MENSUEL MUNICIPAL - OCTOBRE 2011 - N°312

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Vos suppléments : Chilly rendez-vous + Programme cinéma

BAUDOT Julie, BEAUFILS Sarah, BOTOSNEANU Eduard, BOUCHEBBAH Inaya, BRIJA Amine, BROCARD Faustine, COVACI Gabriel, DE BRITO BORGES Matias, ESCLUSA Anna, GENET VIARD-CRÉTAT Léo, GORECKA--MATA Camille, ISMAH Nada, KACOU Thiam, KIFOUANI Cyrielle-Audrey, LABROUE Justine, LAFLAVANDRIE Matteo, LIZ NETO CARDONA FER Manuel, MASSARD MOREIRA Tilyo, MASSINON Laura, MESSAOUDI Donia, MORALES PORTA Sebastian, MOREL Manon, MOUJRI Islem, NADIR Kayna, NADIR, Neyla, NEVES GRAÇA Nina, NOGUÈS Tom, OUSSAID Anas, PONS Othilie, POTÉ--HUBERT Ana-Malia, PRÉVOST Annelyse, RABASSE Pauline, RAGOT Lenny, RENIA Johanna, ROBO DISTINGUIN Lucas, SALMI Mohamed, SWINDLEY Jules, TAN Yusuf, TIREL Bastien, TRAORÉ Alpha, TRIKI Kaïs, UNIMON Aubrée, VASILEVSKI Lucas, VAZ Sofi ane, VIGILANT Karmen, VIN Luccas, ZONZON Ambre, Chloé

RENIVIDAUD Nicolas et DURET Elodie, SOLEILHET Florent et KINIGIAN Sophie, BELHADJ Mohammed et FINETTE Alexandra, KISSA Mounir et FICO Marie, HOUSSET Kévin et MENDEZ Sabrina (avril)

MEDORI André, MASSE veuve CAZAJUS Mireille, CHOULAK épouse BELKHAÏR Malika, SMERECKI Raymond, HAMELIN veuve PRUNIER Simonne, AUCOUTURIER veuve ALIX Yvonne, BERTHOMÉ Jean, BOUILLAULT Simonne, PINELLI Jean-Louis, REVEMONT veuve MONNIER Denise, DESHAUTEURS Méloane, DEY Raymond, DAOUD HASSAN HANDAS Ahmed, SAEZ Louis, VAUDENAY Alain, AZÉMAR Pierre, LAUTIER veuve POCHAT Étiennette

Ce magazine est imprimé sur papier labellisé PEFC. Cette certification garantit que ce support est issu de forêts gérées durablement.

La photo du mois

Au fi l de la vie

Édito

L es effectifs constatés dans les 10 écoles primaires de la ville (4 élémentaires et 6 maternelles) au der-nier pointage du 8 septembre sont de 2 108 élèves, ce qui marque une forte progression de 114 élèves

soit 5,72 %.Certes, le 5 septembre, les enseignants prévus étaient présents ainsi que le personnel communal tandis que les travaux budgé-tés avaient été réalisés.

Mais l’affl ux d’élèves, conséquence pour l’essentiel d’inscrip-tions tardives, a conduit l’inspectrice de circonscription de l’Éducation nationale à se rendre sur place dès le lundi matin, à confi rmer la création de la classe prévue à l’école du Château et à préconiser des ouvertures supplémentaires.

Lisette JOVIGNOT, maire-adjoint à l’Enseignement, et moi-même avons multiplié les interventions mardi 6 et jeudi 8 sep-tembre. Le 8 après-midi, l’inspecteur d’académie m’infor-mait personnellement de son accord fi nal pour l’ouverture de 2 classes supplémentaires d’une part à Jean de La Fontaine, d’autre part à Pierre et Marie Curie.

En revanche, les maternelles Saules-Roseaux restaient sim-plement en « observation », les enfants malades ou excusés n’ayant pas été comptabilisés par l’Inspection.La situation n’a pas évolué et les parents et la municipalité ont maintenu la pression pour obtenir de l’Inspection l’ouver-ture d’une classe aux Saules-Roseaux. Malgré tous ces efforts, la position de l’Inspection académique est demeurée négative, à ce jour.

