ma femme jouet

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1 Ma Femme Jouet... Mon patron fait de ma femme, son jouet sexuel J’étais piégé. J’avais dû régler plusieurs factures dont l’hypothèque de la maison et, pour faire face j’avais détourné de l’argent de ma compagnie. J’avais l’intention de rembourser d’une manière ou d’une autre, je ne m’en faisais pas pour cela, j’avais assaini notre situation, tous nos dettes étaient réglées, rien que des bonnes nouvelles. C’est alors que mon patron découvrit le pot aux roses. Daniel me passa un coup de fil un après-midi, me demandant de passer à son bureau. Il n’avait jamais fait cela, aussi dès ce moment j’eus peu qu’il n’ait découvert mes malversations. Et en fait, il les avait constatées. Il me dit qu’il pourrait me faire arrêter, mais qu’il voulait me donner une chance, mais je devais rembourser la totalité des fonds détournés très rapidement. Je n’avais aucun moyen de le rembourser intégralement sur-le-champ. Daniel jubilait, il me renvoya à mon travail m’informant qu’il me rappellerait plus tard. Il le fit une longue paire d’heures plus tard. – En rentrant chez toi ce soir, tu raconteras à ta femme ce que tu as fait ! ... Je passerai vous voir à 19 heures et nous discuterons tous trois de la situation ! ... J’ai un plan qui devrait nous satisfaire tous trois ! ... Je rentrai chez moi vers 17 heures et demi, Djamila était déjà là, je lui racontais tout. Elle était furieuse après moi, j’essayais de lui démontrer que c’était le seul moyen de garder notre maison, mais elle se contentait de crier. Nous avions terriblement peur que je sois arrêté, que je perde mon boulot et que je me retrouve en taule. Daniel arriva à 19 heures pétantes. Il s’assit avec nous à la table du salon. – J’ai un plan... commença-t-il – Cela te permettrait d’éviter la prison, de garder ton boulot si tu es l’acceptes et que tu suives désormais mes directives ! .... – Bien sûr ! ... Nous ferons n’importe quoi pour... avons-nous répondu tous deux en chœur. – J’adore cette attitude ! ... Elle te permettra d’éviter de te retrouver en taule ! .... J’ai de solides preuves contre toi ! ... Je les transmettrai à la police demain matin si vous refusez mes conditions ! ... Nous étions toutes oreilles, aussi Daniel annonça alors : – Je rembourserai graduellement la somme totale que tu as détournée, mois après mois, jusqu’à ce que tout soit réglé... Je déciderai moi-même de la somme que je rembourserai chaque mois et tu déposeras la somme sur le compte de la compagnie, afin que rien ne puisse me relier à cette affaire ! ... Je te rendrai toutes les preuves prouvant ton forfait lorsque tout sera remboursé ! .... Au début nous ne parvenions pas à en croire nos oreilles, quelle chance nous avions.

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Un patron force une femme mariée soumise à devenir son jouet sexuel sous les yeux de son mari cocufié.

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Page 1: Ma Femme Jouet

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Ma Femme Jouet...

Mon patron fait de ma femme, son jouet sexuel

J’étais piégé.

J’avais dû régler plusieurs factures dont l’hypothèque de la maison et, pour faire face j’avais détourné de l’argent de ma compagnie.

J’avais l’intention de rembourser d’une manière ou d’une autre, je ne m’en faisais pas pour cela, j’avais assaini notre situation, tous nos dettes étaient réglées, rien que des bonnes nouvelles.

C’est alors que mon patron découvrit le pot aux roses.

Daniel me passa un coup de fil un après-midi, me demandant de passer à son bureau.

Il n’avait jamais fait cela, aussi dès ce moment j’eus peu qu’il n’ait découvert mes malversations.

Et en fait, il les avait constatées.

Il me dit qu’il pourrait me faire arrêter, mais qu’il voulait me donner une chance, mais je devais rembourser la totalité des fonds détournés très rapidement.

Je n’avais aucun moyen de le rembourser intégralement sur-le-champ. Daniel jubilait, il me renvoya à mon travail m’informant qu’il me rappellerait plus tard.

Il le fit une longue paire d’heures plus tard.

– En rentrant chez toi ce soir, tu raconteras à ta femme ce que tu as fait ! ... Je passerai vous voir à 19 heures et nous discuterons tous trois de la situation ! ... J’ai un plan qui devrait nous satisfaire tous trois ! ...

Je rentrai chez moi vers 17 heures et demi, Djamila était déjà là, je lui racontais tout.

Elle était furieuse après moi, j’essayais de lui démontrer que c’était le seul moyen de garder notre maison, mais elle se contentait de crier.

Nous avions terriblement peur que je sois arrêté, que je perde mon boulot et que je me retrouve en taule.

Daniel arriva à 19 heures pétantes. Il s’assit avec nous à la table du salon.

– J’ai un plan... commença-t-il

– Cela te permettrait d’éviter la prison, de garder ton boulot si tu es l’acceptes et que tu suives désormais mes directives ! ....

– Bien sûr ! ... Nous ferons n’importe quoi pour... avons-nous répondu tous deux en chœur.

– J’adore cette attitude ! ... Elle te permettra d’éviter de te retrouver en taule ! .... J’ai de solides preuves contre toi ! ... Je les transmettrai à la police demain matin si vous refusez mes conditions ! ...

Nous étions toutes oreilles, aussi Daniel annonça alors :

– Je rembourserai graduellement la somme totale que tu as détournée, mois après mois, jusqu’à ce que tout soit réglé... Je déciderai moi-même de la somme que je rembourserai chaque mois et tu déposeras la somme sur le compte de la compagnie, afin que rien ne puisse me relier à cette affaire ! ... Je te rendrai toutes les preuves prouvant ton forfait lorsque tout sera remboursé ! ....

Au début nous ne parvenions pas à en croire nos oreilles, quelle chance nous avions.

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C’est alors que survint la chute.

– Bien sûr, en contrepartie vous devrez faire certaines choses pour moi ! ... Djamila tu devras m’obéir quoi que je te fasse faire ! ...Nadjib t’aidera en s’occupant des enfants, ou en s’acquittant d’autres tâches selon mes désirs ! ... Comprenez-vous ce que je dis ? .... Avez-vous des questions ? ...

Djamila demanda :

– Que veut dire tout ce que vous voulez ? ....

Daniel s’approcha d’elle, posa une main sur son épaule et l’autre ses nichons lui expliquant :

– Nous en reparlerons, mais si je dois repartir sans votre accord total, j’appellerai la police dès mon retour chez moi ! ...

On paniqua, on n’avait jamais envisagé qu’il fasse cela ! ...

Djamila est une splendide femme de 45 ans, Daniel a tout au plus 40 ans.

Cela fait de nombreuses années que nous sommes mariés, je l’avais épousée vierge, trois de nos enfants ont déjà quitté la maison, le dernier est au collège.

Djamila est une femme très conservatrice, je dirai même vieux jeu, pudique et assez guindée.

Nous en discutâmes quelques instants, elle me demanda :

– Que faire ? ... pour conclure finalement :

– Je suis bien obligée de lui obéir ! ...

J’avais récupéré mon calme, nous regardâmes Daniel et Djamila avança :

– Il semble bien que n’ayons pas grand choix ! ....

Daniel se releva et commenta :

– Bon cela me semble un bon marché ! ... on se serra les mains pour sceller notre accord.

Puis Daniel m’intima :

– Nadjib, déboutonne le corsage de Djamila et enlève-lui son soutien-gorge...

J’obéis docilement.

Djamila tremblait comme une feuille, cela lui semblait très dur de de devoir se laisser faire sans protester.

Daniel se tenait devant Djamila, il lui roula ne pelle et lui caressa les nibards. Il suça un de ses mamelons, puis l’autre.

Elle dut alors s’asseoir et dégrafer son pantalon.

Je savais ce qui allait se passer.

Je savais qu’elle ne voulait pas le faire.

Elle avait toujours refusé de me sucer, j’étais sûr qu’elle refuserait de le sucer.

Mais avait-elle la possibilité de refuser ? .....

Elle sortit sa bite de son caleçon et la lécha, bien qu’à contrecœur elle obéisse.

Elle lui mâchouilla ensuite les burnes, lécha sa hampe dardée, il lui intima alors de le prendre en bouche.

Elle hésitait.

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– Obéis ou j’appelle la police ! ... la menaça-t-il sévèrement.

Comme elle l’embouchait et entreprenait de le sucer, il réitéra ses menaces :

– A la moindre hésitation, à la moindre protestation, j’appelle la police ! ... T’as bien compris ! ... Et ce jusqu’au règlement complet de votre dette ! .... C’est bien compris, ou tu préfères voir ton mari en taule ? ....

Je voyais sa bite prendre de l’ampleur dans la bouche de Djamila, elle était bien plus grosse que la mienne ! ...

Il tint sa tête en la prévenant :

– Je suis sur le pont de jouir, tu ferais bien d’avaler mon foutre ! ...

J’aurai pu dire quand il jouit, il tenait fermement sa nuque et lui intimait de serrer les lèvres sur sa hampe tandis qu’il se vidait les couilles dans sa gorge.

Elle avala son foutre avec dégoût, quelques filets de semence s’étalèrent sur ses nichons, il me dit de les lécher.

– Prends ta tenue de nuit, tu vas la passer avec moi, ma femme est absente pour la nuit ! .... Nadjib te reprendra demain matin...

Djamila se tenait debout, sidérée, comme en état de choc et se remit machinalement à enfiler son soutien-gorge.

Daniel lui ordonna de le laisser là, ainsi que son corsage, d’enfiler quelque chose pour se couvrir et de se grouiller.

Quelques instants plus tard, ils étaient partis.

Mon patron a baisé ma femme chez moi, sous mes yeux à la suite d’un abominable marché, mais qui me permettait d’éviter la prison.

Djamila m’appelait de chez lui.

Il l’avait emmené chez lui pour qu’elle passe la nuit avec lui.

Il ne lui avait permis de mettre ni soutien-gorge ni corsage, en fait, elle fit la route le buste dénudé après avoir sucé sa bite et avalé son foutre.

Djamila me demanda si je l’entendais clairement, je dis que oui, elle avait posé le récepteur et évoluait dans la pièce où ils se tenaient.

Daniel voulait que j’entende ce qui se passait, c’est tout ce qu’elle me dit.

J’entendis alors Daniel lui ordonner de virer sa jupe et sa petite culotte.

Il lui dit qu’elle était une gentille petite femme bien obéissante et une bonne petite salope pour exécuter ainsi, à la lettre, ses ordres.

