Psaume 32Psaume 32

Quelle joie quand le Père Quelle joie quand le Père oublie la fauteoublie la faute

sans qu’on essaie sans qu’on essaie de la dissimuler !de la dissimuler !

J’ai bien essayé de l’oublier,J’ai bien essayé de l’oublier,mais elle me rongeait mais elle me rongeait

toujours le cœur;toujours le cœur;

jour et nuit, jour et nuit, elle était un fardeau pesantelle était un fardeau pesant

qui tarissait ma vitalité.qui tarissait ma vitalité.

Un jour, Un jour, j’ai cessé de me cacher, j’ai cessé de me cacher,

loin du Pèreloin du Père

J’ai dit : J’ai dit : " Je vais lui avouer."" Je vais lui avouer."

Et lui, Et lui, tout de suite,tout de suite,

il m’a débarrassé il m’a débarrassé de ce poids.de ce poids.

Il en est ainsi Il en est ainsi pour qui va à sa rencontrepour qui va à sa rencontre

et se confie à lui et se confie à lui en toute franchise.en toute franchise.

Même s’il est attaqué Même s’il est attaqué de partout par le mal,de partout par le mal,

il ne perdra jamais sa paix.il ne perdra jamais sa paix.

Père, Père, tu es pour moi un abri,tu es pour moi un abri,

tu me protèges tu me protèges de la détresse,de la détresse,tu mets en moi tu mets en moi

des chants de liberté.des chants de liberté.

Tu me conseilles Tu me conseilles sur la route à suivre,sur la route à suivre,

tu veilles sur moi tu veilles sur moi et m’escortes pas à pas.et m’escortes pas à pas.

AMENAMEN