l’insertion des diplômés professionnels jeunesse et...
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L’insertion des diplômés professionnels Jeunesse et Sports rapport de l’enquête 2016/2017
DRDJSCS Rhône-Alpes - mars 2018 Mission d'appui au pilotage 245, rue Garibaldi 69422 Lyon cedex 03 Courriel : [email protected] Site internet : www.auvergne-rhone-alpes.drjscs.gouv.fr Crédits photo : Istockphoto
DRDJSCS Auvergne - Rhône - Alpes
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La DRDJSCS Auvergne - Rhône - Alpes a enquêté les 2 377 personnes ayant obtenu dans la
région un diplôme professionnel dans le sport et l’animation sur l’année 2016/2017.
Les femmes sont minoritaires et ne représentent qu’un tiers des diplômés. Certains diplômes
ne comptent même aucune femme parmi leurs diplômés (DEMM guide de haute montagne,
DESJEPS sport ou encore les BPJEPS activités de la pêche et du cyclisme. A l’inverse, le
BPJEPS activités équestres est presque exclusivement (89%) délivré à des femmes. Les moins
de trente ans sont majoritaires parmi les diplômés (58%), ils représentent même plus des
deux-tiers (70%) des diplômés de niveaux cinq et quatre. Près de la moitié des diplômés
possédaient initialement un niveau scolaire supérieur au BAC. 18% des diplômés ont suivi
une formation par la voie de l’apprentissage et les deux-tiers des diplômés ont bénéficié d’une
aide financière pour leur formation. Presque tous les diplômés (82%) sont originaires
d’Auvergne-Rhône-Alpes.
Six mois après l’obtention de leur diplôme, presque tous les diplômes (85%) occupent un
emploi. 71% des diplômés sont sur des emplois dans le domaine du diplôme obtenu et les
deux-tiers des autres ont quand même une activité professionnelle dans le domaine du
diplôme obtenu. Les meilleurs taux d’insertion professionnelle dans la spécialité du diplôme
sont enregistrés sur les BPJEPS loisirs tous publics, AGFF et activités de la natation. A
l’inverse, le BAPAAT et le BPJEPS animation sociale présentent les plus faibles taux. 48%
des diplômés par la voie de l’apprentissage travaillent dans la structure de leur stage en
alternance.
Presque tous les emplois (97%) sont implantés dans les secteurs professionnels du sport ou de
l’animation Les trois-quarts des salariés n’ont qu’un seul employeur. Le secteur privé
commercial (entreprises, travailleurs indépendants) représente 40% des emplois, les
associations 34%. Près d’un emploi sur deux est implanté dans une structure de moins de cinq
salariés. Les emplois sont assez équitablement répartis entre les CDI ou titulaires de la
fonction publique, les CDD et les personnes travaillant à leur compte. Près des deux-tiers des
emplois reposent sur des temps pleins. Près des deux-tiers des contrats à temps partiel sont
subis. Le pourcentage d’emplois aidés est faible (12%) et en très net retrait par rapport à
l’enquête de l’année précédente (27% pour les 2015/2016).
Synthèse de l’enquête
DRDJSCS Auvergne - Rhône - Alpes
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Les objectifs de l’enquête étaient de mieux cerner le profil des diplômés Jeunesse et sports,
leur insertion professionnelle et les caractéristiques des emplois. Les enquêtés sont toutes les
personnes ayant obtenu un diplôme professionnel Jeunesse et sports en Auvergne - Rhône -
Alpes du 1er
mai 2016 au 31 avril 2017. Cette enquête est annuelle, elle est réalisée pour la
seconde fois à l’échelle de la nouvelle région Auvergne - Rhône - Alpes. 2 377 diplômés ont
été ciblés par l’envoi en ligne d’un questionnaire, 618 ont répondu (soit un taux de retours de
26%).
Niveaux d’homologation des diplômes :
niveau II
BEES 2 : Brevet d’Etat d’Educateur Sportif 2ième
degré
DESJEPS : Diplôme d’Etat Supérieur de la Jeunesse, de l’Education Populaire et des Sports
niveau III
DEJEPS : Diplôme d’Etat de la Jeunesse, de l’Education Populaire et des Sports
DEMM : Diplôme d’Etat des Métiers de la Montagne
niveau IV
BEES 1 AMM : Brevet d’Etat d’Educateur Sportif 1ième
degré - Accompagnateur
Moyenne Montagne
BPJEPS : Brevet Professionnel de la Jeunesse, de l’Education Populaire et des Sports
niveau V
BAPAAT : Brevet d’Aptitude Professionnelle d’Assistant Animateur Technicien
diplômes nbre retours
BAPAAT 16
AMM 6
BPJEPS Activités aquatiques et de la natation 54
BPJEPS Activités de randonnées 1
BPJEPS Activités du cirque 9
BPJEPS Activités équestres 42
BPJEPS Activités gymniques, de la forme et de la force 72
BPJEPS Activités nautiques 2
BPJEPS Activités physiques pour tous 66
BPJEPS Activités sports collectifs 26
BPJEPS Animation culturelle 4
BPJEPS Animation sociale 30
BPJEPS Plongée Subaquatique 18
BPJEPS Education a l'environnement 5
BPJEPS Escrime 2
BPJEPS Golf 3
BPJEPS Judo-jujitsu 4
BPJEPS Loisirs tous publics 41
BPJEPS Pêche de loisirs 2
BPJEPS Sport automobile 6
BPJEPS Vol libre 6
total BPJEPS 393
DEJEPS Animation socio-éducative ou culturelle 15
DEJEPS perfectionnement sportif 109
total DEJEPS 124
DEMM DE Alpinisme - guide de haute montagne 7
DEMM DE Ski - moniteur national de ski alpin 66
total DEMM 73
DESJEPS Performance sportive 4
DESJEPS Animation socio-éducative ou culturelle 2
total DESJEPS 6
total diplômes 618
Cadre de l’enquête
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Profil des diplômés
Pourcentage de femmes
Les pourcentages ont été calculés sur la totalité des 2 377 enquêtés.