Les 9 et 16 octobre, le Parti Socialiste organise dans toute la France des « primaires citoyennes » destinées à choisir le candi-dat de Gauche le mieux placé pour les Présidentielles de 2012.C’est une première en France, seuls les États-Unis et l’Italie ayant adopté cette pratique démocratique.La commune de Chilly-Mazarin, comme les autres, permettra la tenue de cette consultation dans 5 bureaux de vote (Hôtel de Ville, écoles du Château, Pasteur, Kergomard et La Fontaine) qui seront tenus par des bénévoles.Bien entendu, il est hors de question qu’une dépense quelconque reste à la charge du contribuable local. C’est pourquoi, le PS rem-boursera à la commune les frais d’installation et de nettoyage des bureaux de vote, la Ville appliquant strictement les instructions du ministre de l’Intérieur.

Arrêt sur images

Travaux

EnseignementTravaux de mise en peinture ou de changements de revêtements de sol dans les écoles : 19 800 €

• Rénovation des deux couloirs et des deux cages d’escalier de l’école élémentaire du Château : 18 000 €.

• Réfection de l’office de restauration du Château : 25 200 €.

• Réfection de la cour de l’école primaire Jean de La Fontaine : 107 600 €.

Petite enfance :• Réfection de l’office de la crèche

Mazarin et réfection du sol de la « section bébés » : 12 700 €.

• L a n c e m e n t d u c h a n t i e r d e la microcrèche du Château : 332 000 €.

C’est un fait, les vacances d’été sont traditionnellement propices aux travaux. Cette année, priorité était donnée à la réfection des établissements scolaires et sportifs ainsi qu’à la voirie ; sans oublier le chantier de la médiathèque Albert Camus (inaugurée le 17 septembre, voir page 14), que le Maire, de nombreux élus du Conseil municipal et responsables des services communaux ont pu visiter peu avant la rentrée. Petit tour d’horizon.

Voirie :• Seconde tranche des aménagements du

parc des Champs Foux : 132 500 €.• Réfection de la bande de roulement

de l’avenue de la Division Leclerc : 37 700 €.

• Aménagement et sécurisation de la rue de Gravigny : 218 400 € (dont 71 180 € de subvention du Conseil régional, et 41 246 € du Conseil général).

Sport :• Rénovation du mur de la salle de

tennis de table : 12 000 €.• Extension du parking du gymnase

des Chardonnerets et création d’un terrain de jeu pour les boulistes : 148 000 € (dont 73 704 € de subvention du Conseil général).

• Réparation du mur du gymnase Coubertin : 10 000 €.

• Rénovation des douches du gymnase du parc : 12 100 €.

Culture :• Réhabilitation de la médiathèque :

763 600 €.

• Création d’une nouvelle salle des serveurs à l’Hôtel de Ville : 33 800 €.• Réfection de l’accueil de l’Hôtel de Ville et réfection des bureaux du service

enseignement : 8 200 €.

Vie économique

C’est le traditionnel duel des vacances : pendant que certains bullent, d’autres profitent du calme sur le chemin du travail ou peaufinent business plan et travaux d’aménagement. Une nouvelle boulangerie a ainsi vu le jour au centre commercial du Château, tandis que la rue de Gravigny se voit dotée d’un caviste et d’un brasseur.

Ouverte début octobre, La Cervoise fleure bon le houblon. Franck Glever et Georges Bizat, non contents d’avoir voyagé, ont également rap-porté dans leurs valises des soifs d’ailleurs. C’est l’Angleterre, sur-tout, qui les a inspirés. « Là-bas, la culture de la bière est énorme. La façon de la consommer est aussi différente. Un peu comme en Allemagne ou aux Pays-Bas. On s’y initie à la bière comme les Français s’initient aux vins. », pré-cise Georges Bizat, cogérant du magasin. « Et puis, tous les continents ont leur bière ! Nous allons proposer quelque 120 références mondiales. Il y a de quoi faire ! », rajoute Daniel Glever. Si vous les lancez sur le sujet, les anecdotes coulent à flot. Ils pourront vous conter le charme de bières d’abbaye quasi secrètes, ou encore les lampées de bières tournées à la champenoise. Si vous manquez de déco pour inviter vos amis autour d’une mousse, vous trouverez tous les produits dérivés de la bière. Et comme celle-ci est synonyme de partage, mars et Noël vous réserveront leur cuvée de dégustations.

