maquettages sem2

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Des hypothèses sur ce que le lycée pourrait devenir demain, des petites idées issues de réflexions entendues, d’envies exprimées, autant de possibilités à questionner, d’avis à donner... Tous les commentaires et toutes les réactions sont les bienvenus. Pour suivre la résidence au jour le jour et faire part de vos commentaires : http://www.territoiresenresidences.net Rhône Alpes Quelques propositions, quelques scénarios possibles Et si... (version 2)

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Résidence au lycée Gabriel Fauré à AnnecyPrésentation du mardi soir de la 2ème semaineMaquettages et scénarios possibles

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Page 1: Maquettages sem2

Des hypothèses sur ce que le lycée pourrait devenir demain, des petites idées issues de réflexions entendues, d’envies exprimées, autant de possibilités à questionner, d’avis à donner...

Tous les commentaires et toutes les réactions sont les bienvenus. Pour suivre la résidence au jour le jour et faire part de vos commentaires :

http://www.territoiresenresidences.net

27èmeRégion

Rhône Alpes

Valléed'Ossau

Cantonde Lormes

Quelques propositions, quelques scénarios possibles

Et si... (version 2)

Page 2: Maquettages sem2

Et si chaque élève était parrainé ?

Le dernier prof arrivé pourrait parrainer le suivant ?

Marta est professeur d'espagnol et vient d'arriver au lycée Gabriel-Fauré. Elle est évidemment un peu égarée dans ce grand bâtiment. Susan, professeur d'anglais et marraine de Marta lui apprend l'exis-tence des escaliers au milieu de l'aile Rhône. Susan est arrivée il y a deux ans. Elle a un emploi du temps similaire à celui de Marta, ce qui lui permet de l'accompagner pour ses premières semaines au lycée.

Serge est le parrain de Sophie. Elle l'a contacté par le biais de l'a­che en salle des profs. Serge était le premier numéro de la liste. Maintenant que Sophie connaît le lycée. Elle inscrit son nom et numéro de téléphone en �n de liste et raye les coor-données de son parrain.

Marta est professeur d'espagnol et vient d'arriver au lycée Gabriel-Fauré. Elle est évidemment un peu égarée dans ce grand bâtiment. Susan, professeur d'anglais et marraine de Marta lui apprend l'exis-tence des escaliers au milieu de l'aile Rhône. Susan est arrivée il y a deux ans. Elle a un emploi du temps similaire à celui de Marta, ce qui lui permet de l'accompagner pour ses premières semaines au lycée.

Serge est le parrain de Sophie. Elle l'a contacté par le biais de l'a­che en salle des profs. Serge était le premier numéro de la liste. Maintenant que Sophie connaît le lycée. Elle inscrit son nom et numéro de téléphone en �n de liste et raye les coor-données de son parrain.

Page 3: Maquettages sem2

Et si l’expression publique était facilité ?

On pourrait donner le micro à tout le monde ?

Page 4: Maquettages sem2

Et si le foyer devenait un espace d’expérimentation libre ?

On pourrait partir du principe qu’il ne sera jamais «fini» ?

Marc est au lycée depuis 3 ans. Lorsqu’il est arrivé, il a découvert le « foyer en chantier. » En somme, un grand espace libre peu utilisé par les élèves. La semaine dernière, il faisait mauvais temps et lui et deux amis en ont marre, alors ils ont ramené un vieux canapé dont ses parents vou-laient se débarrasser. Ca n’a pas révolutionné l’espace mais ca pourrait donné des idées à cer-tains…

Page 5: Maquettages sem2

Ahmed et Sophie tentent de jouer aux cartes dans l’espace Gabriel Fauré. Mais une partie de baby-foot très animée les en empêche. Ils utilisent donc un des niveaux en carton disponible pour créer leur propre espace au sein de l'espace Fauré et se pro-téger du groupe.

Sidonie, Antoine et Marjolaine, membres du FSE, voudraient amé-nager une partie de l’espace Fauré en salle de réunion à demeure. Après avoir testé di�érentes solu-tions grâce à la topographie usable, ils décident d’investir dans un mo-bilier adapté à leur usage.

Hervé, professeur de français, souhaite faire jouer les petites pièces que ses élèves ont mis au point au cours d’ateliers d’écriture. Grâce aux niveaux en carton, ils mettent au point une petite salle de spectacle improvi-sée composée d’un gradin et d’une scène dans l’espace Fauré.

Matthieu et Arthur font partie du bureau d’organisation de la parade inter-lycées, qui travaille main dans la main avec le service de la Jeu-nesse et des Sports d’Annecy. Ils y consacrent beaucoup de temps : choix de la journée, mobilisation des élèves, coordination avec les services de police, organisation des stands de merguez…Il y a beau-coup de choses à passer en revue. Mais en �n de compte, c’est aussi l’occasion de passer du temps ensemble et de découvrir le plaisir qu’il y a à voir un projet dans lequel on s’est investi prendre forme.

Dans la foule rassemblée rue Sainte-Claire Anaïs aperçoit Jules. C’est son meilleur ami du collège, qui est parti au lycée à Berthollet tandis qu’elle est élève à Gabriel Fauré. Elle l'a à peine reconnu sous son déguisement. Retrouver ses amis de collège dans une am-biance de carnaval, voilà ce qu’elle aime avec la parade inter-lycées.

Isabelle n’avait pas revu Marie-Hélène depuis 15 ans ! Grâce à la parade inter-ly-cées, à laquelle est conviée la communauté d'anciens élèves dont elle fait partie, la voilà qui revit les riches heures de ses années au lycée Gabriel Fauré.

