portfolio audrey paulis, architecte de

-PORTFOLIO-Audrey Paulis

Ecole Nationale Suprieure dArchitecture de Grenoble2008-2014

Travaux de 1re anne, autour des notions de forme et despace, par le biais de micro-architectures. Appr-hension de notions de reprsentation et de construc-tion.

Conception dune micro-architecture en bois

Introduction larchitecture

Conception dune micro-archi-tecture en bton

Travaux de 1re anne, autour des notions de forme et despace, par le biais de micro-architectures. Appr-hension de notions de reprsentation et de construc-tion.

Conception dune micro-architecture en bois


Conception dune micro-archi-tecture en bton


Projets de conception de 1re anne ; Aprs un semstre de reprsentations doeuvres architec-turales, approche de la qualit despace et de vie.

Projet dune maison de rsidence secon-daire, au sein dune clairire, dans un site ctif.

Projet datelier-rsidence pour un artiste dans un terrain troit; notion de lumire, luminosit en fonction des besoins.

Analyse, projet, exprimentations

Halle de marchPaulis AudreyStudio LiveneauENSAG 2009-2010

A

A

Elvation SudElvation est

Elvation ouest Elvation Nord

Coupe AA

Echelle 1/100e

Echelle 1/50e

Plan

Plan masse Echelle 1/200e

Vue intrieure de la Halle

Vue extrieure de la halle

Pitons

Vhicules

HalleServicesTechnique/priv

Schmas Echelle 1/400e

Evacuation des eaux de pluie

Poutres

Distribution

Espaces

Dtail dune poutre

Aprs analyse dun logement et dun mouvement architectural, conception de logements pour deux familles.

Halle de march sur un site ctif ; en lien avec un cours de construction, notions de poutres treillis.

Exprimentations dambiances, de formes et des-paces chelle 1 aux Grands Ateliers ou lENSAG.

Analyse, projet, exprimentations

Halle de marchPaulis AudreyStudio LiveneauENSAG 2009-2010

A

A

Elvation SudElvation est

Elvation ouest Elvation Nord

Coupe AA

Echelle 1/100e

Echelle 1/50e

Plan

Plan masse Echelle 1/200e

Vue intrieure de la Halle

Vue extrieure de la halle

Pitons

Vhicules

HalleServicesTechnique/priv

Schmas Echelle 1/400e

Evacuation des eaux de pluie

Poutres

Distribution

Espaces

Dtail dune poutre

Aprs analyse dun logement et dun mouvement architectural, conception de logements pour deux familles.

Halle de march sur un site ctif ; en lien avec un cours de construction, notions de poutres treillis.

Exprimentations dambiances, de formes et des-paces chelle 1 aux Grands Ateliers ou lENSAG.

COUPE BB'ECHELLE : 1/200

AXONOMETRIE ECHELLE : 1/100

COUPE LONGITUDINALEECHELLE : 1/200

COUPE TRANSVERSALE

FACADE SUDECHELLE : 1/50

BATIMENT NORD FACADE SUD

PLAN SOUS SOL

PLAN REZ-DE-CHAUSSEE

PLAN NIVEAU 1

PLAN NIVEAU 2

FACADE NORDECHELLE : 1/50

Exercice 2 : HABITAT EN BANDE

Phase 1 : ANALYSE D'UN PROJET DE REFERENCE

SPITTELHOF ESTATE DE PETER ZUMTHOR

1996 SUISSE

COURAND Marine

de BUYER Olympe

PAULIS Audrey

TOURNIER Clia

COUPE AA'ECHELLE : 1/200

COURAND Marine de BUYER Olympe PAULIS Audrey TOURNIER Clia ENSAG 10.01.11 STUDIO CHEDAL -ANGLAY

PLAN MASSEECHELLE : 1/400

B B'

A

A'

Analyse des logements Spittelho Estate en Suisse, par le dessin et la maquette, notion de qualit de vie dans les espaces privs et com-muns.

Reprise des modles-type de logement de Zumthor pour les appliquer dans un ensemble de logements collectifs Champ-gnier. Travail sur la pente.

Reprise des modles-type de logement de Zumthor pour les appliquer dans un ensemble de logements collectifs Champ-gnier. Travail sur la pente.

Rexion autour dune structure scolaire et pri-scolaire sur lperon rocheux de Vizille. Travail avec la proximit du jardin et du chteau, notions de franchissement et de cheminement au travers de lperon rocheux.

