informations.

QUELQUES COMPOSANTES DE LA FLEXIBILITÉ


Saisir plusieurs perspectives d’une même réalité en adoptant des positions perceptuelles différentes.

en mode réception et en mode exécution

Texture

SonsCouleur


Modalitévisuelle

Modalitéauditive

Modalitékinesthésique

• Brillant • Mélodieux • Irritant

• Visible • Aigu • Écrasant

• Regarder • Crier • Ressentir

• Illustrer • Verbaliser • Toucher

• Clairement • Bruyamment • Confortablement

• Visuellement • Sourdement • Froidement

Caractéristiquesvisuelles

Caractéristiquesauditives

Caractéristiques kinesthésiques

Images en mouvement

Volume Durée

Couleurs Rythme Intensité

Contrastes Tonalité Texture

Dimensions Débit Température


S’ajuster à la complexité et aux exigences de la tâche

L’obligation de tenir compte simultanément de plusieurs éléments d’une situation pour exécuter une tâche

IDENTIFIERÉLÉMENTMYSTÈRE

PEAU DURE BRUYANT GRIS+ +


Utilisation des techniques d’imagerie visuelle

Impact significatif sur la qualité de l’encodage en mémoire ( Campos & Fernandez, 1995)

+


Apprendre à gérer efficacement ses ressources cognitives


Procéder à une allocation des ressources cognitives


UTILISATION DES

AUTO-INSTRUCTIONS

COGNITIVES

SCRIPT+

SCÉNARIO


L’ACTIVATION

LA FLEXIBILITE


L’INHIBITION


L’ORGANISATION ET LA PLANIFICATION


1. Processus d’auto-organisation.

2. Orienté vers le futur.

3. Requiert des habiletés liées à la motivation et à la métacognition.

4. Activité cognitive qui intègre de nombreuses composantes et plusieurs niveaux de fonctionnement en un seul schéma.

5. Exige une contribution importante du langage.

LA PLANIFICATION / ORGANISATION


QUELQUES COMPOSANTES DE LA PLANIFICATION

1. Anticiper

2. Programmer et scénariser les actions cognitives

3. Gérer la dimension temporelle

4. Réguler les opérations cognitives

QUELQUES COMPOSANTES DE L’ORGANISATION

1. Catégoriser et hiérarchiser les connaissances

2. Manipuler et organiser les connaissances


Programmer et scénariser les actions cognitives

La scénarisation neurocognitive facilite la planification puisqu’elle permet de s’engager activement dans le processus de gestion.

Un apprenant compétent prend soin de savoir quoi faire, comment le faire, quand et à quel rythme le faire

C’est OK

Ce n’est pas OK


en mode «phrase mentale»

LES RÈGLES DE LA SCÉNARISATION COGNITIVE

Les codes de gestion …. V A K (O G )

La syntaxe ……………. Ordre des éléments

La grammaire ………… Les règles de construction

Le sens de la phrase … L’objectif de communication

STRATÉGIE = PHRASE MENTALE


Je regardel’objet

Je me dis:«Qu’est-ce quiressemble à…»

Je répètela consigne

Je cherche àvoir dans ma

mémoire

Ce que j’ai trouvéressemble à …

Ce que j’ai trouvéne ressemble pas à …

Je dessine ceque j’ai trouvé…

LA SCÉNARISATION NEURO COGNITIVE: Un exemple de «phrase mentale»


Ki(+)

Ki(-)

Ve Ae Di Vr

exécution

LA SCÉNARISATION NEURO COGNITIVE Un exemple de «phrase mentale»

Ke


Disponible à l’adresse:

http://homepage.mac.com/cogito/resonances/

Pour en apprendre davantage sur la

scénarisationneurocogniitve


Un outil cognitif pour organiser les connaissances: «MindMapping»

ORGANISER ET HIÉRARCHISER


Réguler les opérations cognitives


Limitations des programmes d’éducation cognitive

(selon Buchel & Paour, 2005)

� Capacités mnésiques limitées� Imposent une contrainte sur le travail cognitif

� Limite du niveau de compréhension qui autoriseun traitement actif

� Conceptualisation et métacognition

� Le langage comme outil de médiation cognitive� Structures motivationnelles faibles ne favorisent

pas le maintien de l’effort� Peu d’engagement cognitif et efficience pauvre


Points à retenir pour l’interventionpédagogique chez les D.I.

(selon Buchel & Paour, 2005)

� Fonctions exécutives = processus conscients� Fonctionnement stratégiques passe par une prise

de conscience de son propre fonctionnement (méta)

� La FE doit être intégrée dans une verbalisation interne enseignée explicitement

� Tâches et stratégies� Utilité de l’auto-répétition


DISPONIBLE NOVEMBRE 2008


MERCI DE VOTRE ATTENTION

psychologues colloque centre franÇois-michelle · 2011-08-23 · fonctions exécutives et...

Documents