le cap ferrier lullin 2001

1
I leCOP p,g"+ : M"#âszvtrss§*tr §es ffip*$rm§âæKx.§ Reboplisé ttSupport boncoire & logistique», I'onrien ttDéporlemenl Adminislrolion & logis- lique» lonçoit ou mois d'oclobre une nouvelle orgonisotion dons Ie codre d'un périmètre modi- fié (voir tlosh du l" oriobre). A relle ocrosion, le setieur «Administrotion bonroire»» changeoit égolement d'oppellotion et devenoil Ies « Opérotions ». Au-delù des évolulions sémontiques - qui conlroitemenl uux opporences exprimenl bien souveni un chungemenl d'otienlolion ou d'élot d'espril -, [e (op loir le point ovec Rolf Leber, responsoble du secleut, sur les lrons- fotmolions en courr uuiourd'hui ou niveou des 6 servites: Opérolion sur Tilres-Revenus Voleurs/Administrotions IUlorrhés et Dérivés/Administrolion litres/Administrolion Espères/ (oisse/Contrô!e des lronsoclions-lnvestigolions/Iorificotion. ,1 " ,;r; VU {'tT-{'f' {{L.l I à l}11'tlr rr t L' l, i'ei r\'{}iL}lllr11* (l r}rsülil- ntlliort 'lu .trk'irt'0lj: I Pendant 1 5 mois nous nous étions efforcés, à tout les niveaux de l'ex-Administration bancaire, de régulariser et fia- biliser nos diverses fonctions, de stabiliser les processus des activités et d'établir une com- munauté d'intérêt comprise et cohérente - le service à nos clients internes - entre les dif- ferentes équipes. Une fois ces objectifs atteints, nous étions mûrs pour concrétiser une deuxième étape de notre développement, et c'est ce que nous avons entamé. Nous avons vraiment décloisonné les équipes en mettant les col- laborateurs en attitude « d'in- telligence collective », favori- sant une approche événemen- tielle et proactive dans notre façon de travailler. De plus, pour dépasser nos habitudes, nous nous devons de réinven- ter le métier en cherchant à interfacer rapidement les meilleures prestations sur notre plate-forme et à garantir la qualité d'exécution de nos prestations, en ne limitant pas notre prestation à une simple transformation de commande en produit fini. En lern:e de rna::age- nrent. le choir cl'ér:la{.er la "clruciure en plusieurs entités et en créanl ]a ". I il0[lr]ll ile {'u-rP:püll- I I . .l . 1, ... 7 rillllP: t-:l-l J .lütlli'lrtl\ I En éclatant la structure en plu- sieurs entités, nous avons encouragé la focalisation des équipes sur des expertises spé- cifiques, pour améliorer les prestations que nous devons assurer, et nous avons ainsi, par la force des choses, élargi l'équipe responsable de notre mission. En terme de management, I'idée de « co-responsabilité d'entité » complète cette volonté de spécialisation et d'implication. Elle comporte en effet plusieurs atouts: elle favorise et pousse à Ia coopé- ration et l'innovation, facilite la rapidité de réaction et encourage les synergies de compétences. Ainsi, pendant qu'un responsable assure l'opérationnel au quotidien, son collègue prépare l'avenir à travers la réalisation de pro- jets, d'implémentation de nouveaux produits et de ratio- nalisation des processus, autant de tâches qui deman- denr des disponibilirés diffé- rentes et adaptées. L'inter- activité entre les co-respon- sables est ainsi stimulée grâce à la confrontation des réalités présentes et futures. Cette organisation de responsabili- tés partagées doit également contribuer à accélérer le per- fectionnement des collabora- teurs et à intensifier la polyva- lence. T,e rjémér: agemeilt \rer.q Ir','omplere Piu'r'r-- [;rlio nt râ-i-il 1i);às ÿer1u,:!.,er Ill lt rtttse e:t lllir{'r'rle tetlr' organisati*:r'l Non, bien au contraire. Une fois que les équipes seront géographiquement regrou- pées au sein du même espa- ce, une gestion encore plus dynamique s'activera naturel- lement. Ce mode de fonction- nement coopératif sera mar- qué par une disponibilité accrue envers nos « clients internes » du f ront. Un pro- gramme de formation sera par ailleurs proposé à tous les collaborateurs du secteur dès le printemps, pour renforcer encore une culture de support que tous ces changements contribuent à mettre en place et à encourager. Rolf Leber: <<En éclatant la struc- ture en plusieurs entités, nous avons encouragé la focalisation des équipes sur des expertises spécifiques ». r\tt | !:l11r !ê nf{-}I,tiê :11 É"' ' L/ritlt t! l,rU{ tr! .tri lIi:. ,','ollr. ;;rttl ]p-,,r'i,,f i1g5 YULTJL lUiil rL-1 yr rril d'dr,*lnùi*$ de cetle {}r$§l.lisati$r} ? Afin de répondre aux exigences de notre stratégie qui prône le concept d'architecture ouverte, nous devons par définition ren- forcer encore notre maîtrise de différents types d'opérations et être capable de transformer rapidement les besoins en nou- veaux services ou produits fiables. A cette effet, nous développons notre modèle opérationnel en allant au-delà d'une simple logique d'exécu- tion, en garantissant en quelque sorte une plate-forme d'opérations ouverte haute- ment professionnelle, notam- ment en envisageant de tirer parti du portail UBS. I

Upload: rolf-leber

Post on 22-Jan-2018

229 views

Category:

Economy & Finance


1 download

TRANSCRIPT

IleCOP p,g"+ :

