École d’été doctorale eed unistra 2015 - résumés des interventions

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LE DOCTORAT MODES(S) D’EMPLOI ÉCOLE D’ÉTÉ DOCTORALE

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Résumés des interventions

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  • L E D O C TORATMODE S ( S ) D EMP L O ICO L E D T D O C TORA L E

  • L UND I 6 J U I L L E T PO I N T S D E V U E S U R L E D O C TORAT

  • 7

    C ON F R ENC E SLA R U S S I T E D O C TORA L E EN F RANC E ( P I ERR I CK GANDOLFO , UN IVERS I T D E ROUEN , HCERES ) On compte actuellement un peu moins de 300 coles doctorales (ED) en France, classiquement thmatises et portes par un ou plusieurs tablis-sements ou par une Communaut dUniversits et dEtablissements (ou ComUE), avec un contexte et des moyens pouvant considrablement varier dun site lautre. La russite des doctorants consti-tue lune des missions fondamentales des coles qui les accueillent. Cette russite dpend la fois de facteurs contextuels et organisationnels et de lengagement de lensemble des acteurs impliqus (directement ou indirectement) dans la formation doctorale : lED (depuis le recrutement jusqu la soutenance), les units de recherche et les directions de thse, ltablissement et les structures transver-sales (cres pour pauler les ED dans la gestion de la formation et du suivi des doctorants/docteurs) et, enfin, les doctorants eux-mmes. Depuis leur cration, les coles doctorales ont prouv divers types de dispositifs pour assurer la russite de leurs doctorants, avec une efficacit variable, et des freins parfois rencontrs selon la volont et limplication des diffrents acteurs concerns et les moyens mis leur disposition.P. GANDOLFO EST PROFESSEUR AU DPARTEMENT DE BIO-

    LOGIE DE LUNIVERSIT DE ROUEN (LABORATOIRE DE DIFF-

    RENCIATION ET COMMUNICATION NEURONALE ET NEUROEN-

    DOCRINE (INSERM U982) O SES ACTIVITS DE RECHERCHE

    PORTENT SUR LE RLE DU PEPTIDE VASOACTIF UROTENSINE

    II DANS LA TUMORIGENSE CRBRALE.

    DEPUIS 2007, P. GANDOLFO EST DLGU SCIENTIFIQUE

    LAERES (AUJOURDHUI HCERES) (SECTION FORMATION &

    DIPLMES). IL SUPERVISE ACTUELLEMENT LE PROCESSUS

    DVALUATION DES ECOLES DOCTORALES FRANAISES.

    WWW.UNIV-ROUEN.FR/VERSION-FRANCAISE/OUTILS/M-GAN-

    DOLFO-PIERRICK-1094.KJSP

    L E S E D E T L E U R C ONT EX T E UN I V E R S I TA I R E DANS L A R U S S I T E D O C TORA L E( C ATH ER I N E F L O R ENT Z , UN I V E R S I T D E S T RA SBOURG )Les laboratoires de recherche acadmiques forment lenvironnement indiscutable et incontournable la prparation du doctorat. Celui-ci correspond la reconnaissance d'une premire exprience profes-sionnelle par la recherche et conduit au grade le plus lev dcern par une universit. Les conditions de prparation d'un doctorat ont considrablement volu ces dernires annes, visant une formation ambitieuse de trs haut niveau, garantissant lexcel-lence du grade dcern tout en apportant au doc-torant des conditions d'exercice en adquation avec cette ambition. Les coles doctorales, structures privilgies de la mise en uvre du lien troit entre la recherche et la formation doctorale, sont places au cur du dispositif de formation doctorale. Les politiques des universits se dclinent de plus en plus souvent au sein de structures transversales, visant galement une harmonisation des procdures, du suivi des doctorants, d'offre de formations trans-versales, au del des spcificits disciplinaires. Les comptences ainsi acquises, uniques aux docteurs, visent tre valorises dans tous les secteurs so-cio-conomiques, incluant la recherche et l'ensei-gnement suprieur, mais galement bien au-del et ce aussi bien au niveau national qu'international. Les 10 coles doctorales et le collge doctoral du site Universit de Strasbourg sont engages dans une telle dynamique, visant dpasser les frontires par et pour le doctorat.PROFESSEUR DE BIOCHIMIE ET BIOLOGIE MOLCULAIRE

    FACULT DES SCIENCES DE LA VIE, C. FLORENTZ DVELOPPE

    SES RECHERCHES AU LABORATOIRE ARCHITECTURE ET R-

    ACTIVIT DE L'ARN (CNRS - UPR 9002). ELLE EST DEPUIS

    2013, VICE-PRSIDENTE DE LA RECHERCHE ET FORMATION

    DOCTORALE DE LUNIVERSIT DE STRASBOURG. ELLE A GA-

    LEMENT DIRIG LCOLE DOCTORALE DES SCIENCES DE LA

    VIE ET DE LA SANT (ED 414) PENDANT HUIT ANS.

    WWW-IBMC.U-STRASBG.FR/ARN/ENSEIGNEMENT/CATHE-

    RINE.HTML

  • 9 8

    T MO I GNAG E S : L E D O C TORATAN IMAT EUR S : Olga Turcan (Universit de Strasbourg, Doxtra)DOCTEURE DIPLME DE LUNIVERSIT DE STRASBOURG

    EN 2014, MEMBRE DE LQUIPE GROUPE D'TUDES SUR

    LE PLURILINGUISME EUROPEN (GEPE), QUIPE D'ACCUEIL

    LINGUISTIQUE, LANGUE, PAROLE (LILPA), O. TURCAN EST

    ACTUELLEMENT PRSIDENTE DE DOXTRA, LASSOCIATION

    DES DOCTORANTS SHS DE STRASBOURG. SA THSE SINTI-

    TULE LE FRANAIS EN MOLDAVIE : ENTRE HRITAGE, TRADI-

    TION ET MONDIALISATION. HTTP://OLGA-TURCAN.EU/

    Lyes Laifa (Universit de Strasbourg, Doxtra)ARCHITECTE, L. LAIFA PRPARE UNE THSE INTITU-

    LE GENTRIFICATION ET DYNAMIQUES SOCIO URBAINES,

    NOUVELLES FORMES DE COLONISATION, AU SEIN DU LA-

    BORATOIRE AMUP (ARCHITECTURE MORPHOLOGIE/MOR-

    PHOGENSE URBAINE ET PROJET) DE LUNIVERSIT DE

    STRASBOURG. L. LAIFA EST ACTUELLEMENT VICE-PR-

    SIDENT DE DOXTRA, LASSOCIATION DES DOCTORANTS SHS

    DE STRASBOURG

    TAB L E R OND E : AM L I O R E R L A F O RMAT I ONDOC TORA L E ?AN IMAT EUR : Pierrick Gandolfo (Universit de Rouen, HCERES)

    I N T E RV ENANTS :Thomas Coudreau (Universit Paris Diderot, CNRS)APRS AVOIR T RECRUT EN 1998 COMME MATRE DE

    CONFRENCES AU LABORATOIRE KASTLER BROSSEL, T.

    COUDREAU A PARTICIP LA CRATION DU LABORATOIRE

    MATRIAUX ET PHNOMNES QUANTIQUES EN 2001 ET A

    T NOMM PROFESSEUR PARIS 7 (AUJOURDHUI PARIS

    DIDEROT) EN 2007. SES ACTIVITS DE RECHERCHE PORTENT

    SUR DES ASPECTS THORIQUES ET EXPRIMENTAUX EN OP-

    TIQUE ET LINFORMATION QUANTIQUE. DE 2008 2014, IL A

    DIRIG LECOLE DOCTORALE MATIRE CONDENSE (ED 518).

    DE 2009 2013, IL A PARTICIP LA CRATION PUIS DIRIG

    LE CENTRE DE FORMATION DES DOCTORANTS LINSERTION

    PROFESSIONNELLE. IL EST ACTUELLEMENT DIRECTEUR DU

    COLLGE DES ECOLES DOCTORALES DE SORBONNE PARIS

    CIT WWW.MPQ.UNIV-PARIS7.FR/SPIP.PHP?ARTICLE1846

    Catherine Florentz (Universit de Strasbourg)

    Catherine Maignant (Universit Lille 3) PROFESSEUR DTUDES IRLANDAISES LUNIVERSIT

    CHARLES DE GAULLE LILLE 3 DEPUIS 1997, C. MAIGNANT A

    DIRIG LE LABORATOIRE CECILLE (EA 4074) DE 2008 2014

    ET DIRIGE ACTUELLEMENT LECOLE DOCTORALE EN SHS DE

    LA COMUE LILLE-NORD DE FRANCE.

    WWW.IT-TALLAGHT.IE/CONTENTFILES/DOCUMENTS/RE-

    SEARCH%20AND%20INNOVATION/RESEARCH_CENTRES/NC-

    FIS/CV%20CATHERINE%20MAIGNANT.PDF

    Doctorants

    L E D O C TORAT( C ATH ER I N E S C HNED E CK ER , UN I V E R S I T D E S T RA SBOURG , H C E R E S )Aprs un tat de lart et une typologie des divers ouvrages susceptibles daider les doctorants dans llaboration de leur projet, nous rpertorions les zones dombre peu abordes dans la littrature, par-mi lesquelles deux types de contraintes, qui psent lourdement sur la russite/lchec doctoral : i) les contraintes externes au doctorant et son doctorat que sont les structures qui laccueillent, la relation quil entretient avec son encadrant et la gestion du temps ; ii) les contraintes internes, consquence di-recte des premires et causes des abandons. Dans un troisime temps, nous abordons les questions lies linsertion professionnelles des doctorants is-sus notamment des SHS. Ces lments permettent de formuler des hypothses sur les besoins/attentes des doctorants et de motiver les choix thmatiques et structurels prsidant la mise en uvre de lcole dt le doctorat mode(s) demploi .PROFESSEUR DE LINGUISTIQUE FRANAISE FACULT DES

    LETTRES, C. SCHNEDECKER EST MEMBRE DE LQUIPE

    FONCTIONNEMENTS DISCURSIFS ET TRADUCTION DE

    LEQUIPE DACCUEIL 1339, LINGUISTIQUE, LANGUES, PAROLE,

    O ELLE DVELOPPE SES RECHERCHES PRINCIPALEMENT

    DANS LES DOMAINES DE LA SMANTIQUE RFRENTIELLE

    ET LA STRUCTURATION DES TEXTES EN DIACHRONIE ET EN

    SYNCHRONIE. DEPUIS 2009, ELLE EST DIRECTRICE-ADJOINTE

    DE LECOLE DOCTORALE 520 (HUMANITS) ET RESPONSABLE

    DE SON SECTEUR FORMATIONS . ELLE EST DEPUIS 2012

    DLGUE SCIENTIFIQUE LHCERES (SECTIONS DES UNITS

    DE RECHERCHE ET DES FORMATIONS & DIPLMES).

