im2s news n°16

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IM2S News n°16 Janvier/Février 2009 IM2S News n°-16 La lettre d'information sur la Vie à l'Institut Radiographies du bassin avant et après resurfaçage Resurfaçage de hanche par le Dr Julien CAZAL Chirurgie orthopédique et traumatologique hanche - genou - pied le fémur. Ainsi les zones osseuses non ou peu soumises aux contraintes se résorbent peu à peu. La prothèse de resurfacage n’échappe pas à cette règle d’usure et d’ostéolyse (ce qui justifie sa surveillance radiologique régulière) mais contrairement à la prothèse de hanche classique, elle n’entraine que peu de coupe osseuse au niveau du fémur lors de son implantation. En effet la prothèse de resurfacage laisse intact le col et une partie importante de la tête fémorale. De plus elle permet une transmission des contraintes au reste du fémur beaucoup plus homogène et diminue le «stress shielding». Cette épargne osseuse donne l’avantage théorique lors d’un changement de prothèse après descellement (la prothèse ne tient plus dans l’os du fait de l’ostéolyse) de retirer le col avec la prothèse de resurfacage La première découle de la mise en place de la prothèse totale de hanche (PTH) qui nécessite la résection du col du fémur et de la tête (voir photo) pour pouvoir implanter la tige fémorale surmontée par la nouvelle tête fémorale prothétique. La mise en place de l’implant cotyloïdien nécessite juste un recalibrage de la cavité cotyloïdienne correspondant à l’abrasion du cartilage restant pour réaliser une fixation osseuse et ce quelque soit le type de prothèse, classique ou de resurfaçage. La deuxième survient plusieurs années après la mise en place de la prothèse et correspond à une ostéolyse (diminution de l’os) autour des implants, réactionnelle à l’usure de la prothèse. La troisième raison qui explique la diminution osseuse est due à l’absence de la transmission complète de la charge sur la partie supérieure du fémur par la prothèse (stress shielding). La queue de la PTH classique prend une partie de ces forces et les redistribue que plus bas sur D urant ces dernières années, l’arthroplastie de hanche, comme pour d’autres arthroplasties articulaires, a bénéficié d’une nouvelle attention grâce aux techniques de «mini invasive surgery» (chirurgie mini invasive). Plus qu’une simple technique chirurgicale, il s’agit d’un concept dans lequel préserver au mieux les tissus dont les muscles péri- articulaires et le capital osseux était le leitmotiv. Cette préservation du capital osseux est actuellement la raison principale de la remise au jour des prothèses dites de resurfaçage. La hanche qui doit bénéficier d’une prothèse va se voir amputer d’une partie de son capital osseux pour trois raisons. Suite en page 2 En bref... Mise en place d’une procédure de tiers payant entre Cegema Assurances et l'IM2S Une convention de collaboration entre Cegema Assurances et l’IM2S a été signée le 11 mars 2009 entre Pierre Molinaro – Directeur Général de Cegema Assurances et Docteur Philippe Ballerio – Directeur Général de l’IM2S. Les assurés Cegema pourront ainsi bénéficier de l’application du tiers payant pour les soins externes : consultations médicales, radiologie, électromyogramme, tests d’effort, etc. et pour les hospitalisations, hors cas particuliers. La procédure de tiers payant s’adresse à tous les adhérents Cegema Assurances ainsi qu’à leur ayant droits sur présentation de leur carte d’adhérent. L’objectif de cette convention est de fournir un meilleur accès aux soins pour les patients de l’IM2S et ainsi poursuivre la démarche qualité visant à améliorer la prise en charge patient. Nous restons à votre entière disposition pour toute question relative à l’application du tiers payant pour vos soins au sein de l’Institut. E. CAVERNES

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Page 1: IM2S News n°16

IM2S News n°16 Janvier/Février 2009

IM2S News n°-16La lettre d'information sur la Vie à l'Institut

Radiographies du bassin avant et après resurfaçage

Resurfaçage de hanche par le Dr Julien CAZAL

Chirurgie orthopédique et traumatologique hanche - genou - pied

le fémur. Ainsi les zones osseuses non ou peu soumises aux contraintes se résorbent peu à peu.