M"#âszvtrss§*tr §es ffip*$rm§âæKx.§

Reboplisé ttSupport boncoire & logistique», I'onrien ttDéporlemenl Adminislrolion & logis-lique» lonçoit ou mois d'oclobre une nouvelle orgonisotion dons Ie codre d'un périmètre modi-

fié (voir tlosh du l" oriobre). A relle ocrosion, le setieur «Administrotion bonroire»» changeoit

égolement d'oppellotion et devenoil Ies « Opérotions ». Au-delù des évolulions sémontiques -qui conlroitemenl uux opporences exprimenl bien souveni un chungemenl d'otienlolion ou

d'élot d'espril -, [e (op loir le point ovec Rolf Leber, responsoble du secleut, sur les lrons-

fotmolions en courr uuiourd'hui ou niveou des 6 servites: Opérolion sur Tilres-Revenus

Voleurs/Administrotions IUlorrhés et Dérivés/Administrolion litres/Administrolion Espères/(oisse/Contrô!e des lronsoclions-lnvestigolions/Iorificotion.

,1 " ,;r;VU {'tT-{'f' {{L.l I à l}11'tlr rr

t L' l,i'ei r\'{}iL}lllr11* (l r}rsülil-

ntlliort 'lu .trk'irt'0lj: I

Pendant 1 5 mois nous nousétions efforcés, à tout les

niveaux de l'ex-Administrationbancaire, de régulariser et fia-biliser nos diverses fonctions,de stabiliser les processus desactivités et d'établir une com-munauté d'intérêt comprise etcohérente - le service à nosclients internes - entre les dif-ferentes équipes. Une fois ces

objectifs atteints, nous étionsmûrs pour concrétiser unedeuxième étape de notredéveloppement, et c'est ceque nous avons entamé. Nousavons vraiment décloisonnéles équipes en mettant les col-laborateurs en attitude « d'in-telligence collective », favori-sant une approche événemen-tielle et proactive dans notrefaçon de travailler. De plus,pour dépasser nos habitudes,nous nous devons de réinven-ter le métier en cherchant à

interfacer rapidement les

meilleures prestations surnotre plate-forme et à garantirla qualité d'exécution de nosprestations, en ne limitant pas

notre prestation à une simpletransformation de commandeen produit fini.

En lern:e de rna::age-

nrent. le choir cl'ér:la{.er

la "clruciure en plusieurs

entités et en créanl ]a". I

il0[lr]ll ile {'u-rP:püll-I I . .l . 1, ... 7rillllP: t-:l-l J .lütlli'lrtl\ I

En éclatant la structure en plu-

sieurs entités, nous avonsencouragé la focalisation des

équipes sur des expertises spé-

cifiques, pour améliorer les

prestations que nous devonsassurer, et nous avons ainsi,par la force des choses, élargil'équipe responsable de notremission.En terme de management,I'idée de « co-responsabilitéd'entité » complète cettevolonté de spécialisation etd'implication. Elle comporteen effet plusieurs atouts: elle

favorise et pousse à Ia coopé-ration et l'innovation, facilitela rapidité de réaction etencourage les synergies de

compétences. Ainsi, pendantqu'un responsable assure

l'opérationnel au quotidien,son collègue prépare l'avenir à

travers la réalisation de pro-jets, d'implémentation de

nouveaux produits et de ratio-nalisation des processus,

autant de tâches qui deman-denr des disponibilirés diffé-

rentes et adaptées. L'inter-activité entre les co-respon-sables est ainsi stimulée grâce

à la confrontation des réalitésprésentes et futures. Cetteorganisation de responsabili-tés partagées doit égalementcontribuer à accélérer le per-fectionnement des collabora-teurs et à intensifier la polyva-lence.

T,e rjémér: agemeilt \rer.q

Ir','omplere Piu'r'r-- [;rlio

nt râ-i-il 1i);às ÿer1u,:!.,erIlllt rtttse e:t lllir{'r'rle tetlr'

organisati*:r'l

Non, bien au contraire. Unefois que les équipes serontgéographiquement regrou-pées au sein du même espa-ce, une gestion encore plusdynamique s'activera naturel-lement. Ce mode de fonction-nement coopératif sera mar-qué par une disponibilitéaccrue envers nos « clientsinternes » du f ront. Un pro-gramme de formation serapar ailleurs proposé à tous les

collaborateurs du secteur dèsle printemps, pour renforcerencore une culture de supportque tous ces changementscontribuent à mettre en placeet à encourager.

Rolf Leber: <<En éclatant la struc-ture en plusieurs entités, nousavons encouragé la focalisationdes équipes sur des expertisesspécifiques ».

r\tt| !:l11r !ê nf{-}I,tiê :11 É"' 'L/ritlt t! l,rU{ tr! .tri lIi:.

,','ollr. ;;rttl ]p-,,r'i,,f i1g5YULTJL lUiil rL-1 yr rril

d'dr,*lnùi*$ de cetle

{}r$§l.lisati$r} ?

Afin de répondre aux exigencesde notre stratégie qui prône le

concept d'architecture ouverte,nous devons par définition ren-forcer encore notre maîtrise de

différents types d'opérations et

être capable de transformerrapidement les besoins en nou-veaux services ou produitsfiables. A cette effet, nousdéveloppons notre modèleopérationnel en allant au-delàd'une simple logique d'exécu-tion, en garantissant en

quelque sorte une plate-formed'opérations ouverte haute-ment professionnelle, notam-ment en envisageant de tirerparti du portail UBS. I