Tourismes en

V i e n n e ̀u n ave n i r ai n v e n t e r ?

Concours -Imaginons notre futur-

La Roche-Posay, future capitale mondiale du thermalisme ?Cultivons la « valeur imaginaire ajoutée » des produits laitiers !Nouveaux leviers de financements innovants,30 ans après la naissance des chèques-vacances Tourisme vert : nouvel or du XXIème siècle ?

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Introduction

La Roche-Posay, future capitale mondiale du thermalisme ?

Cultivons la « valeur imaginaire ajoutée » des produits laitiers !

Nouveaux leviers de financements innovants, 30 ans après la naissance des chèques-vacances

Tourisme vert : nouvel or du XXI ème siècle ?

Bibliographie

Sommaire

IntroductIon

Nous avons voulu bâtir ici une sorte de halte, un endroit bien à nous, pour partager avec vous les réflexions que nous inspirent le tourisme et sa dimension inhérente au développement territorial. La porte est grande ouverte. Entrez donc.

Nous avons toujours aimé la prospective, la discipline qu’elle exige autant que la fantaisie qu’elle permet.Un milliard de touristes dans le monde. Le chiffre est hautement symbolique : le nombre de touristes dans le monde a franchi pour la première fois en 2012, la barre du milliard ...

Pour 2023, l’Organisation mondiale du tourisme (WTTC) prévoit que la contribution du secteur des voyages et du tourisme à l’économie mondiale sera de 10% du PIB mondial, pour un montant de 10 500 milliards de dollars, ainsi qu’un emploi sur 10. Le nombre total des emplois liés au secteur devrait augmenter de 70 millions d’emplois au cours de la prochaine décennie (dont deux tiers en Asie).

La science-fiction est loin d’une simple divagation ou d’une tentative de prédire l’avenir. Bien souvent, la description des futurs possibles est également un formidable outil de questionnement. Les œuvres décrivant le devenir de notre planète sont ainsi autant de révélateurs de notre rapport aux défis structurants, où l’histoire et l’avenir se rencontrent avec la force d’une promesse.

En poussant au plus loin la question “et si ?”, et en explorant une myriade de trajectoires possibles, il nous est permis de cerner un champ de réflexion considérable. Ces « moissons du futur » font naître des scénarios particulièrement ambitieux pour ce qui pourrait être la 3e phase du développement touristique de la Vienne, après le Futuroscope, “locomotive du département”, et les parcs à thèmes (la Vallée des Singes, La planète des Crocodiles, DéfiPlanet’ au Domaine de Dienné etc…).

En effet, ces partenaires emblématiques, véritables ambassadeurs du territoire pourraient voir germer autour d’eux de nouveaux relais de croissance que nous avons explorés dans ce livre blanc.

Bonne découverte !Shéhérazade, Rémi et Kevin

“I am fundamentally optimistic about the power of tourism to change the world”. Bill ClintonBill Clinton déclare que le tourisme a le pouvoir de changer le monde

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La roche-Posay : future caPItaLe mondIaLe du thermaLIsme ?

D’ici à 2030, l’âge moyen de la population hexagonale va augmenter de 4 ans. Les plus de 60 ans représenteront plus de 31% de la population, soit 1 habitant sur 3, contre 22% aujourd’hui. Risques ou opportunités ? Cette situation ouvre dans tous les cas des pistes de développement touristique à saisir dès aujourd’hui pour développer de nouvelles réponses aux besoins des femmes et des hommes en matière de bien-être. Leur qualité de vie appelle des actions spécifiques, aussi bien en matière de mobilité, d’autonomie, de loisirs que de santé.

federer Les energIes

Dans bien des domaines et notamment dans ceux des services publics et des solidarités, le Conseil général est un fédérateur d’énergie. Il n’a pas vocation à agir seul. Les spécialistes et les professionnels sont souvent à l’origine de projets innovants (lutte contre le cancer par exemple) et les Conseils généraux disposent, sur ce sujet, de compé-tences importantes. Pour accompagner ces énergies, le Conseil général pourrait jouer un rôle d’ensemblier en con-juguant l’essor du tourisme des seniors à cet enjeu fondamental qu’est le vieillissement de la population en Europe.

La creatIon d’un gerontoPoLe, un Projet Innovant et unIque en france

« L’approche traditionnelle d’accompagnement de l’âge est dès à présent dépassée. Là où prévalait uniquement une logique d’assistance sur les seules pathologies ou la dépendance, se dessine un nouveau paradigme : dans le même temps, améliorer la qualité de la vie des personnes âgées, aider les aînés à vivre en autonomie et valoriser la réponse à leurs besoins spécifiques comme un fort relais de croissance économique. » développe dans ces récents travaux le Pr Gilles Berrut, Président de la Société Française de Gériatrie et de Gérontologie.