Je savais que très bientôt ma femme allait se faire baiser pour la première fois par un autre que moi.

Déjà qu’elle avait avalé du foutre pour la première fois, elle ne l’avait jamais fait pour moi, en 25 ans de mariage.

Eh oui Djamila est une femme mature de 45 ans, mais elle en parait beaucoup moins.

Je ne parvenais pas à croire en ce qui nous arrivait, mais c’était de ma faute, c’était moi qui avais détourné des fonds de la compagnie.

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Si seulement j’avais su ce que devrait accepter ma femme pour m’épargner la prison. Ma femme chérie allait non seulement se faire baiser par mon patron, mais aussi par d’autres hommes quand il le déciderait.

Elle allait lui servir de jouet sexuel tant qu’il aurait envie de ses charmes.

Et ce ne serait pas tout, j’entendis Daniel lui dire :

– Couche-toi sur le dos et écarte les cuisses en grand ! ... Tu n’es plus que ma petite pute dorénavant ! ... Tu seras ma salope ! ... t’as compris ? ...

Au travers de ses reniflements et de ses sanglots j’entendis Djamila approuver :

– Oui... Je... Je ferai tout... Tout ce que vous voudrez ! ....

– Et maintenant, je vais te baiser et jouir en toi, lui annonça Daniel.

Je savais qu’il disait cela pour mieux me torturer.

– Dis-lui ce qui se passe ! ...

– Il me baise ! ... j’entendais les claquements de ses couilles venant frapper sa croupe.

– Dis-moi que tu es une salope ! ... Dis-moi que tu n’es qu’une petite pute ! ... Dis-le ! ...

– Je... je suis une salope... Une pute ! ... cracha-t-elle d’une voix tremblante.

– C’est bon, rappelez-le-vous tous les deux ! .... s’exclama Daniel hilare.

Il dit quelques minutes plus tard :

– Dis à Nadjib ce que je te fais ! ...

Djamila pleurnicha :

– Mon chéri, il... il jouit dans mon ventre ! ...

– Et maintenant suce le reste et nettoie ma pine, ma salope ! ... entendis-je Daniel lui intimer.

– Bonne nuit Nadjib, passe la prendre demain à 6 heures et demi ! ... Sois exact au rendez-vous, ni en avance ni en retard, à 6 heures et demi-pétant...

Sur ce, il reposa le téléphone.

Je me demandais bien ce qu’il allait lui faire au cours de cette nuit. Je me haïssais d’avoir condamné ma femme à faire cela. Cependant je ressentais u début d’excitation à la savoir baisée, utilisée pour le plaisir d’un tiers.

Le lendemain matin j’arrivais à l’heure exacte à la maison de Daniel. Je m’étais vêtu pour aller travailler et avais amené quelques vêtements pour Djamila.

Alors que j’appuyais sur la sonnerie, Daniel hurla :

– Entre ! ... j’ouvris la porte et pénétrais dans la maison.

Daniel ajouta:

– Viens par ici ! ...

Je me dirigeais vers l’endroit d’où provenait sa voix et arrivais à sa chambre, la porte était ouverte.

– Entre !... m’invita Daniel suavement.

Djamila était étendue toute nue sur son lit, il était tout aussi nu.

– Dis à ton mari ce que tu voudrais qu’il fasse ! .... Allez, dis-le lui ! ...

Djamila me regarda et dit :

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– Viens ici et lèche ma chatte ! ...

Je voyais de grosses larmes perler dans ses yeux je savais qu’il la forçait à me dire cela.

Je savais tout autant que je devais m’exécuter. Sous les yeux de Daniel.

Comme je me plaçais entre ses cuisses et que je commençais à lécher sa fentine, je me dis qu’il venait tout juste de la baiser.

Du foutre s’écoulait de son trou vaginal.

– Plonge ta langue profondément en moi ! ... me précisa-t-elle.

Je lui obéis docilement.

Lorsque j’en eus fini, Djamila ajouta :

– Ce n’est pas tout ! .... et elle se retourna pointant son cul dans les airs.

– Lèche mon trou du cul ! ... poursuivit-elle le visage enfoui dans un oreiller.

– Je ne crois pas qu’il t’ait entendu ! ... intervint Daniel cyniquement.

Djamila tourna la tête vers moi et répéta :

– Lèche mon trou du cul ! ... Il est plein de foutre ! ... Et maintenant grouille-toi ! ....

Je me penchais sur ses fesses. Je lui léchais l’orifice anal, je lui enfonçais même la pointe de ma mangue dans son trou du cul.

– Plus profond ! … s’exclama-t-elle.

Je m’exécutais servilement.

Lorsque j’eus terminé, Daniel prit la parole.

– Djamila va se préparer à se rendre à son boulot maintenant ! ... Assieds-toi et attends un instant pendant que je déjeune... As-tu aimé le tien ? ....

Djamila se leva et se rendit dans la salle de bain. Elle prit une douche rapide, se coiffa et se maquilla.

– Je t’ai amené quelques affaires... lui dis-je d’une voix sourde.

– Je n’en ai pas besoin... me répondit-elle.

– J’ai apporté mes affaires hier soir...

– De toute manière, je dois porter ce que Daniel m’a préparé ce matin...

Elle sortit de la salle de bain vêtue de la jupe qu’elle portait hier soir, une jolie jupe en jean qui s’arrêtait une quinzaine de centimètres au-dessus de ses genoux, un chandail rose qui se boutonnait sur le devant et des mocassins noirs.

Je remarquais d’emblée qu’elle ne portait ni bas ni soutien-gorge, ni culotte devinais-je instantanément.

Je vais vous dire quelques mots de Djamila, elle enseigne l’histoire dans le collège local, elle est très conservatrice, elle ne s’était jamais promenée sans soutien-gorge auparavant.

Ses cheveux sont auburn, tirant sur le roux elle a une opulente et ferme poitrine qui nécessitait des soutiens-gorge de maintien, elle est un peu ronde mais très bien proportionnée.

Sa jupe était jolie, le seul ennui c’est qu’elle ne portait pas de culotte en dessous.

Son chandail était joli, mais elle ne portait pas de soutien-gorge en dessous.

Lorsqu’elle bougeait ses nichons se balançaient au rythme de ses pas, on distinguait clairement ses mamelons au travers du fin lainage.

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J’étais ébahi.

– Emmène-moi au boulot ! ... Soupira-t-elle.

– Nous n’avons pas la possibilité de lui désobéir ! ... .

Elle rassembla ses affaires et nous partîmes.

Quand elle descendit de la voiture, je savais que tous les yeux des élèves et des maîtres se braqueraient sur elle.

Qu’allait-il encore nous arriver les jours prochains !? .....

La soumission de Djamila se poursuit

Djamila entra dans son école habillée élégamment, mais sans soutien-gorge, ni petite culotte, sa jupe était assez courte, elle était vêtue comme Daniel le lui avait ordonné.

Je la quittais pour me rendre à mon boulot.

Djamila m’appela du collège pour me dire à quel point les élèves la reluquaient de façon concupiscente, et ses collègues lorgnaient ses nibards qui se balançaient au rythme de ses pas, alors que ses mamelons dardaient au travers du fin lainage.

Elle me confia qu’elle s’était rendue dans le bureau du principal et qu’elle s’était penchée vers lui comme le lui avait dicté Daniel de le faire (j’ignorais que Daniel lui avait ordonné de faire ça !).

Elle avait enchaîné sur une conversation des plus normales portant sur les nouveaux textes de lois, elle avait remarqué que ses yeux étaient rivés à son décolleté, elle se demandait s’il pouvait voir distinctement ses nibards alors que le décolleté de son chandail pendait vers le bas révélant ses tétons dardés.

Elle s’était penchée à plusieurs reprises en donnant son cours comme Daniel le lui avait intimé, spécialement lorsqu’elle se trouvait face à ses étudiants mâles.

Le reste de la journée se passa calmement bien qu’elle soit consciente d’être vêtue de façon fort provocante.

Elle m’apprit que Daniel devait la prendre à la sortie des classes pour la ramener à la maison, aussi que je ne me tracasse pas pour ça.

Je savais ce que cela signifiait : il entendait la baiser à nouveau.

Elle sortait de classe à 15 heures et demi et je rentrais vers 17 heures.

J’eus tout le temps de me demander ce que Daniel lui faisait faire pendant que je travaillais.

Elle m’avait évité de me retrouver en prison, mais nous payions tous deux le prix de ce passe-droit.

J’arrivais chez moi vers 17 heures 20, la voiture de Daniel, était garée dans l’allée du garage.

Je me demandais ce devait en penser les voisins, j’espérais pouvoir leur donner une explication valable.

J’entrais dans ma maison et je les entendis remuer dans la chambre.

J’entrais dans la chambre, Djamila était assise sur Daniel, sa grosse bite profondément enfoncée dans sa moule alors qu’elle avait la mentule d’un autre type en bouche.

Ils étaient entièrement nus. Je reconnus Stéphane, un de mes collègues.

Djamila avait des difficultés à sucer une bite tandis que Daniel la baisait avec vigueur.

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Je voyais sa foufoune étreindre sa hampe alors qu’il coulissait régulièrement en elle.

J’étais très ennuyé de voir que Daniel avait invité un tiers à partager ma femme. Je me demandais comment de personnes étaient au courant et avec combien d’entre elles elle devrait baiser.

Stéphane lui tenait la tête pour qu’elle le suce correctement. Quelques instants plus tard, il se retira de sa bouche, la contourna et cracha sur son trou du cul.

J’avais peur de ce qui allait arriver, je ne pense pas qu’ils avaient remarqué ma présence, je me tenais dans l’entrée de la chambre, jusqu’à ce que Daniel hurla

– Approche-toi Nadjib, viens voir ta femme se faire embrocher par deux bites en même temps ! ...

Je m’approchais du trio et Daniel m’invita à prendre une chaise pour m’asseoir auprès du lit.

Je pris la chaise de la petite coiffeuse et m’approchais du lit juste à moment où Stéphane pointait son gland sur l’œillet affolé de ma petite femme.

Djamila ferma les yeux et grinça des dents alors que son chibre pénétrait lentement dans son anus soumis.

J’étais abasourdie qu’elle puisse l’accueillir si facilement, elle avait une grosse bite dans la chatte et une autre dans le trou du cul.

Daniel avait ralenti ses coups de boutoir facilitant l’intromission de la mentule de Stéphane dans l’anus de ma femme.

Lentement pour débuter, puis de plus en plus vite ils la baisèrent en chœur.

Ses nibards pendaient face à Daniel, il en suçait avidement tout en pétrissant l’autre fermement.