    HTTP://LILPA.UNISTRA.FR/FDT/MEMBRES/CHERCHEURS/

    SCHNEDECKER-CATHERINE/

    L A T H S E : D E S MY TH E S L A R A L I T (MARC V I A L , UN I V E R S I T D E S T RA SBOURG )Il faut se mfier des discours officiels sur la thse: ils traitent plus souvent de ce que le travail doctoral devrait tre que de ce que, dans la plupart des cas, il est. Qu'un doctorant prte une oreille par trop complaisante ces lments de langage acad-mique, et il a toutes les chances de dsesprer de son travail et de ne jamais le mener chef. Nourri par l'exprience, on tchera de prsenter l'envers du dcor et, on l'espre, de coller davantage la rali-t - quitte corner un certain nombre de mythes.MATRE DE CONFRENCES HDR EN THOLOGIE SYST-

    MATIQUE LA FACULT DE THOLOGIE PROTESTANTE DE

    LUNIVERSIT DE STRASBOURG DEPUIS 2009, M. VIAL EST

    MEMBRE DE LEQUIPE D'ACCUEIL 4378 - THOLOGIE PRO-

    TESTANTE.

    HTTPS://THEOPRO.UNISTRA.FR/PRESENTATION/ENSEI-

    GNANTS-ET-CHERCHEURS/EQUIPE-ACTUELLE/M-VIAL/

  • MARD I 7J U I L L E TPRODU I R E D E S C ONNA I S S ANC E S

  • 1 3 1 2

    LE S O U T I L S D E L A R E CH ER CH E D O CUMENTA I R E( E L I S E G I R O L D , BNU S T RA SBOURG )Aprs un expos gnral des dmarches nationales (licences nationales, Open Access) et locales (ca-talogue commun) destines favoriser laccs des chercheurs une documentation riche et varie, plusieurs bases de donnes pluridisciplinaires en SHS (Francis, Project Muse) seront prsentes aux participants, avec un focus particulier sur les outils libres (Open Edition, ISIDORE, HAL, bibliothques numriques). ARCHIVISTE-PALOGRAPHE. CONSERVATEUR DES BIBLIO-

    THQUES, EN POSTE LA BIBLIOTHQUE UNIVERSITAIRE

    DE STRASBOURG DEPUIS JUILLET 2011, E. GIROLD EST RES-

    PONSABLE DE LA DOCUMENTATION LECTRONIQUE ET DE LA

    COORDINATION DOCUMENTAIRE AU SEIN DE LA DIRECTION

    DU DVELOPPEMENT DES COLLECTIONS.

    OUT I L S L O G I C I E L S P OUR L ' ANA LY S E D E C O R PU ST EX TU E L S ( B N D I C T E P I N C EM IN , E N S LYON )La communication dressera un panorama de diff-rents types d'outils pour la prparation et l'analyse des corpus textuels. L'objectif est d'une part de comprendre les tapes d'un travail sur corpus num-rique, et d'autre part, l'intrieur de chaque tape, de distinguer et caractriser diffrentes approches de traitement. Nous prterons une attention plus particulire l'approche textomtrique, en expli-quant sa pertinence pour la recherche en sciences humaines et sociales. La prsentation apportera galement des lments de mthodologie fonda-mentaux pour l'usage de corpus numriques.CHARGE DE RECHERCHE AU CNRS, B. PINCEMIN DVE-

    LOPPE SES RECHERCHES AU LABORATOIRE ICAR (UMR 5191

    ICAR, QUIPE CDILLES/CACTUS ). CELLES-CI SE RATTACHENT

    L'ANALYSE SMANTIQUE ASSISTE PAR ORDINATEUR, PAS-

    SANT NOTAMMENT PAR LA CONSTITUTION ET L'EXPLOITA-

    TION DE CORPUS DE TEXTES INTGRAUX NUMRISS.

    B. PINCEMIN S'INVESTIT NOTAMMENT DANS LE PROJET

    TEXTOMETRIE QUI

    CONOIT, DVELOPPE ET DIFFUSE LE LOGICIEL OPEN-

    SOURCE TXM.

    HTTP://ICAR.UNIV-LYON2.FR/MEMBRES/BPINCEMIN/AXES.

    HTM

    AT E L I E R S AT E L I E R : T XM ( B N D I C T E P I N C EM IN , E N S LYON )Le logiciel open-source TXM, gratuit et utilisable sous windows, mac ou linux, permet l'analyse quali-tative et quantitative de corpus crits ou oraux trans-crits, dans toute langue pouvant s'crire avec des caractres UTF-8 (unicode). L'objectif de cet atelier de 2h est de voir des exemples concrets de rsultats obtenus avec ce logiciel dans diffrents contextes (textes littraires, discours politiques, entretiens se-mi-directifs...). L'atelier prendra en partie la forme d'une dmonstration interactive, o les possibilits du logiciel seront explores en fonction des attentes et questionnements des participants.

    G E S T I ON D E S D ONN E S S U R TAB L E UR( L AUR ENC E L ONGO , UN I V E R S I T D E S T RA SBOURG )Dans cet atelier, nous verrons comment tirer parti des possibilits offertes par un tableur (Microsoft Excel, Libre Office Calc) pour exploiter des corpus (textes bruts ou annots). Aprs avoir import nos donnes dans le tableur ( partir d'un relev manuel ou par-tir de rsultats de requtes avec un concordancier par exemple), nous verrons comment annoter nos donnes, comment effectuer des recherches dans nos donnes, comment trier et filtrer nos donnes (depuis une feuille ou un classeur). Nous verrons aussi comment effectuer des calculs sur nos donnes, comment prsenter les rsultats obtenus (graphiques et tableaux croiss dynamiques notamment) et en-fin comment exporter nos rsultats (dans un article ou une prsentation). Pour clturer cet atelier, nous laborerons une fiche pratique o figureront diverses astuces pour faciliter l'utilisation du tableur.DOCTEURE EN LINGUISTIQUE ET INFORMATIQUE, DIPLME

    DE LUNIVERSIT DE STRASBOURG (2013), LAURENCE LONGO

    EST MEMBRE DE L'UNIT DE RECHERCHE LILPA (LINGUIS-

    TIQUE, LANGUES, PAROLE, QUIPE FONCTIONNEMENTS DIS-

    CURSIFS ET TRADUCTION ). ELLE A T, DURANT SA THSE DE

    DOCTORAT, INGNIEUR DVELOPPEMENT CHEZ RBS (READY

    BUSINESS SYSTEM) O ELLE A CONTRIBU AU DVELOPPE-

    MENT DUN OUTIL DE DTECTION AUTOMATIQUE DE THMES

    POUR AMLIORER LA CLASSIFICATION DES DOCUMENTS DANS

    LE MOTEUR DE RECHERCHE INTERNE DE LENTREPRISE.

    HTTP://LONGO-LAURENCE.E-MONSITE.COM/PAGES/ACTI-

    VITES.HTML

    CONF R ENC E S S C I EN C E S H UMA IN E S : U N O X YMOR E ? T H I E R RY MART I N ( UN I V E R S I T D E F R ANCH E C OMT )Rflexions sur la scientificit des sciences humaines et leur relation aux sciences de la nature.PROFESSEUR LUNIVERSIT DE FRANCHE COMT DEPUIS

    2003, T. MARTIN DVELOPPE DES ENSEIGNEMENTS ET SA

    RECHERCHE EN HISTOIRE ET PHILOSOPHIE DES PROBABILI-

    TS ET DES MATHMATIQUES SOCIALES, PHILOSOPHIE DES

    SCIENCES SOCIALES ET DPISTMOLOGIE GNRALE. IL

    DIRIGE, DEPUIS 2004, LEQUIPE DACCUEIL 2274 LABORA-

    TOIRE LOGIQUES DE LAGIR ET LE CENTRE DE DOCUMENTA-

    TION ET DE BIBLIOGRAPHIE PHILOSOPHIQUES. DEPUIS 2008,

    IL DIRIGE LCOLE DOCTORALE LANGAGES, ESPACES, TEMPS,

    SOCITS (ED 38) DE LUNIVERSIT DE FRANCHE-COMT.