La prothèse de resurfacage n’échappe pas à cette règle d’usure et d’ostéolyse (ce qui justifie sa surveillance radiologique régulière) mais contrairement à la prothèse de hanche classique, elle n’entraine que peu de coupe osseuse au niveau du fémur lors de son implantation. En effet la prothèse de resurfacage laisse intact le col et une partie importante de la tête fémorale. De plus elle permet une transmission des contraintes au reste du fémur beaucoup plus homogène et diminue le «stress shielding».

Cette épargne osseuse donne l’avantage théorique lors d’un changement de prothèse après descellement (la prothèse ne tient plus dans l’os du fait de l’ostéolyse) de retirer le col avec la prothèse de resurfacage

La première découle de la mise en place de la prothèse totale de hanche (PTH) qui nécessite la résection du col du fémur et de la tête (voir photo) pour pouvoir implanter la tige fémorale surmontée par la nouvelle tête fémorale prothétique. La mise en place de l’implant cotyloïdien nécessite juste un recalibrage de la cavité cotyloïdienne correspondant à l’abrasion du cartilage restant pour réaliser une fixation osseuse et ce quelque soit le type de prothèse, classique ou de resurfaçage.La deuxième survient plusieurs années après la mise en place de la prothèse et correspond à une ostéolyse (diminution de l’os) autour des implants, réactionnelle à l’usure de la prothèse.

La troisième raison qui explique la diminution osseuse est due à l’absence de la transmission complète de la charge sur la partie supérieure du fémur par la prothèse (stress shielding). La queue de la PTH classique prend une partie de ces forces et les redistribue que plus bas sur

Durant ces dernières années, l’arthroplastie de hanche, comme

pour d’autres arthroplasties articulaires, a bénéficié d’une nouvelle attention grâce aux techniques de «mini invasive surgery» (chirurgie mini invasive). Plus qu’une simple technique chirurgicale, il s’agit d’un concept dans lequel préserver au mieux les tissus dont les muscles péri-articulaires et le capital osseux était le leitmotiv. Cette préservation du capital osseux est actuellement la raison principale de la remise au jour des prothèses dites de resurfaçage.

La hanche qui doit bénéficier d’une prothèse va se voir amputer d’une partie de son capital osseux pour trois raisons. Suite en page 2

En bref...

Mise en place d’une procédure de tiers payant entre

Cegema Assurances et l'IM2S

Une convention de collaboration entre Cegema Assurances et l’IM2S a été signée le 11 mars 2009 entre Pierre Molinaro – Directeur Général de Cegema Assurances et Docteur Philippe Ballerio – Directeur Général de l’IM2S.

Les assurés Cegema pourront ainsi bénéficier de l’application du tiers payant pour les soins externes : consultations médicales, radiologie, électromyogramme, tests d’effort, etc. et pour les hospitalisations, hors cas particuliers.

La procédure de tiers payant s’adresse à tous les adhérents Cegema Assurances ainsi qu’à leur ayant droits sur présentation de leur carte d’adhérent.

L’objectif de cette convention est de fournir un meilleur accès aux soins pour les patients de l’IM2S et ainsi poursuivre la démarche qualité visant à améliorer la prise en charge patient.

Nous restons à votre entière disposition pour toute question relative à l’application du tiers payant pour vos soins au sein de l’Institut.

E. CAVERNES

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IM2S News n°16 Janvier/Février 2009

SANTE

et en optimisant le positionnement de la prothèse par l’utilisation d’un guidage informatique. Aussi, dans le cas ou l’os n’est pas de bonne qualité, le risque de fracture est qu’il survienne habituellement dans la première année qui suit l’implantation. C’est dans cette éventualité que le chirurgien pourra vous interdire la pratique du sport pendant cette période. Si d’aventure la fracture survenait, le traitement ne posera pas de problèmes techniques majeurs et comprendra la mise en place d’une prothèse classique.