À défaut de posséder soi-même 60 m2 où s’empilent bouteilles de grand cru, cham-pagnes, whisky, armagnac et autres spiritueux, vous pourrez compenser votre frustra-tion en visitant La Cavavin, inaugurée le 15 septembre. Son gérant, Daniel Giardinetti, se fera un plaisir de vous renseigner et vous distiller ses conseils. Et si vous comptez voler vers d’autres cieux un verre à la main, cet ancien officier de l’armée de l’air vous proposera sans doute ses trésors de La Barbade et d’Outre-Mer. Reconverti dans un domaine qui le passionne depuis de nombreuses années, ce petit-fils de viticulteurs jurassiens se languit de pouvoir enfin être au contact du public. « J’aime le vin et j’aime conseiller », nous confie-t-il tout en surveillant d’un œil l’avancée des travaux. « J’ai prévu de créer des événements pour célébrer le printemps, par exemple. Et puis j’espère atti-rer des comités d’entreprises… Nos coffrets d’Armagnac, dont certains datent de 1939, peu-vent être de bonnes idées cadeau ! »

« J’ai quitté mes études d’architec-ture pour faire du pain », glisse Anfis Abdessalm, boulanger-pâtissier ins-tallé à Chilly depuis le 24 mai der-nier. Étonnant ? Pas tant que ça : ses maquettes s’appellent désor-mais mousse aux trois chocolats ou baguette aux trois céréales. Et si l’ou-verture de son commerce lui impose un rythme soutenu (le 3h30-minuit ne lui fait pas peur), il est fier de sa création. « Chilly est une ville sympa, les gens sont agréables », explique-t-il tout en signant ses pâtons. « J’adore ce que je fais aux côtés de Christina, ma vendeuse. J’ai embauché deux contrats en alternance pour m’aider. » Au côté des traditionnels viennoiseries, bon-bons, chocolats, pâtisseries et pains, Anfis se propose également de réa-liser vos envies de gâteaux pour les petites et grandes occasions. « J’aime travailler avec mes mains, être créatif. Je fais le gâteau que vous voulez, si vous me prévenez un jour à l’avance ! » Avec en prime et comme toujours (on a testé), un grand sourire à la clé.

Vie associative

Le 10 septembre, le complexe sportif Jesse Owens a accueilli le Forum des associations. L’occasion de s’inscrire, de découvrir et de prendre de bonnes résolutions. Cette année, promis, je m’y mets !

I l est à peine 10h. Organisateurs et associations viennent à peine de poser leurs dernières décorations

de stand, que déjà quelques dizaines de familles franchissent les portes du gym-nase. Enfants en main, certains courent directement jusqu’au club de leur rêve, d’autres avancent en promeneur et déam-bulent, avides de découverte. Il y en avait pour tous les goûts : la piscine commu-nale, le conservatoire, le karaté mais aussi l’association de bridge, les paniers d’Yvette (AMAP), l’Association François Truffaut, le Comité des jumelages, l’association pour l’apprentissage de la langue des signes ou encore l’Université du temps libre de l’Es-sonne… « On fait un peu son marché », plai-

sante Murielle, venue avec son mari et ses deux enfants. « Il y a de tout, des associa-tions auxquelles je n’aurais pas pensé et qui me donnent envie de découvrir des choses. Le tissage, par exemple, me tente bien ! » Couplé à de nombreuses démonstrations (danse, body karaté, twirling-bâton…) et des ateliers comme les constructions de voitures avec de la récup’ pour sen-sibiliser les enfants au tri et aux écono-mies d’énergies, cette journée en aura laissé beaucoup sur les rotules mais sans avoir l’impression d’avoir fait ses devoirs de rentrée. Le Forum, « c’est un peu une fête », affirme Victor, les doigts pleins de peinture. On lui laissera le mot de la fi n !