    W W W. P H I L O L A B - B E S A N C O N . O R G / W P - C O N T E N T /

    UPLOADS/2014/10/CV-THMARTIN.PDF

    L E S C A RR I R E S A CAD M I Q U E S EN S U I S S E : L E S M ME S FA C I L I TAT I ON S E T O B S TA C L E S P OUR TOU S E T TO U T E S ? FA R I NA Z FA S SA R E C RO S I O ( UN I V E R S I T D E L A U SANNE )Aprs avoir prsent la diversit des situations que lon peut rencontrer dans les universits du fait du f-dralisme helvtique, mon intervention reviendra sur les lments de facilitation et dobstacle relevs par les recherches consacres aux carrires des ensei-gnant.e.s-chercheur.e.s dans ce contexte national. Elle sintressera dans un second temps aux ques-tions spcifiquement lies aux rapports sociaux de sexe. Il sagira de montrer que les rythmes et les tapes imposs par une vision normative des car-rires ont pour effet de maintenir les femmes aux marges de la voie royale, et ceci malgr les politiques actives mises en place par les responsables des politiques de la relve et de lgalit pour combler le retard de la Suisse en ce qui concerne la reprsen-tation des femmes dans les sciences.PROFESSEUR ASSISTANTE DE SOCIOLOGIE DE LDUCATION

    LUNIVERSIT DE LAUSANNE, F. FASSA RECROSIO MNE

    SES RECHERCHES LINSTITUT DES SCIENCES SOCIALES DE

    LA FACULT DES SCIENCES SOCIALES ET POLITIQUES ET EST

    SPCIALISTE DES QUESTIONS LIES LENSEIGNEMENT SU-

    PRIEUR, AUX CARRIRES ACADMIQUES, AUX PROFESSIONS

    DUCATIVES ET AUX POLITIQUES DE L'DUCATION ET DE LA

    FORMATION. SES RECHERCHES INCLUENT SYSTMATIQUE-

    MENT UNE PERSPECTIVE DE GENRE.

    HTTPS://APPLICATIONSPUB.UNIL.CH/INTERPUB/NOAUTH/

    PHP/UN/UNPERS.PHP?PERNUM=760342&LANCODE=37

  • 1 4

    PANORAMA D E S L O G I C I E L S B I B L I O G RAPH I Q U E S(NO L T H I B OUD , UN I V E R S I T D E S T RA SBOURG )Apparus dans les annes 80, les logiciels de gestion bibliographique vous permettent de rcuprer et de citer automatiquement les rfrences des do-cuments que vous consultez. Au-del du gain de temps lors de la constitution de votre bibliographie, ils vous permettent de grer votre documentation (retrouver facilement le texte des documents, les annoter...) et sont un outil indispensable de votre travail de recherche.Cette sance prsente un panorama de quelques logiciels votre disposition et de leurs principales fonctionnalits.N. THIBOUD EST ACTUELLEMENT CONSERVATEUR DES BI-

    BLIOTHQUES ET CO-RESPONSABLE DE L'URFIST DE STRAS-

    BOURG. DANS CE CADRE, IL ANIME PAR AILLEURS DES

    SESSIONS DE FORMATIONS NOMBREUSES ET DIVERSIFIES

    DESTINES AUX DOCTORANTS ET AUX CHERCHEURS. HTTP://

    URFIST.UNISTRA.FR/

    I N T RODUC T I ON L ' ANA LY S E S TAT I S T I Q U EAV E C R ( M I C HA E L P E R C I L L I E R , UN I V E R S I T SD E S T RA SBOURG E T D E MANNHE IM ) Cet atelier sert d'introduction au langage de pro-grammation R, qui permet d'effectuer des tests statistiques (test du , test t, test de corrlation...) ainsi que de prsenter ses rsultats sous forme de graphique.Aucune connaissance pralable n'est requise. Si possible, les participants sont pris d'amener un ordinateur portable avec le logiciel R install (www.r-project.org).DOCTEUR EN SCIENCES DU LANGAGE (2012), DIPLM DE

    LUNIVERSIT DE FREIBURG (ALLEMAGNE), M. PERCILLIER A

    EFFECTU UN POST-DOCTORAT STRASBOURG DANS SON

    DOMAINE DE SPCIALIT : LA LINGUISTIQUE DE CORPUS, LES

    VARITS DE LANGLAIS ET LA LINGUISTIQUE LITTRAIRE.

    TAB L E R OND E :L AV EN I R D E S S H S ?AN IMAT EUR :Thierry Martin (Universit de Franche Comt)

    I N T E RV ENANTS Christine Maillard (Universit de Strasbourg, MISHA)PROFESSEUR AU DPARTEMENT D'TUDES ALLEMANDES DE

    LUNIVERSIT DE STRASBOURG, C. MAILLARD DVELOPPE

    DES TRAVAUX SUR LES RELATIONS DE LA LITTRATURE ET

    DES SAVOIRS SCIENTIFIQUES DANS L'ESPACE GERMANO-

    PHONE (XVIIIE AU XXE SICLE), LE CROISEMENT DES SAVOIRS

    ENTRE ORIENT ET OCCIDENT ET LA PENSE DE CARL GUS-

    TAV JUNG. ELLE EST GALEMENT PROFESSEUR ASSOCI

    L'UNIVERSIT D'OULU (FINLANDE), DIRECTRICE-ADJOINTE DE

    L'UNIT DE RECHERCHE ETUDES GERMANIQUES (EA 1341)

    ET, ACTUELLEMENT, DIRECTRICE DE MAISON INTER-UNIVER-

    SITAIRE DES SCIENCES DE L'HOMME-ALSACE.

    A. Rege (Universit de Strasbourg)TITULAIRE D'UN DOCTORAT EN HISTOIRE MODERNE, A. REGE

    EST CONSERVATEUR DES BIBLIOTHQUES AU SCD DE LUNI-

    VERSIT DE STRASBOURG, O ELLE EST RESPONSABLE DU

    DPARTEMENT DOCUMENTATION SCIENTIFIQUE NUMRIQUE

    ET CHEF DE PROJET ARCHIVES OUVERTES DE LA CONNAIS-

    SANCE. ADELINE REGE ANIME GALEMENT LE SOUS-GROUPE

    INFORMATION-COMMUNICATION DU GROUPE DE TRAVAIL

    SUR LACCS OUVERT (GTAO) DU CONSORTIUM COUPERIN.

    ORG.

  • MERCR ED I8 J U I L L E TECR I R E D E S T E X T E SS C I EN T I F I Q U E S

  • 1 9 1 8

    ECR I T S I NTERMD IA I R ES E T LABORAT I ON DE LA THSE ( C L AUD I N E G AR C I A -D EBANC , UN I V E R S I T D E TO U L OU S E )De nombreux travaux ont mis en vidence le rle important de lcriture dans la conceptualisation et llaboration des connaissances (Goody, 1968 ; Olson, 1998 ; Latour, 1985). En didactique des sciences et en didactique du franais langue pre-mire, a t montr lintrt dcrits intermdiaires (Vrin, 1988, 1995 ; Schneeberger, Vrin, 2009) ou transitoires (Garcia-Debanc, Laurent, 2009) pour accompagner la construction des connaissances scientifiques : sous la forme de textes rdigs mais aussi de schmas ou de tableaux, ils sont la fois la trace et le catalyseur des connaissances en cours dlaboration. Tout au long des annes de thse, ltudiant est amen rdiger des crits divers : projet de thse, rsums de communications ou darticles soumis, comptes rendus de rencontres avec lencadrant-e, notes de lectures, articles scien-tifiques, posters, diaporamas Selon les cas, ces crits sont des crits transitoires avec, comme seuls destinataires, ltudiant et son encadrant-e ou re-lvent de genres divers, qui font rarement lobjet dun enseignement (Lousada, Santos, 2014). Lin-tervention se propose de montrer limportance de ces crits transitoires la fois comme composantes importantes du mtier de chercheur et comme outils de conceptualisation et dcriture indispensables llaboration de la thse. PROFESSEUR UNIVERSIT TOULOUSE2-JEAN JAURS DE-

    PUIS 1996 (ESPE MIDI-PYRNES), C. GARCIA DEBANC EST

    MEMBRE DU LABORATOIRE CLLE-ERSS (UMR 5263) O ELLE

    DIRIGE LAXE DIDAPS (DIDACTIQUE ACQUISITION PSYCHO-

    LINGUISTIQUE). ELLE DVELOPPE DES RECHERCHES ARTI-

    CULANT LE CHAMP DE LA SMANTIQUE ET DE LANALYSE

    DE DISCOURS ET LA DIDACTIQUE DU FRANAIS LANGUE

    PREMIRE. CELLES-CI PORTENT SUR LANALYSE SMANTIQUE

    ET TEXTUELLE DE TEXTES DENFANTS ET LES PRATIQUES

    DENSEIGNEMENT DE LA LANGUE LCOLE ET AU COLLGE.

    HTTP://W3.ERSS.UNIV-TLSE2.FR/TEXTES/PAGESPERSOS/

    GARCIA-DEBANC/INDEX.HTML#PUBLI

    Elments bibliographiques GARCIA-DEBANC, C., LAURENT D., GALAUP

    M. (2009). Les formulations des crits transitoires comme traces du savoir en cours dappropriation dans le cadre de lenseignement des sciences lcole primaire in Pratiques 143-144, Lcriture des savoirs, Metz., 27-50

    GOODY J. (1968 - traduction par Lejosne J.-C. 2006). La technologie de lintellect, Pratiques 131-132, 7-30.

    LATOUR, B. (1985) Les vues de lesprit. Une introduction lanthropologie des sciences et des techniques . Culture technique, 14.

    LOUSADA, E., SANTOS T. (2014). La construction du raisonnement dans le texte scientifique, Actes du 4 Congrs mondial de linguistique franaise, 1063, publi en ligne le 24 juillet 2014,

    D O I : h t t p : / / d x . d o i . o r g / 1 0 . 1 0 5 1 /shsconf/20140801313

    OLSON D. R. (1998). Lunivers de lcrit. Comment la culture crite donne forme la pense, Paris, Retz, 1998.

    SCHNEEBERGER, P., VERIN, A. (dir.) (2009). Dvelopper des pratiques doral et dcrit en sciences. Quels enjeux pour les apprentissages lcole ?, Lyon, INRP, Collection Didactiques, apprentissages, enseignements.

    VERIN, A. (dir.) (1988). Les lves et lcriture en sciences, ASTER 6, INRP

    VERIN, A. (1995). Mettre par crit ses ides pour les faire voluer en sciences, Repres 12, 21-36.