Enfin, il faut savoir qu’une prothèse de resurfaçage du fait de sa composition métallique produit des «ions métalliques»

qui se retrouvent dans le sang. Ce relargage se fait de manière significative les deux premières années mais n’atteint jamais les taux rerouvés dans le sang des personnes travaillant dans la métalurgie. Ce phénomène ne comporte aucun danger pour les personnes saines car le rein filtre le sang et évacue le fer en trop. Par contre en cas d’insuffisance rénale, le risque de surcharge ferrique ne sera pas négligeable. Pour ces raisons, il est déconseillé aussi de proposer une telle prothèse à une femme qui veut encore procréer.

En résumé, la prothèse de resurfaçage est la prothèse de hanche du patient jeune actif voire sportif ou âgé de la soixantaine qui ne présente aucune contre indication pour ce type de prothèse

plastique dans les cotyles trop fines pour résister aux contraintes ainsi que des ancrages insuffisants au niveau du fémur. Ce n’est que dans les années 90 qu’un chirurgiens anglais (Mc Minn) a réactualisé ces prothèses de resurfaçage en profitant des progrès fait dans les prothèses à frottement métallique. Les résultats ont été au rendez-vous et ont surpassé ceux des prothèses classiques pour les patients de moins de 50 ans pour lesquels la demande fonctionnelle importante est un facteur d’usure prothétique majeur. Une autre explication pour laquelle la prothèse de resurfaçage n’est pas devenu un idéal est la survenue de fracture du col

fémoral sous la tête prothèsée. En effet la préservation du col fémoral chez des sujets à risque de fracture du col (ostéoporose, femme, obésité, corticothérapie, nécrose avasculaire, alcoolisme …) explique en partie cette complication. Un bilan complet sera donc nécessaire en cas de doute chez les patients à risque.

Par ailleurs une autre source de fracture du col fémoral repose sur l’adaptation des implants fémoraux qui doivent éviter toute effraction du col fémoral sous peine de le fragiliser. Cette complication doit être reconnue pendant l’intervention et traiter par la mise en place d’une prothèse classique après résection du col mais également avant l’intervention en recherchant des anomalies de l’orientation du col et de la tête fémorale (coxa vara, coxa retorsa, antécédents de chirurgie de la hanche)

sur la tête du fémur et d’implanter la prothèse fémorale classique. Il est ainsi évité les difficultés liées à la fragilité osseuse lors d’un changement de PTH classiques.

De plus, cette prothèse de resurfacage présente un avantage mécanique puisqu’elle reproduit presqu’à l’identique la forme et donc le fonctionnement de l’articulation originelle. En effet comme son nom l’indique, il s’agit d’une prothèse qui resurface la tête fémorale et reproduit le volume de la tête fémorale et donc l’anatomie de l’articulation. Sous cette conformation, l’articulation prothésée se comportera presque comme une hanche normale.

Le fonctionnement des prothèses de resurfacage se rapprochant plus prés de la physiologie en préservant outre la stabilité et la mobilité, explique la bonne adaptation à la pratique d’activité physique.Pourquoi devant des avantages certains, la prothèse de resurfacage n’est pas «le gold standart» en matière de PTH ???

La première réponse se trouve dans le passé. L’histoire de resurfacage a débuté dans les années 70 . L’idée de ne pas sacrifier la tête du fémur pour faire simplement une couverture des surfaces articulaires abîmées était ingénieuse. A ce propos, cette idée est retrouvée dans la conceptualisation des prothèses du genou qui sont presque toutes des resurfaçages.