Echelles: temps, paysage...

Projet de traverse verte au sein du quartier des Eaux Claires Grenoble. Des parcs existants actuels, on cre une mare verte qui stend dabord aux axes entre ces parcs, puis au quartier entier. Pour ce faire, ce projet stale sur un sicle, et mobilise aussi bien la ville que ses habitants. Des strat-gies de conqute vgtale sont tablies en fonction du lieu: rue, stades etc....


Projet de traverse verte au sein du quartier des Eaux Claires Grenoble. Des parcs existants actuels, on cre une mare verte qui stend dabord aux axes entre ces parcs, puis au quartier entier. Pour ce faire, ce projet stale sur un sicle, et mobilise aussi bien la ville que ses habitants. Des strat-gies de conqute vgtale sont tablies en fonction du lieu: rue, stades etc....


Equipement au coeur de la traverse, bulles de vgtation permanente (t comme hiver) permettant une respiration dans la ville.

A la suite de visites du site de la rserve naturelle de Luitel et de construction de maquettes sensibles, on articule ambiances et parcours au sein dune maison individuelle. Cette maison doit correspondre au client ctif, et sintgrer dans le grand paysage et la rserve de Luitel.

Le projet se base sur les balades romantiques, et la carte du Tendre.

Projets litalienne

Rnovation et rhabilitation des entrepts de transports urbains de Rome en muse dart contemporain, avec logements et ateliers pour artistes.

3.38

4.02

7.397.1

8

5.554.734.55

5.654.964.12

7.63

3.532.87

0.98 1.001.41

2.25

1.40

1.44

1.42

2.27

6.88

6.27

5.29

4.92

4.32

5.65

4.20

6.91

6.496.21

5.65

4.614.59

3.102.97

1.131.09

2.10 2.171.09

1.120.96

1.81

1.79

1.07

0.95 1.61

1.54

1.61

5.90

3.18

4.98

6.59

12.2713.80

4.90

6.43

9.58

7.08

8.28

7.86

19.89

11.4

0

8.33

15.4

712

.14

5.19

6.77

5.88

6.04

15.3812.15

11.72

10.69

10.088.74

19.6

8

7.13

6.61

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1.51

1.022.50

1.63

8.21

03..58

1.09

.62

.74

3.05

6.08

1.60

5.30

8.20

6.0545.5

4.9653.4

3.753.141.55

1.27.98.68.38

.33 .501.302.05 .41 .41

11.084.38

Utilisation de matriel tech-nique (stazione totale, mtre laser) pour relever les mesures dune glise complte.

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7.397.1

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5.554.734.55

5.654.964.12

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3.532.87

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4.614.59

3.102.97

1.131.09

2.10 2.171.09

1.120.96

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0.95 1.61

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Utilisation de matriel tech-nique (stazione totale, mtre laser) pour relever les mesures dune glise complte.

RILIEVO ARCHITETTONICO 1 : 50e

Perrine BERLAND . Marine COURAND . Anna HAGEN . Audrey PAULIS

1m

Sezione longitudinale

+ 0.00

+ 0.72

+ 0.50

+ 1.96

+ 2.50

+ 3.57

+3.80

+3.93

Relev de tous les dtails: des ruines, aux pierres de faade, en passant par les statues et autels...

Cours et projet pour la cration et lamnagement de logements, en termes de confort. Rexion sur les espaces communs et daccueil de limmeuble.

An daider une galerie dart se faire connatre, il a fallu retravailler leur communication, les rendre accessible au plus grand nombre et parfois braver leurs rticences (notamment pour la refonte du logo.) On envahit donc la ville de Rome laide de panneaux reprenant des oeuvres exposes la Fondazione Volume.

Il tait galement demand de travailler la communication concernant leur systme dadhsion. Pour ce faire, tout le systme a t revu et des yers plus ludiques on t cres.

Il tait galement demand de travailler la communication concernant leur systme dadhsion. Pour ce faire, tout le systme a t revu et des yers plus ludiques on t cres.

Step 1: 10 minutiDistribuite ai/lle partecipanti la Scheda1- Questionario e date loro 5 minutiper rispondere alle do-mande, invitandoli/le a segnalare la prima risposta che viene loro in mente.

Come procedere?

Step 2: 1 ora e 50 minutiSenza ritirare i questiona-ri, riprendete le domande una per una e discutete le risposte giuste, che sono qui segnalate in grassetto e contrassegnate con una X, con i/le partecipanti.

