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N°110 Septembre-octobre 2013
Le Lien
Bulletin d’information de la Paroisse Protestante d’Illkirch
Paroisse Protestante d’IllkirchPasteur Jean-Marc Heintz1, place du Temple 67400 Illkirch-Graffenstaden03 88 66 12 60 [email protected]@protestants.org
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Une petite bourgade autour
d’une église, sur les bords de
l’Ill, à laquelle Sainte Odile
aurait attribué des terres et
des droits de pêche, telles
sont les plus lointaines
origines de la commune
d’Illkirch. Au Moyen Age,
elle faisait partie du Saint
Empire romain germanique,
jusqu’à ce qu’elle soit donnée
en fief à la Ville de
Strasbourg, en 1418.
Après le culte de Pâques de
1528, Illkirch adhéra à la
Réforme. Mais sous le règne
de Louis XIV, l’église dut
faire place aux deux
confessions, le chœur étant
réservé à la messe et la nef au
culte luthérien, jusqu’en
1865. Après cette date, elle
revint de nouveau à la seule
paroisse protestante.
L’histoire de notre église
connut donc plusieurs
bouleversements, à l’image
du destin mouvementé de
l’Alsace. Il faut venir la voir,
la vivre, la comprendre ;
aucune description ne pourra
jamais remplacer ce
cheminement personnel.
Entre 1961 et 1980, sous le
ministère du pasteur Eckly,
eurent lieu d’importants
travaux de restauration qui
s’achevèrent par la pose de
nouveaux vitraux, modernes,
magnifiques, nés de l’étroite
coopération de deux artistes
alsaciens : Roger Muhl et
René Werlé. Car si le lieu est
important par l’Evangile qui
y est annoncé, l’édifice
participe aussi, à sa manière,
au témoignage. Une beauté
épurée favorise en effet le
recueillement et élève l’âme
vers Dieu.
TEMPLE D’ILLKIRCH : LE VITRAIL DU BAPTEME
En entrant, à notre droite, le
premier vitrail attire nos
regards dans une dynamique
de dunes, de vagues et de
rayons divins. Quelle
simplicité, mais quelle force
en émanent ! L’homme
debout, tout de verticalité, qui
relie le ciel et la terre, c’est
bien sûr Jésus-Christ…mais
c’est aussi l’Homme nouveau
que nous sommes appelés à
devenir.
Regardons et entendons, nous
qui vivons dans un monde
fermé, comme disait le
peintre Chagall : fermé par le
bas, refusant les limites de
notre condition de créatures,
et fermé par le haut, refusant
de reconnaître la
transcendance de Dieu.
Voulant être les maîtres
absolus de notre destin, nous
nous sommes coupés de la
source de vie et sommes
devenus les prisonniers du
monde artificiel que nous
avons bâti.
Regardons, et entendons :
« Tu n’as pas été créé faible et
misérable, mais fort et libre !
Dès le jour de ton baptême, je
t’ai choisi et je t’ai aimé.
J’ouvre devant toi un chemin
de vie, suis-le, et ton monde
deviendra plus fraternel et
plus heureux. »
Lorsque vous entrez dans
cette église, que la lumière du
jour ruisselle jusqu’à vous à
travers ce vitrail du Baptême,
comme un chant d’espérance
et un hymne à la vie !
Eva Clapies
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Dans ce numéro, nous abordons la
question du baptême, un des deux
sacrements des églises protestantes.
Il est célébré, le plus souvent peu de
temps après la naissance d'un
enfant. Une tradition protestante
pousse souvent les familles à ne pas
célébrer le baptême aussitôt après la
naissance mai bien de 6 mois à trois
ans.
Le baptême est une manière de
rendre grâce à Dieu du don de
l'enfant, une forme de rite de
passage accompagnant les familles
dans ce qu'elles vivent de plus beau.
La signification du baptême n'est
pas toujours évidente et surtout très
diverse! Et les demandes des
familles se situent souvent entre
magie (demande de protection de
Dieu envers le nouveau-né) et
respect de la tradition familiale.
L'aspect biblique et ecclésial passe
au deuxième plan s'il n'est
simplement pas dénié.