Stéphane s’en saisit tout en l’enculant son pubis frappant avec vigueur ses fesses, elle cria tout au long de cette séquence et je vis de grosses larmes rouler sur ses joues.

Stéphane lâcha ses nibards et Daniel se mit à les sucer alternativement.

Stéphane lui saisit les cheveux l’attirant contre lui tout en l’enculant vigoureusement, elle cria de plus belle et le flot de ses larmes s’accrut.

Daniel cracha sa semence dans son ventre suivi rapidement par Stéphane qui emplit de semence son trou du cul.

Il extirpa sa bite de son trou du cul et Daniel la tenant par la taille la fit rouler sur le flanc, son visage se trouvait près de moi, il la disposa à quatre pattes et elle me demanda :

– Viens ici et pose ta tête sous moi ! ...

Je savais que c’était Daniel qui la forçait à me dire cela, mais je devais m’exécuter servilement.

Je m’approchais d’elle, le visage exactement à l’aplomb de sa foufoune.

Elle s’assit sur mon visage remuant son cul sur ma bouche.

– Lèche-moi ... m’intima-t-elle.

J’obtempérais savourant le goût du sperme de Stéphane mélangé à ses fragrances anales.

J’entendis Daniel lui ordonner :

– Viens me nettoyer la bite ! .... je savais ainsi que pendant que la léchais, elle suçait sa bite.

Puis ce fut au tour de Stéphane de lui intimer de nettoyer sa queue, elle dut m’imiter promptement.

– Et maintenant ouvre-toi et pousse ! ... lui commanda Daniel.

Je reçus une grosse dose de sperme dans la bouche.

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Je toussais et m’écartais lorsque Djamila me dit :

– Tu n’as pas encore fini, avale et occupe-toi de ma chatoune ! ...

Elle installa sa chatte sur mes lèvres et je me mis docilement à la lécher et la sucer.

Elle se redressa expulsant de fortes doses de foutre dans ma bouche.

Stéphane et Daniel regardaient l’épaisse semence m’emplir la bouche.

Alors qu’ils se rhabillaient, Daniel me félicita :

– T’es un gentil garçon, mon vieux Nadjib ! ...

Ils éclatèrent de rire à ces mots, puis il ajouta :

– A vendredi ma chérie... et il partit sur ces mots.

Lorsqu’ils refermèrent la porte dans leur dos, Djamila se roula en boule et se mit à hurler.

Je ne pus que l’assurer que j’étais vraiment désolé de lui infliger tout cela.

Elle me répondit en sanglotant :

– Tu n’as pas compris, samedi, il veut faire de moi une pute, sa pute ! ...

Djamila prostituée

Djamila qui venait de se faire baiser par Daniel et Stéphane alors que j’étais forcé de regarder, alla se doucher et vint se coucher silencieusement.

Nous nous demandions tous deux ce que Daniel avait en tête lorsqu’il lui avait dit qu’elle deviendrait une véritable pute ce vendredi.

Le lendemain, un jeudi, se passa normalement.

Djamila alla au boulot vêtue d’une jupe courte, sans petite culotte et d’un chandail qui s’ouvrait sur le devant, sans soutien-gorge.

Ce n’était pas vraiment la tenue apparente d’une très conservatrice enseignante de collège.

Lorsqu’elle me quitta pour rentrer dans le collège, elle me demanda à quoi elle ressemblait, je savais qu’elle avait besoin de se rassurer, que je lui dise qu’elle ne ressemblait pas trop à une salope.

Elle portait une jupe noire, de longueur moyenne, un chandail prune, très finn avec un large décolleté, des chaussures noires avec des hauts talons et c’était tout.

– Correcte ! ... Ta tenue est correcte, la rassurai-je promptement.

– Je dois déboutonner mon décolleté quand je parle avec un adulte ! ... me précisa-t-elle éperdue, soucieuse, elle me quitta sur ces mots.

Ses opulentes miches étaient clairement visibles sous son chandail, on distinguait clairement les aréoles de ses nibards, et si elle se penchait, on les voyait se balancer mollement.

Sa jupe moulait ses fesses attirant les regards. Daniel choisissait lies vêtements qu’elle devait mettre, j’espérais seulement que cela ne l’excite pas trop.

Fatalement le vendredi se ponta, nous n’en avions pas parlé ces derniers jours, vers 17 heures 30 elle reçut un coup de fil de Daniel.

Elle se maquilla lourdement, entièrement nue, tandis que je la regardais faire, puis elle enfila une mini-jupe noire que Daniel lui avait achetée et un chemisier blanc qu’il avait trouvé dans son armoire.

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Elle enfila ses chaussures avec les talons les plus hauts, une paire de talons aiguilles dorée qu’elle avait acheté pendant les vacances quelques années plus tôt et partit à sa rencontre dans le parking d’un motel à trente de minute de notre maison.

Elle ressemblait vraiment à une pute lorsqu’elle me quitta, je reçus un coup de fil de Daniel trois quarts d’heure plus tard.

– Magne-toi de nous rejoindre ! ... s’exclama-t-il hilare.

Je les rejoignis au motel dans la demi-heure qui suivit.

Je vis la voiture de Daniel dans le parking, il me fit signe de le rejoindre.

Je me rangeais et montais dans sa voiture sur le siège passager.

J’avais remarqué la voiture de Djamila elle aussi rangée dans le parking.

– Chambre 22 à l’étage ! ... Djamila ne va plus tarder ! ...

Nous attendions silencieux, yeux braqués sur la porte, je pensais que Daniel voulait savourer mes réactions.

Un petit moment plus tard, moment qui me sembla durer une éternité, Djamila sortit.

Elle descendit les escaliers et alla frapper à une autre porte de chambre.

La porte s’ouvrit, elle entra dans la chambre.

Daniel me précisa alors :

– Ta femme vient de baiser avec un complet inconnu pour 100 €, elle va faire la même chose avec un autre dans cette chambre ! ...

– Retourne dans ta voiture attends et regarde, elle n’en a pas fini ! ... je me relevais

– Je vais m’acheter une bière, veux-tu quelque chose à boire ? .... me dit-il rigolard.

– Non... Ou peut-être un verre d’eau.

Je ne sais pas si j’aurai pu avaler autre chose.

Trois quarts d’heure plus tard, Djamila ressortit et descendit les escaliers, elle n’avait pas entièrement reboutonné son corsage, ses nichons se balançaient voluptueusement au rythme de ses pas.

Elle frappa à une porte de chambre et à nouveau entra.

Daniel arriva alors et me donna trois bouteilles d’eau.

– Elle sortira lorsque son client en aura fini avec elle ! ... Approche-toi de la chambre et essaye de les épier au travers de la vitre ! ... Et reste-y le temps qu’elle sorte ! ....

J’obéis docilement.

J’avais du mal à voir ce qui se passait, cependant je constatais que Djamila était assise entièrement nue sur le lit et suçait la bite de son client.

Je le vis ensuite clairement s’installer entre ses cuisses, je m’approchais de la porte, je n’entendais que des sons étouffés et les couinements du lit.

Il devait la baiser à couilles rabattues.

Je sais que je devais ressembler à un pervers épiant les ébats de baiseurs, mais Daniel, assis dans sa voiture, me surveillait.

Enfin, Djamila sortit, je me rejetais dans l’ombre, mais elle me vit. .

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– Je ne parviens pas à le croire ! ... gémit-elle misérablement … Je dois remonter à l’étage ! ...

Elle me quitta sur ces mots, son corsage était entièrement déboutonné, elle ne semblait absolument pas s’en préoccuper.

Je ressentis profondément son dédain et notre humiliation.

Je retournais à ma voiture. Daniel vint me rejoindre.

À l’étage Djamila frappait à une porte.

– Une paire d’étudiants ! ... me confia Daniel hilare.

– Je leur ai apporté quelques canettes de bière, ils brûlent d’envie de baiser ta salope de petite femme ! ...

Il m’intima de rester dans ma voiture, car Djamila risquait de rester dans cette chambre un bon moment ; leurs copains devaient les rejoindre lorsqu’ils en auraient fini avec elle ! ...

Daniel dégrafa sa braguette et sortit sa bite. Il me dit d’en faire autant et de laisser tomber mon caleçon sur mes chevilles.

– Ne t’en fais pas ! ... me tranquillisa-t-il.

– Je ne suis pas une tapette ! ...

– Mais tu peux pourtant me sucer la bite ! ... Et lorsque je juterai, avale tout, ou c’est Djamila qui paiera pour ta désobéissance ! ...

Je me penchais et embouchais servilement sa grosse bite, je n’avais jamais fait de pipe à qui que ce soit, et j’hésitais, mais je savais pertinemment qu’en fait, je n’avais pas le choix, je ne pouvais pas me dérober.

– Djamila doit gagner 1000 € cette nuit ! ... m’avisa Daniel alors que je le suçais servilement.

– Elle restera dans cette chambre tant qu’elle ne les aura pas gagnés ! .... Je ne sais pas combien ces étudiants ont ameuté de potes, ni combien d’entre eux vont venir, cela ne me concerne pas ! ... Je veux toucher mon argent en fin de soirée ! ... Je vais jouir ! ...

Il me tint la nuque tandis qu’il se vidait dans ma bouche. Son sperme était salé, crémeux, je n’en perdis pas une goutte.

Daniel sortit de ma voiture et se dirigea vers la chambre. Quelques minutes plus tard il revenait une liasse de billets en main.

Il compta 10 billets de 100 € et me les donna.

– Tu ferais mieux d’attendre qu’elle sorte, je pense qu’elle aura peut-être besoin de ton aide pour descendre les escaliers ;

J’attendis et vis d’abord deux puis trois ados gagner la chambre.

Daniel avait raison, ma femme était une vraie prostituée maintenant.....

Djamila doit séduire son principal

Après l’épisode du motel, Daniel délaissa Djamila pendant quelques jours.

Elle en avait bien besoin.

Elle était meurtrie et déchirée à la suite de sa partie de jambes en l’air avec les lycéens.

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Je n’étais pas totalement conscient de ce qu’elle avait enduré, mais je savais qu’elle avait subi quelques sandwiches et de nombreuses enculades.

Le mardi suivant Daniel l’appela et lui donna ses instructions quant à la tenue qu’elle devait porter.

Je lui dis que cela allait trop loin maintenant et que j’allais lui téléphoner pour lui dire de cesser son chantage, même si je devais aller en prison.

Elle sembla juste étonnée de mon retournement de veste.

Je savais bien que c’était trop tard, mais je ne pouvais pas rester sans rien faire ! .....