Step 3: 40 minutiAnnunciate che si vedr un documentario italiano girato nel 1982 da Lino Del Fra e Cecilia Mangini, maestri del genere, per conto della Rai.

Letture consigliateCapitoli sulle MGF/E delle DHS, Demographic and health surveys (Sondag-gi demografici e sanita-ri), disponibili in inglese o francese sul sito www.stopfgmc.org.

Alla fine di questa parte del lavoro riflettete insieme ai/lle partecipanti sulla definizione adottata. La cultu-ra a cui si appartiene rappresenta per gli individui il modo naturale di essere, di comportarsi e di leggere la realt.Finch non ci si incontra con altri modi di essere e comportarsi non si consapevoli della cultura come produttore di senso e di comporta-mento. lincontro con altre culture che svela le specificit della cultu-ra di appartenenza. Come non ci accorgiamo dellaria che respiriamo, che pure ci circonda e ci penetra, cos non ci accorgiamo della cultura che ci permea e ci nutre. Anche le MGF sono un prodotto della cultura, che interviene nella costruzione identitaria della donna e nelle relazioni uomo-donna: questo ci informa sulla complessit della pratica e delle implicazioni ad essa connesse. Ne consegue limpossibilit di trattare le MGF isolatamente e la necessit di un approccio compe-tente nellincontro con culture diverse dalla nostra, un approccio, cio, che sappia intervenire salvaguardando la propria e laltrui cultura.

Mise en page et en forme dun texte pralable-ment donn, cration dun livert dinformation sur un cours sur les mutilations fminines ; Crations de pictogrammes pour agrmenter le programme.Cration dune couverture o les lettres doivent tre formes partir dobjets.

Cosa sapp iamo delle MGF/E?

Nel 2004, la proposta del ginecologo somalo Omar Houssen Abdulkadir, medico presso lospedale Careggi di Firenze, di eseguire sui genita-li delle bambine un piccolo taglio che facesse le veci dellescissione e dellinfibulazione e venisse come tale certificato dal personale sanitario italiano, ha suscitato la fiera oppo-sizione di numerose organizzazioni che da anni lavorano perch le MGF vengano completamente abbandonate, e un dibattito molto acceso sulla stampa, che ha visto numerosi/e stu-diosi/e e opinionisti/e schierarsi invece a favore della proposta avanzata dal medico somalo, sulla base di moti-vazioni quali la riduzione del danno oppure il rispetto della cultura altrui. In tale occasione la visibilit media-tica cresciuta esponenzialmente, e con questa il numero delle persone che in Italia venivano a conoscenza della pratica, attraverso una informa-zione spesso semplificata e basata su dati parziali o falsi come ad esempio il dato sul numero delle

Nel corso degli ultimi anni in Italia diversi fattori hanno determinato una crescita di attenzione nei confronti delle mutilazioni dei genitali femminili (MGF). Nel 1999 stata pronunciata la prima sentenza di condanna contro un cittadino egiziano, sposato con una italiana, colpevole di aver sot-toposto la figlia allinfibulazione du-rante un soggiorno in Egitto. I media hanno dato notevole visibilit al caso, con un misto di curiosit che carat-terizza tutte le questioni che atten-gono alla sessualit e orrore per una pratica sentita come una violenza contro le bambine e le donne. Insieme alla maggiore presenza nella societ italiana di donne immi-grate cresciuta a vari livelli latten-zione verso le MGF, con lorganizza-zione di dibattiti e incontri pubblici da parte di associazioni, enti locali, uni-versit, mentre in Parlamento venivano presentate alcune proposte di legge per arginare il fenomeno attraverso la penalizzazione.

bambine a rischio in Italia, attestato da numerosi media a 5.000 sen-za che questa informazione fosse supportata da adeguate ricerche statistiche oppure con descrizioni sommarie del fenomeno che non davano conto delle trasformazioni in corso in Africa e dei mutamenti che necessariamente attengono levolu-zione culturale e sociale.

Al fine di iniziare questo lavoro di formazione, che ci permetter di ve-dere pi da vicino il fenomeno nella sua complessit, con particolare at-tenzione al contesto della migrazione, questa attivit esplora quanto i/le partecipanti gi sanno delle mutilazio-ni dei genitali femminili, mettendolo a confronto con informazioni tratte da ricerche statistiche e qualitative sempre pi numerose a livello internazionale che permettono di meglio situare il fenomeno nella sua ampiezza e articolazione.