Le char décoré par les élèves de l’option arts plastiques du lycée Gabriel Fauré pour la parade inter-lycées fera date dans les annales de la ville. Objets de récup, couleurs déli-rantes, matériaux organiques...Annecy ne s’attendait pas à un tel choc visuel. Mais il est vrai que depuis que la parade inter-lycées a été instaurée, on est habitué à ce que le lycée Gabriel Fauré se distingue par la créativité de ses élèves.Marc est au lycée depuis 3 ans. Lorsqu’il est arrivé,

il a découvert le « foyer en chantier. » En somme, un grand espace libre peu utilisé par les élèves. La semaine dernière, il faisait mauvais temps et lui et deux amis en ont marre, alors ils ont ramené un vieux canapé dont ses parents vou-laient se débarrasser. Ca n’a pas révolutionné l’espace mais ca pourrait donné des idées à cer-tains…

Un groupe de premières a décidé de repeindre les murs de l'espace Fauré. Ils ont contacté le chef des travaux qui leur a prêté le matériel nécessaire pour la peinture. En trois jours, de 17h30 à 20h, ils se sont appropriés une partie du foyer. Leur projet restera en l'état pour les 3 mois à venir, avant d'être remplacé par un autre projet d'aménagement.

Delphine et Chloé veulent changer le mobilier de l'espace Fauré. A l'aide d'un dossier, elles ont convaincu le directeur de débloquer un petit budget qui va leur permettre d'investir dans une dizaine de tabourets.

Les contraintes et formalités d'un grand projet n'intéressent pas Marc et Benjamin. Un midi, ils ont laissé libre cour à leur imagination en proposant une fresque sur le mur tableau noir. Si le lendemain ou dans l'après-midi, d'autres lycéens sont allés emprunter les craie à la loge, ils auront peut-être la surprise de voir leur oeuvre interprétée par leurs camarades.

Ahmed et Sophie tentent de jouer aux cartes dans l’espace Gabriel Fauré. Mais une partie de baby-foot très animée les en empêche. Ils utilisent donc un des niveaux en carton disponible pour créer leur propre espace au sein de l'espace Fauré et se pro-téger du groupe.

Sidonie, Antoine et Marjolaine, membres du FSE, voudraient amé-nager une partie de l’espace Fauré en salle de réunion à demeure. Après avoir testé di�érentes solu-tions grâce à la topographie usable, ils décident d’investir dans un mo-bilier adapté à leur usage.

Hervé, professeur de français, souhaite faire jouer les petites pièces que ses élèves ont mis au point au cours d’ateliers d’écriture. Grâce aux niveaux en carton, ils mettent au point une petite salle de spectacle improvi-sée composée d’un gradin et d’une scène dans l’espace Fauré.

Matthieu et Arthur font partie du bureau d’organisation de la parade inter-lycées, qui travaille main dans la main avec le service de la Jeu-nesse et des Sports d’Annecy. Ils y consacrent beaucoup de temps : choix de la journée, mobilisation des élèves, coordination avec les services de police, organisation des stands de merguez…Il y a beau-coup de choses à passer en revue. Mais en �n de compte, c’est aussi l’occasion de passer du temps ensemble et de découvrir le plaisir qu’il y a à voir un projet dans lequel on s’est investi prendre forme.

Dans la foule rassemblée rue Sainte-Claire Anaïs aperçoit Jules. C’est son meilleur ami du collège, qui est parti au lycée à Berthollet tandis qu’elle est élève à Gabriel Fauré. Elle l'a à peine reconnu sous son déguisement. Retrouver ses amis de collège dans une am-biance de carnaval, voilà ce qu’elle aime avec la parade inter-lycées.

Isabelle n’avait pas revu Marie-Hélène depuis 15 ans ! Grâce à la parade inter-ly-cées, à laquelle est conviée la communauté d'anciens élèves dont elle fait partie, la voilà qui revit les riches heures de ses années au lycée Gabriel Fauré.

Le char décoré par les élèves de l’option arts plastiques du lycée Gabriel Fauré pour la parade inter-lycées fera date dans les annales de la ville. Objets de récup, couleurs déli-rantes, matériaux organiques...Annecy ne s’attendait pas à un tel choc visuel. Mais il est vrai que depuis que la parade inter-lycées a été instaurée, on est habitué à ce que le lycée Gabriel Fauré se distingue par la créativité de ses élèves.Marc est au lycée depuis 3 ans. Lorsqu’il est arrivé,

il a découvert le « foyer en chantier. » En somme, un grand espace libre peu utilisé par les élèves. La semaine dernière, il faisait mauvais temps et lui et deux amis en ont marre, alors ils ont ramené un vieux canapé dont ses parents vou-laient se débarrasser. Ca n’a pas révolutionné l’espace mais ca pourrait donné des idées à cer-tains…

Un groupe de premières a décidé de repeindre les murs de l'espace Fauré. Ils ont contacté le chef des travaux qui leur a prêté le matériel nécessaire pour la peinture. En trois jours, de 17h30 à 20h, ils se sont appropriés une partie du foyer. Leur projet restera en l'état pour les 3 mois à venir, avant d'être remplacé par un autre projet d'aménagement.

Delphine et Chloé veulent changer le mobilier de l'espace Fauré. A l'aide d'un dossier, elles ont convaincu le directeur de débloquer un petit budget qui va leur permettre d'investir dans une dizaine de tabourets.

Les contraintes et formalités d'un grand projet n'intéressent pas Marc et Benjamin. Un midi, ils ont laissé libre cour à leur imagination en proposant une fresque sur le mur tableau noir. Si le lendemain ou dans l'après-midi, d'autres lycéens sont allés emprunter les craie à la loge, ils auront peut-être la surprise de voir leur oeuvre interprétée par leurs camarades.

Ahmed et Sophie tentent de jouer aux cartes dans l’espace Gabriel Fauré. Mais une partie de baby-foot très animée les en empêche. Ils utilisent donc un des niveaux en carton disponible pour créer leur propre espace au sein de l'espace Fauré et se pro-téger du groupe.

Sidonie, Antoine et Marjolaine, membres du FSE, voudraient amé-nager une partie de l’espace Fauré en salle de réunion à demeure. Après avoir testé di�érentes solu-tions grâce à la topographie usable, ils décident d’investir dans un mo-bilier adapté à leur usage.