Sur l’ensemble des diplômés, non seulement les femmes sont largement minoritaires (33%),
mais ce pourcentage est de surcroît en recul par rapport à celui enregistré sur l’enquête de
l’année précédente (39%).
Cette moyenne n’est pas représentative, masquant des très grandes disparités entre les
différents diplômes et options. Ainsi, on trouve certains diplômes presque exclusivement
féminins (BPJEPS équitation, animation sociale, animation culturelle, DEJEPS animation
sociale). On notera toutefois que la présence féminine est en recul par rapport à l’enquête
précédente pour le BPJEPS équitation (- 6 points) et le BPJEPS animation sociale (- 16
points). A l’opposé, des diplômes sont uniquement délivrés à des hommes (BPJEPS cyclisme
VTT, pêche, DESJEPS sport et DEMM guide de haute montagne). Pour le BPJEPS cyclisme,
il n’y avait déjà aucune femme parmi les diplômés 2015/2016.
Seuls quelques diplômes ont réussi un équilibre entre les hommes et les femmes (le
BAPAAT, les BPJEPS environnement et activités du cirque, le DEJEPS activités équestres et
le DESJEPS animation.
0%
0%
0%
0%
2%
5%
6%
7%
7%
7%
9%
10%
10%
11%
14%
17%
25%
26%
31%
33%
39%
42%
50%
50%
51%
54%
60%
61%
62%
67%
70%
71%
72%
89%
0% 20% 40% 60% 80% 100%
BPJEPS Activités du cyclisme VTT
BPJEPS Pêche de loisirs
DESJEPS Sport
DEMM Guide de haute montagne
DEJEPS Vol a moteur
BPJEPS Vol libre
BPJEPS Judo
DEJEPS Rugby à XV
DEJEPS Hockey sur glace
DEJEPS Tennis
BPJEPS Sport automobile
DEJEPS Basket ball
BPJEPS Plongée Subaquatique
AMM
BPJEPS Activités sports collectifs
DEJEPS Sports nature (Canoë kayak, Canyonisme, Escalade,…
DEJEPS Natation course
DEMM Ski
BPJEPS Activités physiques pour tous
BPJEPS Activités gymniques, de la forme et de la force
BPJEPS Activités aquatiques et de la natation
BPJEPS Education à l'environnement vers un…
DEJEPS Activités équestres (Sauts d'obstacles, dressage)
DESJEPS Animation
BAPAAT
BPJEPS Activités du cirque
DEJEPS Développement de projets, territoires et reseaux
BPJEPS Loisirs tous publics
DEJEPS Aviron
DEJEPS Patinage
DEJEPS Animation sociale
BPJEPS Animation culturelle
BPJEPS Animation sociale
BPJEPS Activites équestres33% des
diplômés sont des
femmes
DRDJSCS Auvergne - Rhône - Alpes
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Age Les pourcentages ont également été calculés sur la totalité des 2 377 enquêtés.
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Les diplômés sont plutôt très jeunes comme l’indique le poids des moins de trente ans sur les
BAPAAT (86%) et les BPJEPS (70%). Le DEJEPS se caractérise par une population
équilibrée entre les différentes tranches d’âge et le DESJEPS par une population âgée, un
diplômé sur deux ayant plus de 55 ans.
Par rapport à l’enquête précédente, la part des moins de trente ans est en très nette
augmentation pour le BPJEPS (+ 17 points) mais en très net recul sur le DEJEPS (- 24 pts) et
surtout le DESJEPS (- 47 pts).
Pourcentage de jeunes et de femmes par diplôme
5%
5%
9%
5%
5%
5%
14%
9%
45%
< 25 ans
25 - 29 ans
30 - 34 ans
35 - 39 ans
40 - 44 ans
45 - 49 ans
50 - 54 ans
> 55 ans
DESJEPS
Hommes
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Interprétation : parmi les diplômés du BPJEPS activités physiques pour tous, 31% sont des femmes, 75% ont moins de trente
ans. La signification des groupes est la suivante : HA pour hommes âgés, HJ pour hommes jeunes, MJ pour mixtes jeunes et
FA pour femmes âgées.