Les résultats n’ont pas été à la hauteur du fait de fractures des prothèses en

Resurfaçage de hanche (suite)

Cicatrice après resurfaçage

En résumé, la prothèse de resurfaçage est la prothèse de hanche du patient jeune actif, voire sportif, ou âgé de la soixantaine...

15cm

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Janvier/Février 2009 IM2S News n°16

L'INSTITUT

FOCUS sur...

Je suis aide-soignant au bloc opératoire depuis l’ouverture de l’Institut, formant une équipe de trois avec Pascal et Thomas.

Mon rôle est de prendre en charge le patient de la salle de réveil jusqu’en salle d’opération, en assurant son installation sur la table d’opération qui dépend de la technique opératoire et des habitudes de chaque chirurgien. Cette installation se fait en collaboration avec anesthésistes et infirmières de salle d’opération; je dois veiller non seulement au confort du patient (chauffage, balladeur pour la musique et même vidéo) mais aussi à sa sécurité (installation des appuis etc…). Je gère aussi les radiographies, les plâtres…

En fin d’intervention, j’assure le retour du patient dans son lit en salle de réveil, toujours avec l’équipe soignante. Je me charge aussi du nettoyage bio-médical de la salle d’opération avant d’accueillir les autres patients. Mon rôle relationnel est très important, je m’efforce pendant l'installation du patient de le rassurer et de lui faire oublier ses angoisses face à un monde inconnu qu’est le bloc opératoire.

Fabien MERLINOAide soignant bloc opératoire

la ferme direction de notre préparateur physique (le coach) Vincent, jogging dans les rues de la principauté par tous les temps et renfort musculaire prodigué par notre attaché de recherche clinique Frédéric.Une semaine avant la date fatidique, notre Johann a donc pris l’avion en direction de la « grande pomme ».

Cette semaine lui a permis une reconnaissance du terrain, afin d’affiner sa stratégie de course, car un marathon ce n’est pas seulement des muscles mais également un cerveau.

Fin prêt le jour J, notre Institut était donc dignement représenté par Johann au milieu des 40 000 participants prévus, et d’un public formidable prêt à les soutenir tout au long de l’épreuve.

Il est difficile de décrire l’émotion que l’on peut ressentir devant une telle manifestation, émotion d’autant plus

puissante lorsque l’on devient acteur d’une légende. Cependant, si l’on a des ailes au départ, on constate rapidement au bout de 20 kilomètres que l’honneur de participer à un tel évènement se paie cash, malgré la préparation, l’enthousiasme de la foule, et l’amour propre de vouloir terminer à tout prix, c’est dans la souffrance que l’on aperçoit enfin l’arrivée, partagé entre la joie et l’épuisement.

Arrivé, notre Johann a su faire honneur à notre Institut. Il est revenu la tête pleine de souvenirs et d’anecdotes.Son but, renouveler une fois encore l’exploit et améliorer sa performance.

En attendant, il souhaite remercier chaleureusement la Direction de l’IM2S et l’association FORMICOEUR qui lui a permis de réaliser son rêve ainsi que toutes les personnes qui se sont investies dans sa préparation physique et morale

S’il existe une légende dans le monde des marathoniens c’est bien le très célèbre marathon de New York, épreuve impitoyable qui se déroule en ville, traversant les mythiques quartiers du Bronx, du Queens et de Brooklyn pour finir en apothéose à Manhattan dans Central Park.Chaque année c’est la course à l’inscription car sur 105 000 demandes à travers le monde, seuls 40 000 coureurs seront sélectionnés.

L’IM2S a souhaité cette année faire participer un des membres de son équipe sportive la TEAM PERFORMANCE, et c’est ainsi qu’après la Tunisie, notre préparateur en pharmacie Johann, a été mandaté pour représenter notre Institut.