Le baptême d'un petit enfant reste
pourtant un rite religieux très
pratiqué. Les demandes, en tout cas
dans notre paroisse, ne faiblissent
pas. Le nombre de baptêmes par an
est stable (environ une dizaine).
Il apparaît que le baptême demeure
un rite important, même s'il s'est
souvent désolidarisé de son sens
religieux : d'où, pour quelques
familles le besoin de demander un
baptême « républicain ». Leur
demande demeure attachée à un
rite de passage mais vidée de tout
sens religieux. D'ailleurs, dans le
langage courant on parle de
« baptême de l'air », de « baptême
du feu » etc...
Dans le même sens sécularisé,
depuis quelques années, nous
recevons des demandes de
« débaptême »... Des personnes
exigent qu'on raye leur inscription
des registres de baptême en signe
de rupture radicale d'avec une
institution qu'elles ne
reconnaissent plus. Acte extrême
qui montre l'incompréhension
totale de ce qu'est un baptême.
Nous espérons que ces quelques
lignes vous aident à réfléchir et
vouloir approfondir le sens de ce
sacrement devenu si banal...
JMH
Edito
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Au début de l’église, au IIème
siècle, les chrétiens se réunissaient
dans des maisons particulières,
généralement dans la vaste demeure
romaine d’un chrétien aisé. La salle
de bain ou la piscine servait pour les
baptêmes. Le rituel du bain d’eau
était hérité du judaïsme. Mais, au
sens traditionnel de conversion et de
purification, s’est ajouté une
signification nouvelle : celui
d’opérer la renaissance en esprit,
par la participation du baptisé à la
mort et à la résurrection du Christ.
Nous connaissons bien les rites du
baptême à Rome à partir du IIIème
siècle grâce à la Tradition
apostolique d’Hyppolite. Le
candidat devait être présenté par des
chrétiens qui se portaient garants du
sérieux de sa démarche. Il devait
renoncer à certains métiers liés à
l’idolâtrie ou à des comportements
immoraux. La préparation
comportait un enseignement
dogmatique et moral (catéchèse)
qui pouvait durer trois ans. A la fin
de la période, la conduite du
candidat était examinée. Le
vendredi qui précédait le baptême,
les catéchumènes jeûnaient. Le
samedi, l’évêque leur imposait les
mains. Il les exorcisait en soufflant
sur leur visage et leur faisait le signe
de croix sur le front, les oreilles et
les narines. Ils devaient veiller toute
la nuit du samedi au dimanche en
écoutant des lectures.
C’est à la fin de la nuit pascale que
les rites baptismaux commençaient.
Le baptême se faisait par immersion
totale, en trois fois. Avant chaque
immersion, le diacre posait une
question : « Crois-tu en Dieu, le
Père – au Christ Jésus, Fils de Dieu
- en l’Esprit saint dans la sainte
Eglise ? » Le baptisé répondait « Je
crois ». L’évêque faisait l’onction
d’huile et lui imposait les mains.
Après l’avoir signé au front, il lui
donnait le baiser en disant : « Le
Le baptême au début de l’ère chrétienne
Seigneur soit avec toi. » et le
baptisé répondait : « Et avec ton
esprit ».
Avec le baptême, les péchés
étaient pardonnés, mais on ne
devait plus jamais en commettre.
En cas de péché grave, un
nouveau pardon était possible,
mais seulement une fois, à la
suite d’une pénitence très
pénible. Il s’ensuivit que la
plupart des catéchumènes
repoussaient le jour du baptême
jusqu’à leur lit de mort ! Ce fut le
cas de l’empereur Constantin.
Le rituel concernait avant tout les
adultes, mais les enfants étaient
fréquemment baptisés avec leurs
parents. Cela indigna Tertullien,
l’évêque de Carthage : « On ne
naît pas chrétien, on le devient ! »
Ce n’est qu’à partir de Saint
Augustin, qui développa la
théorie du péché originel, que le
baptême des nourrissons fut
ressenti comme une nécessité.