Pôle de recherche et d’expertise sur les enjeux du bien vieillir, mais aussi centre d’étude et d’observation, le Géron-topôle aurait vocation à améliorer la prise en compte des besoins des personnes âgées en permettant des synergies entre les universitaires, les acteurs de la santé, de la formation et de la recherche, les entreprises et les institutions publiques qui interviennent dans le champ de la gériatrie et de la gérontologie.

Une Maison de la Longévité, dont la maîtrise d’ouvrage pourrait être porté par le Conseil Général pourrait ainsi voir le jour à la Roche-Posay et offrir une vraie stratégie d’accueil de résidents seniors en repos ou en convalescence, leur permettant de vivre le plus longtemps possible en toute autonomie (arcthérapie qui permet de diviser par 4 le temps de traitement en radiothérapie).

Institution pluridisciplinaire, le Gérontopôle pourrait être conjointement portée par l’Université, le CHU de la Milé-trie, la Société Française de Gériatrie et de Gérontologie, le réseau des Greta, le Conservatoire National des Arts & Métiers, la Chambre de Commerce et d’Industrie de la Vienne et l’Observatoire Régional de la Santé.La naissance d’un Gérontopôle accompagnerait opportunément un changement de société vers un âge avancé, actif et autonome. Aux aidants, professionnels ou bénévoles, aux industriels, aux collectivités territoriales, aux thérapeutes, aux chercheurs, aux établissements de santé, aux services de soins à domicile et surtout, en premier lieu, aux aînés, le Gérontopôle proposerait un nouveau projet qui rapproche le tourisme des seniors et les questions de santé. Dans ce défi, la longévité apparait comme une chance pour les habitants de la Vienne pour stimuler la médecine préventive et le tourisme d’agrément.

La roche-Posay, future caPItaLe mondIaLe du thermaLIsme ?

Dans ce sens, nous proposons que cet ambitieux projet prenne corps à la Roche-Posay reconnue scientifiquement, puisque dès sa création sous Richelieu, l’Académie des Sciences y dépêcha des savants pour étudier ses eaux si bé-néfiques aux soins de la peau. La légende veut que la révélation des vertus curatives des eaux soit due à la guérison miraculeuse du cheval du célèbre chevalier Du Guesclin. L’animal, atteint d’une affection cutanée jugée incurable s’était alors réfugié près des sources, et, en se vautrant dans l’eau des « Fontaines » avait rapidement guéri de façon surprenante.

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La réputation des eaux s’était vite répandue, et dès le XVIe siècle, l’affluence était déjà considérable ainsi que le prouvent des documents authentiques datant de 1567 et 1573, comme le journal de Denis Généroux, notaire à Parthenay. A un mois d’intervalle, apparaît celui de Michel Leriche, avocat au siège royal de Saint Maixent qui vante les fontaines de jouvence à 8 ou 9 lieues de Poitiers.

Au-delà de son positionnement géographique La Roche-Posay renvoie aussi à une marque d’une ligne de produits de beauté, de soins de la peau et du corps qui a fait ses preuves à une échelle internationale. Cette double identité offre un puissant levier de marketing territorial.

un PoLe de comPetItIvIte et de recherche gagnant Pour tous

Par un effet de réseau avec des chercheurs et des cadres dirigeants du monde entier, ce pôle pourrait avoir la dou-ble finalité d’améliorer la qualité de vie des personnes âgées en séjour touristique (cures dotées d’équipements de pointe, séjours en rétablissement…) et d’être un relais de croissance, de connaissance et d’excellence pour tous les acteurs impliqués dans le vieillissement. Le Gérontopôle deviendrait un pôle de compétence qui pourrait reposer sur quatre axes de développement : la recherche fondamentale et appliquée, la formation aux métiers de l’autonomie et de la longévité, le développement économique régional, le conseil et le diagnostic territorial.

A terme, ce projet stratégique pourrait faire de La roche Posay une sorte de démonstrateur et de pôle d’excellence au niveau mondial en s’appuyant sur l’expertise locale dans les domaines de l’innovation, du tourisme des seniors et de la santé.

Notons qu’en ce qui concerne la question de la taxation des congrès, la loi de financement de la sécurité sociale pour 2013 a inclus les frais des congrès scientifiques et médicaux dans l’assiette du calcul de la taxe sur la promo-tion des médicaments et dispositifs médicaux. Un abattement de 50 % était initialement prévu par le texte voté en première lecture. Après discussion entre les différents ministres concernés, l’abattement d’assiette des frais de congrès a relevé à 75 %. Cela ouvre une manne non négligeable pour accélérer le tourisme de congrès déjà relayé par les infrastructures du Futuroscope.

Le partenariat avec le Conseil général et Houston est dans ce sens une chance à saisir pour la Vienne. La perspective d’une coopération avec le Texas Medical Center (TMC), leader mondial dans la recherche et les soins du cancer pour-rait alimenter les échanges. Ce pôle ne compte pas moins de 50 établissements dont 13 hôpitaux et 4 universités prestigieuses, représentant l’équivalent d’une ville de 100 000 habitants.

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cuLtIvons La vaLeur ImagInaIre ajoutee des ProduIts LaItIers !