Jeunesse

«L e Conseil Municipal des Enfants, ça sert à améliorer la ville… Être les porte-paroles des enfants,

améliorer la vie des enfants, tout ça », explique Maxime, élu du CME. « Et puis, ça nous sert aussi à connaître le fonctionnement de notre com-mune et comment être citoyen », rajoute Kenza. En ce mardi de septembre, les enfants du CME ont plaisir à se retrouver. Après deux mois de vacances, c’est l’occasion pour ces jeunes élus de réviser leurs connaissances et se remémo-rer les projets à venir. Mais aussi de découvrir

trois nouveaux « col-lègues », Malo, en CM2, Lucas , en 6 e e t Kenza, en C M 2 ( p h o t o ) . Pour les aider à trouver leurs marques , un quizz est pro-posé. « En quelle année a été proclamée la déclaration des droits de l’homme ? » (les enfants se tournent vers la déclaration exposée dans la salle du Conseil municipal pour vérifier, discrètement…). « Combien y a-t-il d’élus du CME à Chilly-Mazarin ? » Tous les doigts se lèvent : « 26 ! », répondent-ils en chœur. Après cette mise à plat, les deux projets votés avant les vacances sont rappelés. Le 2 octobre, lors de la Brocante, un stand du CME sera présent. La vente des jeux récoltée par les enfants bénéfi ciera à l’association « Le Rire Médecin », qui a pour objectif de diver-tir les enfants hospitalisés. Les jeunes conseillers devront aussi réfl échir à une campagne d’affi -chage sur la propreté et le tri des déchets.

T ous les mercredis de l’année sco-laire 2011-2012, une conseillère de la Mission locale tiendra une perma-

nence au PIJ. Destinée aux jeunes de moins de 26 ans, celle-ci vous permettra de vous rensei-gner sur les aides et accompagnements possibles à la recherche d’emploi. Elle s’adresse plus parti-culièrement aux jeunes déscolarisés, en forma-tion, et/ou rencontrant des diffi cultés particu-lières d’insertion professionnelle.Maryline Gandreau : « La Mission locale travaille en collaboration avec l’Association Free, l’École de la Deuxième Chance, l’EPIDE. Elle reçoit des aides fi nancières du Conseil général pour les for-mations qui sont en lien avec la recherche d’em-ploi du jeune, et sous conditions de ressources et du projet professionnel. Nous proposons éga-

lement des ateliers de recherche d’emploi et des simulations d’entretien et aidons à l’élabo-ration du projet d’orientation professionnel. À ceci s’ajoute nos liens avec l’armée de terre, le PIJ, Alliance Prévention, les boîtes d’intérim, des psychologues, des juristes, pour pouvoir accom-pagner au mieux, et sur plusieurs plans, les jeunes. Nous avons aussi à notre disposition le CIVIS (Contrat d’Insertion Professionnelle) qui s’adresse à des jeunes de 16 à 25 ans révolus ren-contrant des diffi cultés particulières d’insertion professionnelle... »

Collectif Jeunes

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CélébrationsDeuil

Lundi au Samedi 8h30 - 20h00

Dimanche et jours fériés 8h30 - 19h00

Alors que certains redoutent les premiers frimas, la saison culturelle redémarre, et avec elle l’occasion

d’apprendre, découvrir, vibrer… ou tout simplement passer du bon temps, seul, en famille ou entre copains.