Perch questa attivitA? 2h

Programma del corso

Target:Personale socio-sanitario, mediatori/trici culturali, rappresentanti di comunit e associazioni africane e/o impegnate

nella migrazione

9:00-9:30

9:30-10:15

10:15-11:00

11:00-11:30

11:30-13:30

13:30-14:30

14:30-16:00

16:00-17:00

1_creare un ambiante favorevole all apprendilmento

2_presentarsi e conoscersi

3_esporre le proprie aspettative e stabilire un patto daula

pausa caff_

4_cosa sappiamo delle MGF/E?

pausa pranzo_

5_la costruzione identaria

6_i fondamenti dellidentit. differenza di genere e MGF/E

30 minuti

45 minuti

45 minuti

30 minuti

2 ore

1 ora

1 ora e 30 minuti

1 ora

Cosa sapp iamo delle MGF/E?

Nel 2004, la proposta del ginecologo somalo Omar Houssen Abdulkadir, medico presso lospedale Careggi di Firenze, di eseguire sui genita-li delle bambine un piccolo taglio che facesse le veci dellescissione e dellinfibulazione e venisse come tale certificato dal personale sanitario italiano, ha suscitato la fiera oppo-sizione di numerose organizzazioni che da anni lavorano perch le MGF vengano completamente abbandonate, e un dibattito molto acceso sulla stampa, che ha visto numerosi/e stu-diosi/e e opinionisti/e schierarsi invece a favore della proposta avanzata dal medico somalo, sulla base di moti-vazioni quali la riduzione del danno oppure il rispetto della cultura altrui. In tale occasione la visibilit media-tica cresciuta esponenzialmente, e con questa il numero delle persone che in Italia venivano a conoscenza della pratica, attraverso una informa-zione spesso semplificata e basata su dati parziali o falsi come ad esempio il dato sul numero delle

Nel corso degli ultimi anni in Italia diversi fattori hanno determinato una crescita di attenzione nei confronti delle mutilazioni dei genitali femminili (MGF). Nel 1999 stata pronunciata la prima sentenza di condanna contro un cittadino egiziano, sposato con una italiana, colpevole di aver sot-toposto la figlia allinfibulazione du-rante un soggiorno in Egitto. I media hanno dato notevole visibilit al caso, con un misto di curiosit che carat-terizza tutte le questioni che atten-gono alla sessualit e orrore per una pratica sentita come una violenza contro le bambine e le donne. Insieme alla maggiore presenza nella societ italiana di donne immi-grate cresciuta a vari livelli latten-zione verso le MGF, con lorganizza-zione di dibattiti e incontri pubblici da parte di associazioni, enti locali, uni-versit, mentre in Parlamento venivano presentate alcune proposte di legge per arginare il fenomeno attraverso la penalizzazione.

bambine a rischio in Italia, attestato da numerosi media a 5.000 sen-za che questa informazione fosse supportata da adeguate ricerche statistiche oppure con descrizioni sommarie del fenomeno che non davano conto delle trasformazioni in corso in Africa e dei mutamenti che necessariamente attengono levolu-zione culturale e sociale.

Al fine di iniziare questo lavoro di formazione, che ci permetter di ve-dere pi da vicino il fenomeno nella sua complessit, con particolare at-tenzione al contesto della migrazione, questa attivit esplora quanto i/le partecipanti gi sanno delle mutilazio-ni dei genitali femminili, mettendolo a confronto con informazioni tratte da ricerche statistiche e qualitative sempre pi numerose a livello internazionale che permettono di meglio situare il fenomeno nella sua ampiezza e articolazione.

Perch questa attivitA? 2h

Programma del corso

Target:Personale socio-sanitario, mediatori/trici culturali, rappresentanti di comunit e associazioni africane e/o impegnate

nella migrazione

9:00-9:30

9:30-10:15

10:15-11:00

11:00-11:30

11:30-13:30

13:30-14:30

14:30-16:00

16:00-17:00

1_creare un ambiante favorevole all apprendilmento

2_presentarsi e conoscersi

3_esporre le proprie aspettative e stabilire un patto daula

pausa caff_

4_cosa sappiamo delle MGF/E?