Incontestablement, la résonance de notre patrimoine alimentaire, tirée de la culture mêlée des richesses de nos terroirs et des savoir-faire de nos territoires, constitue un facteur clé majeur du développement touristique.Dans cette véritable “Valeur imaginaire ajoutée” réside une authentique spécificité reconnue à la Vienne : sa production laitière. Agriculteurs, industriels, distributeurs et restaurateurs : soyez en tous les acteurs et les moteurs !

PatrImoIne aLImentaIre : une matrIce excePtIonneLLe d’InnovatIon

Nourrir les hommes est la vocation première de l’Agriculture. Celle de l’industrie agroalimentaire s’est forgée autour du concept de “recette”, en agrémentant, voire améliorant, les aliments de base fournis par les agriculteurs pour imaginer de nouveaux produits. Pour autant, agriculture et agroalimentaire se retrouvent empreints d’une même culture du territoire. Les deux facteurs “ingrédients” et “savoir-faire” appartiennent à ce patrimoine, qui va devenir vitrine et image de l’identité des industries agroalimentaires.

Ainsi est apparu un lien profond, ancien et réciproque entre la filière alimentaire et la vitalité “agri et agroéconomique” de la région. Historiquement, le socle agricole a suscité et créé le tissu de première transformation industrielle locale dont l’objectif prioritaire consistera à conserver le produit dans le temps puis à l’adapter à l’alimentation humaine. Ainsi naîtront des métiers, spécifiquement fondés sur les richesses spécifiques du terroir : les huileries à base d’olive en Provence ou de noix dans le Dauphiné et le Périgord, les moutarderies et vinaigreries en Bourgogne, dans les pays bordelais et nantais, les laiteries dans les zones d’élevage, les semouleries dans les contrées de blé dur, les meuneries sur les aires de blé tendre, les malteries auprès des champs d’orge…

Progressivement, la recette initiée par l’agroalimentaire dans sa deuxième transformation va devenir l’inspiration de son territoire à qui elle demandera plus, au-delà de ses simples matières premières traditionnelles. Ainsi, les producteurs alsaciens, leaders historiques des pâtes aux œufs, demanderont des élevages de volailles, les vinaigriers stimuleront la culture du cornichon, les conserveurs pousseront au développement du maïs doux… et l’économie territoriale s’en trouvera vivifiée !

transmettre des savoIr-faIre et une notorIete

éTrès vite, la maîtrise éprouvée de la recette confère à la filière un savoir-faire, vecteur, voire générateur d’une culture gastronomique, reconnue emblématique d’un patrimoine alimentaire régional : la charcuterie alsacienne ou bretonne, la salaisonnerie du sud-ouest, la biscuiterie nantaise, le pain d’épices dijonnais… et bien sûr la magnifique résonance de nos terroirs viticoles.

Nous atteignons alors le stade ultime de la réputation, où la maîtrise culturelle, agricole, agronomique et finalement gastronomique devient image touristique, positionnement porteur spécifique d’un facteur de compétitivité incomparable : la différence. Le champagne, le cognac, issus d’un terroir, d’un savoir-faire, d’une culture reconnue unique par le monde entier, ont magnifiquement ouvert la voie.

Ainsi, au-delà de la qualité objective indispensable de nos produits, la richesse de notre patrimoine alimentaire constitue notre véritable argument de vente. Racines de ces cultures, les territoires dans leur diversité nourrissent cette spécificité par la différence, et confère à notre pays son véritable avantage compétitif.

La dIfferencIatIon : un avantage comPetItIf

On comprend, dès lors, combien l’agroalimentaire, élément central de l’activité économique et sociale locale (70 % des matières premières agricoles sont transformées par l’industrie !), cœur d’un véritable écosystème initiateur de goûts pour le consommateur et créateur d’emplois pour le citoyen, peut vitaliser nos régions et notre pays. “On ne crée pas d’usine dans le désert”, disait Antoine Riboud, fondateur et président de Danone. À condition de ne pas s’arrêter aux simples et seuls constats de coûts et de taille. Au-delà de leur caractère indispensable, ces critères de

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gestion ne garantissent pas totalement “l’avantage compétitif” que confèrent l’image, le positionnement, par la perception de spécificité qu’ils apportent.

On sent bien alors combien la notion de différenciation, d’unicité, soit par le marché ou le segment qu’elle peut créer – la salade de mâche nantaise en France, la “Vache qui rit” et les conserves Bonduelle dans le monde – soit par la position de leadership qu’elle peut amener – la fraise “Gariguette” au national, le foie gras à l’international – constitue le vrai et seul défi de l’entreprise agricole ou agroalimentaire : en quoi puis-je maîtriser ma part de marché, puis accroître mon niveau “d’incontournabilité” auprès de mon client, mon degré d’indispensabilité à l’égard de mon consommateur ?

deveLoPPer des revenus tourIstIques Pour Les exPLoItants agrIcoLes

Répondre à ces questions aide à justifier les coûts en les valorisant, à relativiser les effets de taille en les circonscrivant aux enjeux de marché. Telle doit être aussi l’attitude du Chef d’entreprise agricole : “Soyons des Hommes d’initiative”, déclarait déjà en 1867 Édouard Lecouteux, un des fondateurs du think tank agricole SAF-agriculteurs de France.