Le graphique ci-dessus permet de croiser pour chaque diplôme le pourcentage de femmes et
de moins de trente ans. On peut ainsi distinguer quatre groupes : HA, HJ, MJ et FA. Parmi les
diplômes présentant une forte prédominance d’hommes âgés, on trouve de nombreux sports
de nature (spéléologie, cyclisme, escalade, pêche, guide de haute-montagne, vol libre, vol à
moteur, canyonisme, plongée subaquatique). Les options socio-culturelles (animation sociale,
développement de projets).sont très présentes dans le groupe à prédominance de femmes
âgées Les diplômes surtout délivrés à des hommes jeunes concernent des sports traditionnels
(sports collectifs, judo, tennis). Les seuls diplômes cumulant un équilibre hommes/femmes et
jeunes/âgés sont les BPJEPS environnement et activités du cirque.
Apprentissage
diplôme % apprentissage
BAPAAT 37%
BPJEPS 24%
DEJEPS 9%
DEMM 14%
18% des diplômés
ont suivi une formation
par la voie de
l’apprentissage
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Dispense / équivalence totale de formation
Validation des Acquis de l’Expérience
38% 37%
22% 24%
18% 18% 14%
9%
0%
10%
20%
30%
40%
2015-2016 2016-2017
évolution pourcentage apprentissage
BAPAAT
BPJEPS
total diplômés
DEJEPS
18%
0%
9%
15% 14%
19%
26%
34%
0%
5%
10%
15%
20%
25%
30%
35%
40%
2015-2016 2016-2017
évolution pourcentage dispenses et équivalences
BAPAAT
BPJEPS
total diplômés
DEJEPS
diplôme % de diplômés ayant bénéficié
d’une dispense ou équivalence
totale de formation
BAPAAT 0%
BPJEPS 15%
DEJEPS 34%
DEMM 14%
diplôme % validation totale du
diplôme par VAE
BAPAAT 13%
BPJEPS 11%
DEJEPS 9%
DEMM 0%
9% des diplômés ont
obtenu leur diplôme par
une validation totale en
VAE
19% des diplômés
ont bénéficié d’une
dispense de formation
ou d’une équivalence
totale de formation
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Niveau scolaire
On note logiquement de fortes disparités entre les diplômes, la majorité (57%) des BAPAAT
avaient à l’origine un niveau scolaire inférieur au niveau IV alors que les deux-tiers des
DEJEPS possédaient au moins un niveau III. On note pour le BAPAAT une diminution de la
part des personnes ayant un niveau scolaire inférieur au niveau IV, 77% sur l’enquête
précédente et 57% pour les 2016-2017.
Autres diplômes professionnels dans le sport et l’animation
18%
13%
8%
11%
9%
14%
0%
5%
10%
15%
20%
2015-2016 2016-2017
évolution pourcentage obtention totalité diplôme par VAE
BAPAAT
BPJEPS
total diplômés
DEJEPS
5% 9%
41% 18%
27%
<CAP/BEP BEP, CAP ou équivalent
Bac ou équivalent Bac + 2
Bac + 3 et plus
19%
5% 2% 4%
38%
9% 7% 4%
25%
48%
26%
42%
6%
19%
18%
15%
13% 19%
47%
35%
0%
10%
20%
30%
40%
50%
60%
70%
80%
90%
100%
BAPAAT BPJEPS DEJEPS DEMM
Bac + 3 et plus
Bac + 2
Bac ou équivalent
BEP, CAP ou équivalent
<CAP/BEP
Près de la moitié (45%) des
diplômés 2016/2017 possédaient
un niveau supérieur au BAC avant
l’obtention de leur diplôme
professionnel. On constate encore
le faible pourcentage des niveaux
inférieurs au BAC (14% des
diplômés, 13% sur l’enquête
précédente.
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Interprétation : 50% des DEJEPS perfectionnement sportif possédaient déjà un autre diplôme professionnel dans le sport et
l’animation.
Le graphique permet de comparer par diplôme et spécialité la part de ceux qui possédaient
déjà un autre diplôme professionnel dans le sport ou l’animation (BPJEPS, BEES, CQP…).
On retrouve logiquement les plus forts pourcentages sur les DEJEPS , la plupart de ces
diplômés disposaient d’un diplôme de niveau inférieur (BEES, BPJEPS, BEATEP,
BAPAAT).
Pour les BPJEPS, un pourcentage élevé peut s’expliquer par la difficulté d’accéder à des
emplois à temps plein à l’année sur la seule spécialité du diplôme, la recherche d’un diplôme
complémentaire pouvant être nécessaire pour compléter les activités professionnelles à
l’année dans l’encadrement du sport et de l’animation. On peut être étonné de constater le fort
pourcentage (33%) enregistré sur le BPJEPS activités aquatiques et de la natation, un diplôme
permettant de travailler sur des temps pleins à l’année. Cela peut s’expliquer par le choix des
diplômés de diversifier leurs activités, en encadrant par exemple la natation uniquement sur la
période estivale et d’autres activités au cours de l’année.
On notera la présence significative des CQP parmi les autres diplômes professionnels
possédés.