pausa pranzo_

5_la costruzione identaria

6_i fondamenti dellidentit. differenza di genere e MGF/E

30 minuti

45 minuti

45 minuti

30 minuti

2 ore

1 ora

1 ora e 30 minuti

1 ora

R V L E R

GAILLARD DEBORAHPAULIS AUDREY

L'EXISTANT

Directeur dtudes:Yann Blanchi

Projet de fin dtudes darchitectureEcole Nationale Suprieure dArchitecture de GrenobleMaster Architecture Ambiances Cultures Numriques

20 Juin 2014

Ce projet de PFE avait pour sujet le traitement de lancien Centre de Recherche du Service de Sant des Armes, situ la Tronche, qui se librait en juin 2014. La question initiale que nous nous sommes pose tait que faire de lexistant?. Quand nombre de groupes saffranchissaient des bti-ments, des murs dj prsents, nous avons pris le parti den rutiliser, den rhabiliter afin de conserver le Genius Loci prsent tout en ouvrant ce lieu auparavant clos et secret, on rvle ce qui existe, on le rend la ville. De nombreux btiments alentour datant de la mme poque (dbut XXme)

En plus de travailler sur ce lieu ferm, nous travaillions sur un es-pace fractionn, aussi bien physiquement par des murs, quau niveau de ses usages, largement domin par la prsence des quipements de san-t, faisant face du logement, sans lieux de services, ni commerces. Au travers de la rappropriation du CRSSA, nous souhaitions donc crer un lien entre ces diffrents usages, redonner un dynamisme cette partie de la ville.

le dernier projet

Les fondements du projet

Contexte urbainLe C.R.S.S.A.

Hpital couple-enfant

Facult de mdecine Centre hospitalier


Contexte urbain

Habitat

quipement

Services

Parcs publics

CollectifIndividuel

SantducationSport et loisirsCultureIndustriel

Religieux

Commerces

Espaces vgtaliss

UsagesContexte urbain


Trame verTe

Espaces vgtaliss privs

Espaces vgtaliss publics

Public, privTrame verTe


Trame verTe

Espaces vgtaliss privs

Espaces vgtaliss publics

Public, privTrame verTe

Par ailleurs, le site prsente une prsence vgtale importante, renfor-ant le caractre cloisonn, secret des lieux, puisque ces arbres sont utilis en complment de murs. Des parcs publics existent, mais sont dissimuls, et de ce fait, on ne les connait pas.


Trame verTeTrame verTe

Notre intervention se basait donc sur la rha-bilitation de certains btiments, aprs tude et se-lection des plus pertinents. Est venu sajouter un programme neuf dhabitat semi collectif et linves-tissement de la partie sud de la parcelle pour crer de nouveaux usages, savoir un espace public ainsi que des commerces.


Bti existantLe CRSSA actuelBti existant

Habitat quipement ServicesCollectif Semi-collectif ducation Commerces Places

espaces publics

Dun caDre militaire un ensemble tuDiant

Genius Loci, la conversion des ambiances

Rsidence tudiante



Rsidence tudianteComment? Unerefontedesespacesintrieursenprservantetvalorisantlastructuredorigine.

Plan intial du btiment

Le projet que jai trait plus finement tait la conversion dun btiment militaire en rsidence tu-diante, avec une annexe comprenant un amphithtre ainsi quun restau-rant universitaire.



Rsidence tudianteComment? Unerefontedesespacesintrieursenprservantetvalorisantlastructuredorigine.

RR

RR

Plan du 3me tage de la rsidence

Chambres, espaces privs

Espaces communsDun caDre militaire un ensemble tuDiant


Rsidence tudiante



Rsidence tudiante



Rsidence tudiante

RR

RR

Des escpaces communs sont crs en partie nord du btiment ; les circulations organises en mezzanines deviennent des espaces de repos, lexposition en fait un lieu o la lumire est diffuse, sans blouisssement, propice un sjour de quelques heures, pour discuter, travailler....



Rsidence tudianteComment? Onconservelalignementetlimplantationdoriginedesbtiments,lextensionsefaitalorsparlinvestissementdestoitures,



Rsidence tudianteComment? Onconservelalignementetlimplantationdoriginedesbtiments,lextensionsefaitalorsparlinvestissementdestoitures,onlesremplacepardenouveauxtages.

On supprime les toitures esxistantes pour en faire de nouveaux tages ; la structure surdimenssionne dpoque permet cette transformation et permet de conserver un espace urbain vaste et clair au pied des btiments.



Rsidence tudiante

Coupe sur la terrasse sudToiture ferme, espace intrieur.