Je pénétrais dans le bureau de Daniel et l’interpellais :

– Y’en a marre Daniel ! .... C’est allé trop loin ! ...... Envoie-moi en taule si tu veux le veux, mais arrête tout ça ! .....

– Je ne pense pas arrêter... répliqua Daniel suavement … Tu supposes que je t’enverrai en taule ! ..... Tu perdras ta maison et tout ce qui tu as eu tant de mal à gagner ! ..... De toute manière Djamila devra faire la pute, et j’enverrai les photos que je détiens à son école, et à tes enfants et ta famille ! ....

Je restai muet de stupéfaction.

– Des photos ! ... Quelles photos ? ...... balbutiais-je effondré.

– On a filmé ta femme se faisant sauter par des collégiens dans la chambre d’hôtel ! .... Un très bon film, très porno ! .... Tu veux le voir ? ..... J’imagine que cela intéresserait le principal de Djamila autant que le conseil d’école et tes enfants ! ....

– Tu mens ! .....Tu ne détiens aucune photo ! ..... rétorquais-je plaintivement.

Sur ces mots, Daniel inséra un CD dans son lecteur.

– Viens de ce côté de mon bureau... Je te souhaite un bon spectacle ! ..... ironisa Daniel.

Je pouvais voir Djamila allongée sur le corps d’un jeune blond d’une vingtaine d’années, elle le chevauchait avec ardeur. Plusieurs autres lycéens encerclaient le lit la bite à la main.

Elle se pencha et prit une bite particulièrement grosse en bouche alors qu’on lui ordonnait de la sucer lascivement.

Un gosse l’air très jeune, les cheveux noir bouclés, avait entrepris de lui doigter le trou du cul.

Je le regardais remplacer ses doigts par sa petite bite, elle servait à trois hommes en même temps.

Daniel cassa le silence me disant :

– Elle va en prendre une bien plus grosse dans le trou du cul dans quelques minutes ! ...... Mais bordel, je peux t’offrir une copie...... j’en ai plusieurs ! ..... Veux-tu toujours te retrouver en taule ? .....

Je me taisais, je savais qu’il pouvait facilement m’y envoyer.

– Je vous en prie, n’envoyez cette cassette à personne ! .... le suppliais-je misérablement.

Je savais que cela détruirait la vie de Djamila, de nos enfants et de nos parents.

– Appelle-la ! .... m’intima Daniel.

Je l’appelai sur son portable en classe.

Elle se trouvait toujours dans sa classe, elle me répondit en voyant s’afficher mon numéro, je ne l’appelais jamais pendant son temps de classe, à moins que ce ne soit pour une urgence.

Je lui dis que Daniel voulait lui parler.

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La cassette défilait toujours sur l’écran de son ordinateur.

Il monta le son.

– Entends-tu ? ....

Et il plaça le combiné près des haut-parleurs, les gars gueulaient :

– Baisez-moi cette salope, oui, elle a vraiment un délicieux petit cul pour une pute ! ...... Dis-nous la pute t’es mariée ? ..... Tu dois drôlement aimer les bites de jeunes gars ! ..... Dis-nous ce que tu veux ! .....

Je pouvais voir Djamila répondre :

– Baisez-moi, baisez-moi, baisez-moi à couilles rabattues ! .....

Djamila pleurait lorsque Daniel me rendit le téléphone, il lui avait parlé pendant un bon moment après m’avoir dit de me rendre dans les toilettes et de l’y attendre.

– J’ai quelque chose à faire ce soir... marmonna-t-elle … Ne rentre pas avant 20 heures, j’aurai de la compagnie avant... Et après... me prévint-elle misérablement.

Elle raccrocha sur ces mots.

Daniel me regarda hilare.

– T’es pathétique mon cher...... Tu ferais mieux de lui obéir ! ..... T’en as fait assez pour empirer votre sort aujourd’hui ! .....

J’appris plus tard qu’elle devait séduire son principal, l’inviter à venir chez nous, et baiser avec lui dans notre lit conjugal.

Son principal était légèrement plus âgé qu’elle et était un vrai salaud.

Tous deux nous avions de beaux salauds comme patrons. Je ne doute pas qu’elle le convainquit facilement, il était renommé pour se faire le plus grand nombre de femmes profs qu’il pouvait.

J’attendais que la nuit tombe et je rentrais dans un restaurant pour souper, prenant mon temps pour ne rentrer chez moi qu’après20 heures.

Je me demandais ce qui m’attendait encore lorsque je rentrerai.

Il n’y avait aucune voiture de garée à part celle de Djamila lorsque j’arrivais chez nous. Elle était sous la douche.

Elle ne me dit rien lorsque je lui parlais. Elle paraissait abasourdie.

Elle était meurtrie, furieuse et se tenait silencieuse.

Depuis j’ai appris qu’elle devait obéir en tout aux consignes de Daniel, elle ne voulait surtout pas se révolter ce qui entraînerait la diffusion de la cassette et plus particulièrement nos enfants en auraient connaissance.

Tout ce qu’elle me dit à cet instant, c’est que son principal venait de quitter la maison.

Il l’avait appelé sous différents prétextes dans son bureau ces deux dernières semaines, et ce depuis qu’elle portait les tenues imposées par Daniel.

Elle me dit que Daniel lui avait ordonné de faire tout ce que voudrait son principal cet après-midi.

Elle demanda à une remplaçante de surveiller sa classe, passa aux toilettes où elle enleva soutien-gorge et petite culotte.

Elle ouvrit la porte du bureau du principal et se glissa à l’intérieur.

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Il était assis à son bureau et se montra surpris de la voir arrivée. Elle se pencha au-dessus de soin bureau lui faisant apprécier sa poitrine largement découverte.

Elle discutait sur des manuels de français, mais voyait que ses yeux étaient rivés à ses nichons.

Elle dégrafa deux boutons, ses nibards étaient maintenant clairement exposés sous ses yeux.

Jean-François ne comprenait pas ce qu’elle faisait, mais il en était ravi.

Il tendit la main et empauma un de ses nichons, le pressant et pinçant le mamelon. Il fit de même avec l’autre. Djamila continuait à discuter des manuels comme si de rien n’était.

Elle ne savait pas quoi lui dire. Elle savait juste qu’elle devait baiser avec lui, et qu’elle devrait lui accorder tout ce qu’il voudrait.

Elle contourna le bureau et s’assit sur le rebord juste face à lui. Lorsqu’elle s’assit sa jupe remonta sur ses cuisses. Elle ouvrit ses jambes, lui exposant sa chatte dénudée. Il resta les yeux rivés sur sa foufoune pendant un long moment n’en croyant pas sa bonne fortune. Djamila lui parlait toujours de ses manuels.

Jean-François tendit la main sur ses cuisses et inséra un doigt dans sa cramouille. Il la doigta un bon moment et enfin se leva. Elle savait pertinemment qu’il voudrait la baiser là sur son bureau, mais Daniel lui avait ordonné de se faire baiser dans notre lit.

Elle se leva à son tour, empoigna sa grosse bite au travers de son pantalon et lui dit :

– Je serai chez moi à 16 heures, voulez-vous venir vous amuser avec moi ? .....

Jean-François ne savait pas à quoi il devait cette chance, il savait juste qu’elle s’habillait de façon drôlement provocante ces derniers temps.

Il ne voulait pas lui poser de questions et risquer ainsi de laisser passer sa chance...... À 16 heures, il se garait devant sa maison, alors que Djamila refermait la porte du garage.

Elle fit le tour pour rejoindre la porte de devant et l’invita à entrer. Il l’épingla immédiatement contre le mur, lui pelotant les nichons et le cul.

Djamila le repoussa disant :

– Pas ici... Montons dans la chambre...

Si elle devait se faire baiser par ce débauché, elle le ferait exactement comme le lui avait ordonné Daniel.

Elle déboutonna sa blouse et baissa la fermeture-éclair de sa jupe en se dirigeant vers le lit.

Elle voulait se déshabiller prestement.

Elle sauta hors de ses chaussures, se dépouilla de sa jupe et s’allongea sur le dos cuisses grandes écartées sur le lit.

Elle repoussa son chemiser vers le haut, dévoilant en totalité ses miches. Jean-François avait déjà sorti sa bite, il grimpa immédiatement entre ses cuisses accueillantes.

Sa bite était longue et fluette et il était velu comme un singe. Il s’engouffra en elle rapidement, et entreprit de la baiser avec ardeur, il tendit les mains sur ses fesses serrant ses globes musclés.

Il suça un mamelon, puis l’autre et s’exonéra rapidement en elle, projetant sa semence profondément dans son utérus, il l’avait quittée peu après lui disant qu’ils se verraient le lendemain.

Vers 20 heures 30 Stéphane la conduisit dans la chambre, Charles l’accompagnait.

Stéphane n’était pas un mauvais gars, bien qu’il soit le meilleur ami de Daniel et quand bien même il baisait ma femme.

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Mais Charles, lui, me rendait malade, je le haïssais vraiment, il m’avait empêché d’obtenir une promotion et critiquait tout ce que je faisais.

A bien y penser Stéphane est fêlé, comparé à Charles il n’est pas si moche ! ....

Lorsqu’ils étaient arrivés, Djamila sortait de la chambre, elle s’était préparée à les recevoir.

Elle s’était coiffée, rafraîchi son maquillage, et habillée... Elle portait des bas à résilles fixés à un porte-jarretelles noir une guêpière de soie rouge lacée par des cordons noirs et pas de petite culotte.

Elle avait rasé son pubis, à l’exception d’une toute petite touffe surmontant sa foufoune.

La guêpière poussait ses miches en avant, mais ne les couvrait pas, on l’aurait dit sortie tout droit d’un rêve.

– Tu lui jettes des regards concupiscents ! ... me railla Stéphane.

– Nous avons été invités à passer la nuit avec elle ! ... et se dirigeant en compagnie de Charles vers la chambre, il ajouta :

– Vas faire un tour et ramène-nous de la bière ! ..... Légère pour moi et corsée pour Charles..... Et toi la débutante, que veux-tu ? ......

– De la Smirnoff légère ! ..... répondit-elle.

Elle acceptait son nouveau genre de vie, elle qui ne buvait d’habitude jamais d’alcool.

Djamila continue de distraire le patron et ses amis

Stéphane et Charles avaient emmené Djamila dans la chambre.

J’étais sur le canapé à regarder la télé, ou tout au moins à essayer de regarder la télé.

Je savais pertinemment qu’il pouvait ainsi baiser ma femme, c’était à cause du détournement auquel je m’étais livré.

Mais elle n’avait-elle pas assez payé pour moi ? ...

Non, à entendre les sons qui me parvenaient de la chambre ! .....