Oui, notre patrimoine alimentaire est un facteur clé majeur pour le tourisme. Il porte en lui cette “Valeur imaginaire ajoutée” qui donne à nos produits ce caractère unique. À tous, agriculteurs, industriels, mais aussi distributeurs et restaurateurs, de jouer ensemble de cette force puissante de l’évocation, pour développer en leaders la filière laitière, au national, mais aussi à l’international !

faIre du bassIn LaItIer de La vIenne un eLdorado tourIstIque

La Vienne jouit d’un bassin laitier prometteur. On comptait en 1998 près de 6900 exploitations.La population agricole est la moins importante des quatre départements du Poitou-Charentes mais sa part dans la population totale traduit la vocation fortement agricole du département.

La Vienne est un département reconnu pour la qualité de ses produits notamment grâce aux efforts de communication sur la production labélisée. (Agneau Poitou-Charentes, bœuf saveur Poitou-Charentes etc...).La Vienne est le deuxième département pour l’élevage caprin (environ 68000 chèvre réparties chez 700 producteurs; 10% de la production nationale de lait de chèvre). Deuxième département pour la production de viande ovine, la Vienne compte aujourd’hui un cheptel voisin de 330 000 brebis.

Département très diversifié, la Vienne porte près de 14% des surfaces plantées en melon en France. Les grandes cultures (jachère incluse) représentent environ 70% de la SAU. Avec près de 100 000 ha en 1998, la Vienne est le 2e département français producteur d’oléagineux.Le lait constitue incontestablement un vecteur inédit pour le territoire départemental. Le conseil général et la chambre d’agriculture de la Vienne se sont associés pour encourager les projets qui s’inscrivent dans une démarche d’agriculture durable et de circuits courts.

eurIaL et agrIaL ont cree Le 2e grouPe cooPeratIf LaItIer francaIs

Dans un communiqué du 18 janvier dernier, Agrial et Eurial, deux groupes coopératifs, ont annoncé le projet de fusion de leurs activités laitières. Les travaux de préparation et de mise en œuvre de la fusion seront engagés en 2013 et se poursuivront en 2014.

Après consultation de l’Autorité de la concurrence, Agrial et Eurial échangeront des participations de leurs activités laitières à hauteur de 30 % en vue de constituer une entité unique. Ce nouveau coopératif laitier permettra la collecte de plus de 2 milliards de litres, auprès de 5 200 adhérents répartis sur un territoire couvrant les régions Basse-Normandie, Pays de la Loire, Bretagne, Poitou-Charentes et Centre. Les produits phares du nouveau groupe seront : les fromages de chèvre, les produits laitiers ultra-frais, les fromages ingrédients. Ce rapprochement intervient dans un contexte très particulier de fin des quotas laitiers en 2015, d’augmentation de la demande mondiale en produits laitiers et de la prise de conscience par le secteur coopératif de l’atout de disposer de litrages. Les deux groupes se disent d’ailleurs ouverts à d’autres entreprises notamment coopératives partageant les mêmes valeurs et la même vision de l’avenir.

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Cette fusion donne ainsi naissance au deuxième groupe laitier coopératif et au sixième groupe laitier français. Les produits laitiers, c’est la chose la plus universelle dans la consommation mondiale. Le lait est un des produits qui génère le plus de revenus avec le moins d’investissements. C’est un élément essentiel pour élargir les horizons du monde agricole en développant des revenus touristiques pour les exploitants agricoles. De nouvelles prestations sont à imaginer pour faire connaître les produits laitiers dans les chambres d’hôte, les gîtes, les campings, les lieux de rassemblement touristique. La France compte 9 bassins laitiers et le bassin Charentes-Poitou est le plus petit. Une vraie valorisation sur la rareté des produits est à engager, d’autant qu’une concurrence européenne est à craindre avec la fin des quotas laitiers.

LaIt de chevre : une fILIere esPagnoLe quI se renforce.

En effet, l’Espagne détient le 2ème cheptel caprin européen et produit 530 000 tonnes de lait, ce qui situe le pays au second rang de la production laitière caprine européenne derrière la France. Il apparait fondamental de libérer les initiatives dans la Vienne pour générer un circuit court à haute valeur ajoutée.Des exemples internationaux ont déjà montré le pas pour stimuler la « valeur imaginaire ajoutée » des produits laitiers !

des tabLes Logettes aux statIons LaItIeres sur La route du LaIt de basse-saxe

Non, il ne s’agit pas de partir dans des galaxies lointaines pour trouver la Voie lactée, mais de suivre la Route du lait de Basse Saxe, longue d’environ 190 km, de station laitière en station laitière, dans le microcosme composé par les pittoresques paysages de Geest, de marsch et de marais.