Rsidence tudiante

Coupe sur la terrasse sudToiture ouverte, espace extrieur

Dans ce nouvel tage sont crs dautres espaces communs, exposs au sud. Afin den profiter au maximum, ceux-ci sont modulables, ils peuvent tre clos comme une pice, ou tre largement ouverts, en faade et en toi-ture pour crer des espaces extrieurs. Une paroi vgtale vient crer une isolation thermique entre cet espace et la chambre attenante pour viter les surchauffes.



Rsidence tudianteComment? Onvientcrerunedoublepeauautourdubtiment,quivientcacher,suggrerourvlerlafaade.




En faade sud, les balcons, ultrieurs la construction du btiment, sont retirs puisquen trop mauvais tat. De nouveaux balcons plug sont ajouts, au travers dune structure mtal-lique ; Ces balcons sont communs aux chambres, et viennent servir de support une double peau, qui selon son degr dou-verture viendra dissimuler le btiment ou au contraire, le rvler.



Rsidence tudiante

stratgie de la double peau en t






Rsidence tudiante

stratgie de la double peau en hiver



Rsidence tudiante

stratgie de la double peau en mi-saisonDun caDre militaire un ensemble tuDiant


Rsidence tudiante

stratgie de la double peau en t

La double peau a ici gale-ment un but thermique. En hiver, elle vient capter les rayons du soleil pour crer une lame dair chaud, que lon tche de rpartir autour du btiment par un principe de thermosiphon.

En mi-saison, les lame inclinables des panneaux vitrs de la double peau permettent une aration naturelle.

En t, les panneaux vitrs peuvent tre largement ouverts afin de crer un epsace extrieur. Les balcons sont dimensionns afin de limiter lap-port solaire direct dans les chambres.



AnnexeDun caDre militaire un ensemble tuDiant


Annexe





Annexe





Annexe

Lamphithtreestunbatimentexistant.Afindecrerunlienaveclarsidencetudiante,onvientcrer lebtimentde larestaurationuni-versitaire.Celui-ci vient sinsrer entre un lment paysager amplifi etlesbtimentsexistants,lelongdelancienmurdenceinte.Dufaitdesafaiblehauteuretsaproximitaveclarsidence,desclairagesznithauxviennentcrerunapportlumineuxsupplmentaire.Latoituretantacces-sible,ceslanternauxdeviennentalorsdesassises.

68

situation initiale: le mur denceinte existant, et la plantation darbres rgulire.

le groupement dabres s t e n d j u s q u a u contact de la rsidence tudiante, en conser-vant son rythme.

lextension vgtale vient marquer lendroit de rupture du mur den-ceinte. On vient crer une rue en venant se greffer lamphithtre existant.

les nouveaux arbres viennent coloniser cet entre-deux tudiant, jusqu rejoindre les abres existants de lalle centrale du site.





Annexe

Un espace mixte


Un espace mixte






Annexe

La rsidence tudiante et ses annexes sont donc lies, le btiment de la rsidence est entirement traversable. Du fait de la dclivit du ter-rain, lentre de la rsidence se fait un niveau plus bas que la circulation publique au sein du site ; on vient ainsi crer une limite ouverte entre lespace tudiant et le reste de la parcelle. De plus, diverses stratgies pour un bon partage de cet espace pu-blic ont t envisages.

Un espace mixte


Un espace mixte


Les alles darbres pralablement pr-sentes viennent crer une protection visuelle entre la rsidence tudiante et leimmeuble dhabitation. De plus, des jardins sont crs en bordure de cet immeuble.

Un espace mixte


Les ambiances de lespace mixte:

Un espace mixte


Un espace mixte


Les arbres crent en plus dune protection visuelle une protection aux rayons solaires ; ils viennent crer un espace ombrag.

Lvapotranspira-tion des sols et des vg-taux viennent complter cette sensation de fra-cheur.

La prsence du v-gtal cre une impression subjective de modra-tion acoustique ; en effet, le vgtal vient rfracter les sons, surtout en par-tie haute proximit du feuillage, mais ne les af-faiblit pas. Cette lgre rfraction couple au bruit du vgtal lui-mme donne cette impression de baisse dintensit du son.

Un espace mixte


Un espace mixte


En hiver, on garde une certaine protection visuelle du fait de la prsence des nombreux branchages ;

Au contraire du feuillages, ces branches laissent passer la lu-mire, permettant no-tamment la double peau de la rsidence tudiante de capter les rayons. Le sol de cet es-pace est recouvert dune surface claire, rflchis-sante, afin daugmenter la luminosit ambiante du ieu.