Hervé, professeur de français, souhaite faire jouer les petites pièces que ses élèves ont mis au point au cours d’ateliers d’écriture. Grâce aux niveaux en carton, ils mettent au point une petite salle de spectacle improvi-sée composée d’un gradin et d’une scène dans l’espace Fauré.

Matthieu et Arthur font partie du bureau d’organisation de la parade inter-lycées, qui travaille main dans la main avec le service de la Jeu-nesse et des Sports d’Annecy. Ils y consacrent beaucoup de temps : choix de la journée, mobilisation des élèves, coordination avec les services de police, organisation des stands de merguez…Il y a beau-coup de choses à passer en revue. Mais en �n de compte, c’est aussi l’occasion de passer du temps ensemble et de découvrir le plaisir qu’il y a à voir un projet dans lequel on s’est investi prendre forme.

Dans la foule rassemblée rue Sainte-Claire Anaïs aperçoit Jules. C’est son meilleur ami du collège, qui est parti au lycée à Berthollet tandis qu’elle est élève à Gabriel Fauré. Elle l'a à peine reconnu sous son déguisement. Retrouver ses amis de collège dans une am-biance de carnaval, voilà ce qu’elle aime avec la parade inter-lycées.

Isabelle n’avait pas revu Marie-Hélène depuis 15 ans ! Grâce à la parade inter-ly-cées, à laquelle est conviée la communauté d'anciens élèves dont elle fait partie, la voilà qui revit les riches heures de ses années au lycée Gabriel Fauré.

Le char décoré par les élèves de l’option arts plastiques du lycée Gabriel Fauré pour la parade inter-lycées fera date dans les annales de la ville. Objets de récup, couleurs déli-rantes, matériaux organiques...Annecy ne s’attendait pas à un tel choc visuel. Mais il est vrai que depuis que la parade inter-lycées a été instaurée, on est habitué à ce que le lycée Gabriel Fauré se distingue par la créativité de ses élèves.Marc est au lycée depuis 3 ans. Lorsqu’il est arrivé,

il a découvert le « foyer en chantier. » En somme, un grand espace libre peu utilisé par les élèves. La semaine dernière, il faisait mauvais temps et lui et deux amis en ont marre, alors ils ont ramené un vieux canapé dont ses parents vou-laient se débarrasser. Ca n’a pas révolutionné l’espace mais ca pourrait donné des idées à cer-tains…

Un groupe de premières a décidé de repeindre les murs de l'espace Fauré. Ils ont contacté le chef des travaux qui leur a prêté le matériel nécessaire pour la peinture. En trois jours, de 17h30 à 20h, ils se sont appropriés une partie du foyer. Leur projet restera en l'état pour les 3 mois à venir, avant d'être remplacé par un autre projet d'aménagement.

Delphine et Chloé veulent changer le mobilier de l'espace Fauré. A l'aide d'un dossier, elles ont convaincu le directeur de débloquer un petit budget qui va leur permettre d'investir dans une dizaine de tabourets.

Les contraintes et formalités d'un grand projet n'intéressent pas Marc et Benjamin. Un midi, ils ont laissé libre cour à leur imagination en proposant une fresque sur le mur tableau noir. Si le lendemain ou dans l'après-midi, d'autres lycéens sont allés emprunter les craie à la loge, ils auront peut-être la surprise de voir leur oeuvre interprétée par leurs camarades.

Page 6: Maquettages sem2

Et si on pouvait coller des affiches comme dans la rue ?

Il pourrait y avoir un espace pour ça ?

Louis, TES2 est content d'avoir en�n trouvé un espace pour coller les a�ches de son groupe. En�n, il n'est plus le tirage A4 dissimulé derrière les grandes a�ches de la journée kulte. Il a trouvé un mur sur lequel ses a�ches ont leur place. Un mur réservé aux tirages A4. (di�érents pan-neaux pour di�érents formats)

Page 7: Maquettages sem2

Et si chacun pouvait mesurer son impact sur le débit internet

du lycée ?

Page 8: Maquettages sem2

Et si on empruntait les«itinéraires bis» ?

On pourrait délester un peu «l’escalier du fond» ?

Page 9: Maquettages sem2

Et si on faisait la fête un jour dans l’année avec les autres lycées ?

On pourrait en profiter pour se rencontrer ?

Matthieu et Arthur font partie du bureau d’organisation de la parade inter-lycées, qui travaille main dans la main avec le service de la Jeu-nesse et des Sports d’Annecy. Ils y consacrent beaucoup de temps : choix de la journée, mobilisation des élèves, coordination avec les services de police, organisation des stands de merguez…Il y a beau-coup de choses à passer en revue. Mais en �n de compte, c’est aussi l’occasion de passer du temps ensemble et de découvrir le plaisir qu’il y a à voir un projet dans lequel on s’est investi prendre forme.

Dans la foule rassemblée rue Sainte-Claire Anaïs aperçoit Jules. C’est son meilleur ami du collège, qui est parti au lycée à Berthollet tandis qu’elle est élève à Gabriel Fauré. Elle l'a à peine reconnu sous son déguisement. Retrouver ses amis de collège dans une am-biance de carnaval, voilà ce qu’elle aime avec la parade inter-lycées.

Isabelle n’avait pas revu Marie-Hélène depuis 15 ans ! Grâce à la parade inter-ly-cées, à laquelle est conviée la communauté d'anciens élèves dont elle fait partie, la voilà qui revit les riches heures de ses années au lycée Gabriel Fauré.

Le char décoré par les élèves de l’option arts plastiques du lycée Gabriel Fauré pour la parade inter-lycées fera date dans les annales de la ville. Objets de récup, couleurs déli-rantes, matériaux organiques...Annecy ne s’attendait pas à un tel choc visuel. Mais il est vrai que depuis que la parade inter-lycées a été instaurée, on est habitué à ce que le lycée Gabriel Fauré se distingue par la créativité de ses élèves.