«F édératrice, éclectique, participative, démocratique, au croisement des pratiques amateurs et professionnelles ». C’est ainsi que la Ville de Chilly-Mazarin a souhaité axer cette saison. Si l’animation de la cité, au travers des fêtes de printemps, du Ciné Plein air ou du feu d’artifice

du 14 Juillet, est un élément essentiel de l’action culturelle, « c’est aussi le soutien à la vie associative et le travail en complémentarité avec les services communaux, comme la médiathèque et le Conservatoire et nos partenaires associatifs, comme le Cinéma et la MJC-CS, que nous subventionnons », souligne Jean-Pierre Cruse, Adjoint au Maire en charge de la Culture. « Cette année, nous avons souhaité que chacun puisse trouver sa part de rêve. La ligne artistique, riche et éclectique est destinée à un large public », poursuit-il. En terme de culture, les habitants ne sont pas en reste et peu-vent être autant acteurs que spectateurs. Ainsi les soirées d’artistes se déroulant à la MJC illustrent bien le croi-sement des pratiques amateurs et professionnelles souhaité par la Ville. Celles-ci rassemblent toujours un large public dans une démarche participative et festive, confirmant la présence de vrais talents locaux. Concernant les tout-petits, les Racontines, spectacles renouvelés chaque année, sont notamment l’occasion d’éveiller leur intérêt dès le plus jeune âge. Enfin pour les cinéphiles, la rénovation de la grande salle en 2012 permettra de profiter pleinement des classiques comme des nouveautés. Le Ciné-club, qui fait son retour, donnera la chance de pouvoir avoir accès à ces incontournables et comprendre le cinéma d’aujourd’hui ! « L’enjeu est de multiplier les occasions de s’ouvrir l’esprit et alimenter notre curiosité, avec des choix parfois audacieux », précise Jean-Pierre Cruse.« Mais sans risque, il n’y a pas de culture ! »

Dossier

Dossier

Cette année, la culture sera plus encore à la portée de tous. Une politique tarifaire repensée, des événements à composer selon vos envies, des nouveaux rendez-vous, des incontournables, des classiques, des surprises ne vous laisseront que l’embarras du choix. À vous de piocher !Infos : le programme de la saison culturelle pour la période septembre-décembre est disponible dans les lieux publics et sur le site de la Ville.

> ApprendreFête de la sciencePour les petits : La chimie est à l’honneur cette année. Et quand on parle du monde de l’infiniment petit, quoi de plus naturel que d’en faire un spectacle pour enfant ? La Compagnie Petite nature proposera une pièce de théâtre intitulée « Les Molécules désac-cordées » où les plus de 6 ans pourront découvrir les secrets de la matière. Un thème ardu que le person-nage de Gaston met à la portée des petits pour un voyage dans un univers insoupçonné.

Pour les grands : Ateliers, exposition, spectacles et goûters scien-tifiques vous rendront incollables sur le monde de la chimie. De là à vous transformer en savant fou, il n’y a qu’un pas, mais la médiathèque et la MJC-CS, tous deux organisateurs de l’évène-ment, refusent toute responsabilité ! On vous aura prévenus.

Journée inaugurale de l’université des habitants pour la participation citoyenne

Espace d’actions et d’initiatives ouvert à tous pour s’informer, se former, échan-ger et débattre, l’université des habitants pour la participation citoyenne vous invite à une journée où débats, conférence, pro-jection de film et apéritifs dînatoires vous permettront d’en apprendre un peu plus sur cette « université populaire » dont le credo réside dans la diversité des savoirs, le partage d’expériences et l’engagement.

> CréerLes ateliers de Prométhée

François Chaffin, de la compagnie essonnienne du Théâtre du menteur, vous proposera des ateliers d’écriture qui serviront à la composition de la première partie du spectacle « Prométhée poème électrique » qui aura lieu en mars prochain.

Rencontre avec François ChaffinPourquoi avoir choisi le thème de Prométhée ?

Prométhée est lié à la création de l’homme et à l’apparition de la culture. Mais c’est aussi surtout, pour moi, le premier libertin et révolutionnaire ! Ce thème permet un spectacle toujours différent, car si peu de gens connaissent ce per-sonnage, ils se rendent compte très vite qu’il retraduit des considérations et problématiques actuelles. Prométhée refuse de se soumettre aux Dieux. Même condamné à se faire manger le foie par des oiseaux en haut d’une colline, il persistera à vouloir porter la connaissance aux hommes…

Comment se déroulent vos ateliers ?