Eva Clapies
Baptêmes dans le Jourdain
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« Ou bien ignorez–vous que nous
tous, baptisés en Jésus Christ, c'est
en sa mort que nous avons été
baptisés? Par le baptême, en sa
mort, nous avons donc été ensevelis
avec lui, afin que, comme Christ est
ressuscité des morts par la gloire du
Père, nous menions nous aussi une
vie nouvelle. Car si nous avons été
totalement unis, assimilés à sa mort,
nous le serons aussi à sa
résurrection. Comprenons bien ceci:
notre vieil homme a été crucifié
avec lui pour que soit détruit ce
corps de péché et qu'ainsi nous ne
soyons plus esclaves du péché. »
(Romains 6: 3-5 ). Ainsi celui qui
reçoit le baptême est uni à Jésus-
Christ. Les premiers baptêmes
étaient des baptêmes par
immersion, comme le baptême de
l’Eunuque (Actes 8 :36). Plongé
dans l’eau, le croyant renaît à une
vie nouvelle., lié au Christ il est
libéré du péché et reçoit le salut
éternel. Le baptême est le
commencement de la marche de la
foi. Si « nous ne sommes plus
esclave du péché », notre nature
humaine nous y pousse encore.
Toute la vie doit être comprise
comme une vie de baptême ; c'est-à-
dire que chaque jour, nous pouvons
remettre à Dieu nos peurs et nos
enfermements.
Lorsque nous baptisons un enfant,
nous ne nions pas que l’enfant
puisse y répondre par la foi. En
effet, la foi est un acte de confiance,
et l’enfant n’est-il pas l’exemple
même de la confiance ? N’attend-il
pas tout de ses parents,
simplement, naturellement. Luther
déclare dans son Grand
catéchisme : « ma foi ne fait pas le
baptême, mais elle reçoit le
baptême». Le baptême est
étroitement lié à la foi, et il ne
devient opérant que quand elle s’y
ajoute. « Ainsi le baptême est le
signe de l'entrée dans l'alliance que
Dieu a conclue avec son peuple
dès les origines et que dans sa
fidélité, il renouvelle de génération
en génération.» (extrait de la
liturgie du baptême) .
Emmanuelle Dysli
Etre baptisé
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Dans les divers rites chrétiens, lebaptême dérive du bain rituel juif(mikvé) et s'appuie sur unsymbolisme que Carl Gustav Jung(psychologue suisse) et biend'autres psychanalystes rapprochentde la vie intra utérine , l’immersionévoquant tout à la fois noyade,purification, mort et (re-)naissance.Sacrement pratiqué dans la plupartdes religions sur des jeunes enfantsou des adultes, il permet de faireentrer un enfant dans lacommunauté religieuse à laquelleaspirent les parents. Baptêmescatholiques, protestants etorthodoxes se ressemblentbeaucoup, alors que baptêmesmusulmans et israélites diffèrent parles gestes symboliques lesaccompagnant.Le baptême protestant ressembleétroitement au baptême catholique(rite de l’eau), mais se célèbre leplus souvent plus tardivement quepour les enfants catholiquesgénéralement baptisés bébé. Chezles protestants évangéliques il estcourant de laisser une personnechoisir à partir du moment où celle-ci en est apte : il s’agit donc moinssouvent d’un engagementuniquement pris par les parents,parrain et marraine. Ils pratiquentplutôt le baptême par immersiontotale tout comme dans lesanciennes religions à mystères chezles grecs.Chez les catholiques, le baptême secélèbre au cours d’une messe qui luiest spécialement consacrée. Premiersacrement de la vie chrétienne, il est‘’la porte des six autressacrements’’ institués par l’Eglise(eucharistie, confirmation,réconciliation, mariage, ordre,onction des malades). Aujourd'huil'Église latine pratiqueessentiellement le baptême paraspersion (versement d'une petitequantité d'eau sur la tête), lesÉglises byzantines préférant le