    CONF R ENC E SASS I E D S - TO I E T C R I S TA T H S E ! T R U C S P RAT I Q U E S P OUR L A R DA C T I ON S C I EN T I F I Q U E ( G EN EV I V EB E L L EV I L L E , UN I V E R S I T D E L AVA L )Latelier propos vise donner le got (et le temps!) aux tudiants dcrire plus et dcrire mieux. Diff-rentes stratgies leur seront proposes pour crire de faon rgulire et se garder motiv.La rdaction scientifique est lentreprise la plus in-timidante, dcourageante et anxiogne de lexp-rience universitaire. Lorsque vient le temps dcrire, tout devient plus intressant : les courriels mme les plus insignifiants pourriels , les appels que lon retarde depuis toujours, le mnage et mme le chan-gement de litire du chat. Comment peut-on arriver crire, alors ? Et, surtout, comment peut-on arriver le faire sans que la rdaction projette constamment cette aura de torture ou de pire corve du monde ? Peut-on arrter de se soumettre contrecur aux activits de rdaction et simplement retrouver lenvie dcrire ? Voil les questions qui seront abordes dans cet atelier.PROFESSEURE ADJOINTE DEPUIS 2009 LA FACULT DES

    SCIENCES SOCIALES DE LUNIVERSIT DE LAVAL ET PSY-

    CHOLOGUE CERTIFIE EN THRAPIE COGNITIVO-COMPORTE-

    MENTALE, G. BELLEVILLE DVELOPPE SES THMES DENSEI-

    GNEMENT ET DE RECHERCHE AUTOUR DE LA PSYCHOLOGIE

    CLINIQUE (ADULTE) (STRESS, ANXIT, TROUBLES DU SOM-

    MEIL, MDICAMENTATION, ).

    G. BELLEVILLE EST NOTAMMENT LAUTEUR DE ASSIEDS-TOI

    ET CRIS TA THSE ! : TRUCS PRATIQUES ET MOTIVATIONNELS

    (2014, P.U. LAVAL, ISBN : 9782763720319).

    WWW2.ULAVAL.CA/FILEADMIN/ULAVAL_CA/IMAGES/RE-

    CHERCHE/BD/CHERCHEUR/FICHE/1047250.HTML

    D E L ' O B J E C T I V I T S C I EN T I F I Q U E A UX P O S TUR E SD ' A U T EUR DANS L ' C R I T U R E D E L A T H S E( F RANC I S G R O S SMANN , UN I V E R S I T D E G R ENOB L E )L'engagement dans une dmarche scientifique exige que le chercheur se plie certaines rgles, dont celle qui veut qu'il soit objectif dans l'exposition de sa problmatique de recherche, dans sa confronta-tion ses pairs, et dans la discussion des rsultats. D'un autre ct, le terme mme de thse implique l'ide d'un point de vue dfendre et donc l'adop-tion d'une posture d'auteur au sens plein du terme. Ces deux exigences sont-elles compatibles? Aprs avoir point quelques obstacles la bonne com-prhension des rgles de l'criture scientifique, on se propose, en s'appuyant sur des exemples issus d'un corpus de thses, d'illustrer concrtement les formes que peut revtir l'auctorialit scientifique.PROFESSEUR EN SCIENCES DU LANGAGE L'UNIVERSIT

    STENDHAL GRENOBLE 3 ET MEMBRE DE LEQUIPE DACCUEIL

    LIDILEM (E.A 609) DEPUIS 2002, F. GROSSMANN DVELOPPE

    SES TRAVAUX DE RECHERCHE DANS LES DOMAINES DE LA

    SMANTIQUE LEXICALE, DES THORIES DE LNONCIATION

    (POLYPHONIE NONCIATIVE, USAGES DE LA CITATION, DIS-

    COURS RAPPORT, MARQUAGE DE L VIDENTIALIT

    DANS LES CRITS SCIENTIFIQUES) ET DE LA DIDACTIQUE

    DU FRANAIS.

    IL A PARTICIP NOTAMMENT AU PROJET SCIENTEXT (HTTP://

    SCIENTEXT.MSH-ALPES.FR/SCIENTEXT-SITE/SPIP.PHP?AR-

    TICLE1) ET A PUBLI SUR LES TEXTES SCIENTIFIQUES

    DE NOMBREUX CRITS DONT LCRIT SCIENTIFIQUE : DU

    LEXIQUE AU DISCOURS. AUTOUR DE SCIENTEXT (A.TUTIN ET

    F. GROSSMANN DS) (2014, PRESSES DE LUNIVERSIT DE

    RENNES, ISBN : 978-2-7535-2846-8 ET LES DISCOURS SCIEN-

    TIFIQUES : DES RHTORIQUES AUX PISTMOLOGIES, REVUE

    DANTHROPOLOGIE DES CONNAISSANCES, VOL.4, N3 (2010).

    HTTP://FRANCISGROSSMANN.FR/?PAGE=CV

  • 2 1 2 0

    M I S E EN F O RME D E L A T H S E AV E C WORD(N I V EAU AVANC ) - P R S ENTAT I ON G N RA L E(NO L T H I B OUD , UN I V E R S I T D E S T RA SBOURG )Comment utiliser les fonctions avances de Word pour gagner du temps lors de la saisie (sommaire et

    numrotation des parties automatiques) produire un document la prsentation homogne rendre la lecture plus facile amliorer l'utilisation du document (navigation,

    lments cliquables).

    L E S C A RAC T R I S T I Q U E S D E L ' C R I T D E R E CH ER CH E ( F RANO I S E B O CH , UN I V E R S I T D E G R ENOB L E )Mon intervention tchera de rpondre aux questions suivantes : Comment, dans l'criture de la thse, se positionner par rapport aux autres auteurs convo-qus ? Comment lgitimer son objet de recherche ? Comment le rendre intressant ?MAITRE DE CONFRENCES EN SCIENCES DU LANGAGE

    L'UNIVERSIT STENDHAL GRENOBLE 3 ET MEMBRE DE

    LEQUIPE DACCUEIL LIDILEM (E.A 609), F. BOCH MNE SA

    RECHERCHE NOTAMMENT DANS LES DOMAINES DE LA M-

    THODOLOGIE DE LCRIT UNIVERSITAIRE ET DE LCRITURE

    DE RECHERCHE

    ELLE EST NOTAMMENT CO-AUTEUR DUN OUVRAGE ( PA-

    RAITRE) INTITUL ECRIRE DANS LENSEIGNEMENT SUP-

    RIEUR : DES APPORTS DE LA RECHERCHE AUX OUTILS P-

    DAGOGIQUES. ELLUG ET CO-DIRECTRICE DE LA REVUE LIDIL

    HTTPS://SITES.GOOGLE.COM/SITE/CVFRANCOISEBOCH/HOME

    ANG LA I S S C I EN T I F I Q U E ( MARYVONNE B O I S S E AUUN I V E R S I T D E S T RA SBOURG )The aim of this workshop is twofold: raise the awar-eness of the participants regarding the specificities of academic communication whether spoken or written and provide methodological and linguistic tools in order to help doctoral students to feel more confident when writing a research paper.

    The two-hour workshop will include:1. an overview of the characteristic features of English in/for academic communication as a genre1.1 Linguistic characteristics of spoken academic discourse vs written academic discourse (registers

    and levels of language)1.2 The use of metalinguistic terms1.3 Stance: I or we?2. a contrastive analysis of the abstracts of two re-search papers within the same field of research1.1 aims of the papers and hypotheses1.2 stance and theoretical point of view1.3 outline of each paper1.4 language choices (syntactic patterns, argumen-tation markers, etc.)3. a writing sequence (group work): writing a short piece of academic prose (an introduction to a RP)4. DiscussionPROFESSEUR FACULT DES LANGUES ET CULTURES TRAN-

    GRES DEPUIS 2009, M. BOISSEAU DIRIGE LQUIPE FONC-

    TIONNEMENTS DISCURSIFS ET TRADUCTION DE LEQUIPE

    DACCUEIL 1339 LINGUISTIQUE, LANGUES, PAROLE. ELLE

    DVELOPPE SES RECHERCHES DANS LE DOMAINE DE LA

    LINGUISTIQUE ET DE LA TRADUCTION ET DE LA POSIE IR-

    LANDAISE.

    HTTP://LILPA.UNISTRA.FR/UPLOADS/MEDIA/CV_BOISSEAU_

    MARYVONNE_01.PDF

    TAB L E R OND E : L E S S P C I F I C I T S D E L C R I T U R ED E T H S E AN IMAT EURThierry Olive

    I N T E RV ENANTS : G. Belleville (Universit de Laval) F. Boch (Universit de Grenoble) C. Garcia-Debanc (Universit de Toulouse) Doctorants

    L A R DA C T I ON D E T E X T E S : A S P E C T S MOT I F SE T C O GN I T I F S ( T H I E R RY O L I V E , UN I V E R S I T D E P O I T I E R S )Pour un doctorant, la rdaction de la thse est un moment particulier et souvent redout. Rdiger un texte aussi complexe et long met en effet en jeu de nombreux mcanismes psychologiques - cognitifs et affectifs - que le doctorat doit parvenir grer. Pour cela, il doit mettre en uvre des stratgies d'criture qui lui permettent de transmettre au mieux ses inten-tions et objectifs de communication.Dans ce cadre, mon intervention prsentera les stratgies et processus cognitifs impliqus dans la rdaction de textes. J'aborderai aussi des questions lies la gestion des affects et des motions des rdacteurs. Il s'agira de faire rflchir les doctorants leurs propres stratgies d'criture pour leur per-mettre d'amliorer leur pratique de rdacteur.CHARG DE RECHERCHE AU CNRS DEPUIS 2002, T. OLIVE EST

    ACTUELLEMENT RESPONSABLE DE LQUIPE PRODUCTION

    CRITE DU CENTRE DE RECHERCHES SUR LA COGNITION

    ET LAPPRENTISSAGE DE LUNIVERSIT DE POITIERS (UMR

    7295) O IL DVELOPPE DES TRAVAUX DE PSYCHOLOGIE

    EXPRIMENTALE EXPLORANT LA PRODUCTION DU LANGAGE

    CRIT, SON ACQUISITION, SES DIFFICULTS D'ACQUISITION ET

    LES MOTIONS DANS L'CRITURE. IL EST CODIRECTEUR DE

    LA COLLECTION DOUVRAGES STUDIES IN WRITING PUBLIE

    PAR BRILL EDITION.