La première séance forme le groupe avec qui je travaille-rai l’écriture, puis la mise en scène du travail effectué. Le but est de réfléchir ensemble, créer quelque chose qui se retraduira par une scène de théâtre, un film, un document sonore, pourquoi pas une déambulation dans les rues ! Chaque fois, on aboutit à quelque chose de différent.

Comment peut-on définir votre spectacle ?

C’est un mélange de textes et de guitare. « Poésie élec-trique » est le vocable qui pour moi le traduit le mieux. Ce sont des textes que j’ai écrits et que nous avons posés, avec le guitariste Benjamin Coursier, sur les cordes de sa gui-tare. Je parle, la guitare me répond, la guitare parle, je lui réponds, la guitare me porte, je porte la guitare…

Soirées d’artistesPratiquer dans son coin sa passion pour le chant, la flûte ou le théâtre, c’est bien. Mais monter sur scène pour partager son/ses talent(s), c’est encore mieux ! Les soirées d’artistes permettront aux amateurs de différentes disciplines de participer à un pro-gramme autour d’un artiste ou d’un groupe et de se produire sur scène dans un cadre professionnel. N’hésitez plus, la scène est faite pour vous !

La culture au bout des doigts…

Dossier

> RêverPinok et Barbie« Nos vies s’enrichissent par la présence de l’autre. » C’est le message que la Compagnie du Mouton Carré insuffl e dans « Pinok et Barbie », adaptation de la pièce de Jean-Claude Grumberg. Lorsqu’une petite fi lle décide de don-ner ses jouets aux enfants dans le besoin, un long périple l’attend. Un

spectacle de marionnettes plein de poésie pour les enfants, à partir de 6 ans.

Le charriot de ThespisL’atelier théâtre adultes de la MJC vous propose un voyage auprès de Thespis, dit « le premier acteur de l’humanité ». Tragédien et poète itinérant parcourant les campagnes sur un char lui servant de scène, il faut l’inventeur d’une danse-chant appelée dithyrambe. De là à ce que vous soyez dithyrambique après le spectacle, il n’y a qu’une syllabe.

Les RacontinesTrouver un spectacle pour les tout-petits n’est pas chose aisée. C’est pour cela que depuis plusieurs années, la médiathèque organise les « Racontines », histoires, chansons, comp-tines, musique et danse destinées aux enfants de 18 mois jusqu’à trois ans !

> S’enchanterP’tits BœufsL’occasion de découvrir ou redécouvrir des groupes de musique de la scène locale : Former Life, All my memories, Wild Shades, Laikya, Doctor Noise ou GRIM Angel !

Concert de NoëlLes chœurs du Conservatoire et les élèves de la Classe à Horaires Aménagés Musique (CHAM) de l’école élémentaire du Château, créée cette année, proposeront un concert autour des voix traditionnelles.

> Élargir son écranAvec des classiqueset le retour du Ciné-Club…Les fi lms de François Truffaut initieront un cycle de huit dates consa-crées à l’histoire du cinéma. Chefs-d’œuvre oubliés et grands classiques vous seront présentés par des spécialistes dans une ambiance conviviale.

…Ou du neuf avec le 13e festivaldu fi lm européenLa jeune création européenne vous sera présentée au Cinéma Truffaut, partenaire du festival Cinessonne.

> Voyager dans le tempset dans l’espaceVox BigerriFermez les yeux. Vous êtes en Pays occitan. Puis au Pays basque. Là, en Corse. Plus tard en Italie… Vox Bigerri, ensemble de voix d’hommes dirigé par Pascal Gaumont, chantera pour vous un répertoire de créations polyphoniques issues des mythes et légendes d’Europe du Sud.

Les rendez-vous de la musiqueancienneBach et Beethoven seront à l’honneur.