Un espace mixte


Un espace mixte


Rsidence

Annexe Espace mixte Immeuble de logements

Louverture du site

CommerCes Logements semi-collectifs

Commerces en RDC

Mur denceinte abattuEmpreinte des anciens btiments

Espace tudiant

Finalits

InsertIon

Formes et textures

Ma principale mission tait de texturer les plans de tous les tages du btiment de la Fondation Vuitton, aprs quelques jours pour dchirer les plans et comprendre le projet. Ces plans avaient pour but de mieux faire com-prendre aux artistes rsidents la disposition des salles, les matriaux en place, et allaient tre intgrs une application iPad de navi-gation 3D au sein du muse.

Formes et textures

Stage de formation pratique effectu de fvrier 2014 juillet 2014 en alter-nance avec la prparation du PFE.

Jai effectu diverses missions, de la reprise de relev, au brainstorming dides pour le client, linitiation du dossier de permis de construire, mise en de plans en 3D... Ainsi que des missions pour le design de meubles et la marque Petsmood : normalisation des plans, cration de nouveaux plans, calcul de placages et pertes.

N de plan:

Ouvrage :

Titre:

Matre d'ouvrage:

Mme et Mr ***Architecte DPLG

Format :Echelle : N de projet :

Date :

Rvision:

0102 A3Plan option T2Phase : RDV:

IDEA ARCHITECTUREMarina Sciarrino

Amnagement ***Annecy

**** RN ** 74 12

Mail: [email protected], Tl: 09 72 16 68 181 avenue de Chevene, 74000 annecy

1:50

15/11/12

APS 01/09/2014

Pro

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20

petsmood

N de plan:

Ouvrage :

Titre:

Matre d'ouvrage:



Date :

Rvision:




**** RN ** 74 12


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APS 01/09/2014

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N de plan:

Ouvrage :

Titre:

Matre d'ouvrage:



Date :

Rvision:




**** RN ** 74 12


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15/11/12

APS 01/09/2014

Pro

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s.

N de plan:

Ouvrage :

Titre:

Architecte DPLG

MISK DESIGNtous droits rservs - confidentiel


Date :

Rvision:

DIV size 1page 1/8

A4Phase : MOD:

DIVANATO size 1

1000pre-fabPlans et coupes

Toutes les cotes sont en millimtres.

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04/12/2013

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24019

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B

C

B

CVUE DE DESSUS

VUE DE FACE

COUPE B-B

A A

COUPE A-ACOUPE C-C

C

C

N de plan:

Ouvrage :

Titre:

Architecte DPLG



Date :

Rvision:

DIV size 1page 5/8

A4Phase : MOD:

DIVANATO size 1

1000pre-fabAssemblage 2/2


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04/12/2013

25/06/2014

PHASE C vue arrire: Plaquage externeaprs assemblage du pied gauche et corps du meuble,les faces infrieures sont plaques avant l'assemblage

PHASE C: Placage externeaprs assemblage du pied gauche et corps du meuble,les faces infrieures sont plaques avant l'assemblage.

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23

N de plan:

Ouvrage :

Titre:

Architecte D

PLG

MIS

K D

ES

IGN

tous droits rservs - confidentiel

Format :

Echelle :

N de projet :

Date :

Rvision:

INT

page 5/7A

4C

olorsP

hase :M

OD

:

INTE

LLATO

pre-fab26/06/14

Toutes les cotes sont en millim

tres.

Prim

ary color / Couleur principale / C

olore principale

Secondary color / C

ouleur secondaire / Colore secondario

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RE

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UB

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Prim

ary color / Couleur principale / C

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IENTATIO

NR

EFEREN

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VERN

ISTYPE

wood

wood

cotton

VERN

IS20%

gloss, pore ouvert, biocomposant

ELEMEN

T

CO

LOR

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OR

DIN

ATION

OR

DER

ref:

ABC

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04/12/2013

surelevation de maison _ ... et plus

AprsunepriodedinterruptiondustagepourmieuxprparermonPFE,jesuis revenue lagenceet jaiprincipalement travaillsurunprojet -initialement-desurlvationdemaison,maisqui,lorsdemonabsence,sestcomplexifipourdevenirunprojetglobalsurlensembledelamaison.Cestsurceprojetquejaileplusapprisetgalementeuleplusderesponsabilits.