Aide financière
14%
15%
15%
17%
20%
21%
24%
24%
25%
33%
43%
50%
0% 10% 20% 30% 40% 50% 60%
BPJEPS Animation sociale
BPJEPS sports collectifs
BPJEPS Loisirs tous publics
BPJEPS Activités équestres
BPJEPS plongée subaquatique
BPJEPS AGFF
BPJEPS Activités physiques pour tous
DEMM Ski
BAPAAT
BPJEPS Act. aquatiques et natation
DEJEPS ASEC
DEJEPS Perfectionnement sportif
29% des diplômés
possédaient déjà un
autre diplôme
professionnel dans le
sport ou l’animation
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En fonction du profil des formés (demandeurs d’emploi, salariés…), des aides financières
peuvent être accordées pour couvrir une partie ou la totalité des frais de la formation. Les
principaux financeurs sont les organismes paritaires collecteurs agréés (OPCA), le conseil
régional et pôle emploi.
Interprétation : les organismes paritaires collecteurs agréés (OPCA) représentent 27% du nombre total des aides
financières. Les diplômés peuvent bénéficier d’aides de plusieurs financeurs.
27%
10%
16%
27%
21%
répartition des aides par financeur
Conseil régional
Etat
Pôle emploi
Employeur/OPCA
Autre
diplôme % de diplômés ayant bénéficié
d’une aide financière
BAPAAT 69%
BPJEPS 66%
DEJEPS 64%
DEMM 72%
66% des diplômés
ont bénéficié d’une aide
financière pour leur
formation
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Lieu d’origine
On constate que la quasi-totalité (82%) des diplômés résidaient dans la région avant de suivre
leur formation. Les deux départements les plus pourvoyeurs sont l’Isère (14%) et le Rhône
(14%), loin devant les autres départements. Sur les diplômés qui résidaient hors région, aucun
département ne ressort véritablement.
Implantation géographique
département avant la formation de la formation de l'emploi actuel
1 4% 3% 4%
3 3% 5% 3%
7 4% 7% 4%
15 1% 2% 1%
26 4% 1% 4%
38 14% 18% 15%
42 4% 3% 4%
43 3% 2% 3%
63 8% 11% 8%
69 14% 25% 15%
73 8% 4% 9%
74 15% 16% 14%
hors région 18% 3% 15%
Insertion professionnelle
Le graphique ci-dessus détaille les différents statuts des diplômés déclarant être en emploi.
On notera que 11% d’entre eux cumulent le fait d’être en emploi dans la spécialité du
diplôme avec un autre statut (emploi autre, étudiant ou demandeur d’emploi).
16
303
95
51
0
55
27
19
0% 20% 40% 60% 80% 100%
BAPAAT
BPJEPS
DEJEPS
DEMM
Auvergne-Rhône-Alpes Hors région
4% 3% 4% 1% 4%
14%
4% 3%
8% 14%
8%
15%
18%
Ain
Allier
Ardèche
Cantal
Drôme
Isère
Loire
Haute-loire
Puy-de-dôme
Rhône
Savoie
Haute-savoie
hors région
72%
5% 3% 3%
16%
statuts des diplômés en emploi
emploi dans la spécialité dudiplôme
emploi dans la spécialité dudiplôme et emploi autre
emploi dans la spécialité dudiplôme et étudiant
emploi dans la spécialité dudiplôme et demandeurd'emploi
emploi autre
85% des diplômés
sont en emploi six mois
après l’obtention de leur
diplôme
Interprétation : parmi les diplômés ,4%
résidaient initialement dans L’Ain, 3% y ont
suivi la formation, 4% y travaillent
actuellement.
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Le graphique ci-dessous permet de comparer les statuts avant la formation et six mois après
l’obtention du diplôme. L’enquête harmonisée sur l’ensemble de la région Auvergne-Rhône-
Alpes depuis l’année dernière nous permet d’effectuer un cumul des deux enquêtes afin
d’avoir un volume plus important et dégager une tendance statistique plus lourde. L’analyse
des emplois (profil des employeurs, nature des contrats de travail…) concerne les emplois
dans le domaine du diplôme obtenu occupés actuellement par les diplômés 2016-2017.
Interprétation : Sur le cumul avec l’enquête de l’année précédente, les demandeurs d’emploi représentaient 27% de la
population initiale avant la formation et 12% six mois après l’obtention du diplôme. Pour l’enquête 2016-2017, les
demandeurs d’emploi représentaient 24% de la population initiale avant la formation et 11% six mois après l’obtention du
diplôme.
Pour les 2016-2017 comme sur le cumul des deux enquêtes, la population initiale était
équitablement répartie entre les quatre statuts. Le taux d’insertion professionnelle sur des
emplois dans la spécialité du diplôme est élevé (71% pour les 2016-2017, 68% sur le cumul).
Pour ceux qui occupent un emploi dans le domaine du diplôme obtenu, la quasi-totalité de ces
emplois (92%) relèvent des secteurs professionnels du sport ou de l’animation. Les trois-
quarts dépendent d’un seul employeur. Si un employeur sur trois est une association, le cumul
du secteur privé commercial (entreprises privées et travailleurs indépendants) représente 40%
des emplois. La plupart des employeurs (44%) ont moins de cinq salariés. Les personnes
travaillant à leur compte représentent un quart des emplois. 60% des contrats de travail sont
en CDI, les CDD sont le plus souvent subis, 61% souhaitant travailler à temps plein. Près des
deux-tiers des emplois sont sur des temps pleins, le poids des contrats aidés est faible (12%
des emplois). Les diplômés par la voie de l’apprentissage en emploi dans le domaine du
diplôme travaillent pour la moitié d’entre eux dans la structure de leur stage en alternance. On
sait également que les personnes actuellement demandeurs d’emploi, en formation ou
occupant un emploi en dehors du domaine du diplôme ont quand même pour les deux-tiers
d’entre eux une activité professionnelle dans le domaine du diplôme obtenu.