Matthieu et Arthur font partie du bureau d’organisation de la parade inter-lycées, qui travaille main dans la main avec le service de la Jeu-nesse et des Sports d’Annecy. Ils y consacrent beaucoup de temps : choix de la journée, mobilisation des élèves, coordination avec les services de police, organisation des stands de merguez…Il y a beau-coup de choses à passer en revue. Mais en �n de compte, c’est aussi l’occasion de passer du temps ensemble et de découvrir le plaisir qu’il y a à voir un projet dans lequel on s’est investi prendre forme.

Dans la foule rassemblée rue Sainte-Claire Anaïs aperçoit Jules. C’est son meilleur ami du collège, qui est parti au lycée à Berthollet tandis qu’elle est élève à Gabriel Fauré. Elle l'a à peine reconnu sous son déguisement. Retrouver ses amis de collège dans une am-biance de carnaval, voilà ce qu’elle aime avec la parade inter-lycées.

Isabelle n’avait pas revu Marie-Hélène depuis 15 ans ! Grâce à la parade inter-ly-cées, à laquelle est conviée la communauté d'anciens élèves dont elle fait partie, la voilà qui revit les riches heures de ses années au lycée Gabriel Fauré.

Le char décoré par les élèves de l’option arts plastiques du lycée Gabriel Fauré pour la parade inter-lycées fera date dans les annales de la ville. Objets de récup, couleurs déli-rantes, matériaux organiques...Annecy ne s’attendait pas à un tel choc visuel. Mais il est vrai que depuis que la parade inter-lycées a été instaurée, on est habitué à ce que le lycée Gabriel Fauré se distingue par la créativité de ses élèves.

Matthieu et Arthur font partie du bureau d’organisation de la parade inter-lycées, qui travaille main dans la main avec le service de la Jeu-nesse et des Sports d’Annecy. Ils y consacrent beaucoup de temps : choix de la journée, mobilisation des élèves, coordination avec les services de police, organisation des stands de merguez…Il y a beau-coup de choses à passer en revue. Mais en �n de compte, c’est aussi l’occasion de passer du temps ensemble et de découvrir le plaisir qu’il y a à voir un projet dans lequel on s’est investi prendre forme.

Dans la foule rassemblée rue Sainte-Claire Anaïs aperçoit Jules. C’est son meilleur ami du collège, qui est parti au lycée à Berthollet tandis qu’elle est élève à Gabriel Fauré. Elle l'a à peine reconnu sous son déguisement. Retrouver ses amis de collège dans une am-biance de carnaval, voilà ce qu’elle aime avec la parade inter-lycées.

Isabelle n’avait pas revu Marie-Hélène depuis 15 ans ! Grâce à la parade inter-ly-cées, à laquelle est conviée la communauté d'anciens élèves dont elle fait partie, la voilà qui revit les riches heures de ses années au lycée Gabriel Fauré.

Le char décoré par les élèves de l’option arts plastiques du lycée Gabriel Fauré pour la parade inter-lycées fera date dans les annales de la ville. Objets de récup, couleurs déli-rantes, matériaux organiques...Annecy ne s’attendait pas à un tel choc visuel. Mais il est vrai que depuis que la parade inter-lycées a été instaurée, on est habitué à ce que le lycée Gabriel Fauré se distingue par la créativité de ses élèves.

Page 10: Maquettages sem2

Et si la signalétique questionnait en même temps qu’elle informait ?

Page 11: Maquettages sem2

Au CDI, l’étagère de retour des livres est organisée en catégories qui correspondent aux impressions de lecture des lycéens : « intéressant », « drôle », « ennuyeux »…Cette catégorisation imite le principe du "tagging", mais sans recours immédiat à la technologie.Des marques pages souples sont inclus dans les livres de manière à  xer l’impression du moment avant de les remettre dans le circuit standard de classi cation.A n de garder une traçabilité les documentalistes entrent ensuite ces tags dans leur base de données.

Marta est professeur d'espagnol et vient d'arriver au lycée Gabriel-Fauré. Elle est évidemment un peu égarée dans ce grand bâtiment. Susan, professeur d'anglais et marraine de Marta lui apprend l'exis-tence des escaliers au milieu de l'aile Rhône. Susan est arrivée il y a deux ans. Elle a un emploi du temps similaire à celui de Marta, ce qui lui permet de l'accompagner pour ses premières semaines au lycée.

Serge est le parrain de Sophie. Elle l'a contacté par le biais de l'a�che en salle des profs. Serge était le premier numéro de la liste. Maintenant que Sophie connaît le lycée. Elle inscrit son nom et numéro de téléphone en  n de liste et raye les coor-données de son parrain.

Xavier, Vincent, Théo, Hugo, Samuel et Rémi ont décidé de manger sur la table de dix mètres qui se trouve dans la cour de récré. Toutes les semaines, le jeudi matin, ils arri-vent avec leur repas dans le sac et pro tent du soleil en mangeant dehors. "C'est plus confortable qu'un banc et moins lent qu'au self."

La grande table a son propre groupe Face-book. Chaque midi, les élèves prennent une photo et la di�usent le soir-même sur le groupe.La table du lycée Gabriel Fauré compte même dans ses fans des lycéens de Baude-laire, de Saint-Michel et de Berthollet. Elle s'est faite une réputation et est devenue un lieu de rencontre privilégié des lycéens.

Pierre, prof fraîchement débarqué à Gabriel Fauré, discute avec son collègue Laurent à la machine à café. Il a pu l’identi er grâce au trom-binoscope a�ché sur le devant de la machine. A son tour, grâce à un polaroïd mis à disposition en salle du personnel, Pierre est pris en photo prenant son café. Ce portrait sera accompagné de son nom et prendra sa place parmi les autres photos du personnel du lycée.

Le jour des photos de classe, le photographe attitré de l’école fait dans la foulée des portraits du personnel en train de prendre leur café.

La blondinette sur la machine à café a disparu. Elle a été remplacée par un trombinoscope géant de tous les professeurs. Isabelle n'aime pas trop se voir en photo mais maintenant, elle connaît la tête de tous ses collègues.