Cela me rendait dingue de savoir qu’ils allaient disposer de son corps toute la nuit alors que je devrais me contenter du canapé.

Quelques minutes plus tard Stéphane me demanda de leur amener de la bière.

J’en apportais une légère, une corsée et une Smirnoff, exactement comme ils me l’avaient commandé.

Lorsque j’entrais dans la chambre, Djamila était à genoux sur le lit, Stéphane la prenait par derrière, Charles était face à elle, lui aussi à genoux.

J’étais horrifié lorsque je compris qu’il se faisait lécher le cul par ma femme. Je le détestais de plus en plus. Ma colère montait.

Charles s’en rendit compte et, sachant que je ne pouvais rien y faire, il fit pire, appuyant sur la corde sensible.

– J’aime regarder ta femme... Je veux dire ma pute..... Se faire baiser tandis qu’elle me lèche le trou du cul ! ..... ricana Charles impitoyablement.

– Allez la débutant, enfonce ta langue aussi profond que tu le peux, nettoie mon trou du cul, chérie... Oui, comme ça..... Et maintenant rentre ta langue...... Obéis ! ....

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Stéphane la saisit par les cheveux :

– Lèche-lui bien le cul, chérie ! .... Rentre et sors ta langue de son œillet, oh oui.....

Il la ramonait sauvagement, ses grosses couilles venant taper sur ses fesses à chaque coup de boutoir, il la tenait par les cheveux, gardant sa tête dans la meilleure position pour que sa langue puisse pénétrer dans le goulot de son pote.

– Assieds-toi et regarde ! ... m’intima Stéphane.

J’attirais à moi la chaise que j’avais montée la semaine dernière pour observer mon patron et Stéphane baiser ma femme de concert.

– Je vais jouir ! .... annonça-t-il d’un ton triomphant. Quelle décharge ! ...

Il se vidait littéralement les couilles dans son con. Je suis désolé, mais je l’appellerai désormais son con.

Stéphane a pris la bière je lui apportais, et la bite toujours plantée dans le con de Djamila, la tenant par les cheveux pour l’obliger à lécher le cul de Charles lui ordonnant.

– Secoue tes fesses Charles, mets-y plus de cœur salope...... Charles.

Je vis de grosses larmes ruisseler sur les joues de ma femme asservie.

– C’est si bon..... hurla Charles en extase.

– Tu fais vraiment du bon boulot, petite pute ! .....

Stéphane extirpa sa bite de la chatte de Djamila, la contourna, lui saisit la chevelure et lui intima de le sucer.

– Désolé Charles mais j’ai envie d’utiliser sa bouche ! .... s’excusa Stéphane.

– C’est d’accord... accepta Charles … Je vais utiliser son trou du cul !

À son tour Charles contourna son corps et se posta dans son dos, il cracha une paire de fois sur son trou du cul, plongea un doigt dans son fion et m’ordonna de venir le rejoindre.

– Suce mon doigt ! .... me commanda-t-il l’extirpant du fondement de ma femme :

– Goûte aux fragrances anales de ta femme ! .....

Je suçais obligeamment son doigt et il m’ordonna :

– Et maintenant, suce ma bite ! .....

Je tombais à genoux et prit sa grosse mentule en bouche, je m’efforçais de l’humidifier le plus possible pour faciliter sa pénétration dans le fondement de ma malheureuse femme.

Charles me repoussa :

– T’as l’air d’aimer un peu trop sucer les bites, n’est-ce pas ? ......

Je le haïssais de plus en plus, je détestais ce que j’avais fait de ma femme. Je me rassis sur la chaise.

D’un brutal coup de rein, Charles enfouit son gros chibre dans l’œillet palpitant de ma femme, elle hurla de douleur, mais il s’en foutait totalement.

Il l’enculait sauvagement.

– Je vais défoncer le trou du cul de ta femme Nadjib, et tu n’y pourras rien ! ..... hurlait Charles avec véhémence.

Stéphane s’était retiré de la bouche de ma femme et giflait son visage avec sa bite en semi-érection.

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– Nadjib, veux-tu être un bon gars et nettoyer de la langue le foutre qui s’écoule de la chatte de ta petite femme ?.... me demanda Stéphane hilare.

Je m’installais entre les cuisses de Charles, et enfouissais mon visage dans l’entrecuisse de Djamila pour tenter de lui nettoyer le gazon.

Charles qui la fourrait en cul ne me facilitait pas la tâche, mais je parvins à introduire ma langue dans sa foufoune et je léchais de mon mieux les sucs qui l’engorgeaient.

Je m’écartais et me rassis, regardant Charles continuer à enculer âprement Djamila.

Il se tenait à ses miches coulissant de toutes ses forces dans son anus tuméfié.

Soudain je vis ses doigts s’inscrire dans la peau tendre de ses nibards, et il augmenta encore le rythme de ses coups de boutoir.

J’espérais dans l’intérêt de Djamila qu’il ne tarderait pas à gicler.

– Bordel je jouis salope ! .... hurla Charles les yeux sortis de la tête.

Il resta enfoui dans ses intestins, le temps de cracher sa semence au fin fond de son tunnel rectal.

Il y eut quelques instants de relaxation, ensuite il m’ordonna de m’étendre sur le lit, Djamila dut s’accroupir sur mon visage et je dus nettoyer son trou du cul alors qu’elle suçait sa bite.

J’avalais la crème grumeleuse qui s’écoulait du trou du cul de ma femme. Charles était encore pire que le croyais.

– Tu m’as vraiment bien nettoyé la bite pute...... Mais j’ai envie de pisser maintenant ! ....

– Tiens bien son cul Nadjib..... Ne bougez plus ! ..... Ouvre bien ta bouche salope ! ..... entendis-je Charles commander.

– Non... Non... je luttais pour m’exprimer, mais Charles l’obligeait à s’asseoir sur mon visage, étouffant mes cris.

Stéphane arriva de derrière et m’immobilisa les bras.

– S’il vous plait ne vous servez pas de ma femme comme urinoir ! ..... pensais-je frénétiquement.

Mais j’entendis alors Charles ordonner :

– Avale salope, et avale tout ou gare à tes mignonnes petites fesses ! ....

Et ce fils de pute se mit à lui pisser dans la bouche, la forçant à avaler le flot acide ! ....

Un peu de pisse s’écoula sur son visage, sur ses miches et son estomac, me gouttant sur le front.

Quand ils la relâchèrent, elle suffoquait, elle se rua dans la salle de bain et claqua la porte.

Tu peux redescendre au rez-de-chaussée maintenant, elle va terminer sa nuit entre nous deux.

– Nous partirons demain matin, elle devra venir au bureau demain à 16 heures...... Daniel a organisé une petite fête et ta femme en est la vedette.... me révéla Charles plié de rire.

Mais avant de repartir regarder ta télé, rapporte-nous de nouvelles bières, celle-là est chaude maintenant.

Djamila s’occupe des collaborateurs de son mari

Le lendemain matin, lorsqu’ils quittèrent la maison, j’entrais dans la chambre pour voir Djamila.

Elle gisait sur notre lit, draps tirés çà ses pieds. Elle me dit platement :

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– Tu sais probablement ce que tu dois faire, alors nettoie ma chatte avec ta langue, puis laisse-moi récupérer ! .... J’ai pris une journée de congé, et réglé la sonnerie du réveil sur midi... je dormirai mieux une fois que tu m’auras bouffé la chatte ! ......

Elle ferma les yeux et se relaxa tandis que j’entamais ma tâche coutumière, me régalant du foutre des différents hommes qui venaient de la baiser. Je sentis que cela l’excitait ; elle posa les mains sur ma tête et me pressa étroitement le visage sur sa foufoune embrasée, je savais qu’elle ne tarderait pas à jouir ! .....

– Lèche-moi... Suce..... Bouffe leur sperme ! .... hurlait-elle terrassée par un violent orgasme.

Je la quittais pour me rendre à mon boulot, une fois arrivé, je sentis tout de suite que quelque chose avait changé, le bureau bourdonnait autour de moi, mais on ne me fit pas de confidences.

Tout ce que je savais, c’est que Djamila devait venir vers 16 heures, Charles m’en avait prévenu.

Le Ressenti de Djamila :

Je m’éveillais à midi au son du réveil, j’avais dormi entièrement nue, c’était quelque chose que je n’avais jamais fait auparavant.

Je détestais Nadjib de m’avoir entraîné dans cette galère, mais je savais que nous devions rester ensembles, et que je l’aimais toujours, bien que je sois choquée, hébétée, furieuse.

De plus, j’avais occasionnellement mouillé à la pensée de ces nombreux hommes qui possédaient mon corps.

Je détestais ce que je devais faire, mais je le faisais.

Je ne l’aurai jamais admis, mais Stéphane savait que j’avais joui lorsqu’il avait projeté son foutre au fin fond de mon intimité.

Que m’arrivait-il ? ....

J’avais tout autant joui sous les assauts des jeunes étudiants dans la chambre du motel, ils avaient des bites tellement raides, et de plus ils avaient envie de moi ! ....

À 45 ans, des jeunes gaillards de 19, 20 ans me trouvaient toujours séduisante, attirante …

J’aurai aimé le penser, mais ce n’était certainement que le besoin de fourrer leurs bites dans un trou accueillant. Ils avaient ainsi usé et abusé de mes trois orifices ! ....

Alors que je chevauchais un jeune noir, empalée sur sa bite épaisse (je la sentais bien au fond de mon intimité), le jeune aux cheveux crépus m’avait enculé, alors qu’un blondinet se faisait la bite à pleine bouche.

C’est fou le plaisir que je prenais à me sentir simultanément emplie par ces trois grosses bites.

Et cela dura toute la nuit, ils me tiraient les cheveux et me baisaient à couilles rabattues, pinçant mes tétons, les suçant tout en m’enculant et me baisant.

Je perdis le décompte de ceux qui me sautèrent ; mais je sais que beaucoup me prirent à plusieurs reprises. Je devais bien avouer que j’avais joui plus souvent qu’à mon tour, bien qu’il me fût difficile de le reconnaître.

– Baisez-moi ! ....

C’était certainement les mots que j’avais prononcés le plus souvent au cours de cette folle nuit.

Je me refusais à me conduire ainsi, mais c’était plus fort que moi ! ...

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Oh mon Dieu ! ... Si la cassette de mes exploits tombait sous les yeux de mes enfants ! ...... Jamais ! ... Je ne pouvais pas le permettre ! ..... Je devais faire tout ce que je pouvais pour que cela ne puisse pas arriver ! ..... Je ne pouvais plus revenir en arrière et reprendre mon ancienne vie ! ... Ce salaud me contrôlait totalement ! ....