    HTTP://THIERRY.OLIVE.PAGESPERSO-ORANGE.FR/INDEX.

    HTML

    AT E L I E R SMI S E EN F O RME D E L A T H S E AV E C WORD(N I V EAU D BU TANT ) - P R S ENTAT I ON G N RA L E( ANG E L I NA A L E K SANDROVA , UN I V E R S I T D E S T RA SBOURG )Cet atelier de gestion de textes longs sous Word sadresse aux faux dbutants . Il ny sera pas donc question de faire dcouvrir aux participants linter-face du logiciel (cependant des mises au point seront faites si ncessaire) mais surtout daborder certaines fonctionnalits du point de vue mthodologique. Lobjectif de latelier est de donner quelques repres aux participants pour quils puissent non seulement mieux sapproprier loutil mais surtout doptimiser leur usage et dautomatiser au maximum certaines phases dans lcriture afin de pouvoir se consacrer exclusivement au travail dcriture proprement parler.

    Liste non exhaustive des aspects abords : Cration des styles et dun modle de thse Gestion de paragraphes Les sauts de pages Les en-tte et pied de page Numrotation des pages Cration et gestion dune liste plusieurs niveaux Insertion et positionnement d'une image Cration d'un tableau simple.

    Aprs concertation avec les participants, il est aussi possible daborder la gestion des rfrences (notam-ment bibliographie, Word 2007 ou ultrieure). DOCTEURE EN LINGUISTIQUE ET INFORMATIQUE, DIPLME

    DE LUNIVERSIT DE STRASBOURG (2013) ET LAURATE DU

    PRIX DE LA FONDATION DE LUNIVERSIT DE STRASBOURG

    (2014), ANGELINA ALEKSANDROVA EST MEMBRE DE L'UNIT

    DE RECHERCHE LILPA (LINGUISTIQUE, LANGUES, PAROLE,

    QUIPE FONCTIONNEMENTS DISCURSIFS ET TRADUCTION )

    O ELLE DVELOPPE SES TRAVAUX DE RECHERCHE NOTAM-

    MENT DANS LE DOMAINE DE LA SMANTIQUE LEXICALE.

    HTTP://LILPA.UNISTRA.FR/UPLOADS/MEDIA/CV_ALEKSAN-

    DROVA_ANGELINA.PDF

  • J E UD I9 J U I L L E TGR ER S ON D O C TORAT

  • 2 5 2 4

    DE L A C O ORD I NAT I ON L A C O O P RAT I ON : D E S O U T I L S A UX P RAT I Q U E S D E C O O P RAT I ON( B ENO T H AB ERT, E N S LYON )Pour reprendre la distinction de Christophe Dejours (Le travail vivant, tome 2, Payot & Rivages 2009), la coordination est souvent prescrite (il faut se coor-donner pour une tche donne). La coopration est l'accord qui peut se mettre en place sur les manires de travailler.

    Un certain nombre d'outils coopratifs facilitent la coordination : diteurs de notes collaboratives, en-vironnements de partage de documents.

    L'atelier commencera par une mise en pratique de certains de ces outils. Cette mise en pratique per-mettra dans un deuxime temps de s'interroger sur les conditions d'emploi de ces outils ainsi que sur le passage de la coordination la coopration et sur les enjeux de ce passage.PROFESSEUR DE SCIENCES DU LANGAGES DEPUIS 2000,

    ET LENS DE LYON DEPUIS 2007, APRS AVOIR T DI-

    RECTEUR-ADJOINT DU TRS GRAND EQUIPEMENT ADONIS

    (2007-2009) ET DLGU INFORMATION ET CONNAISSANCE

    AUPRS DU SECRTAIRE GNRAL D'EDF R&D (2009-2011),

    B. HABERT EST ACTUELLEMENT DIRECTEUR ADJOINT DU

    MASTER ARCHITECTURE DE LINFORMATION ENS DE LYON

    1/ENSSIB (HTTP://ARCHINFO.UNIVERSITE-LYON.FR/), DANS

    LEQUEL IL TRAVAILLE LA MISE EN PLACE DE PRATIQUES

    COOPRATIVES APPUYES PAR LE NUMRIQUE.

    PROMOTEUR EN FRANCE DE LA LINGUISTIQUE DE CORPUS,

    IL A DVELOPP DES ENSEIGNEMENTS ET DES TRAVAUX DE

    RECHERCHE DANS LES DOMAINES DU TRAITEMENT AUTOMA-

    TIQUE DES LANGUES, DE LA SMANTIQUE LEXICALE ET DU

    DOCUMENT NUMRIQUE.

    LES LINGUISTIQUES DE CORPUS, AVEC A. NAZARENKO ET A.

    SALEM, A. COLIN (1997) ISNB :978-2200017750

    INSTRUMENTS ET RESSOURCES LECTRONIQUES POUR LE

    FRANAIS, OPHRYS, (2005) ISBN : 9782708011199

    CONSTRUIRE DES BASES DE DONNES POUR LE FRANAIS,

    OPHRYS, (2009) (2 TOMES) ISBN : 9782708012189

    ARCHITECTURE DE L'INFORMATION : MTHODES, OUTILS,

    ENJEUX AVEC JEAN-MICHEL SALAN- DE BOECK. ISNB :

    978-2804191405.

    HTTP://PERSO.ENS-LYON.FR/BENOIT.HABERT/

    CONF R ENC E SLA R E L AT I ON D O C TORANT/ ENCADRANT E T L E S S T Y L E S D E S U P E RV I S I ON ( N I C O L E R E G E C O L E T, UN I V E R S I T D E S T RA SBOURG )L'intervention dcrit les changements intervenus dans la relation qui unit un doctorant avec son en-cadrant. Les changements tiennent la fois aux nouveaux contextes de la formation doctorale en Europe et l'mergence d'un nouveaux profil pro-fessionnel pour l'encadrement comme pour le doc-torant. Diffrents approches de l'encadrement sont examines en fonction des intentions poursuivies et des modalits de communication adoptes.

    I M AG E S D E S O I P ENDANT L E D O C TORAT( L A E T I T I A G RARD , UN I V E R S I T D E L O RRA I N E ) Gestion et interfrence entre les diffrentes iden-

    tits Les strotypes qui freinent l'insertion profession-

    nelle des docteurs Les mtaphores utilises par les doctorants pour

    dcrire leur parcours Le stress peru par les doctorants.DOCTEURE EN SCIENCES DE L'DUCATION DEPUIS 2009, L.

    GRARD EST CHERCHEURE, FORMATRICE ET CONSULTANTE

    INTERNATIONALE DANS LES DOMAINES DE LA FORMATION

    DOCTORALE ET DE LA PDAGOGIE UNIVERSITAIRE. HTTP://

    COOPERATIONUNIVERSITAIRE.BLOGS.DOCTEO.NET/

    ELLE EST L'AUTEURE DE :

    LE DOCTORAT : UN RITE DE PASSAGE. ANALYSE DU PAR-

    COURS DOCTORAL ET POST DOCTORAL, DITIONS TH-

    RADRE, 2014. ISBN : 978-2-36085-055-6

    LA THSE NUIT GRAVEMENT LA SANT1: LE DICO DU DOC.

    PRESSES UNIVERSITAIRES DE SUISSE

    LA THSE NUIT GRAVEMENT LA SANT 2: ANECDOC, JOUR-

    NAL INTIME DE DOCTORANTS. PRESSES UNIVERSITAIRE

    DE SUISSE

    SITE: WWW.PHDELIRIUM.COM

    V I S I T E D E L A B I B L I OTH QU E UN I V E R S I TA I R ED E S T RA SBOURG( DOM IN I Q U E G R ENT Z I NG ER , D I R E C T E URDU D V E L O P P EMENT D E S C O L L E C T I ON S , BNU )

    AT E L I E R SSTY L E S D E S U P E RV I S I ON : J E U X D E R L E S(N I C O L E R E G E C O L E T, UN I V E R S I T D E S T RA SBOURG )L'atelier permet de s'exercer clarifier ce que l'on attend d'une sance de travail avec son encadrant et tirer profit du feedback reu (mme si ce n'est pas ce que l'on attendait!). Il vise dcortiquer les mcanismes et les dynamiques du feedback: ce qui vient embrouiller la communication comme ce qui, au contraire, permet de progresserN. REGE COLET EST LA DIRECTRICE DE LINSTITUT DE DVE-

    LOPPEMENT ET DINNOVATION PDAGOGIQUES DE LUNIVER-

    SIT DE STRASBOURG (HTTP://IDIP.UNISTRA.FR/) QUELLE A

    FOND EN 2013 DANS LE CADRE DE L'IDEX.