Louis, TES2 est content d'avoir en n trou-ver un espace pour coller les a�ches de son groupe. En n, il n'est plus le tirage A4 dissimulé derrière les grandes a�ches de la journée kulte. Il a trouvé un mur sur lequel ses a�ches ont leur place. Un mur réservé aux tirages A4. (di�érents pan-neaux pour di�érents formats)

A l’initiative du professeur d’arts plastiques, Sonia et ses camarades de classe ont mis au point une signalétique alter-native qui o�re une autre perception des couloirs du lycée.Des ¤èches et des panneaux, au lieu d'indiquer des direc-tions, questionnent le rapport particulier que les lycéens entretiennent avec le bâtiment. "Entrée des moutons" peut-on lire au pied du grand escalier...

Dans le couloir du lycée, il y une plaque de rue peinte à la peinture ardoise, destinée à être remplie par les élèves.Aurélie a pris une craie dans sa trousse. C’est décidé, elle va changer le nom du couloir situé entre la R206 et l’escalier d’échange Rhône Thiou. Demain, ce sera peut-être Romain qui rebaptisera cette rue.

Elio et Christopher, élèves musiciens, ont composé une sonnerie alternative. Elle marque la pause de midi et la  n des cours. Le mois prochain, elle sera remplacée par celle d’Elise et Manon.Ce système suppose un système de hauts parleurs dans tout le lycée.

Amine est rentré en seconde au lycée Gabriel Fauré il y a deux jours. Cet après-midi, il doit rejoindre un camarade en salle d’audio mais il n'a aucune idée d'où elle se trouve. Grâce aux itinéraires qui sont inscrits sur les murs du lycée comme des  ls d'Ariane, Amine retrouve son chemin. Grâce aux indications sous forme de "tags" qui sont placés sur les murs, il découvre que cette salle a été baptisée « la grotte » par les élèves.

Page 12: Maquettages sem2

Au CDI, l’étagère de retour des livres est organisée en catégories qui correspondent aux impressions de lecture des lycéens : « intéressant », « drôle », « ennuyeux »…Cette catégorisation imite le principe du "tagging", mais sans recours immédiat à la technologie.Des marques pages souples sont inclus dans les livres de manière à  xer l’impression du moment avant de les remettre dans le circuit standard de classi cation.A n de garder une traçabilité les documentalistes entrent ensuite ces tags dans leur base de données.

Marta est professeur d'espagnol et vient d'arriver au lycée Gabriel-Fauré. Elle est évidemment un peu égarée dans ce grand bâtiment. Susan, professeur d'anglais et marraine de Marta lui apprend l'exis-tence des escaliers au milieu de l'aile Rhône. Susan est arrivée il y a deux ans. Elle a un emploi du temps similaire à celui de Marta, ce qui lui permet de l'accompagner pour ses premières semaines au lycée.

Serge est le parrain de Sophie. Elle l'a contacté par le biais de l'a�che en salle des profs. Serge était le premier numéro de la liste. Maintenant que Sophie connaît le lycée. Elle inscrit son nom et numéro de téléphone en  n de liste et raye les coor-données de son parrain.

Xavier, Vincent, Théo, Hugo, Samuel et Rémi ont décidé de manger sur la table de dix mètres qui se trouve dans la cour de récré. Toutes les semaines, le jeudi matin, ils arri-vent avec leur repas dans le sac et pro tent du soleil en mangeant dehors. "C'est plus confortable qu'un banc et moins lent qu'au self."

La grande table a son propre groupe Face-book. Chaque midi, les élèves prennent une photo et la di�usent le soir-même sur le groupe.La table du lycée Gabriel Fauré compte même dans ses fans des lycéens de Baude-laire, de Saint-Michel et de Berthollet. Elle s'est faite une réputation et est devenue un lieu de rencontre privilégié des lycéens.

Pierre, prof fraîchement débarqué à Gabriel Fauré, discute avec son collègue Laurent à la machine à café. Il a pu l’identi er grâce au trom-binoscope a�ché sur le devant de la machine. A son tour, grâce à un polaroïd mis à disposition en salle du personnel, Pierre est pris en photo prenant son café. Ce portrait sera accompagné de son nom et prendra sa place parmi les autres photos du personnel du lycée.

Le jour des photos de classe, le photographe attitré de l’école fait dans la foulée des portraits du personnel en train de prendre leur café.

La blondinette sur la machine à café a disparu. Elle a été remplacée par un trombinoscope géant de tous les professeurs. Isabelle n'aime pas trop se voir en photo mais maintenant, elle connaît la tête de tous ses collègues.

Louis, TES2 est content d'avoir en n trou-ver un espace pour coller les a�ches de son groupe. En n, il n'est plus le tirage A4 dissimulé derrière les grandes a�ches de la journée kulte. Il a trouvé un mur sur lequel ses a�ches ont leur place. Un mur réservé aux tirages A4. (di�érents pan-neaux pour di�érents formats)

A l’initiative du professeur d’arts plastiques, Sonia et ses camarades de classe ont mis au point une signalétique alter-native qui o�re une autre perception des couloirs du lycée.Des ¤èches et des panneaux, au lieu d'indiquer des direc-tions, questionnent le rapport particulier que les lycéens entretiennent avec le bâtiment. "Entrée des moutons" peut-on lire au pied du grand escalier...

Dans le couloir du lycée, il y une plaque de rue peinte à la peinture ardoise, destinée à être remplie par les élèves.Aurélie a pris une craie dans sa trousse. C’est décidé, elle va changer le nom du couloir situé entre la R206 et l’escalier d’échange Rhône Thiou. Demain, ce sera peut-être Romain qui rebaptisera cette rue.

Elio et Christopher, élèves musiciens, ont composé une sonnerie alternative. Elle marque la pause de midi et la  n des cours. Le mois prochain, elle sera remplacée par celle d’Elise et Manon.Ce système suppose un système de hauts parleurs dans tout le lycée.