Oh non, voilà que je vais devoir me faire baiser par mon principal ! ..... Par le passé, il avait déjà insisté pour que nous devenions amants ! ..... Mais j’avais toujours refusé ! .... Je lui répondis que je le verrai le lendemain... Lorsque ce sera arrivé, peut être ferai-je mieux de chercher un autre poste, peut-être même dans une autre ville ! .....

En tout cas je serai bichonnée cet après-midi, Daniel m’a pris rendez-vous chez le masseur, l’esthéticienne, la manucure et la pédicure.

Je devais me préparer pour me rendre dans les bureaux de Nadjib.

Il m’avait fait envoyer une nouvelle tenue, était-ce un bien ou un mal, je l’ignorai encore.

La situation était horrible, je me demandais bien ce que Daniel allait me faire endurer dans les bureaux de mon mari …

Le ressenti de Nadjib :

Il était presque 16 heures et l’on m’avait dit de rester au bureau.

La salle de repos se situe hors du local. J’avais remarqué que plusieurs de mes collègues s’étaient rassemblés dans cette salle.

J’entendis du bruit à l’extérieur et je me penchais par la fenêtre. Daniel escortait Djamila, l’entraînant vers la salle de repos. Elle était ravissante.

Elle portait une élégante jupe rouge très courte, elle devait porter un soutien-gorge pigeonnant, ses seins étaient limite tombants. Sa jupe était fendue sur le côté, on pouvait ainsi entrapercevoir le haut de ses bas et son porte-jarretelles.

Cette jupe était bien trop courte pour elle, elle avait tout d’une pute.

Stéphane la fit entrer dans la salle de repos et referma la porte. Quelques minutes plus tard, mon téléphone sonnait. C’était Daniel.

– As-tu vu comme Djamila était élégante ? ..... me demanda-t-il suavement.

– Je l’ai aperçue brièvement... lui répondis-je à un ton neutre.

– Elle est en train de faire des pipes dans la selle de repos, mais tu n’es pas invité à participer à cette petite fête ! .... se marrait Daniel cruellement.

– On m’a dit que certaines femmes aimaient se faire bouffer la chatte par une autre femme... Cela démarrera à 19 heures, à l’hôtel habituel... Elle a des passes de 45 minutes en 45 minutes jusque 23 heures ! ...... Après cette heure tous ceux qui voudront la baiser le pourront sans prendre de rendez-vous ! ..... Tout le monde ne sait pas que c’est ta femme ! .... mais ils auront tous le droit de se servir de son corps à partir de ce jour, à moins que je ne la réserve pour d’autres tâches bien sûr ! ..... J’ai pensé que tu aimerais savoir où se trouve ta femme ! ..... Cela répond-t-il à tes questions ? .....

Djamila reprend son récit :

Je ne parvenais pas à croire que je puisse me sentir aussi bien, et voilà que maintenant je suçais les collaborateurs de mon mari à la chaîne alors que beaucoup d’autres amateurs attendaient leur tour en ligne devant moi.

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Daniel m’avait fait enlever ma robe, je ne pouvais donc pas la tacher ! ..... Il m’avait ôté mon soutien-gorge, mes seins pendaient librement sur mon buste.

Je pense que chaque homme, et... Chaque femme me sucèrent les nibards, malaxèrent ma croupe et caressèrent ma foufoune.

Bien sûr, je ne portais pas de petite culotte, juste des bas montant haut sur les cuisses et un porte-jarretelles.

J’étais maintenant assise sur une chaise pivotante, quelqu’un m’avait jeté une serviette. , j’en étais reconnaissant à l’auteur de ce geste, je ne pense pas que j’aurai pu rester encore longtemps agenouillée, tout au moins pas suffisamment de temps pour éponger tous ces hommes et femmes.

Je ne faisais qu’obéir aux ordres de Daniel.

Je léchais leurs hampes, leurs burnes puis j’embrassais le méat avant de les emboucher. Tout en le suçant, je regardais le sucé droit dans les yeux.

Je l’accueillais aussi profondément que le pouvais au fin fond de ma gorge, et lui parlais vulgairement chaque fois que je ressortais sa bite pour respirer un bon coup.

S’il était lent à éjaculer, je suçais l’un de mes doigts, lui faisais une gorge profonde et enfonçais mon doigt dans son trou du cul alors que lui pelotait lascivement les burnes de l’autre main.

Je suis contente que Daniel soit satisfait de mes services. Je sais que je dois sucer tous ces hommes dans les deux heures et demie à venir, parce qu’il doit m’emmener ailleurs ensuite, on doit partir à 18 heures 30.

Puis ce sera au tour de cette femme, les hommes se moquent d’elle, apparemment c’est une gouine, mais je n’ai jamais accepté de bouffer la minette d’une autre femme... Mais je dois m’y résoudre ! .....

– Oh... Il gicle... Je l’avais oublié celui-là... Il gicle sur mes nibards...... Je dois le reprendre fermement en bouche... Avaler..... Ne pas penser à ce qui me coule dans la gorge..... M’efforcer de montrer que j’adore leur foutre ! .... Rien qu’à penser aux doses que j’ai déjà avalé ! .... J’en frémis ! ....... Il me gifle maintenant le visage et les nichons avec sa grosse bite ramollie..... Il est en train de détruire mon maquillage ! .....

– Bon allez au suivant ! ....

– Rappelle-toi Djamila, désormais t’es la pute de la compagnie ! .....

Djamila prend soin de l’assistante du grand patron

Récit de Djamila :

Cependant je suçais un autre homme je ne connaissais pas. C’était le cinquième que je pompais, la suivante était une femme.

Il avait une belle bite, j’en devenais toute humide en promenant ma langue sur son méat, l’agaçant de la pointe, avant de l’enfourner à pleine bouche.

Je ne l’ai sucé qu’un court laps de temps, il était vraiment pressé d’éjaculer.

J’avalais du foutre pour la cinquième fois cet après-midi, seules quelques traînées ornaient mon menton et mes tétons. Je faisais de mon mieux pour en avaler la plus grosse dose.

Il me semblait que faire de mon mieux était la seule façon d’écourter mon épreuve, je me demandais si je pouvais deviner es pensées en le regardant droit dans les yeux, eh oui, ses yeux le trahissaient, il allait jouir.

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Lèvres serrées sur sa hampe, j’avalai jets après jets sa chaude semence.

Au tour de la femme maintenant, ce n’était qu’un nouveau corps, cela ne changeait rien. Elle était un peu trop ronde, juste comme moi, mais elle avait un regard viril, elle prétendait être un homme sans queue ! .....

– Je m’appelle Agnès... me dit-elle. Laisse-moi essuyer ce foutre sur ton menton..... comme ça... Et maintenant suce mon doigt ! ..... Ça c’est une bonne fille ! ..... J’aime voir les filets de foutre qui marbrent tes nichons ! ...... Je suis sûre que tu en auras beaucoup plus que ça d’étalé sur les miches avant fin de l’après-midi ! .... As-tu déjà bouffé des chattes ma chérie ? .... Allons dans les toilettes, ces salauds n’ont pas besoin de nous regarder faire ! .....

Elle prit ma main et m’entraîna dans les toilettes, sous les rires et les regards salaces de ces collègues, je reçus quelles bonnes claques sur les fesses alors que je passais devant mes futurs consommateurs.

Plus d’un s’écriait :

– Ce n’est pas du jeu... On veut la voir te brouter le minou ! ......

– Oh, mon Dieu, prends sur toi, Djamila..... me fustigeais-je.

Je sentais mes yeux se remplir de larmes ! ....

Je me trouvais dans les toilettes de la salle de repos, uniquement vêtue d’un porte-jarretelles, de bas et de hauts talons, les nichons couverts de foutre me tenant droite, alors que des doigts épais s’insinuaient dans mon fourreau embrasé.

– Pose le pied sur le siège des WC, je vais goûter à tes charmes... m’intima Agnès.

Je me secouais et lui obéissais.

– J’aime mieux ça, tu me sembles bien nerveuse, angoissée..... C’est vraiment la première fois que tu te gouines, n’est-ce pas ? ....

– Oui... avouais-je d’une voix tremblante, de grosses larmes ruisselant sur mon visage.

– Eh bien, je suis drôlement contente que cela arrive dans les chiottes de la salle de repos..... Avec cette bande d’hommes qui te connaissent et connaissent ton mari attendant à la porte, sachant ce qui se passe...... Des hommes que tu viens de sucer, ou que tu suceras dans un court laps de temps... Des hommes qui peuvent te baiser comme bon leur semble..... Des hommes avec lesquels tu devras prendre plaisir à satisfaire leurs appétits les plus pervers ! ..... soulignait Agnès avec âpreté.

Elle se tenait maintenant à genoux entre mes cuisses, léchant et titillant ma chatoune affolée.

Je pensais qu’elle adorait que je crie alors qu’elle me manipulait lubriquement.

– C’était excellent ! ... commenta Agnès me fixant droit dans les yeux. Veux-tu goûter à tes fragrances ? ....

Ce n’était pas vraiment une question, Agnès se saisit de ma tête et introduisit sa langue dans ma bouche, me tenant fermement alors que sa langue explorait ma bouche.

– Ouvre la bouche en grand ! ... m’ordonna-t-elle.

Elle me cracha dans la bouche.

Qu’allait-il encore m’arriver ensuite ? ......

– Tu ferais mieux de t’agenouiller pour t’occuper de moi maintenant... m’avertit Agnès suavement.

Elle dégrafa sa jupe, l’enleva en un éclair ainsi que sa petite culotte de dentelle blanche.

Je vis que sa chatte était inondée de cyprine lorsqu’elle m’enjoignit de lui bouffer le gazon.

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– Plonge ta langue profondément dans ma chatte ! .... me commanda-t-elle.

Sa jute semblait plus douce et moi salée que le foutre des hommes.

– Il faudra que tu apprennes à mieux caresser les femmes, je suis l’assistante de Daniel, et comme il est très pervers, il m’a promis que je pourrais me servir de toi à ma guise ! ..... Tu devras me donner un max de plaisir, tu m’as bien compris petite salope ! ... Pour l’instant, savoure mon jus ! .....

Elle jouit dans ma bouche et son jus s’écoula à torrent, je pensais qu’elle n’arrêterait donc jamais de secréter sa jouissance alors que je lui suçais consciencieusement la foufoune.

Je savais pertinemment qu’elle jouissait, d’autant plus qu’elle sentait à quel point le fait de lécher la chatoune d’une autre femme m’humiliait, me faisait honte, on m’avait toujours enseigné qu’il s’agissait là d’un acte contre-nature.