Carte blanche à Alain KelerReporter et photographe, Alain Keler a parcouru le monde. Détenu un temps par les FARC, ce photo-journaliste de l’agence MYOP qui a reçu plusieurs prix pour ses cli-chés est un spécialiste des zones à risques. Depuis dix ans, il sillonne au volant de sa vieille Skoda les routes de l’Est à la rencontre des Roms. Ses photographies reflè-tent une histoire de l’Europe d’au-jourd’hui, qui semble malgré son actualité, surannée.

Médiathèque

I l est loin le temps où, avec ses 3 000 habitants, Chilly-Mazarin ne comptait qu’une petite biblio-

thèque de 15 m² et 80 livres, située à côté du Foyer des Seniors. En 1985 et quelques milliers d’habitants supplémen-taires plus tard, la médiathèque telle que nous la connaissons aujourd’hui, était inaugurée : 1 280 m² et 25 000 livres qui ont longtemps fait le bonheur de ses adhérents. Le nom d’Albert Camus est choisi pour baptiser cet antre des livres.Mais cet équipement, qui fut la première bibliothèque de l’Essonne à être informa-tisée, se devait de bénéficier d’un lifting.Huit mois ont été nécessaires pour refaire la couverture et l’étanchéité, rénover les vérandas, verrières et fenêtres, poser des

Après plusieurs mois de travaux, la médiathèque rénovée Albert Camus a été inaugurée le 17 septembre dernier. Ouverte au public pendant le chantier, elle vous présente aujourd’hui son nouveau visage.

stores, effectuer les travaux de plombe-rie et de chauffage, établir de nouvelles plantations, refaire les peintures, l’élec-tricité… D’importants travaux qui ont permis de créer une nouvelle salle mul-timédia et une accessibilité améliorée

(sanitaire, escalier, rampe d’accès à l’en-trée…). Coût de l’opération : 763 629 €.Tout est désormais prêt pour accueillir lecteurs, sorties scolaires, animations lec-ture pour la petite enfance, Racontines, ateliers, spectacles et expositions !

2 721 adhérents, 49 000 livres, 13 000 CD, 3 300 DVD, 107 000

documents prêtés par an.

Éducation

L e Maire, Gérard Funès et Lisette Jovignot, Adjointe au Maire en charge de l’Enseignement étaient

présents dans toutes les écoles et au col-lège pour s’assurer du bon déroulement de cette journée, ô combien importante pour les enfants, parents et enseignants.« La rentrée est un moment important dans la vie des enfants. La Ville de Chilly-Mazarin met tout en œuvre pour assurer la qualité de travail des enseignants et du per-sonnel en charge des élèves. L’école ce n’est pas que l’enseignement, c’est aussi des équi-pements à entretenir et nettoyer, la restau-ration scolaire, ou encore les accueils pré et postscolaires », indique Lisette Jovignot.

Des effectifs en hausse2 108 élèves ont retrouvé le chemin de l’école. 1 237 élèves en école élémentaire (+ 7 %) et 871 en maternelle (+ 4 %). Une augmentation qui a conduit l’Ins-pection académique à ouvrir trois classes supplémentaires. Si celle de l’école élé-mentaire du Château était d’ores et déjà prévue et confi rmée, les écoles élémen-taires Jean de La Fontaine et Pierre et Marie Curie ont bénéficié elles aussi d’une ouverture.L’inquiétude portée sur les écoles mater-nelles des Saules et des Roseaux s’est vue confi rmée. Malgré les actions des parents

Lundi 5 septembre, dès 8h, le même manège s’observait aux quatre coins de la ville. En rangs serrés ou dispersés, un cortège de sacs à dos et cartables envahissait les abords des écoles. L’objet de leur convoitise ? Les listes de classes placardées sous le préau, soigneusement surveillées par des directeurs, enseignants et ATSEM, dirigeant, informant, et rassurant des parents parfois plus anxieux que leur progéniture. Entre cris de joie, excitation, résignation et parfois quelques larmes très vite séchées, la rentrée s’est achevée.

d’élèves et le soutien de la Ville, l’Ins-pection ne s’est pas montrée favorable, jusqu’à ce jour, à l’ouverture d’une classe supplémentaire.« Nous nous réjouissons des décisions d’ou-verture des classes élémentaires, mais nous regrettons le refus de l’Inspection concer-nant les écoles maternelles des Saules et des Roseaux malgré la forte mobilisation des parents et de la Ville », déplore Lisette Jovignot.Côté collège et lycée, les effectifs s’élèvent respectivement à 601 et 740 élèves.Notons que cette année, la Classe à Horaires Aménagés Musique (CHAM) a fait sa première rentrée à l’école du Château, les candidatures ayant été suf-fi santes pour démarrer cette expérience.Nous souhaitons à tous, en musique ou non, un bon retour sur les bancs de l’école.