Amine est rentré en seconde au lycée Gabriel Fauré il y a deux jours. Cet après-midi, il doit rejoindre un camarade en salle d’audio mais il n'a aucune idée d'où elle se trouve. Grâce aux itinéraires qui sont inscrits sur les murs du lycée comme des  ls d'Ariane, Amine retrouve son chemin. Grâce aux indications sous forme de "tags" qui sont placés sur les murs, il découvre que cette salle a été baptisée « la grotte » par les élèves.

Au CDI, l’étagère de retour des livres est organisée en catégories qui correspondent aux impressions de lecture des lycéens : « intéressant », « drôle », « ennuyeux »…Cette catégorisation imite le principe du "tagging", mais sans recours immédiat à la technologie.Des marques pages souples sont inclus dans les livres de manière à  xer l’impression du moment avant de les remettre dans le circuit standard de classi cation.A n de garder une traçabilité les documentalistes entrent ensuite ces tags dans leur base de données.

Marta est professeur d'espagnol et vient d'arriver au lycée Gabriel-Fauré. Elle est évidemment un peu égarée dans ce grand bâtiment. Susan, professeur d'anglais et marraine de Marta lui apprend l'exis-tence des escaliers au milieu de l'aile Rhône. Susan est arrivée il y a deux ans. Elle a un emploi du temps similaire à celui de Marta, ce qui lui permet de l'accompagner pour ses premières semaines au lycée.

Serge est le parrain de Sophie. Elle l'a contacté par le biais de l'a�che en salle des profs. Serge était le premier numéro de la liste. Maintenant que Sophie connaît le lycée. Elle inscrit son nom et numéro de téléphone en  n de liste et raye les coor-données de son parrain.

Xavier, Vincent, Théo, Hugo, Samuel et Rémi ont décidé de manger sur la table de dix mètres qui se trouve dans la cour de récré. Toutes les semaines, le jeudi matin, ils arri-vent avec leur repas dans le sac et pro tent du soleil en mangeant dehors. "C'est plus confortable qu'un banc et moins lent qu'au self."

La grande table a son propre groupe Face-book. Chaque midi, les élèves prennent une photo et la di�usent le soir-même sur le groupe.La table du lycée Gabriel Fauré compte même dans ses fans des lycéens de Baude-laire, de Saint-Michel et de Berthollet. Elle s'est faite une réputation et est devenue un lieu de rencontre privilégié des lycéens.

Pierre, prof fraîchement débarqué à Gabriel Fauré, discute avec son collègue Laurent à la machine à café. Il a pu l’identi er grâce au trom-binoscope a�ché sur le devant de la machine. A son tour, grâce à un polaroïd mis à disposition en salle du personnel, Pierre est pris en photo prenant son café. Ce portrait sera accompagné de son nom et prendra sa place parmi les autres photos du personnel du lycée.

Le jour des photos de classe, le photographe attitré de l’école fait dans la foulée des portraits du personnel en train de prendre leur café.

La blondinette sur la machine à café a disparu. Elle a été remplacée par un trombinoscope géant de tous les professeurs. Isabelle n'aime pas trop se voir en photo mais maintenant, elle connaît la tête de tous ses collègues.

Louis, TES2 est content d'avoir en n trou-ver un espace pour coller les a�ches de son groupe. En n, il n'est plus le tirage A4 dissimulé derrière les grandes a�ches de la journée kulte. Il a trouvé un mur sur lequel ses a�ches ont leur place. Un mur réservé aux tirages A4. (di�érents pan-neaux pour di�érents formats)

A l’initiative du professeur d’arts plastiques, Sonia et ses camarades de classe ont mis au point une signalétique alter-native qui o�re une autre perception des couloirs du lycée.Des ¤èches et des panneaux, au lieu d'indiquer des direc-tions, questionnent le rapport particulier que les lycéens entretiennent avec le bâtiment. "Entrée des moutons" peut-on lire au pied du grand escalier...

Dans le couloir du lycée, il y une plaque de rue peinte à la peinture ardoise, destinée à être remplie par les élèves.Aurélie a pris une craie dans sa trousse. C’est décidé, elle va changer le nom du couloir situé entre la R206 et l’escalier d’échange Rhône Thiou. Demain, ce sera peut-être Romain qui rebaptisera cette rue.

Elio et Christopher, élèves musiciens, ont composé une sonnerie alternative. Elle marque la pause de midi et la  n des cours. Le mois prochain, elle sera remplacée par celle d’Elise et Manon.Ce système suppose un système de hauts parleurs dans tout le lycée.

Amine est rentré en seconde au lycée Gabriel Fauré il y a deux jours. Cet après-midi, il doit rejoindre un camarade en salle d’audio mais il n'a aucune idée d'où elle se trouve. Grâce aux itinéraires qui sont inscrits sur les murs du lycée comme des  ls d'Ariane, Amine retrouve son chemin. Grâce aux indications sous forme de "tags" qui sont placés sur les murs, il découvre que cette salle a été baptisée « la grotte » par les élèves.

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Et si on se servait de la machine à café comme d’un trombinoscope ?

Ca pourrait être mieux qu’une blonde anonyme ?

Pierre, prof fraîchement débarqué à Gabriel Fauré, discute avec son collègue Laurent à la machine à café. Il a pu l’identi�er grâce au trom-binoscope a�ché sur le devant de la machine. A son tour, grâce à un polaroïd mis à disposition en salle du personnel, Pierre est pris en photo prenant son café. Ce portrait sera accompagné de son nom et prendra sa place parmi les autres photos du personnel du lycée.

Le jour des photos de classe, le photographe attitré de l’école fait dans la foulée des portraits du personnel en train de prendre leur café.

La blondinette sur la machine à café a disparu. Elle a été remplacée par un trombinoscope géant de tous les professeurs. Isabelle n'aime pas trop se voir en photo mais maintenant, elle connaît la tête de tous ses collègues.

Pierre, prof fraîchement débarqué à Gabriel Fauré, discute avec son collègue Laurent à la machine à café. Il a pu l’identi�er grâce au trom-binoscope a�ché sur le devant de la machine. A son tour, grâce à un polaroïd mis à disposition en salle du personnel, Pierre est pris en photo prenant son café. Ce portrait sera accompagné de son nom et prendra sa place parmi les autres photos du personnel du lycée.