Bien sûr cela a nécessité une préparation de longue haleine en collaboration avec le service du Dr Stéphane BERMON : pendant trois mois, courses d’endurance sur les tapis d’entrainement du service Kiné sous

L’IM2S à la conquête de New York

Johann DRINNHAUSEN

C O N G R È SM É D I C A L6 juin 2009

N O V O T E LM O N T E - C A R L O

www.im2s.mc/congres

Toutes les infos sur :

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IM2S News n°16 Janvier/Février 2009

SPORT

Retrouvez régulièrement les conseils d'entraînement

et de remise en forme de Vincent Romulus,

préparateur physique à l'IM2S, également

chargé du réentrainement médicalisé et spécialisé

en isocinétisme ( évaluation de la force musculaire ).

CONSEIL N° 4

IM2S Concept © PB 2009 - création LP

NUMEROS UTILES IM2S

NUMEROS IM2S

STANDARD (+377) 99 99 10 00

URGENCES TRAUMATOLOGIQUES (+377) 99 99 10 20

KINE / REEDUCATION : (+377) 99 99 10 10

IMAGERIE : ................. (+377) 99 99 10 52

FACTURATION : .......... (+377) 99 99 10 32

CHIRURGIENS :Dr ARNALDI : .................(+377) 99 99 10 21 Dr BALLERIO : ................(+377) 99 99 10 22 Dr CAZAL : .....................(+377) 99 99 10 28 Dr CHASTANET: ..............(+377) 99 99 10 18 Dr FRANCESCHI : ............(+377) 99 99 10 21 Dr JACQUOT : .................(+377) 99 99 10 22 Dr LUSSIEZ : ...................(+377) 99 99 10 29 Dr MAESTRO : ................(+377) 99 99 10 21 Dr MASSINI : ..................(+377) 99 99 10 29 Dr PITTALUGA: ...............(+377) 99 99 10 18 Dr SBIHI : .......................(+377) 99 99 10 21 Dr SCHLATTERER : ..........(+377) 99 99 10 30 MEDECINS :Dr BERMON : ................. (+377) 99 99 10 24 Dr BRUNETTO : .............. (+377) 99 99 10 24 Dr CAMPI : .................... (+377) 99 99 10 23 Dr PARISAUX : ............... (+377) 99 99 10 24 Dr RAFFERMI : .............. (+377) 99 99 10 34 ANESTHESISTES :Dr MASCHINO : ..............(+377) 99 99 10 14 Dr OULD : ......................(+377) 99 99 10 14 MEDECINS URGENTISTES :Dr BERTRAND : .............. (+377) 99 99 10 20 Dr REPIQUET : ............... (+377) 99 99 10 20 PHLEbOLOGUE :Dr. ROUSSET :................ (+377) 99 99 10 34 OSTEOPATHE :JP. RINGWALD : ............. (+377) 99 99 10 34 NUTRITIONNISTE :S. OLIVIE : ..................... (+377) 99 99 10 23

[email protected]

(+377) 99 99 10 20urgences im2s

8h / 20h - 7/7 jours

www.im2s.mc

MUSCLE : de l'épaule

La position du corps est stable.Seule l'épaule vient se coller contre la poitrine.

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Pour tous rendez-vous ou renseignements complémentaires sur les entraînements personnalisés, vous pouvez contacter le : (+377) 99 99 10 24

LES ETIREMENTS PASSIFS

MUSCLE : trapèze

Positionner le bassin en rétroversion (rentrer les fesses).

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La position du corps est stable.Ne pas bouger les épaules et le bassin.

MUSCLE : trapèze

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Les étirements favorisent l'amplitude du mouvement, luttent contre la raideur, diminuent les tensions musculaires.

Maintenir 15 secondes chaque étirement, 3 fois chacun.

MUSCLE : de l'avant bras (Epicondylien)3

MUSCLE : de l'avant bras (Epitrochléen)4

MUSCLE : Pectoraux

Accentuer le mouvement en ouvrant la cage thoracique

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15’’ x 3

15’’ x 3

15’’ x 3 15’’ x 3

15’’ x 3

15’’ x 3