– Une dernière chose... me confia Agnès … Daniel m’a dit que tu lui léchais délicieusement le trou du cul ! ..... Eh bien occupe-toi du mien aussi bien ! ..... Si tu veux que je me satisfasse de tes services ! ....

Sur ces mots elle se retourna, se pencha en avant projetant son gros cul sous mes yeux révulsés.

Je pointais ma langue et m’exécutais servilement.

Récit de Nadjib :

Daniel m’informa par téléphone que Djamila avait fini de sucer mes collaborateurs ainsi que son assistante Agnès qui était profondément satisfaite de ses services.

Il ajouta, explosé de rire, que ses mâchoires étaient douloureuses... Le fils de pute !!

C’était déjà assez humiliant que Djamila ait dû cesser tous les membres de mon équipe, mais si je devais en plus supporter ses plaisanteries salaces ! ....

Je compris que Djamila devait se trouver dans une chambre d’hôtel, et que les employés de la compagnie savaient laquelle, et qu’une sélection d’employés pourrait user et abuser de ses charmes en privé.

Ensuite, la chambre serait ouverte aux amateurs de tous poils.

Elle devait se montrer très coopérante, et baiser avec tous les amateurs de ses charmes.

Quelle que soit la façon dont ils voulaient la posséder, en bouche, en con ou en cul, elle devait se montrer coopérante et enthousiaste.

– Combien devrait-elle endurer de rapports ? .... me demandais-je avec angoisse.

Daniel me rappela plus tard pour me dire qu’il avait pris quelques photos qu’il allait me faire parvenir par mail.

Il me prévint un peu plus tard, que les choses avaient un peu dérapé et qu’après une dizaine d’amateurs, les autres ne voulurent plus attendre plus longtemps, et qu’ils étaient en train de la partouser alors même qu’il me téléphonait.

Djamila chevauchait une bite, tout en s’efforçant de branler deux autres et de sucer un troisième.

Il prit son temps pour m’informer que Manuel, un des gardiens de la société, se préparait à enculer Djamila, Daniel était curieux de voir si elle pourrait s’occuper de 5 hommes à la fois.

Il m’envoya quelques photos prises dans cette chambre d’hôtel.

Daniel la ramena à la maison à 4 heures le lendemain matin.

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Elle portait une robe de chambre de l’hôtel. Elle était couverte de foutre de la tête aux pieds, visage, cheveux nichons, cuisses, ventre... Aucun endroit n’avait été épargné.

– Lorsque je leur ai dit que je devais la ramener chez elle, Ils ont tenu à tous lui éjaculer en chœur sur le ses appâts avant de la quitter ! .... Il aurait fallu que tu voies ça ! ..... Du foutre jaillissait de nombreuses bites... Je pense qu’ils voulaient la transformer en gâteau à, la chantilly ! .... Cela lui va bien, ne penses-tu pas ? ....

Djamila est livrée à des gouines

Récit de Djamila :

Daniel vient de m’appeler en m’ordonnant de le rejoindre au bureau après les classes.

C’est la première fois qu’il me contacte depuis l’épisode de l’hôtel.

J’en avais conservé une chatte douloureuse et meurtrie pendant un bon bout de temps.

J’avais été extrêmement humiliée de me retrouver allongée sur un lit, jambes grandes écartées, les hommes formant une queue pour me baiser l’un après l’autre.

Ils semblaient adorer me voir pleurer lorsqu’ils plongeaient leurs épaisses bites au fin fond de ma foufoune endolorie.

Je n’étais plus qu’un trou, ou plutôt plusieurs trous dont ils pouvaient abuser à satiété.

Je n’étais plus qu’une poupée gonflable.

– Baisez-moi... baisez-moi à couilles rabattues ! .... m’avait-t-on ordonné de leur dire.

– J’aime, c’est si bon, baisez-moi encore ! ....

Ils riaient de mes cris aigus, je pense qu’ils appréciaient me voir étouffer lorsque leurs bites projetaient des flots de foutre au fin fond de ma gorge ! .....

Un à la fois ne leur suffit bientôt plus.

Aussi se mirent-ils à me partouser en chœur, je ne pouvais m’y opposer.

Je dus enfourcher une bite tendue qui se planta dans ma chatte tandis qu’une autre s’enfonçait dans mon trou du cul, et qu’une troisième forçait ma bouche.

Je dus aussi branler énergiquement deux salopards, tandis que les trois premiers me prenaient sauvagement par mes trois trous.

Chaque fois que je délaissais leurs bites, ils me frappaient sauvagement sur les fesses, parfois sur les nichons ou en plein visage.

Nadjib voyait à quel point j’étais lasse et meurtrie, alors que je m’étais méticuleusement nettoyée avant de retourner au lycée.

Mes traits étaient marqués, heureusement que le maquillage estompait mes cernes, le principal adorait mon apparence, c’est tout ce que je pouvais faire en attendant de me faire culbuter dans son bureau après les cours.

Mon principal est un de mes tourmenteurs réguliers désormais, il me rejoint au moins deux fois par semaine à la maison.

Je dois ensuite téléphoner à Daniel pour lui rapporter les détails de ma séance de baise.

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Nadjib doit me lécher la chatte et bouffer le sperme de mon baiseur, tandis que je converse au téléphone avec Daniel, et je dois m’assurer qu’il s’acquitte avec soin de sa tâche.

Généralement je jouis à nouveau alors qu’il me broute le gazon, tandis que je raconte ma petite affaire à Daniel.

Daniel adore m’entendre changer de ton lorsque je jouis sous les caresses d’un tiers.

Deux semaines s’étaient écoulées depuis le dernier épisode dans la chambre d’hôtel, et je gagnais maintenant les bureaux de Daniel.

Agnès son assistante se trouvait avec lui.

Je pensais que je me serai bien passée de sa présence, j’étais sur le point de chialer lorsque je la vis.

– Hello Djamila... me salua Agnès jovialement, J’ai visionné la vidéo de ta performance dans la chambre d’hôtel ! ....

Oh mon Dieu, non... Je ne vais pas me mettre à pleurer... Je dois me retenir ! ..... Je ne pourrai plus m’arrêter ! ....

– C’était excellent ! ... ajouta Agnès à l’adresse de Daniel, Djamila a l’air d’aimer jouer dans ces films ! .....

Elle entreprit de déboutonner mon corsage, je me tenais debout face à elle et la laissais faire. Je suppose que j’aurai laissé faire n’importe qui. Cette attitude plaisait énormément à Daniel.

Maintenant Agnès suçait mes nichons, l’un après l’autre.

– Remonte ta jupe salope ! ... m’intima-t-elle brutalement, alors que Daniel se régalait la vue.

Elle se mit à frotter ma chatte, elle me semblait être en transe.

Agnès m’embrassait à pleine bouche, enfonçant sa langue dans ma bouche, elle léchait les larmes qui coulaient sur mes joues, elle repoussa mes épaules en arrière.

Je ne sais pas comment cela s’est passé réellement, c’est comme si je me trouvais sur une autre planète.

Et voilà que maintenant je lui bouffais la chatte, pénétrant profondément de la langue sa foufoune comme elle me l’ordonnait.

Daniel me giflait les joues de sa bite raidie.

Agnès s’assit sur une chaise.

J’étais à quatre pattes, je léchais, suçais et langottais profondément sa fentine odorante.

Daniel me flagellait le cul de sa bite brandie.

Soudain, il enfouit son épaisse mentule dans mon intimité, alors que j’enfonçais de plus en plus profondément la langue dans la grotte inondée de cyprine d’Agnès.

Elle me tenait par les cheveux alors que son jus coulait avec abondance dans ma bouche.

Daniel se vida les couilles dans ma chatte, alors que toilettais la chatoune de son assistante.

– Tiens-toi droite, Djamila, entendis-je soudain Agnès m’ordonner.

J’obéissais, elle me tendit une paire de bas à résille et m’intima de les enfiler, puis elle me donna une micro jupe noire puis un petit corsage se boutonnant devant.

Elle me l’enfila sans le boutonner, elle serra juste un lien sous mes nibards, elle compléta ma tenue avec une paire de hauts talons noirs.

– Impeccable ! ... savoura-t-elle.

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Daniel s’approcha de moi, un collier de chien de cuir noir orné d’étoiles en argent à la main.

Il me le mit au cou.

J’avais envie de pleurer ! ....

– Tu auras tout ton temps pour pleurnicher après cette nuit ! ... me sourit cruellement Agnès.

Daniel lui tendit une laisse noire qu’elle accrocha à mon collier avant de me traîner hors du bureau.

Les sifflets et les commentaires les plus salaces saluèrent mon passage, tenue en laisse par Agnès, dans les bureaux, la plupart de ces hommes m’avaient vu nue, la plupart m’avaient baisée.

Agnès ouvrit la porte de sa voiture, je m’installais sur le siège avant.

– Remonte ta jupe avant de t’asseoir... m’intima-t-elle rudement. Ouvre tes cuisses et branle-toi pendant la route...

Elle me caressait les nibards et la chatte à chaque arrêt.

Je n’avais aucune idée de l’endroit où l’on se rendait.

Elle se gara devant un élégant bar, elle saisit ma laisse et me fit marcher devant elle.

Nous entrâmes dans le bar, je remarquais qu’il ne s’y trouvait que des femmes. À l’exception de quelques rares hommes très efféminés qui servaient les consommations.

– Oh non, elle m’avait emmené dans un bar à gouines, et me présentait comme son esclave ! .....

Agnès prit place à une grande table et me posta à ses côtés. Rapidement plusieurs curieuses nous rejoignirent

– Tout d’abord les filles, voici Djamila ! ... me présenta Agnès.

– Elle est là pour vous donner du bon temps ! ....

Les femmes sourirent et hochèrent la tête, visiblement ravies.

Agnès tira sur ma laisse et me fit agenouiller à côté d’elle.

– Montre-leur tout ce que tu sais faire ! .... m’intima-t-elle en me poussant sous la table.

Je faisais le tour sous la table, elles remontèrent tour à tour leurs jupes, écartèrent les cuisses et me pressèrent la tête sur leur pubis tandis que je leur broutais servilement le minou, leur jus coulait à flots dans ma bouche asservie.

J’avais droit à une lampée d’eau après chaque broutage, mais elles ne me laissèrent pas me relever avant d’avoir sucé les cinq femmes.

Je fus finalement autorisée à m’asseoir à côté d’Agnès.

– N’est-ce pas là une bonne salope ? .... les interrogea Agnès.

Elles opinèrent toutes ensemble. Agnès tendit la laisse à la grosse bonne femme qui avait le sexe le plus odorant.