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Insertion professionnelle par diplôme
Le nombre suffisant de retours (plus de trente) pour chacun des diplômes suivants nous
permet de présenter les résultats sous la forme de données statistiques.
La population initiale était équitablement répartie entre les différentes catégories. Le taux
d’insertion est très élevé (80%). Sur le cumul des enquêtes, on retrouve ces mêmes tendances
avec une présence un peu plus appuyée des demandeurs d’emploi dans la population initiale
et un taux d’insertion légèrement moins élevé.
Pourt les emplois dans le domaine du dipôme, leur implantation est majoritairement dans le
seteur professionnel du sport mais pour un sur cinq relève de l’animation. Les employeurs
sont essentiellement des collectivités territoriales et des entreprises privées, dans les trois-
quarts des cas l’employeur étant unique. Les CDD sont majoritaires et représentent 60% des
contrats de travail, les contrats aidés très peu présents (9% des contrat). Presque tous les
emplois (86%) reposent sur des temps pleins. Parmi les diplômés formés par l’apprentissage,
un tiers occupe un emploi dans sa structure de stage en alternance.
Sur le cumul des deux enquêtes, la population initiale était essentiellemnt composée de
personnes occupant des emplois hors domaine du diplôme obtenu. Le taux d’insertion dans le
domaine du diplôme est insuffisant (43%). Le diplôme a cependant permis d’insérer des
demandeurs d’emploi et des personnes en formation. Pour les personnes travaillant sur un
autre secteur professionnel, on peut supposer que leur objectif ne résidait pas dans une
reconversion profesionnelle mais plutôt sur la recherche d’une activité saisonnière
complémentaire à leur emploi principal.
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La population initiale était essentiellement composée de personnes en formation.Six mois
après l’obtention du diplôme, l’insertion professionnelle dans le domaine du diplôme est
satisfaisant (67%). On retrouve ces mêmes caractéristiques sur le cumul des deux enquêtes.
Dans les trois-quarts des cas, les emplois dans le domaine du diplôme relèvent du secteur
professionnel du sport et les diplômés ne dépendent que d’un seul employeur, les entreprises
privées et de petite taille (moins de 5 salariés) étant les plus représentées. Les CDI
représentent plus de la moitié (54%) des contrats de travail, les contrats aidés étant
inexistants. Pour les diplômés qui occupent un emploi à temps partiel, il est subi, les trois-
quarts d’entre eux souhaitant travailler sur des temps pleins. Les diplômés par la voie de
l’apprentissage et qui sont en emploi dans le domaine du diplôme travaillent dans la plupart
des cas (70%) dans la structure de leur stage en alternance. Deux-tiers des diplômés n’ayant
pas leur activité principale dans le domaine du diplôme obtenu exercent quand même une
activité professionnelle dans l’encadrement équestre.
La population initiale des 2016-2017 était essentiellement composée de personnes occupant
des emplois sans lien avec la remise en forme pour viser vraisemblabement une reconversion
professionnelle. Le taux d’insertion dans l’encadrement de la remise en forme est très élevé
(82%). On retrouve les mêmes tendances sur le cumul des deux enquêtes avec un poids un
peu plus important des demandeurs d’emploi dans la population initiale.
La quasi-totalité des emplois dans la spécialité du diplôme relèvent du secteur professionnel
du sport. Quatre salariés sur dix ont plusieurs employeurs, les deux-tiers des emplois sont
implantés dans les entreprises privées. Les CDI et les personnes travaillant à leur compte
représentent 79% des emplois. Les contrats à temps pleins sont majoritaires (57%). Parmi
ceux qui sont sur des temps partiels, les deux-tiers ne souhaitent pas accéder à un temps plein.
Les contrats aidés sont quasi-inexistants sur ces emplois.
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Que ce soit sur les diplômés 2016-2017 ou sur le cumul des deux enquêtes, la population
initiale était essentiellement composée de demandeurs d’emploi. Le taux d’insertion dans le
domaine du diplôme est élevé (72% sur l’enquête et 69% sur le cumul).
Si la majorité des emplois relèvent du secteur sportif, un diplômé sur quatre travaille dans
celui de l’animation. Près d’un salarié sur deux (44%) a plusieurs employeurs, deux dans la
plupart des cas. Les associations, les administrations ou organismes publics de l’Etat et les
collectivités territoriales représentent les trois-quarts des employeurs. La nature des contrats
de travail est équitablement répartie entre les CDI, CDD et les personnes à leur compte. Les
contrats aidés sont mobilisés sur cette option et représentent un emploi sur cinq. Les emplois
sont équitablement répartis entre les temps pleins et les temps partiels supérieurs au mi-temps.