baptême par immersion totale oupartielle (en grec, baptême signifieplongée).Un baptisé dans la foi orthodoxequi se convertit au catholicisme n'apas à se faire rebaptiser, et vice-versa.Le baptême orthodoxe ressemblebeaucoup au baptême catholique,mais s’en différencie dans lesgestes utilisés par le célébrant pourmarquer le sacrement. L’enfant estbaptisé environ un an après sanaissance. Une période de six joursdoit s’écouler entre le baptême etl’ablution. Lors de cette nouvellecérémonie, le prêtre arrose avec del’eau la ceinture et les linges del’enfant, puis l’enfant lui-même.Pour terminer la cérémonie, ilcoupe quelques cheveux del’enfant sur la nuque, le front et lescôtés de la tête.Chez les musulmans, il ne s’agitpas réellement d’un baptême car iln’y a pas de cérémonie dans unemosquée. A la naissance d’unbébé, on se penche à son oreilledroite en prononçant l’Adhan (ouappel à la prière), et dans l’oreillegauche on récite ensuite l’Iqamah,annonçant que l’office de prière estprêt à commencer. A l’âge de septjours l’enfant reçoit son prénomchoisi parmi ceux de la famille duprophète Mahomet. La tête dubébé est rasée, symbole depurification. Famille et amis seréunissent pour une petite fête. Lacirconcision, non obligatoire, estnéanmoins pratiquée souventavant cinq ans, à la maison, etaccompagnée de grandesréjouissances pour famille et amis.Le baptême israélite diffère selonle sexe de l’enfant et la traditiondes parents (Séfarade ouAshkénaze) .A sa naissance legarçon reçoit sur son propre corpsles signes de l’alliance que sonpeuple a contractée avec Dieu autemps d’Abraham : c’est la
Religions …….et Baptêmes
circoncision, effectuée par unspécialiste (le mohel) à l’âge dehuit jours, à la maison ou à lasynagogue. Pour une fille, lanaissance s’accompagne d’usagesdifférents selon la tradition : chezles Séfarades, présentation àl’office du samedi à l’âge d’unmois, le rabbin bénissant l’enfantet lui donnant son nom hébreu, etchez les Ashkénazes, petite fête àla maison, le père ou le rabbinlisant le premier verset de la Torah,le berceau étant soulevé trois fois,tandis qu’on donne son prénom àl’enfant.Le baptême républicain, oubaptême civil, à l’opposé de tousces baptêmes religieux, est destinéà faire entrer un enfant dans lacommunauté républicaine et à lefaire adhérer de manièresymbolique aux valeursrépublicaines : on célèbre sa venueau monde sans connotationreligieuse. Sa pratique remonte àl’époque de la séparation del’Eglise et de l’Etat, à savoir larévolution française. C’est undécret du 20 prairial an II, 8 juin1794, qui l’a institué.L’importance de l’eau dans lebaptême est bien réelle, le signe del’eau étant celui de la vie (pas devie possible sans eau) et faisant dubaptême le signe de la mort aupéché. Ce signe d’eau est mêmesigne de vie éternelle, dont lasource est Dieu. L'usage rituel del'eau se rattache à son symbolismenaturel, exprimant désintégrationet régénération. «L'ablution d'eauprécédait les principaux actesreligieux, préparant ainsil'insertion de l'homme dansl'économie du sacré» (MircéaEliade, historien roumain desreligions). Ainsi, le baptême d’eautraduit bien l’importance de laspiritualité de l’eau et de sasymbolique.Claude Lacour
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Passé
Mercredi 29 mai, les
enfants des écoles
primaires étaient invités
à une journée
consistoriale, à
Plobsheim.
Samedi 8 juin, marche paroissiale
Barbecue de fin d’année, dimanche 30 juin, un immense
merci aux familles (Barthel, Haefele, Ott, Fritsch, Remund
et Schandel) qui ont organisé cette fête!
Le pasteur d’Ichenheim (d’un jumelage en vue…)et son
épouse étaitent des nôtres.
Pendant la première semaine des vacances, “l’église
aérée” a vécu de beaux moments avec les enfants (et à
la fin, avec les parents!). Merci à Gilles qui organisait
ce temps, une dernière fois.
Célébration oecuménique de l’Inspection,
à Furdenheim. Les chorales d’Illkirch et
d’Eckbolsheim ont participé à cette
rencontre, le 25 août.
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NewsLes paroisses protestantes et catholiques ont créé avec la communauté musulmane d’Illkirch
une association inter-religieuse, dénommée « l’olivier » (Amitiés islamo-chrétiennes
d’Illkirch-Graffenstaden). Une première Assemblée Générale s’est tenue le 3 mai, à
l’Illiade. Il a été proposé de s’inviter les uns les autres à des manifestations communautaires,
de mettre sur pied un calendrier inter-religieux et de faire circuler dans nos lieux une
exposition présentant nos religions.