    PSYCHOPDAGOGUE ENGAGE DANS LE DVELOPPEMENT

    DE L'ENSEIGNEMENT SUPRIEUR AVEC UNE SOLIDE EXP-

    RIENCE DANS LA MISE EN PLACE DU PAYSAGE UNIVERSITAIRE

    EUROPEN (DES NOUVELLES MODALITS DE GOUVERNANCE

    LA RFORME DES PROGRAMMES), N. REGE COLET EST

    CO-AUTEUR DE DEUX OUVRAGES :

    REGE COLET N. & BERTHIAUME, D. (DS) (2015). LA PDAGO-

    GIE DE LENSEIGNEMENT SUPRIEUR: REPRES THORIQUES

    ET APPLICATIONS PRATIQUES. TOME 2: SE DVELOPPER

    AU TITRE DENSEIGNANT. BERNE: PETER LANG. ISBN 978-

    3-0343-1633-0

    BERTHIAUME, D., & REGE COLET, N. (DS) (2013). LA PDAGO-

    GIE DE LENSEIGNEMENT SUPRIEUR: REPRES THORIQUES

    ET APPLICATIONS PRATIQUES. TOME1: ENSEIGNER AU SUP-

    RIEUR. BERNE: PETER LANG. ISBN 978-3-0343-1462-6

    CONDU I T E D E T H S E , C ONDU I T E D ' UN P R O J E TE T S A VA L OR I S AT I ON ( F RANO I S BAT Y- SOR E L ,UN I V E R S I T D E P O I T I E R S )Vous avez fait le choix de vous engager dans un doctorat et ce titre, vous allez piloter votre projet de recherche. Chercheur en formation , vous tes considr dans la Charte Europenne du Chercheur, comme acteur de la gestion de votre projet. Doc-torants, encadrants, managers, cadres se voient de plus en plus confier, en complment de leurs attributions, la responsabilit dactions internes ou externes leur environnement, exigeant la mise en uvre de gestion de projet.Cela suppose pour vous dutiliser des outils de ca-drage et de pilotage de projet dans un environne-ment qui ny est pas forcment habituANIMATEUR DU PLE DOCTORAL DE LUNIVERSIT DE POI-

    TIERS, DEPUIS 2009, F. BATY-SOREL PARTICIPE DE NOM-

    BREUSES INITIATIVES LIES AU PARCOURS DOCTORAL : DVE-

    LOPPEMENT DU PROJET PERSONNEL ET PROFESSIONNEL DE

    LTUDIANT OU ENCORE DU PORTEFEUILLE DEXPRIENCES

    ET DE COMPTENCES, LA PROFESSIONNALISATION DES DOC-

    TORANTS. IL EST NOTAMMENT CO-AUTEUR DE :

    BATY-SOREL F. & DELOFFRE-VYE F. (2009) PROJET PROFES-

    SIONNEL ET DOCTORAT : UN DUO GAGNANT, EYROLLES, DOCS

    ET CO

    WWW.EYROLLES.COM/ENTREPRISE/LIVRE/PROJET-PROFES-

    SIONNEL-ET-DOCTORAT-UN-DUO-GAGNANT-9782212543032

    T MO I GNAG E S ( O . T U R CAN & L . L A I FA )

  • 2 6

    DE L A C O ORD I NAT I ON L A C O O P RAT I ON : D E S O U T I L S A UX P RAT I Q U E S D E C O O P RAT I ON( B ENO T H AB ERT, E N S LYON )Pour reprendre la distinction de Christophe Dejours (Le travail vivant, tome 2, Payot & Rivages 2009), la coordination est souvent prescrite (il faut se coor-donner pour une tche donne). La coopration est l'accord qui peut se mettre en place sur les manires de travailler.

    Un certain nombre d'outils coopratifs facilitent la coordination : diteurs de notes collaboratives, en-vironnements de partage de documents.

    TAB L E R OND E :D E L A S O L I T UD E D U D O C TORANT D E N OUV EAUX MOD E SD E T RAVA I LC O L L ABORAT I F S ?AN IMAT EURBenot Habert (ENS Lyon)

    I N T E RV ENANTS : Franois Baty-Sorel (Universit de Poitiers) Guy Brand (Universit de Strasbourg) Nicole Rege-ColetDIPLM DE LUNIVERSIT DE STRASBOURG (DOCTORAT DE

    CHIMIE, 1994), G. BRAND A T RESPONSABLE INFORMA-

    TIQUE LA FACULT DE CHIMIE (1996-1999) PUIS LISIS

    (2000-2008) DE STRASBOURG, APRS UN POST-DOCTORAT

    GENVE (1994-1995). DABORD DIRECTEUR-ADJOINT DE LA

    DIRECTION INFORMATIQUE DE LUNIVERSIT DE STRASBOURG

    (2009-2010), G. BRAND EST, DEPUIS 2011, EN CHARGE DES

    SERVICES MTIERS DE LA DIRECTION INFORMATIQUE.

  • VENDR ED I1 0 J U I L L E TVALOR I S E RSON D O C TORAT

  • 3 1

    C ON F R ENC E SVALOR I S E R S E S R E CH ER CH E S AV E C L E B L O GG I NG S C I EN T I F I Q U E ( D E L PH I N E K L E I N , UN I V E R S I T D E B OURGOGNE )L'intervenante prsentera les possibilits et les en-jeux de la valorisation des recherches menes tout au long du doctorat grce au blogging scienti-fique . A partir de sa propre exprience, elle pr-sentera notamment les possibilits offertes par les carnets de recherche par la plateforme hypotheses.org, actuellement en pleine expansion.AGRGE EN ALLEMAND, D. KLEIN ENSEIGNE L'UNIVER-

    SIT DE BOURGOGNE EN TANT QU'ATER ET TERMINE UNE

    THSE DANS LE LABORATOIRE LCE (UNIV. LYON 2), SOUS LA

    DIRECTION DE R. ZSCHACHLITZ, SUR LUVRE DRAMATIQUE

    D'ELFRIEDE JELINEK. INVESTIE PENDANT SON DOCTORAT

    DANS LASSOCIATION DE DOCTORANTS LES TTES CHER-

    CHEUSES, ELLE A ORGANIS PLUSIEURS MANIFESTATIONS

    SCIENTIFIQUES ET CULTURELLES ET EST RDACTRICE EN

    CHEF DEPUIS 2012 DU CARNET DE RECHERCHE "AUTOUR

    DE JELINEK"

    HTTP://JELINEK.HYPOTHESES.ORG]

    PR S ENTAT I ON D E C A I RN . I N F O( S T PHANE B UR EAU , C A I RN )Les publications de Lettres-sciences humaines et sociales / Les enjeux de la publication en Lettres-sciences humaines et sociales DIPLM DHISTOIRE ET DE DROIT, ANCIEN DIRECTEUR DI-

    TORIAL DARMAND COLIN, S. BUREAU EST RESPONSABLE

    DU DVELOPPEMENT DITORIAL DE LA PLATEFORME DE

    SCIENCES HUMAINES ET SOCIALES CAIRN.INFO. IL EST PAR

    AILLEURS CHARG D'ENSEIGNEMENT L'UNIVERSIT PARIS-3

    (INSTITUT DE LA COMMUNICATION ET DES MDIAS).

    ACAD EM I C P UB L I S H I N G I N A C HANG I NG WOR LD ( D R . MAART J E S C H E LT ENS , C AMBR I D G E UN I V E R S I T Y P R E S S )An overview of academic publishing and some re-cent developments, with questions; I will also be available for advice on how to get your work pu-blished.MAARTJE SCHELTENS IS MANAGING EDITOR FOR DIGITAL

    PROJECTS, HUMANITIES AT CAMBRIDGE UNIVERSITY PRESS.

    SHE HAS WORKED IN A VARIETY OF EDITORIAL ROLES WOR-

    KING ON THE LITERATURE AND HISTORY LISTS. SHE HAS

    A PHD IN ENGLISH LITERATURE FROM THE UNIVERSITY OF

    CAMBRIDGE.

    MAARTJE SCHELTENS DIRIGE LA SECTION PROJETS NUM-

    RIQUES ET HUMANITS CAMBRIDGE UNIVERSITY PRESS.

    ELLE A EXERC PLUSIEURS FONCTIONS DITORIALES DANS

    LES DOMAINES DE LA LITTRATURE ET DE LHISTOIRE. ELLE

    EST TITULAIRE DUN DOCTORAT EN LITTRATURE ANGLAISE

    DE LUNIVERSIT DE CAMBRIDGE.

    UT I L I S E R L E S A R CH I V E S O UV ERT E S P OUR VA L OR I S E R S E S T RAVAUX : L ' E X EMP L E D E H A L - SH S( A GN S MAGRON , C EN TR E P OUR L A C OMMUN I C AT I ON S C I EN T I F I Q U E D I R E C T E , PA R I S )Larchive ouverte HAL-SHS a t cre en 2005. Conue partir de HAL, elle est un espace ddi lauto-archivage et la diffusion de la littrature acadmique en sciences humaines et sociales. Lar-gement utilise par la communaut scientifique fran-aise, elle contribue la visibilit et la valorisation des recherches. Parmi les fonctionnalits proposes, le chercheur trouvera des statistiques pour valuer l'impact de ses publications dposes ou des outils pour configurer son CV.RESPONSABLE DE COMMUNICATION AU CCSD, UNIT MIXTE

    DE SERVICE DU CNRS (UMS3668) PRINCIPALEMENT DDIE

    LA RALISATION DARCHIVES OUVERTES, A. MAGRON ANIME

    LE BLOG DU CCSD (HTTP://BLOG.CCSD.CNRS.FR/) ET EST

    GALEMENT RESPONSABLE DU PORTAIL HAL-SHS (HTTPS://

    HALSHS.ARCHIVES-OUVERTES.FR/).