On ne compte que très peu de temps partiels inférieurs à un mi-temps. Par contre les temps
partiels sont dans les trois-quarts des cas subis. On sait également que la plupart (69%) de
ceux qui ne sont pas actuellement sur un emploi principal dans le domaine du diplôme ont
quand même une activité professionnelle dans l’encadrement des activités physiques pour
tous.
Sur les diplômés 2016-2017 comme sur le cumul des deux enquêtes, la population initiale
était essentiellement composée de personnes en formation et de demandeurs d’emploi.
L’insertion professionnelle est satisfaisante (65%) mais légèrement en retrait sur le cumul des
deux enquêtes.
Tous les emplois relèvent du secteur sportif. La quasi-totalité des salariés n’ont qu’un seul
employeur, dans la plupart des cas une association de moins de cinq salariés. Les CDD sont
majoritaires, les deux-tiers des contrats sont sur des temps pleins, les temps partiels sont tous
supérieurs à des mi-temps mais subis pour la plupart. Les contrats aidés sont très mobilisés
sur ce diplôme (65% des contrats de travail).
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Sur l’enquête annuelle comme sur le cumul avec la précédente, la population initiale était
surtout composée de personnes déjà sur des emplois dans le domaine du diplôme. Le diplôme
professionnel n’étant pas obligatoire pou travailler dans cette spécialité, les animateurs
accèdent d’abord à l’emploi puis viennent ensuite chercher une qualification professionnelle
pour consolider leur situation, acquérir de nouvelles compétences nécessaires à leur exercice
professionnel ou encore obtenir une promotion professionnelle. Après l’obtention du diplôme,
le taux d’insertion est très élevé (88%) mais logique au regard du profil de la population
initiale.
Presque tous les emplois relèvent du secteur professionnel de l’animation. Presque tous les
salariés (83%) n’ont qu’un seul employeur qui est majoritairement une collectivité territoriale
et dans une moindre mesure une association. La majorité des employeurs ont plus de
cinquante salariés. Les CDI sont majoritaires (59% des contrats de travail), les deux-tiers des
contrats reposent sur des temps pleins. Les temps partiels sont presque tous supérieurs à un
mi-temps mais subis. Les emplois aidés sont mobilisés sur cette option et représentent un
emploi sur cinq.
Sur l’enquête 2016-2017 comme sur le cumul, la population initiale était majoritairement
composée de personnes déjà sur des emplois d’animateur social. Contrairement aux options
sportives, l’insertion professionnelle des animateurs socio-culturel est préalable à la formation
qui vient consolider leur statut professionnel. Le taux d’insertion professionnelle est peu
élevé, surtout au regard du profil de la population initiale. Sur les 2016-2017 comme sur le
cumul des deux enquêtes, on remarque que le diplôme n’a pas permis d’insérer les
demandeurs d’emploi.
Tous les emplois relèvent du secteur professionnel de l’animation et presque tous les salariés
dépendent d’un seul employeur. Les associations représentent 40% des employeurs et dans les
deux-tiers des cas, elles ont plus de cinquante salariés. Les contrats sont répartis
équitablement entre les CDI et les CDD, aucun animateur social ne travaillant à son compte.
Les contrats aidés sont quasiment inexistants sur les emploi de cette option. Deux-tiers des
emplois reposent sur des temps pleins. Contrairement aux options sportives, les diplômés dont
l’activité principale actuelle n’est pas dans la spécialité du diplôme obtenu n’ont pas pour la
plupart (64%) d’activité professionnelle complémentaire dans l’animation sociale.
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18
La population initiale des diplômés 2016-2017 était majoritairement composée de personnes
en formation. Le taux d’insertion est satisfaisant (61%).
Presque tous les emplois (85%) relèvent du secteur professionnel du sport. Les employés
n’ont dans la plupart des cas (82%) qu’un seul employeur. Le profil d’employeur le plus
courant est celui de travailleur indépendant. Plus des deux-tiers des emplois reposent sur des
temps pleins. Presque tous les demandeurs d’emploi, personnes en formation et sur des
emplois en dehors du domaine du diplôme ont quand même une activité professionnelle dans
l’encadremnt du ski.
Pour les diplômés 2016-2017 comme sur le cumul des deux enquêtes, les personnes occupant
des emplois dans le domaine du diplôme étaient les plus représentées dans la population
initiale. Après l’obtention du diplôme, le taux d’insertion est élevé (78%), le diplôme ayant
permis d’insérer professionnelement des demandeurs d’emploi et des personnes initialement
en formation.
Presque tous les emplois(91%) sont implantés dans le secteur professionnel du sport. Plus des
deux-tiers des salariés n’ont qu’un seul employeur. Les associations sont majoritaires (54%)
parmi les employeurs, les entreprises privées en représentant un quart. Les deux-tiers des
employeurs ont moins de cinq salariés. Presque tous les emplois sont répartis entre les CDI et
les personnes travaillant à leur compte. Près des deux-tiers des emplois sont sur des temps
pleins. Les temps partiels sont pour la plupart supérieurs à des mi-temps mais subis dans un
cas sur deux. On sait également que les trois-quart des demandeurs d’emploi et des personnes
occupant des emplois en dehors du domaine du diplôme ont quand même une activité
profesionnelle dans le perfectionnement sportif.