– Fais-en ta chienne ! .... lui dit Agnès alors qu’on m’emmenait aux toilettes.

En chemin, la grosse bonne femme fit signe à une jeune fille de nous suivre.

Une fois installées dans les toilettes, la grosse bonne femme me fit prendre place dans un des cabinets, la jeune fille, d’environ 20 ans, s’assit sur le siège et enleva sa petite culotte.

Ma jupe fut relevée et je dus me retourner, j’eus le temps de voir que la grosse femme portait un leurre attaché à une sangle autour de la taille.

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Sans aucune pitié, elle l’enfourna à sec dans ma chatte, elle pinçait mes nibards, me tirait les cheveux tout en me tenant un discours extrêmement dégradant, m’enjoignant de faire jouir de la langue la jeune fille qui pressait mon visage contre sa foufoune.

Chacune leur tour, les quatre autres femmes en firent de même, je pleurais à chaudes larmes maintenant, rien ne pouvait être pire pensais-je au fin fond de moi-même, j’étais vraiment reconnaissante envers Daniel de m’avoir lubrifié auparavant.

J’étais meurtrie de partout, mes genoux étaient en feux, mes nichons rouges et enflés, alors qu’Agnès me ramenait à sa voiture.

Elle jouait avec mes charmes tout en conduisant.

Elle s’arrêta dans une rue du quartier le plus crade de la ville.

– Sors de la voiture ! .... m’ordonna-t-elle sèchement.

– Pourquoi, que dois-je encore faire ? .... l’interrogeais-je anxieusement.

– Ton ticket de retour est fixé à 250 € ! .... me prévint-elle hilare.

– Quel ticket ? ...

– Le ticket qui te permettra de réintégrer dans la voiture pour que je te ramène chez toi ! .... m’expliqua Agnès suavement

– Regarde bien ces femmes, et fais comme elles ! ....

J’avais remarqué quelques femmes, qui semblaient des prostituées, arpentant le trottoir non loin de la voiture. Je savais maintenant que je devais les imiter.

– Regarde bien comment elles s’y prennent..... Tu dois aller de long en large en essayant d’attirer l’attention des conducteurs qui roulent lentement, demande leur comment elles appâtent leurs clients, et fais de ton mieux pour gagner ton ticket de retour, et maintenant dehors, et au boulot ! ....

Comme je déambulais le long du trottoir, le vent soufflait sur ma chatte dénudée, ma jupe descendait à peine sous la raie des fesses et mes nibards pendaient mollement au-dessus du lien qui tenait mon corsage.

Une voiture bleue se gara à côté de moi.

Je m’approchais alors que le conducteur descendait sa vitre.

– Une petite douceur ? ... lui demandais-je, c’était dur de reprendre mon souffle alors qu’il démarrait.

L’esclavage sexuel de nos deux héros se poursuit

Récit de Nadjib :

Djamila est maintenant devenue officiellement une prostituée.

Elle m’a dit qu’elle avait gagné ses premiers 250 € sous la houlette d’Agnès.

Elle a sucé et a baisé avec son premier client dans sa voiture alors qu’ils stationnaient derrière un bâtiment vers de la ville, il lui a donné 100 €. Il lui a donné €100 !

Elle l’avait sucé pendant qu’il conduisait lentement dans le quartier.

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Sa bite avait gonflé, gonflé, jusqu’au moment où il avait largué quelques gouttes de pré-semence dans la bouche de Djamila, c’est alors qu’il s’était garé derrière le bâtiment et qu’il l’avait enfourchée allongée sur le siège arrière, il lui avait peloté les nichons à nu tout le temps de sa performance, n’importe quel passant aurait pu se rendre compte qu’elle se faisait baiser à l’arrière d’une voiture.

Puis elle avait de nouveau arpenté la rue et s’était entendue avec une paire de jeunes gaillards qui se firent sucer, elle dut avaler la fumée.

L’un des deux la doigta la durée de la pipe (elle ne s’attendait pas à cela) qu’elle accordait à l’autre. Il lui commanda de fermer étroitement sa bouche alors qu’il déversait des torrents de foutre dans son arrière-gorge.

Le second gicla tout de suite, et couvrit son visage de foutre chaud et gluant avant de retourner dans sa bouche pour qu’elle lui tarisse les burnes.

Puis elle appartint à un petit vieux bedonnant, il n’avait que 60 €, elle le suça pourtant et se fit baiser à sa convenance, sachant qu’elle pourrait retourner chez elle ensuite.

Sa bite était courte et grasse, il ne l’avait pas lavée depuis longtemps.

Elle eut du mal à guider sa queue dans sa chatte dans l’étroite voiture, elle avait bien du mal à le garder en elle, il la prit à la taille la serrant contre son ventre tandis qu’il la possédait.

Sa bouche était juste à hauteur de ses nibards qu’il suçait et mordillait frénétiquement, il lui laissa des marques rouges sur les aréoles.

Agnès l’emmenait travailler en ville au moins une fois par semaine, généralement le vendredi soir. Plusieurs fois elle m’emmena avec elle.

Elle faisait descendre Djamila et elle se garait la voiture, et on la regardait assurer ses passes.

La première fois que je la vis grimper dans la voiture d’un étranger, cela me tracassa réellement. J’étais extrêmement gêné.

Rien que de la voir déambuler le long de la rue, les nibards et les fesses bien à l’air, me choquait profondément.

Lorsqu’elle se penchait par la vitre des voitures, je savais que ses nibards étaient libres de toute entrave, et je voyais ses futurs clients les empoigner comme pour estimer la marchandise.

Agnès me fit acheter des préservatifs pour Djamila.

Elle a utilisé 12 capotes vendredi dernier, c’est le maximum de clients qu’elle se soit fait en une nuit.

Elle rapporta environ 800 € cette nuit-là.

Agnès lui prend tout l’argent, elle en donne une partie à un maquereau local qui autorise Djamila à arpenter « ses rues ».

Ce souteneur, un véritable colosse noir, se tape Djamila lorsqu’il le désire.

Un couple de semaines plus tôt, il l’a baisée sur le siège arrière de sa voiture alors qu’Agnès et moi étions stationnés à quelques mètres.

Il possède une bite très épaisse, très longue et très noire.

Djamila rejoignit la voiture d’Agnès une fois qu’il en eut fini avec elle, il ne s’était pas servi de capote, c’est un des rares à ne pas en employer.

Mercredi dernier, une nuit que Djamila allait habituellement à la mosquée, Agnès la convoqua à sa maison.

Tout ce que je savais c’est qu’elle organisait une partie lesbienne, Djamila suça, lécha, baisa des femmes et fut baisée par elles ?

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Elle revint à la maison sa chatte et son trou du cul très enflés, rouges et béants.

Elle me dit que les femmes étaient bien pires que les hommes ! ......

Djamila avait été parfois partousée lorsque Daniel ou Agnès en avaient décidé ainsi.

Elle participa à une partouse avec 8 hommes, et à une autre avec 6 femmes.

Daniel lui a dit qu’il lui préparait un énorme gang-bang sans rien lui préciser de plus.

J’ai assisté au gang-bang avec 8 homes, bien sûr je n’ai pas profité des charmes de ma femme, je devais regarder et sucer les mecs pour leur rendre leur vigueur. Les sucer ou les branler à la main pour leur conserver une vigueur de bon aloi.

Djamila avait démarré le gang-bang en dansant pour eux tout en s’effeuillant, puis à genoux elle les avait tous sucés alors qu’ils s’étaient mis en cercle l’encerclant de bites impatientes.

Puis elle s’était étendue sur un matelas, avait écarté ses cuisses, ouvert sa foufoune et avait demandé

– A qui le tour ? ....

Puis ils s’étaient succédé en elle, au minimum un en chatte et un en bouche.

Elle commença par s’allonger sur un homme étendu au sol, ainsi son trou était facilement utilisable.

Elle parvint même à recevoir en même temps, deux bites dans sa cramouille et plus tard, deux dans son trou du cul.

Je n’aurai jamais pu croire qu’elle y parvienne, mais étant là je les voyais faire.

Certain de mes collègues participaient à cette partouze, quelques-uns me firent sucer leurs queues après qu’ils aient pris Djamila en cul, j’avalais tout, cela donnait un peu de répit à Djamila tout en diminuant le volume de foutre qu’elle devrait avaler.

Presque chaque nuit, un membre de la boite l’appelait pour la baiser, elle se rendait parfois chez eux, le plus souvent ils venaient chez nous.

Ils aimaient baiser ma femme dans notre lit conjugal, alors que j’attendais au salon qu’ils en aient fini avec elle.

Ils étaient très déçus lorsque Daniel ou Agnès l’emmenait en virée.

Djamila me demandait à chaque fois de lui bouffer le minou lorsque ses « amants » nous quittaient, parfois même devais lui brouter le minou sous leurs yeux égrillards.

Je pense que ces hommes adoraient me voir avaler la semence d’un tiers engorgeant la chatoune de Djamila.

Djamila reprend le récit :

J’étais joliment fatiguée après ces exploits, la nuit dernière, deux collègues de Nadjib ne partirent que bien après minuit.

Ils ne partirent qu’une fois que je leur ai totalement vidé les burnes en les suçant et en les accueillant dans mon con et mon cul.

Non seulement je me faisais baiser à tour de bras par de grosses bites et d’épais vibromasseurs, mais de plus je passe beaucoup de temps à leur lécher le cul.

Au début cela me révulsait, mais maintenant cela fait partie de mes pratiques ordinaires.

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Je me fais ensuite copieusement lécher par Nadjib, puis je tombe épuisée dans les bras de Morphée une fois que j’ai joui.

Je suis tout aussi capable de faire jouir rapidement une femme maintenant, et je peux avaler la cyprine d’une femme qui me lèche.

Agnès me fait porter un plug anal tous les jours, elle m’en fait porter de plus en plus gros, elle dit qu’elle veut que mon trou du cul bée en permanence, ce qui facilitera facile l’enculage par une énorme bite ou un monumental godemiché.

Très souvent, j’ai aussi un leurre enfoncé dans la chatte, la combinaison des deux rend ma démarche aléatoire alors que je bande mes sphincters pour les garder en moi.

Les hommes semblent aimer me voir évoluer ainsi harnachée, Agnès et ses amies aussi.

Samedi prochain doit avoir lieu le gang-bang avec de nombreux participants, Daniel m’a dit qu’il avait invité 40 participants qui voulaient tous jouir de tous mes trous......

Ah oui, et ce soir je reprends mon boulot en arpentant de nouveau les rues à la recherche de clients ! .....

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