  • 3 3 3 2

    TIVE. CO-AUTEUR DE PLUSIEURS OUVRAGE DE RFRENCE

    SUR LA LINGUISTIQUE ET LA GRAMMAIRE DE LANGLAIS, II

    EST LE PROMOTEUR, EN FRANCE ET LTRANGER, DE LA

    GRAMMAIRE EN MOUVEMENT SUR LAQUELLE IL A NOTAM-

    MENT CRIT :

    LA GRAMMAIRE ANGLAISE EN MOUVEMENT. PARIS : HA-

    CHETTE (2006) ISBN : 7450027399

    GRAMMAR IN MOTION. D.V.D. EN COLL. AVEC J. MASSE,

    CHORGRAPHE. PARIS : HACHETTE, 2006, [70]

    PARTISAN D'UNE ASSOCIATION DES SCIENCES ET DES ARTS,

    IL A CR DES SMINAIRES MULTIMODAUX EN LINGUISTIQUE

    ET TUDES GESTUELLES, AVEC LE CONCOURS DE JEAN MA-

    GNARD, DANSEUR ET CHORGRAPHE. LE MOUVEMENT, LE

    TOUCHER, L'OLFACTION, LA VOIX, LA STIMULATION MUSI-

    CALE SONT INTGRS DES ACTES VIVANTS D'OBSERVATION

    ET DE CONCEPTUALISATION

    HTTP://CLIMAS.U-BORDEAUX3.FR/MEMBRES/54-LA-

    PAIRE-JEAN-REMI-PROFESSEUR-LINGUISTIQUE-ANGLAISE

    COMMENT R D I G E R UN E P R O PO S I T I OND E C OMMUN I C AT I ON ? ( F R ANO I S E B O CH ,UN I V E R S I T D E G R ENOB L E ) Mon intervention tchera de rpondre aux ques-tions suivantes : Pourquoi communiquer dans des colloques ? A quel moment le faire ? Comment rdi-ger une proposition de communication ? Comment sont-elles values ?

    COMMENT O RGAN I S E R UN C O L L OQU E J E UN E SCH ER CH EUR S ? ( ANG E L I NA A L E K SANDROVA ,UN I V E R S I T D E S T RA SBOURG ; C AM I L L E FA U TH ,UN I V E R S I T D E S T RA SBOURG ; M UR I E L J O R G E ,UN I V E R S I T D E PAR I S S O RBONNE NOUV E L L E ;L A UR ENC E L ONGO , UN I V E R S I T D E S T RA SBOURG )Cet atelier proposera aux participants inscrits de rflchir sur les enjeux, la mthodologie et le mon-tage dun projet de colloque jeunes chercheurs. Les participants seront amens apprhender les grandes tapes de lorganisation, rflchir aux partenaires potentiels et envisager/anticiper les diffrents modalits logistiques.CAMILLE FAUTH (UNIVERSIT DE STRASBOURG)

    DEPUIS 2014, C. FAUTH EST MATRE DE CONFRENCES EN

    PHONTIQUE GNRALE EXPRIMENTALE ET CLINIQUE

    LUNIVERSIT DE STRASBOURG ET MEMBRE DE LQUIPE

    DE PAROLE ET COGNITION DE LE.A. 1339 LINGUISTIQUE

    LANGUE ET PAROLE (LILPA) O ELLE MNE SES TRAVAUX DE

    RECHERCHE DANS LE DOMAINE DE LA PAROLE PERTURBE.

    C. FAUTH A OBTENU, POUR SA THSE DE DOCTORAT, LE

    PRIX DE THSE DE LASSOCIATION FRANCOPHONE DE LA

    COMMUNICATION PARLE (AFCP) ET LE PRIX DE THSE DE

    LUNIVERSIT DE STRASBOURG.

    HTTP://LILPA.UNISTRA.FR/PC/MEMBRES/CHERCHEURS/

    FAUTH-CAMILLE/

    MURIEL JORGE (UNIVERSIT PARIS SORBONNE NOUVELLE)

    PROFESSEUR CERTIFIE EN HISTOIRE ET GOGRAPHIE,

    ACTUELLEMENT DOCTORANTE EN DIDACTIQUES DES LAN-

    GUES ET DES CULTURES ET BNFICIANT DUN CONTRAT

    DE RECHERCHE, M. JORGE PRPARE UNE THSE INTITULE

    PHILOLOGIE, LINGUISTIQUE HISTORIQUE ET HISTOIRE DE LA

    LANGUE : TROIS SAVOIRS POUR L'UNIVERSIT (1860-1920),

    SOUS LA DIRECTION DE DAN SAVATOVSKY. M. JORGE EST

    REPRSENTANTE DES DOCTORANTS DE LED 268.

    L E S C J C : R E TOUR S D E X P R I EN C E S ( D O C T E UR S O R GAN I S AT EUR S ) & D I S C U S S I ON S( ANG E L I NA A L E K SANDROVAUN I V E R S I T D E S T RA SBOURGCAM I L L E FA U TH , UN I V E R S I T D E S T RA SBOURGMUR I E L J O R G E , UN I V E R S I T D E PAR I SS ORBONNE NOUV E L L EL . L ONGO , UN I V E R S I T D E S T RA SBOURG )De plus en plus souvent les jeunes chercheurs au sein des laboratoires sont sollicits, quand ils ne le font pas de leur propre initiative, afin dorganiser des manifestations scientifiques. Cette confrence ru-nit quatre intervenantes qui vont tmoigner de leur propre exprience en tant que membres des comi-ts dorganisation de premier colloque jeunes cher-cheurs en linguistique Strasbourg (CIJC - 2012) et les Rencontres Jeunes Chercheurs, organises Paris 3 depuis 1998. Seront abords, entre autres, laspect international dune telle organisation, la ges-tion du projet, son importance sur le plan personnel et scientifique.

    Ateliers

    VA LOR I S E R S A R E CH ER CH E : R A L I S E R UN P O S T E R S C I EN T I F I Q U E( S O PH I E K ENNE L , UN I V E R S I T D E S T RA SBOURG )L'objectif de l'atelier est d'apprendre matriser la mthode et les outils permettant de raliser un poster scientifique attractif et efficace : rdaction, organisation de l'espace, choix des lments, mise en forme, etc.DEPUIS 1999, S. KENNEL EST PROFESSEURE CERTIFIE EN

    DOCUMENTATION, RESPONSABLE DE FORMATION EN IN-

    FORMATION-DOCUMENTATION L'IUT ROBERT SCHUMAN

    DE L'UNIVERSIT DE STRASBOURG. ELLE DVELOPPE SES

    ENSEIGNEMENTS ET SA RECHERCHE DANS LE DOMAINE DES

    USAGES ET LA MDIATION DE L'INFORMATION DANS LES

    ESPACES NUMRIQUES.

    P LAY I NG O U T S E R I O U S M EAN ING S . F R OM P R I VAT ECOGN I Z ER TO PUBL I C VOCAL I Z ER ( J EAN-REM I LAPA I RE , UN I V E R S I T D E B O RD EAUX )La prise de parole en public, en anglais, dans un contexte scientifique suppose : le respect des conventions et bonnes pratiques

    en vigueur dans la communaut scientifique in-ternationale

    la connaissance de quelques principes simples et gnraux de communication

    la possibilit de s'entraner en autonomie rpter et jouer une parole en langue trangre, partir de dispositifs numriques "text-to-speech" que nous croisons avec des pratiques corporelles (inspires des thories de la performance, de la danse et du jeu thtral).

    La stimulation sera multi-sensorielle: son (musique, voix), olfaction (essences), vue (lumires variables), toucher (contacts avec la matire et le vivant). Il s'agira de faire l'exprience d'une parole scientifique engage en langue trangre. Nous travaillerons sur un corpus de citations scientifiques faciles com-prendre et mmoriser mais initialement complexes articuler.

    Une place importante est accorde aux exercices d'chauffement qui sont simples raliser, ne nces-sitent aucune aptitude ou exprience pralable des arts de la scne, aucune aisance particulire en an-glais. Les activits proposes ont toutes t testes en milieu universitaire avec de jeunes chercheurs M et D, de niveaux trs htrognes en langues et de temprament allant de l'inhibition / blocage complets l'aisance totale. Moment de conscience, de bien tre mais aussi d'apprentissage incarn de prin-cipes fondamentaux de la prise de parole publique en anglais, en contexte scientifique. Cette pratique s'appuie sur des crits thoriques en anthropologie, en sociologie, en pragmatique et en kinsique qui seront rfrencs.PROFESSEUR DE LINGUISTIQUE ANGLAISE BORDEAUX, J.-

    R. LAPAIRE EST MEMBRE DE LEQUIPE DACCUEIL CULTURES

    ET LITTRATURES DES MONDES ANGLOPHONES (EA 4196)

    O IL MNE SES TRAVAUX DE RECHERCHE NOTAMMENT

    DANS LES DOMAINES DE LA GESTUALIT CO-VERBALE, DE

    LA LINGUISTIQUE COGNITIVE DE LA LINGUISTIQUE NONCIA-

  • SAMED I1 1 J U I L L E TPRPAR ERSON I N S E RT I ON P RO F E S S I ONNE L L E

  • 3 7 3 6

    INT ERV ENANTS : Philippe Cordazzo (Universit de Strasbourg) Thao Lang (Association Bernard Gregory)APRS UNE DIZAINE D'ANNES DE CONSEIL DANS LE SEC-

    TEUR BANCAIRE, T. LANG A INTGR LE POSTE D'ASSISTANTE

    DE LA MISSION PARLEMENTAIRE QUELLE RECHERCHE POUR

    DEMAIN QUI LA INTRESSE AUX ENJEUX DE LA FORMA-

    TION DES DOCTEURS ET LEUR VOLUTION PROFESSION-

    NELLE APRS LE DOCTORAT.

    DEPUIS 2008, T. LANG CONOIT ET ANIME DES FORMATIONS

    POUR LES TUDIANTS DE MASTER, LES DOCTORANTS ET

    LES DOCTEURS, DVELOPPE ET ANIME DES ATELIERS DANS

    LE CADRE DE LA RECHERCHE DEMPLOI, ACCOMPAGNE ET

    CONSEILLE POUR LE DVELOPPEMENT DE LA CARRIRE DES

    CHERCHEURS, FORME DES FORMATEURS LANIMATION DES

    FORMATIONS ABG.

    HTTPS://WWW.LINKEDIN.COM/IN/THAOLANG

    Y. Rmond (Universit de Strasbourg)PROFESSEUR DE MCANIQUE DES MATRIAUX, POLYMRES,

    COMPOSITES L'ECPM UNIVERSIT DE STRASBOURG, Y.