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Sur les diplômes suivants, le nombre insuffisant de retours (moins de trente) ne nous permet
pas de présenter les résultats au format statistique, les graphiques mentionnant le nombre de
répondants sur les différents items.
La population initiale des diplômés 20165-2017 était presque exclusivement composée de
personnes occupant des emplois sans lien avec le domaine du diplôme. L’obtention du
diplôme n’a pas changé les statuts des personnes, on peut supposer que l’encadrement de la
plongée subaquatique est perçu comme une activité professionnelle complémentaire à leur
emploi principal et non pas comme un moyen de reconversion professionnelle.
On ne peut pas faire d’analyse des emplois puisqu’aucun emploi principal n’apparaît dans
l’encadrement de la plongée subaquatique.
Le nombre insuffisant de retours (moins de dix) pour les diplômés 2016-2017 nous permet
uniquement de présenter les données chiffrées sur le cumul des deux enquêtes. La population
initiale était essentiellement composée de personnes déjà sur des emplois d’animateurs et de
demandeurs d’emploi, l’obtention du diplôme n’ayant pas permis de réaliser des insertions
professionnelles dans l’encadrement des activités du cirque.
Le nombre trop faible de personnes occupant des emplois dans le domaine du diplôme obtenu
ne nous permet pas de réaliser une analyse de ces emplois.
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Sur le cumul des deux enquêtes, on constate que les diplômés étaient initialement sur des
emplois d’animateur culturel, le diplôme n’ayant pas permis de réaliser des insertions
professionnelles.
Le nombre trop faible de personnes occupant des emplois dans le domaine du diplôme obtenu
ne nous permet pas de réaliser une analyse de ces emplois.
Sur le cumul des deux enquêtes, on constate que les diplômés étaient essentiellement des
demandeurs d’emploi avant leur entrée en formation. L’obtention du diplôme a permis de
réaliser quelques insertions professionnelles comme animateur environnement.
Le nombre trop faible de personnes occupant des emplois dans le domaine du diplôme obtenu
ne nous permet pas de réaliser une analyse de ces emplois.
Sur les 2016-2017 comme sur le cumul des deux enquêtes, la population initiale était
essentiellement composée de demandeurs d’emploi. L’obtention du BAPAAT a permis de
réaliser des insertions professionnelles dans le domaine du diplôme.
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Pour les 2016-2017 comme sur le cumul des deux enquêtes, les personnes étaient déjà sur des
emplois dans l’animation socio-éducative et culturelle. L’obtention du diplôme n’a rien
changé en terme d’insertion professionnelle, mais a certainement permis à ceux qui étaient
déjà sur des emplois dans le domaine du diplôme obtenu de consolider leur situation
professionnelle.
Tous les emplois relèvent du secteur de l’animation et ne dépendent que d’un seul employeur,
une association dans la plupart des cas, mais de taille très variable au regard du nombre de
salariés. Tous les emplois sont en CDI et sur des temps pleins, on ne compte aucun contrat
aidé.
avant après diff/avant cumul après diff/cumul après
BPJEPS AGFF 6% 82% + 76 pts 78% + 4 pts
BPJEPS natation 13% 80% + 67 pts 75% + 5 pts
BPJEPS sports collectifs 4% 65% + 61 pts 58% + 7 pts
BPJEPS act. équestres 14% 67% + 53 pts 68% - 1 pt
BPJEPS APT 21% 72% + 51 pts 69% + 3 pts
DEMM moniteur de ski 21% 61% + 40 pts
DEJEPS perfection. sportif 40% 78% + 38 pts 77% + 1 pt
BPJEPS loisirs tous publics 59% 88% + 29 pts 81% + 7 pts
BPJEPS animation sociale 55% 57% + 2 pts 61% - 4 pts
AMM 43%
Ce tableau permet de comparer par diplôme l’écart entre le taux d’insertion dans le domaine
du diplôme avant et après son obtention. Le BPJEPS AGFF présente la plus forte différence
(+ 76 pts). On constate également que les taux d’insertion enregistrés pour les BPJEPS sports
collectifs et loisirs tous publics est très au-dessus (+ 7 pts) de ceux du cumul des deux
enquêtes, ce qui relativise les résultats de tendance des diplômés 2016/2017.
Le meilleur taux d’insertion dans
des emplois liés au domaine
obtenu sont enregistrés sur le
BPJEPS loisirs tous publics
(88%).
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Profil des emplois liés à la spécialité du diplôme
Cette partie concerne uniquement les personnes dont la situation principale est d’occuper un
emploi dans la spécialité de leur diplôme.
Secteurs professionnels
Tous diplômes confondus, les emplois dans le domaine du diplôme obtenus sont dans les
deux-tiers des cas dans le secteur professionnel du sport.
Types d’employeurs
En cumulant tous les diplômés en emploi dans le domaine de leur diplôme, on constate que la
catégorie des associations est la plus importante (34% des emplois), mais on remarquera
également que c’est dans le secteur privé commercial (entreprises privées et travailleurs
indépendants) que l’on trouve le plus d’emplois.