L’air tonique de la mer du Nord et l’atmosphère hanséatique accompagnent le voyageur dans ce périple à travers les régions de l’Altes Land et du Cuxland, là où la meilleure façon de tout savoir sur la production du lait dans l’histoire et à notre époque est de partir à vélo (location possible). Niveau nécessaire: plat et facile. Sur la route composée de 4 circuits, des exploitations agricoles ouvrent pour vous leurs “stations de lait”, vous font déguster fromages et yaourts, souvent aussi d’autres douceurs. Pendant que les petits sont encore au zoo d’animaux à caresser, vous apprenez plein de choses intéressantes et amusantes sur le lait, l’élevage des veaux, la filière des producteurs de lait, la façon dont les meilleurs crus laitiers aboutissent dans les packs, ou bien vous faites même un “Magistère de lait” pour artistes de la traite! Ce programme finira par convaincre même le citadin le plus endurci que les vaches ne sont pas violettes et que le lait ne provient pas directement du pack. Alors, n’hésitez pas, et partout où vous voyez le logo avec une vache souriante et “montée sur roues”, vous êtes sur la bonne route !

Pourquoi ne pas imaginer la même chose autour des parcs à thèmes du département (la Vallée des Singes, La planète des Crocodiles, DéfiPlanet’ au Domaine de Dienné etc…) ?

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nouveaux LevIers de fInancements Innovants, 30 ans aPres La naIssance des cheques-vacances

Au moment où l’Agence nationale pour les chèques-vacances (ANCV) fête ses 30 ans, dans un monde où les touristes sont nomades, les capitaux voyageurs et les services mobiles, comment définir un écosystème départemental qui favorise de nouvelles interactions sociales ?

Nomadisme, circulation… attractivité... comment brancher... (?) Comment se créent ces réseaux qui articulent le local territorialisé et le global circulatoire.... Quel rôle pour des clusters ou living labs ?

reevaLuer L’humaIn : fausses dettes et vraIe monnaIe

En premier lieu, quelques exemples de financements innovants via des monnaies alternatives méritent d’être illustrés :

Pour favoriser à la fois le tri des déchets et les transports en commun, la municipalité de Curitiba, capitale de l’État du Paraná au Brésil rémunère ses concitoyens pour leur activité de tri en ticket de transports publics. Résultat, le tri des ordures et l’utilisation des transports publics ont augmenté. Les économies réalisées sur le tri ont même pu être réinvesties dans le développement des transports.

Pour répondre à un défi non plus écologique mais démographique, une organisation caritative japonaise s’est penchée sur le problème du vieillissement de la population avec la création d’une monnaie ad hoc, le Fureai Kippu. Un Kippu vaut une heure consacrée à une personne âgée. Les plus jeunes réalisent des heures de ménage, de soins ou de compagnie aux plus vieux et sont rémunérés par la Fondation Sawayaka Welfare via des Kippu, déposés sur un compte électronique. Ils peuvent les épargner en prévision de leurs vieux jours ou les transférer à leur propre parent.

La stabilité économique de la Suisse reposerait-elle sur une monnaie complémentaire ? Un quart des entreprises suisses échange en effet en « wir », une monnaie non-convertible qui pallie depuis 1934 les carences du système bancaire. Cet exemple parmi d’autres fait partie de l’argumentaire de l’économiste Bernard Lietaer en faveur de la multiplication des monnaies complémentaires.

Les monnaIes aLternatIves gagnent du terraIn

Derrière ces expériences anodines se cachent deux des concepts les plus importants et les plus fondamentaux de la science économique : la « subjectivité de la valeur » et le « bénéfice mutuel de l’échange » qui en découle.Pris de vertige par la crise économique que nous connaissons, le pari des années futures pourrait vraisemblablement conduire à imaginer de nouveaux intermédiaires d’échange, vecteurs créatifs de partenariat, et production de richesses collaboratives pour le tourisme.

Nés dans le giron du Crédit Agricole Pyrénées Gascogne en juin 2011, les Tookets par exemple prennent une dimension nationale. D’autres monnaies leur emboîtent le pas, au niveau local.

Relais de poids entre les épargnants et l’économie sociale et solidaire, les monnaies complémentaires de l’euro fleurissent aux quatre coins de l’Hexagone, à l’initiative d’acteurs économiques ou politiques locaux. Parmi les précurseurs, Jean Philippe, directeur général du Crédit Agricole Pyrénées Gascogne, a encouragé la création d’une monnaie virtuelle qui sert à générer des dons aux associations locales. Baptisée « Tookets », cette monnaie a vu le jour en juin 2011 peu après le lancement de la banque en ligne Tookam, et elle a déjà permis de « distribuer plus de 200.000 euros d’aides à 500 associations ».