Le jour des photos de classe, le photographe attitré de l’école fait dans la foulée des portraits du personnel en train de prendre leur café.

La blondinette sur la machine à café a disparu. Elle a été remplacée par un trombinoscope géant de tous les professeurs. Isabelle n'aime pas trop se voir en photo mais maintenant, elle connaît la tête de tous ses collègues.

Pierre, prof fraîchement débarqué à Gabriel Fauré, discute avec son collègue Laurent à la machine à café. Il a pu l’identi�er grâce au trom-binoscope a�ché sur le devant de la machine. A son tour, grâce à un polaroïd mis à disposition en salle du personnel, Pierre est pris en photo prenant son café. Ce portrait sera accompagné de son nom et prendra sa place parmi les autres photos du personnel du lycée.

Le jour des photos de classe, le photographe attitré de l’école fait dans la foulée des portraits du personnel en train de prendre leur café.

La blondinette sur la machine à café a disparu. Elle a été remplacée par un trombinoscope géant de tous les professeurs. Isabelle n'aime pas trop se voir en photo mais maintenant, elle connaît la tête de tous ses collègues.

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Et si on repassait à taille humaine ?

On pourrait considérer qu’il y a3 lycées en 1 ?

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Et si on s’asseyait tous autour d’une grande table ?

On pourrait préférer une grande table collective à des petits bancs

éparpillés ?

Xavier, Vincent, Théo, Hugo, Samuel et Rémi ont décidé de manger sur la table de dix mètres qui se trouve dans la cour de récré. Toutes les semaines, le jeudi matin, ils arri-vent avec leur repas dans le sac et pro�tent du soleil en mangeant dehors. "C'est plus confortable qu'un banc et moins lent qu'au self."

La grande table a son propre groupe Face-book. Chaque midi, les élèves prennent une photo et la di�usent le soir-même sur le groupe.La table du lycée Gabriel Fauré compte même dans ses fans des lycéens de Baude-laire, de Saint-Michel et de Berthollet. Elle s'est faite une réputation et est devenue un lieu de rencontre privilégié des lycéens.

Xavier, Vincent, Théo, Hugo, Samuel et Rémi ont décidé de manger sur la table de dix mètres qui se trouve dans la cour de récré. Toutes les semaines, le jeudi matin, ils arri-vent avec leur repas dans le sac et pro�tent du soleil en mangeant dehors. "C'est plus confortable qu'un banc et moins lent qu'au self."

La grande table a son propre groupe Face-book. Chaque midi, les élèves prennent une photo et la di�usent le soir-même sur le groupe.La table du lycée Gabriel Fauré compte même dans ses fans des lycéens de Baude-laire, de Saint-Michel et de Berthollet. Elle s'est faite une réputation et est devenue un lieu de rencontre privilégié des lycéens.

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Au CDI, l’étagère de retour des livres est organisée en catégories qui correspondent aux impressions de lecture des lycéens : « intéressant », « drôle », « ennuyeux »…Cette catégorisation imite le principe du "tagging", mais sans recours immédiat à la technologie.Des marques pages souples sont inclus dans les livres de manière à  xer l’impression du moment avant de les remettre dans le circuit standard de classi cation.A n de garder une traçabilité les documentalistes entrent ensuite ces tags dans leur base de données.

Marta est professeur d'espagnol et vient d'arriver au lycée Gabriel-Fauré. Elle est évidemment un peu égarée dans ce grand bâtiment. Susan, professeur d'anglais et marraine de Marta lui apprend l'exis-tence des escaliers au milieu de l'aile Rhône. Susan est arrivée il y a deux ans. Elle a un emploi du temps similaire à celui de Marta, ce qui lui permet de l'accompagner pour ses premières semaines au lycée.

Serge est le parrain de Sophie. Elle l'a contacté par le biais de l'a�che en salle des profs. Serge était le premier numéro de la liste. Maintenant que Sophie connaît le lycée. Elle inscrit son nom et numéro de téléphone en  n de liste et raye les coor-données de son parrain.

Xavier, Vincent, Théo, Hugo, Samuel et Rémi ont décidé de manger sur la table de dix mètres qui se trouve dans la cour de récré. Toutes les semaines, le jeudi matin, ils arri-vent avec leur repas dans le sac et pro tent du soleil en mangeant dehors. "C'est plus confortable qu'un banc et moins lent qu'au self."

La grande table a son propre groupe Face-book. Chaque midi, les élèves prennent une photo et la di�usent le soir-même sur le groupe.La table du lycée Gabriel Fauré compte même dans ses fans des lycéens de Baude-laire, de Saint-Michel et de Berthollet. Elle s'est faite une réputation et est devenue un lieu de rencontre privilégié des lycéens.

Pierre, prof fraîchement débarqué à Gabriel Fauré, discute avec son collègue Laurent à la machine à café. Il a pu l’identi er grâce au trom-binoscope a�ché sur le devant de la machine. A son tour, grâce à un polaroïd mis à disposition en salle du personnel, Pierre est pris en photo prenant son café. Ce portrait sera accompagné de son nom et prendra sa place parmi les autres photos du personnel du lycée.

Le jour des photos de classe, le photographe attitré de l’école fait dans la foulée des portraits du personnel en train de prendre leur café.

La blondinette sur la machine à café a disparu. Elle a été remplacée par un trombinoscope géant de tous les professeurs. Isabelle n'aime pas trop se voir en photo mais maintenant, elle connaît la tête de tous ses collègues.