67%
26%
7%
sport
animation
autre
8%
15%
1%
11%
34%
29%
1% Administration ou organismepublic de l'Etat
Collectivité territoriale
Hôpital public
Statut de travailleurindépendant
Association
Entreprise privée
Groupement d'employeurs
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23
La distinction par diplôme nous permet de constater des fortes différences avec pour les
BPJEPS une répartition plutôt équilibrée entre les différents employeurs, le poids très
important des associations pour l’emploi des DEJEPS et la forte présence du statut de
travailleur indépendant pour les DEMM qui couvre la moitié des emplois.
Nombre d’employeurs
Temps de travail
Nature du contrat de travail
10% 6% 3%
20%
5% 3%
1%
0%
0%
7%
8%
48%
28% 57%
20%
33% 23% 28%
1% 1% 0%
0%
10%
20%
30%
40%
50%
60%
70%
80%
90%
100%
BPJEPS DEJEPS DEMM
Groupement d'employeurs
Entreprise privée
Association
Statut de travailleurindépendant
Hôpital public
Collectivité territoriale
Administration ou organismepublic de l'Etat
77%
15%
5% 1% 2%
un
deux
trois
quatre
cinq et +
63%
28%
10% Temps plein
Tps partiel sup.ou égal mi-temps
Tps partiel inf.mi-temps
Dans les trois-quarts des cas,
les salariés ont un employeur
unique, ce qui sous-entend un
meilleur gage de stabilité
professionnelle.
Toutes diplômes confondus, les
temps pleins sont fortement
majoritaires (63%) dans la nature
des contrats de travail. Près des
deux-tiers (61%) de ces
professionnels ayant des contrats
à temps partiel souhaiteraient
travailler à temps plein.
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24
Même si les contrats en CDI et de fonctionnaires restent les plus nombreux (44%), on note
une évolution vers un équilibre avec les CDD et ceux qui travaillent à leur compte. Ainsi, la
part des CDI / emploi de fonctionnaire est en retrait par rapport à l’enquête de l’année
précédente (52%) à l’inverse des personnes travaillant à leur compte qui sont en nette
augmentation (17% sur l’année précédente). Les contrats aidés ne représentent que 12% des
contrats de travail des diplômés ayant un emploi dans le domaine du diplôme obtenu. Le
poids des contrats aidés est également en net recul par rapport à celui enregistré sur l’enquête
précédente (27%).
Répartition des contrats aidés
Les contrats d’accompagnement dans l’emploi et les emplois d’avenir représentent près des
trois-quarts de ces contrats aidés.
44%
28%
27%
1% CDI ou titulaire fonctionpublique
CDD ou interim
à son compte
vacataire
2%
40%
2% 16%
32%
6% 2%
adulte relai
CAE
CIE
emploi CNDS
emploi avenir
plan sport emploi
poste FONJEP
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25
Taille des employeurs
Tous diplômes confondus, la catégorie des employeurs de moins de cinq salariés représente le
plus d’emploi (44%). On notera que cette catégorie est même largement majoritaire pour les
DEJEPS.
Profils de poste
Pour les trois diplômes, le profil de poste qui arrive en première position est celui d’éducateur
sportif/moniteur de sport. On notera également que l’on retrouve également de nombreux
emplois d’entraîneur sportif pour les DEJEPS.
40%
63%
42% 44%
11%
10%
3% 10%
26%
15%
18%
24%
23% 13%
36%
22%
0%
10%
20%
30%
40%
50%
60%
70%
80%
90%
100%
BPJEPS DEJEPS DEMM cumul tousdiplômes
plus de 50 salariés
10 à 49 salariés
5 à 9 salariés
0 à 4 salariés
0% 20% 40% 60% 80% 100%
Animateur socio-culturel
Educateur sportif, moniteur de sport
Entraineur sportif
Agent de développement
Coordonnateur technique ou de secteur,responsable d'équipe
Directeur d'un accueil collectif demineurs
Directeur d'un centre sportif / loisirs /vacances ou responsable d'équipement
Autre
DEMM
DEJEPS
BPJEPS
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26
Apprentissage
Six mois après l’obtention de leur diplôme par la voie de l’apprentissage :
0% 20% 40% 60% 80%
trouver son emploi actuel
améliorer sa situation professionnelle (rémunération, classification prof., missions, conditions de travail…)
s'orienter professionnellement
69%
55%
36%
apport de la formation
0% 20% 40% 60% 80%
rémunération
classification professionnelle ou positionhiérarchique
missions
conditions de travail
65%
53%
32%
18%
amélioration situation professionnelle
Eric RUTAULT
Mission d’Appui au Pilotage
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48% des diplômés
travaillent dans la
structure de leur stage en
alternance
41% des diplômés
ont le même employeur
qu’avant leur entrée en
formation
Interprétation : pour 69% des diplômés par
la voie de l’apprentissage, la formation leur a
permis de trouver leur emploi actuel. Le total
dépasse les 100% en raison des réponses
multiples. La formation n’a permis de
s’orienter qu’à 36% des diplômés, ce
pourcentage étant en net recul par rapport à
l’enquête de l’année précédente (62%).
Interprétation : parmi les diplômés par la
voie de l’apprentissage qui ont connu dans
leur situation professionnelle une
amélioration, cette dernière concerne leur
rémunération pour 65% d’entre eux. Le total
dépasse les 100% en raison des réponses
multiples.