Avec la crise, d’autres monnaies alternatives voient le jour, sous l’impulsion de collectivités locales, à l’instar du Sol-violette à Toulouse qui fait même des émules dans le nord de la France. Le projet le plus ambitieux à ce jour est sans

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doute celui initié par la ville de Nantes, en mars 2012. L’objectif de la municipalité est de répondre à l’accroissement des échanges interentreprises sous forme non monétaire, dans un contexte de crise des liquidités.

Lgv et Peages autoroutIers : terraIns d’exPerImentatIon des monnaIes aLternatIves

Chantier majeur d’aménagement du territoire, la construction de la ligne à grande vitesse Sud Europe Atlantique constitue un nouvel atout pour renforcer le développement du territoire. Reliant le Nord de l’Europe à la péninsule ibérique, la future ligne à grande vitesse ainsi que les autoroutes A10 et A85 constituent des axes structurants au service d’une mobilité durable, tant individuelle que collective. Elles joueront un rôle déterminant en matière de flux touristiques. Au cœur du département de la Vienne, leurs tracés se suivent et s’entrecroisent. Autant d’incidences qui entraîneront des modifications de circulation sur les autoroutes A10, A85 et à proximité de plusieurs échangeurs desservant les territoires.

offrIr Le PouvoIr de consommer autrement

En ce sens, la dématérialisation du paiement des péages d’autoroute, grâce à un système Libert’T vacances abondé par des chèques vacances, débutera l’été prochain. C’est une expérimentation intéressante. Cet exemple témoigne qu’il est possible d’imaginer de nouveaux vecteurs d’échange aux bornes de péage autoroutier en offrant des avantages touristiques. Il pourrait être audacieux d’expérimenter un système de monnaie alternative qui valorise l’achat responsable, les séjours courte durée dans la Vienne, le recours à des prestataires locaux (artisans, opérateurs touristiques, nuitées dans des chambres d’hôte, points d’entrée au Center Parc, au Futuroscope…) moyennant le paiement d’un extra au prix de péage ou l’affiliation à un programme de fidélisation touristique qui génère des investissements directs locaux sur le territoire départemental.

L’arrivée de la LGV prévue en 2017 est une aubaine pour développer des offres de partenariat via les programmes de fidélité de la SNCF. Convertir par exemple des points S’miles SNCF en monnaies alternatives locales ou bons d’achat est un axe significatif à creuser. Il peut fortement influencer le comportement du consommateur et le faire dévier de sa route en choisissant sur son itinéraire initial de faire une halte en Vienne avec les incitations promotionnelles générées par l’accumulation de ses points S’miles.

s’Interesser au PotentIeL des terrItoIres

D’un côté, le nombre de nuitées passées à la campagne augmente : + 5,4% depuis 2007. De l’autre, les dépenses liées à l’hébergement, à la restauration, aux activités sportives ou culturelles, les petits achats dans les commerces locaux..., ne suivent pas au même rythme : seulement + 1,5% sur la même période.

Si la détente et le repos sont privilégiés, 68% des Français se disent aussi prêts à réaliser des activités hors de leur lieu d’hébergement au minimum une fois tous les deux jours, ce taux montant à 83% pour les autres Européens du panel. Ces activités sont avant tout des activités de proximité très liées « au terroir » et ne nécessitant pas d’investissements lourds. 83% des Français et 88% des Belges, Britanniques et Espagnols jugent indispensable ou souhaitable d’avoir accès aux marchés, foires et autres expositions d’artisanat et, dans des proportions quasi similaires, au patrimoine culturel, artistique, architectural, historique et naturel, s’il est préservé et valorisé pour accueillir les visiteurs. De même, les événements locaux (du concert à la brocante), la découverte de la gastronomie, les parcours de randonnées structurés, une piscine ou des pistes cyclables intéressent beaucoup les vacanciers. Les différences sont, de ce point de vue, peu marquées entre la clientèle française et les autres clientèles européennes, ces dernières étant toutefois un peu plus sensibles à la présence de parcs de loisirs.

Les monnaies alternatives constituent des relais de croissance intéressants pour irriguer ces parcours touristiques.

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tourIsme vert : nouveL or du xxIeme sIecLe ?

Les attentes en matIere de tourIsme ruraL en france : ILLustratIon d’une etude de La datar

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des attentes fortes en termes d’accessIbILIte et de servIces

L’étude a également mis à jour des attentes fortes en termes d’accessibilité des territoires et de services. L’accessibilité est ainsi l’un des rares points sur lesquels la campagne française suscite des réactions critiques. Il n’y a pas de blocage quant à la distance à parcourir pour parvenir sur son lieu de villégiature mais, une fois arrivés, les vacanciers, qu’ils soient Français ou Européens, n’entendent pas parcourir de grandes distances.