Initialement,leprojettaitdutiliserlescomblesdjpartiellementamnagsdelamaisonpourenfaireuntageaccueillantdiffrentsespaces,savoirunesuiteparentale,unespacedesport,unhomecinma,etunbureau.Deplus,lacharpentetantrefaire,onprenaitavantagedelasituationensurlevantlatoiture,permettantainsidecrerunehauteursuffisantepourcrerunemezzanine.Cettesurlvationtaitpossiblesanscontrainteautrequelastructureetlebudget,puisquelevillageosesitueleprojetnapasdePLU!

N de plan:

Ouvrage :

Titre:

Architecte DPLG



Date :

Rvision:

DIV size 1page 1/8

A4Phase : MOD:

DIVANATO size 1

1000pre-fabPlans et coupes


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04/12/2013

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B

C

B

CVUE DE DESSUS

VUE DE FACE

COUPE B-B

A A

COUPE A-ACOUPE C-C

C

C

N de plan:

Ouvrage :

Titre:

Architecte DPLG



Date :

Rvision:

DIV size 1page 5/8

A4Phase : MOD:

DIVANATO size 1

1000pre-fabAssemblage 2/2


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25/06/2014

PHASE C vue arrire: Plaquage externeaprs assemblage du pied gauche et corps du meuble,les faces infrieures sont plaques avant l'assemblage

PHASE C: Placage externeaprs assemblage du pied gauche et corps du meuble,les faces infrieures sont plaques avant l'assemblage.

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Travail sur une surlvation de maison, qui deviendra ensuite un travail sur toute la maison, la demande du client.

N de plan:

Ouvrage :

Titre:

Matre d'ouvrage:

Mme et Mr KirschmannArchitecte DPLG


Date :

Rvision:

0219 A3Vue extrieure 1Phase : RDV:


Surlvation maisonVilles

KIRS RN 40 01 13


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APD 08/07/2014

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N de plan:

Ouvrage :

Titre:

Matre d'ouvrage:



Date :

Rvision:

0301 A3Projet - RezPhase : RDV:



KIRS RN 40 01 13


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APD 08/09/2014

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Toute intervention sur les structures porteusesdevra tre soumise aux calculs d'un ingnieur structure

Sjour - Salle mangerS.:27,723 m2

CuisineS.:21,324 m2

EntreS.:12,848 m2

WCS.:1,494 m2

BuanderieS.:6,147 m2

SasS.:13,857 m2

AtelierS.:27,340 m2

ChaufferieS.:7,692 m2

CaveS.:23,606 m2

N de plan:

Ouvrage :

Titre:

Matre d'ouvrage:



Date :

Rvision:

0302 A3Projet - 1er tagePhase : RDV:



KIRS RN 40 01 13


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APD 08/09/2014

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12,554 m2512,554 m25

Salle d'eauS.:4,386 m2

WCS.:1,866 m2

Espace jeuxS.:20,853 m2

Salle d'eauS.:3,652 m2Bibliothque

S.:20,772 m2

Salle de bainsS.:8,157 m2

DgagementS.:14,471 m2

Chambre d'amisS.:18,965 m2

Chambre d'EliseS.:13,389 m2

Chambre de CassandreS.:16,702 m2

Chambre de LoS.:14,583 m2

N de plan:

Ouvrage :

Titre:

Matre d'ouvrage:



Date :

Rvision:

0302 A3Projet - 1er tagePhase : RDV:



KIRS RN 40 01 13


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APD 08/09/2014

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Salle d'eauS.:4,386 m2

WCS.:1,866 m2

Espace jeuxS.:20,853 m2

Salle d'eauS.:3,652 m2Bibliothque

S.:20,772 m2

Salle de bainsS.:8,157 m2

DgagementS.:14,471 m2

Chambre d'amisS.:18,965 m2

Chambre d'EliseS.:13,389 m2

Chambre de CassandreS.:16,702 m2

Chambre de LoS.:14,583 m2

N

de p

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15/1

1/12

AP

D08

/09/

2014

Proposition de projet en phase de mission faisabilit. Tous droits rservs.

Le plan n'est pas un plan d'excution, ni de permis de construire. Les entreprises sont tenues vrification technique des ctes.

Ralisations 3D partir dans le cadre dun cours, de 3DSmax, o nous de-vions mettre en scne un btiment. Ayant envie de ne pas faire une photo de catalogue comme tout le monde, cest lunivers des jeux vidos qui a inspir ces 3D.

portfolio audrey paulis, architecte de

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