    RMOND EST CHERCHEUR AU LABORATOIRE ICUBE UMR

    7357 - LABORATOIRE DES SCIENCES DE L'INGNIEUR, DE

    L'INFORMATIQUE ET DE L'IMAGERIE ET DIRECTEUR DE

    L'COLE DOCTORALE DE MATHMATIQUES, DES SCIENCES

    DE L'INFORMATION ET DE L'INGNIEUR. DEPUIS SEPTEMBRE

    2012, IL EST DIRECTEUR ADJOINT SCIENTIFIQUE AU CNRS,

    INSTITUT DES SCIENCES DE L'INGNIERIE ET DES SYSTMES.

    Jacques Triponel (Dlgu Territorial APEC Alsace)J. TRIPONEL EST DLGU TERRITORIAL ALSACE POUR

    L'APEC (ASSOCIATION POUR L'EMPLOI DES CADRES). SES

    MISSIONS CONSISTENT RENFORCER LA PRSENCE DE

    LAPEC SUR LE TERRITOIRE, PILOTER LENSEMBLE DES AC-

    TIVITS CADRES ET ENTREPRISES ET INTENSIFIER LES LIENS

    AVEC LES ACTEURS INSTITUTIONNELS LOCAUX.

    CONF R ENC ERS EAUX S O C I A UX D E C H E R CH EUR S : Q U E L S O U T I L S , Q U E L S EN J E UX ?( A L I N E B OU CHARD U R F I S T, PA R I S )Si les rseaux sociaux numriques se sont imposs ces dernires annes avant tout auprs du grand public, ils rencontrent galement de plus en plus d'chos dans les communauts universitaires et de recherche. Qu'ils soient gnralistes (comme Facebook), professionnels (comme LinkedIn ou Viadeo) ou acadmiques (comme Academia ou Re-searchGate), se pose la question de leur intrt pour le jeune chercheur : les rseaux sociaux sont-ils des outils dsormais indissociables de la valorisation de l'activit de chercheur et de l'insertion profes-sionnelle ?CONSERVATEUR DES BIBLIOTHQUES, A. BOUCHARD A T

    RESPONSABLE DE FORMATION PROFESSIONNELLE LA

    BIBLIOTHQUE NATIONALE DE FRANCE, ET A OBTENU UN

    POSTE LURFIST DE PARIS EN 2010. A. BOUCHARD EST SP-

    CIALISE DANS LES DOMAINES DU TRAITEMENT DE L'INFOR-

    MATION ET DES RESSOURCES SPCIALISES EN SCIENCES

    HUMAINES.

    HTTP://URFIST.ENC.SORBONNE.FR/QUI-SOMMES-NOUS-/

    EQUIPE/ALINE-BOUCHARD

    AT E L I E R SRA L I S E R S ON P ORT E F E U I L L E D ' E X P R I EN C E SE T D E C OMP T ENC E S P OUR P R S ENT ER E F F I C A C EMENT S A VA L E UR A J OU T E ( F R ANO I S BAT Y- SOR E L ,UN I V E R S I T D E P O I T I E R S )Engager trs tt une rflexion sur son portefeuille d'expriences et de comptences, anticiper sa stra-tgie de recherche d'emploi et la dfinition de son projet professionnel en prenant en compte diff-rentes options public/priv est indispensable pour optimiser une sortie de doctorat optimale. Crer son portefeuille d'expriences et de comptences en phase avec son march, c'est optimiser ses chances d'une insertion choisie.

    L E D EV EN I R D E S D O C T E UR S S H S( PH I L I P P E C O RDAZ ZO , UN I V E R S I T D E S T RA SBOURG )Si les docteurs sont relativement pargns par la crise conomique, laccs lemploi, et notamment lemploi stable, des diplms de doctorat ne va pas de soi. Julien Calmand rsume bien la situation dans le titre de son tude sur le devenir des doc-teurs : Les docteurs : une longue marche vers lem-ploi stable (2013). Cette confrence a pour objectif dinterroger les conditions dinsertion professionnelle des docteurs en Sciences de lHomme et de la So-cit (SHS). Pour cela elle sappuiera sur les rsultats denqutes nationales menes par le Cereq (enqute docteur 2012 et lenqute Gnration) et locales me-nes par lObservatoire Rgional de lEnseignement Suprieur et de lInsertion Professionnelle des tu-diants (ORESIPE) (enqutes docteurs). Elle essaiera dapporter des lments de rponses la question du devenir aprs lobtention du doctorat, celle de limpact du diplme sur le droulement de la carrire et celle des conditions dinsertion professionnelle. MATRE DE CONFRENCES LINSTITUT DE DMOGRAPHIE

    DEPUIS 2006, HABILIT DIRIGER DES RECHERCHES, ET

    MEMBRE DU LABORATOIRE SOCITS, ACTEURS, GOU-

    VERNEMENT EN EUROPE (SAGE, UMR 7363), P. CORDAZZO

    DVELOPPE SES ENSEIGNEMENTS ET SES TRAVAUX DE

    RECHERCHE SUR LES POPULATIONS VULNRABLES, LES

    PARCOURS TUDIANTS DANS LENSEIGNEMENT SUPRIEUR

    AINSI QUE SUR LES TRAJECTOIRES PROFESSIONNELLES ET

    ENTRE DANS LA VIE ADULTE.

    IL EST GALEMENT RFRENT SCIENTIFIQUE DE LOBSER-

    VATOIRE RGIONAL DE LENSEIGNEMENT SUPRIEUR ET DE

    LINSERTION PROFESSIONNELLE DES TUDIANTS (ORESIPE).

    SON HABILITATION DIRIGER DES RECHERCHES SINTITULE

    PARCOURS TUDIANTS : DE LA FORMATION LINSERTION

    PROFESSIONNELLE, (2013) HALSHS.ARCHIVES-OUVERTES.

    FR/TEL-01077686

    HTTP://SAGE.UNISTRA.FR/MEMBRES/ENSEIGNANTS-CHER-

    CHEURS/CORDAZZO-PHILIPPE/

    L E P L E P E P I T E : U N D I S P O S I T I F P O UR L E S TATU T D TUD IANT ENTREPRENEUR (HASSAN IA S EBT I , E T ENA )CH E F D E P R O J E T EN C HARG E D E L ' AN IMAT I ONE T L A C O ORD I NAT I ON D U P L E T UD I ANT P OURL ' I NNOVAT I ON ; L E T RANSF ERT E T L ' ENTREPRENEUR I AT ( P E P I T E ) E T ENA .Le PEPITE ETENA permet tous tudiants alsa-ciens de : sinformer sur la cration dentreprise connatre les UV et formations de sensibilisation participer des workshops de type Startup

    Weekend assister des confrences / ateliers thmatiques demander le Statut d'Etudiant-Entrepreneur.

    130 sur le statut national Etudiant-Entrepreneur, 1re mondiale Le film statut Etudiant-Entrepreneurwww.gouvernement.fr/grandangle-entrepre-neurs-etudiants-ils-temoignent

    TAB L E R OND EL I N S E RT I ONPRO F E S S I ONNE L L ED E S D O C T E UR S S H S ?AN IMATR I C ENathalie HillenweckN. HILLENWECK EST MATRE DE CONFRENCES DALLEMAND,

    UFR DES LANGUES ET SCIENCES HUMAINES APPLIQUES DE

    LUNIVERSIT DE STRASBOURG O ELLE DVELOPPE DES

    RECHERCHES DANS LE CADRE DES GENDER STUDIES. ELLE

    A T DIRECTRICE DE L'UFR DES LANGUES ET SCIENCES

    HUMAINES APPLIQUES ET EST ACTUELLEMENT VICE-PR-

    SIDENTE DLGUE INSERTION PROFESSIONNELLE LUNI-

    VERSIT DE STRASBOURG.

  • 3 8

    COMMUN I Q U E R E T S E P R S ENT ER A U C OUR SDU P RO C E S SU S D E R E C RU T EMENT ( T HAO L ANG , A B G )Le processus de recrutement ncessite de com-muniquer sur son parcours, ses expriences et ses comptences sous diverses formes, notamment CV et lettre de motivation. Ces outils de communication doivent tre emblmatiques de leurs auteurs et r-pondre aux attentes des recruteurs. Participer cet atelier permet dobtenir des cls pour communiquer efficacement lcrit, notamment pour rdiger une lettre de motivation.

    OP T IM I S E R S A C AND I DATUR E : C V / L E T T R E D E MOT I VAT I ON ( H A F I DA L RH E Z Z I O U I , UN I V E R S I T D E S T RA SBOURG )Analyse de candidatures relles (CV/Lettres de Mo-tivation et leur adquation par rapport aux offres demploi) H. LRHEZZIOUI EST RESPONSABLE DU PROGRAMME VALO-

    RISATION DES COMPTENCES, NCT LA CELLULE ESPACE

    AVENIR | ORIENTATION - STAGE EMPLOI DE LUNIVERSIT

    DE STRASBOURG

    CONS TRU I R E S ON CN A CAD M I Q U E( C ATH ER I N E S C HNED E CK ER , UN I V E R S I T D E S T RA SBOURG )Latelier portera sur llaboration dun CV acad-mique c'est--dire du type de CV prsenter diffrents stades dun parcours acadmique, suivant lobtention du doctorat, servant deux fonctions dif-frentes (la qualification au CNU et lobtention dun poste de matre de confrence) et sadressant donc des destinataires diffrents.

    Les normes en vigueur seront examines en pre-mier lieu, puis en second lieu, les modalits de pr-sentation des informations seront abordes. Late-lier prendra pour illustration des exemples concrets constitus par des CV anonyms et les CV des participants latelier dans le but de les amliorer.

    D I S C U S S I ON D E C L TUR E E T VA LUAT I ON D E L E E D( C ATH ER I N E S C HNED E CK ER , UN I V E R S I T D E S T RA SBOURG )