Pour la moitié d’entre eux, le temps de parcours maximum qu’ils sont prêts à effectuer (à pied ou en voiture) pour accéder aux activités qu’ils jugent indispensables ne doit pas dépasser 20mn. Cette exigence de proximité est même accrue en matière de commerces et de services puisque 70% de la clientèle estime qu’ils doivent être accessibles en moins de 20mn. La question de leur disponibilité et de leur ouverture est également posée, les vacanciers souhaitant retrouver un fonctionnement proche de celui du milieu urbain. La campagne s’entend donc autour d’un bourg, point de centralisation de commerces alimentaires, de services et de structures capables d’apporter une information touristique sur l’ensemble d’un territoire. De fait, cette étude souligne la nécessité pour les acteurs locaux de se coordonner et de comprendre que la clientèle qui vient passer ses vacances à la campagne entend « ne rien faire » tout en «consommant beaucoup ».

Dans ce contexte, il convient de souligner que de nouvelles tendances émergent en matière d’accueil touristique. Une nouvelle façon de voyager, à mi-chemin entre la chambre d’hôtes traditionnelle et le “couch surfing” (qui consiste à prêter son canapé) : pile dans la tendance de la consommation collaborative.

D’autre part, les réseaux cyclables représente un moyen de doper l’activité touristique. Le marché, soutenu par les collectivités locales, représente un chiffre d’affaires de 1,9 milliard d’euros et génère 16 500 emplois. Les touristes à vélo dépensent en moyenne 75 euros par jour et par personne pour les itinérants, soit près d’un tiers de plus que les autres. Naturel, religieux, industriel ou encore historique, la Vienne dispose d’un patrimoine foisonnant et d’une grande diversité de genres et d’époques. Ses quelques pépites mériteraient d’être balisées par les communes via des itinéraires dédiés et des panneaux pédagogiques.

sLow tourIsme, sLow traveL : Le tourIsme Lent, une nouveLLe tendance ? un effet de mode ?

Voyager en prenant son temps pour mieux apprécier l’expérience touristique. A vélo, en roulotte, à cheval…, les alternatives sont variées. Des professionnels orientent leur offre touristique vers des expériences inspirées du “slow travel” et mettent en avant le caractère authentique et écologique de leur produit. Des dispositifs publics pourraient mieux récompenser l’esprit de créativité des porteurs de projets innovants sur le territoire départemental. Le tissu associatif est bien souvent foisonnant et de nombreuses initiatives méritent d’être encouragées comme l’association d’Arts de Vouillé née en 2009 qui apporte une dynamique nouvelle et participative du développement culturel et créatif du territoire vouglaisien.

bataILLe de LabeLs et de chefs chez Les restaurateurs

Une association réunissant quinze chefs mondialement connus vient de lancer une nouvelle appellation “Restaurant de qualité”. Ce label a pour objectif de qualifier restaurants, auberges et bistrots qui proposent de la restauration “faite maison”. Une aubaine pour le tourisme de proximité !

BiBliographie

ProsPectIve et PoLItIque du tourIsme

Sylvia PINEL réagit à la publication du référé de la Cour des Comptes sur l’Agence Nationale des Chèques VacancesMinistère de l’artisanat, du commerce et du tourisme - 24 septembre 2012

economIe

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envIronnement, deveLoPPement durabLe

Développement durable : un enjeu vital pour les portsEconostrum - 25 septembre 2012La croisière aux avant-postes de l’industrie maritime pour la préservation de l’environnement Econostrum - 25 septembre 2012Nouvel objectif des réglementations sur l’impact environnemental des naviresEconostrum - 25 septembre 2012

amenagement et terrItoIres

Les agences de développement économique à l’heure de la décentralisationLocaltis - 25 septembre 2012Dossier spécial Econostrum : 1 ère Journée internationale développement durable et navires à passagersNewsletter Econostrum du 24 septembre 2012Les ambitions de la FFRandonnée à travers le numérique

Le concept de destination touristique autour du Louvre-Lens dévoiléCDT Pas de Calais - 21 septembre 2012Mécénat de proximité et tourismeCahier Espaces n° 113 - 24 septembre 2012

recherche et formatIon

Colloque “Itinérances et Routes Culturelles” le 12 octobre 2012Irest - 21 septembre 2012Construction and validation of a scale to measure tourist motivation to consume local foodScience Direct - 21 septembre 2012Does world heritage list really induce more tourists? Evidence from MacauScience Direct - 21 septembre 2012

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Immigration and international inbound tourism: Empirical evidence from Australia Science Direct - 21 septembre 2012Tourist attitudes towards an accommodation tax earmarked for environmental protection: A survey in the AlgarveScience direct - 21 septembre 2012

technoLogIes et InnovatIons

La sécurité des données clientes : un enjeu fondamental de l’industrie du tourisme en ligneLa Fonderie - 25 septembre 2012Le commerce électronique doit concurrencer le commerce traditionnelNet-Iris - 25 septembre 2012Le Rn2D et KelBillet signent un partenariat visant l’intégration d’un moteur multi-transports sur les sites des CDT & ADT RN2D, 25 septembre 2012Skyscanner : plus de 1000 compagnies aériennes, des millions d’itinérairesVoyage & Technologies - 25 septembre 2012“Nouvelles tendances des clients loisirs et affaires”Communiqué de presse de la conférence organisée le mercredi 19 septembre 2012 à l’Iftm par le Cabi-net Guy Raffour Interactif40% des mobinautes veulent réserver des voyagesL’Echo touristique - 20 septembre 2012Guides de voyage sur mesure, commentés, à jour et en ligneLe Globe Veilleur par Claudine Barry - 20 septembre 2012