Les orgues de l’église protestante de Plobsheim viennent d’être rénovées. Nous sommes invités à un concert
exceptionnel comme inauguration de ce nouvel instrument, le dimanche 8 octobre, à 15h.
Le Conseil Protestant de Strasbourg en partenariat avec le Ciarus a invité le pasteur François Clavairoly,
successeur de Claude Baty à la tête de la Fédération Protestante de France, à nous faire part de sa vision du
protestantisme français et de ce qu'il espère entreprendre pour une meilleure compréhension et collaboration
entre les églises.
François Clavairoly prendra ses fonctions au lendemain du grand rassemblement à Paris de Protestants en
Fête.
La conférence aura lieu le lundi 21 octobre, à 20 heures au CIARUS, 7 Rue Finkmatt, Strasbourg .
Sarah Sarg, nouveau pasteur de Graffenstaden, prendra ses fonctions le 1er septembre prochain.
Originaire de la paroisse d’Illkirch où elle a vécu jusqu’à ses 11 ans, elle a poursuivi ses études à la faculté de
théologie protestante de Strasbourg. Elle a fini sa formation en étant stagiaire à Dorlisheim puis a été, durant
deux années, pasteur dans la vallée de la Bruche, dans les paroisses de Neuviller-la-Roche et Rothau.
La date de son installation dans la paroisse de Graffenstaden est prévue le dimanche 22 septembre prochain
à 15h, à l’église « Sous les Platanes ». Cordiale invitation à tous.
Claude Parmentier, 58 ans,marié, deux fils, soignant aux hospices universitaires de Strasbourg, ancien
président et conseiller presbytéral de la paroisse du Neuhof-Stockfeld, stagiaire comme lecteur/prédicateur. Il
viendra prêcher une fois par mois jusqu’au printemps.
Le pasteur baptiste Martin Slabbenkoorn quitte ses fonctions à Illkirch. Un culte d’envoi aura lieu à la chapelle
baptiste, rue Messmer, le samedi 1er septembre, à 15h.
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A venir
CatéchismeRencontre avec les parents, le vendredi 13 septembre, à 20
heures, à la salle paroissiale. Nous ferons le point sur le
calendrier, les camps et autres manifestations de l’année.
Les prochaines dates de catéchisme (provisoires):
. 14 septembre, de 10h à 13h (avec repas préparé par une
famille volontaire…), puis participation au culte à 10 h le
lendemain
. 5 et 6 octobre
. 13 octobre (fête de paroisse)
. 16-17 novembre
. 7-8 décembre
. 24 décembre (veillée)
Trois temps “bibliques”:. Lepremier mardi, 14 h, lectures des livres “historiques”
(Samuel, Rois…)
. Le jeudi soir, découverte des textes “apocryphes”
(évangile de Thomas, protévangile de Jacques,
Didachê…), littérature chrétienne des premiers temps de
l’Eglise mais rejetée.
. Le mercredi soir: les théologiens du XX° siècle (Barth,
Bultmann, Tillich etc…).
Culte de rentrée: 15 septembre
Fête des Moissons: 6 octobre, apporter
des fruits et légumes!
Culte de la Réformation: 27 octobre
Culte en souvenir des défunts: 3
novembre
Fête de la paroisse, le dimanche 13
octobre.Culte au temple d’Illkirch; apéritif, repas,
stands et animations diverses au Foyer
Protestant, Sous les platanes, comme l’année
dernière.
Nous organisons volontiers un covoiturage. Il
est aussi possible de vous chercher à domicile.
Contacter le secrétariat.
S’inscrire impérativement: les places sont
limitées…
L’école du Dimanche se poursuivra, une fois par mois, le
dimanche pendant le culte. Venez et amenez vos enfants!
Les dates: présentation de l’équipe et du programme le
dimanche 15 septembre.
Les autres dates: 6 octobre, 17 novembre, 8 décembre.
Kaffekränschen… Un doux nom qui sent bon le café et les
gâteaux… Nous vous invitons, si vous avez le temps, le
jeudi après-midi, une fois mar mois, à vous joindre à nous
pour partager, raconter, manger quelques parts de gâteaux
et boire café ou thé.
. 17 octobre, 28 novembre et 19 décembre, à partir de
14h30.
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