Louis, TES2 est content d'avoir en n trou-ver un espace pour coller les a�ches de son groupe. En n, il n'est plus le tirage A4 dissimulé derrière les grandes a�ches de la journée kulte. Il a trouvé un mur sur lequel ses a�ches ont leur place. Un mur réservé aux tirages A4. (di�érents pan-neaux pour di�érents formats)

A l’initiative du professeur d’arts plastiques, Sonia et ses camarades de classe ont mis au point une signalétique alter-native qui o�re une autre perception des couloirs du lycée.Des ¤èches et des panneaux, au lieu d'indiquer des direc-tions, questionnent le rapport particulier que les lycéens entretiennent avec le bâtiment. "Entrée des moutons" peut-on lire au pied du grand escalier...

Dans le couloir du lycée, il y une plaque de rue peinte à la peinture ardoise, destinée à être remplie par les élèves.Aurélie a pris une craie dans sa trousse. C’est décidé, elle va changer le nom du couloir situé entre la R206 et l’escalier d’échange Rhône Thiou. Demain, ce sera peut-être Romain qui rebaptisera cette rue.

Elio et Christopher, élèves musiciens, ont composé une sonnerie alternative. Elle marque la pause de midi et la  n des cours. Le mois prochain, elle sera remplacée par celle d’Elise et Manon.Ce système suppose un système de hauts parleurs dans tout le lycée.

Amine est rentré en seconde au lycée Gabriel Fauré il y a deux jours. Cet après-midi, il doit rejoindre un camarade en salle d’audio mais il n'a aucune idée d'où elle se trouve. Grâce aux itinéraires qui sont inscrits sur les murs du lycée comme des  ls d'Ariane, Amine retrouve son chemin. Grâce aux indications sous forme de "tags" qui sont placés sur les murs, il découvre que cette salle a été baptisée « la grotte » par les élèves.

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Au CDI, l’étagère de retour des livres est organisée en catégories qui correspondent aux impressions de lecture des lycéens : « intéressant », « drôle », « ennuyeux »…Cette catégorisation imite le principe du "tagging", mais sans recours immédiat à la technologie.Des marques pages souples sont inclus dans les livres de manière à  xer l’impression du moment avant de les remettre dans le circuit standard de classi cation.A n de garder une traçabilité les documentalistes entrent ensuite ces tags dans leur base de données.

Marta est professeur d'espagnol et vient d'arriver au lycée Gabriel-Fauré. Elle est évidemment un peu égarée dans ce grand bâtiment. Susan, professeur d'anglais et marraine de Marta lui apprend l'exis-tence des escaliers au milieu de l'aile Rhône. Susan est arrivée il y a deux ans. Elle a un emploi du temps similaire à celui de Marta, ce qui lui permet de l'accompagner pour ses premières semaines au lycée.

Serge est le parrain de Sophie. Elle l'a contacté par le biais de l'a�che en salle des profs. Serge était le premier numéro de la liste. Maintenant que Sophie connaît le lycée. Elle inscrit son nom et numéro de téléphone en  n de liste et raye les coor-données de son parrain.

Xavier, Vincent, Théo, Hugo, Samuel et Rémi ont décidé de manger sur la table de dix mètres qui se trouve dans la cour de récré. Toutes les semaines, le jeudi matin, ils arri-vent avec leur repas dans le sac et pro tent du soleil en mangeant dehors. "C'est plus confortable qu'un banc et moins lent qu'au self."

La grande table a son propre groupe Face-book. Chaque midi, les élèves prennent une photo et la di�usent le soir-même sur le groupe.La table du lycée Gabriel Fauré compte même dans ses fans des lycéens de Baude-laire, de Saint-Michel et de Berthollet. Elle s'est faite une réputation et est devenue un lieu de rencontre privilégié des lycéens.

Pierre, prof fraîchement débarqué à Gabriel Fauré, discute avec son collègue Laurent à la machine à café. Il a pu l’identi er grâce au trom-binoscope a�ché sur le devant de la machine. A son tour, grâce à un polaroïd mis à disposition en salle du personnel, Pierre est pris en photo prenant son café. Ce portrait sera accompagné de son nom et prendra sa place parmi les autres photos du personnel du lycée.

Le jour des photos de classe, le photographe attitré de l’école fait dans la foulée des portraits du personnel en train de prendre leur café.

La blondinette sur la machine à café a disparu. Elle a été remplacée par un trombinoscope géant de tous les professeurs. Isabelle n'aime pas trop se voir en photo mais maintenant, elle connaît la tête de tous ses collègues.

Louis, TES2 est content d'avoir en n trou-ver un espace pour coller les a�ches de son groupe. En n, il n'est plus le tirage A4 dissimulé derrière les grandes a�ches de la journée kulte. Il a trouvé un mur sur lequel ses a�ches ont leur place. Un mur réservé aux tirages A4. (di�érents pan-neaux pour di�érents formats)

A l’initiative du professeur d’arts plastiques, Sonia et ses camarades de classe ont mis au point une signalétique alter-native qui o�re une autre perception des couloirs du lycée.Des ¤èches et des panneaux, au lieu d'indiquer des direc-tions, questionnent le rapport particulier que les lycéens entretiennent avec le bâtiment. "Entrée des moutons" peut-on lire au pied du grand escalier...

Dans le couloir du lycée, il y une plaque de rue peinte à la peinture ardoise, destinée à être remplie par les élèves.Aurélie a pris une craie dans sa trousse. C’est décidé, elle va changer le nom du couloir situé entre la R206 et l’escalier d’échange Rhône Thiou. Demain, ce sera peut-être Romain qui rebaptisera cette rue.

Elio et Christopher, élèves musiciens, ont composé une sonnerie alternative. Elle marque la pause de midi et la  n des cours. Le mois prochain, elle sera remplacée par celle d’Elise et Manon.Ce système suppose un système de hauts parleurs dans tout le lycée.

Amine est rentré en seconde au lycée Gabriel Fauré il y a deux jours. Cet après-midi, il doit rejoindre un camarade en salle d’audio mais il n'a aucune idée d'où elle se trouve. Grâce aux itinéraires qui sont inscrits sur les murs du lycée comme des  ls d'Ariane, Amine retrouve son chemin. Grâce aux indications sous forme de "tags" qui sont placés sur les murs, il découvre que cette salle a été baptisée « la grotte » par les élèves.