crIses, rIsques, defIs : ImPacts sur Le tourIsme

Visas : le Tibet est à nouveau interdit aux touristesTour Hebdo - 26 septembre 2012La sécurité des données clientes : un enjeu fondamental de l’industrie du tourisme en ligneLa Fonderie - 25 septembre 2012Le tourisme pourrait pâtir des violences anti-américainesLe Figaro - 21 septembre 2012Un article de Coach Omnium sur la guerre perdue d’avance des hôteliers contre les agences de voyages en ligne (OTA)Coach Omnium - 21 septembre 2012Prévisions pessimistes sur l’évolution des voyages d’affairesMKG Hospitality - 20 septembre 2012Vers la fin de l’âge d’or pour les campings ?Localtis - 20 septembre 2012

PratIques et ProduIts

“Une drôle de rentrée !”Touriscopie - 26 septembre 2012La France reprend la pôle position du ski dans le mondeLyon-Actualités - 25 septembre 2012Le cinéma, les films et le tourismeTourisme review - 25 septembre 2012Tourisme : des études d’impact qui frôlent le mensonge Les affaires.com - 26 septembre 2012

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Trafic maritime de passagers : concilier croissance et préservation du milieu marin Econostrum - 25 septembre 2012Près de la moitié des Français tentée par la croisièreRelaxnews - 24 septembre 2012Baromètre Mondial Assistance - DeplacementsPros : les voyageurs d’affaires attendent plus de confort dans les politiques voyages Déplacements Pros - 21 septembre 2012

tourIsme a veLo

Tourisme à vélo en Europe : la mine d’or à 44 milliards d’euros !Source : European Cyclists’ Federation (ECF)Loire à vélo : les cyclos aiment le train La Nouvelle République - 24 9 2012Vacances à vélo: gare au bilan carbone !Slate - 17 9 2012Fréquentation de la Loire à vélo Visaloire - 21 septembre 2012Premier bilan positif pour France Vélo TourismeLocaltis / 21 septembre 2012L’office de tourisme mobile en vélo-triporteur“Des Rabastinois réinventent les offices de tourisme”, la Dépêche 19/9/2012« Le vélo, c’est bon pour la santé ! »Les bénéfices et les risques de la pratique du vélo, évaluation en Île-de-France

tourIsme InternatIonaL

Pour l’OMT, dans la crise économique, “la seule bonne nouvelle vient du tourisme”Le Quotidien du Tourisme - 26 septembre 2012La Journée mondiale du tourisme (JMT) 2012 est organisée sur le thème Tourisme et énergie durable : propulser le développement durable. Célébrations officielles auront lieu à Maspalomas, Espagne (27 Septembre).OMT, septembre 2012Hotels in the Asia/Pacific region experienced mixed results in the three key performance metrics for August 2012HNN - 24 septembre 2012The Americas region recorded positive results in the three key performance metrics when reported in U.S. dollars for August 2012HNN - 24 septembre 2012The Middle East/Africa region reported positive performance results in August 2012HNN - 24 septembre 2012

tourIsme euroPeen

Eurobarometer : 71 % des Européens en faveur d’une plus grande concurrence dans le transport ferroviaire national et régionalTravel Daily News - 25 septembre 2012The European hotel industry posted mixed results in year-over-year metrics when reported in U.S. dollars, euros and British pounds for August 2012HNN - 24 septembre 2012Les prévisions de GBTA sur le tourisme d’affaires sur le marché européen pour 2012Breaking Travel News - 21 septembre 2012

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vIe des entrePrIses

Accor, numéro 1 en Afrique, confirme son développement dynamique sur le continentAccor - 25 septembre 2012Air France n’est pas sortie de l’aubergeLa Tribune - 26 septembre 2012La SNCF recrute : 10.000 embauches prévues en 2012La Tribune - 26 septembre 2012Selon l’AFP “Fram : les négociations continuent pour réduire les suppressions d’emploi (CGT)”AFP - 26 septembre 2012Amadeus rejoint le Dow Jones Sustainability Index (DJSI) comme l’un des leaders mondiaux dans le secteur des Support ServicesAmadeus - 21 septembre 2012Une nouvelle saison record pour le Puy du FouLe Puy du Fou - 21 septembre 2012VINCI Autoroutes, 1er opérateur d’autoroutes en concession en EuropeVinci - 21 septembre 2012EuroDisney refinance sa dette pour alléger ses chargesMKG Hospitality - 19 septembre 2012La SNCF compte avoir un train d’avance dans la vente de tickets en ligne en EuropeLa Tribune - 20 septembre 2012