Prévention

En 2010, la municipalité de Chilly-Mazarin installait de nouveaux dispositifs de démo-

cratie locale. Ainsi, les réunions de quar-tier, le Conseil des Sages et le Collectif Jeunes ont été créés pour faciliter les échanges avec la population. Soucieuse de continuer à développer des espaces de rencontre et de débat, la Ville met en place des réunions publiques théma-tiques à compter du mois d’octobre.Certains sujets, souvent délicats ou techniques, surmédiatisés ou oubliés, demandent un éclairage particulier. Ces réunions publiques auront pour but d’aborder ces thématiques, qu’elles concernent notre vie de tous les jours, des sujets citoyens ou résultent d’une actualité particulière. Afin de pouvoir aborder ces questions de société, des pro-fessionnels spécialistes des thèmes rete-nus, seront régulièrement invités pour ouvrir et nourrir le débat.

Les phénomènes de bandes : pourquoi y rentrer, y rester, et en sortir ?Régulièrement, à travers l’actualité traitée par les médias, « des bandes de jeunes » s’illustrent par des faits divers tragiques. La mise en lumière de ces phénomènes n’a cessé de s’accentuer depuis les années 90 et plus encore dans les années 2000 qui ont vu des violences urbaines se dérouler dans différentes villes de France.Les « bandes » ont-elles évolué depuis les blousons noirs des années 60 ? Qu’est-ce qui a changé : leur forme, leur écono-mie, leur diversité, leur localisation, leur médiatisation ?Avec l’éclairage de Marwan Mohamed, Docteur en sociologie, cette première rencontre s’attachera à comprendre et décrypter ce qui, de concept, se traduit bien souvent par une simple constatation : les bandes de jeunes existent, se voient, perturbent. Marwan Mohamed étudie depuis plu-sieurs années ce phénomène. Auteur de nombreuses publications à ce sujet (« Les bandes de jeunes, des blousons noirs à nos jours », « La formation des bandes », etc.), chargé de recherche au CNRS, for-mateur, enseignant, intervenant, il s’at-tachera à présenter, lors de cette ren-contre-débat, ce que l’on peut qualifier de « bande ». Quelles sont ses caractéris-tiques ? Pourquoi y « entre »-t-on ? Qu’y trouve-t-on ? Quelle est la différence entre une bande et un groupe de jeunes ? Quel rôle les institutions peuvent-elles jouer ? Est-ce que certains territoires sont plus propices ? Quelle frontière avec la délin-quance ? Peut-on « sortir » d’une bande ?Cette première rencontre-débat sera suivie d’un temps convivial avec l’intervenant.Nous vous attendons nombreux au Cinéma François Truffaut.

En bref

Portrait

P arfois, faire un livre devient une évidence. Pas parce qu’on aime écrire, ni parce que l’on

est convaincu d’avoir du talent ou des choses à dire. Mais simplement par devoir de mémoire. C’est ainsi que Patrick Police s’est lancé dans l’aventure et publie aujourd’hui L’Épopée du cyclisme ou Trois-quarts de siècle de cyclisme sur l’Autodrome de Linas-Montlhéry. Aventure, car si le sujet le passionne, il lui a fallu revêtir tour à tour le costume d’historien, de rat de bibliothèques ou de VRP pour rassembler les centaines de photos, témoignages et données nécessaires à la reconstitution de l’histoire de cet autodrome mythique, et parvenir enfin, à le faire publier.« Aussi étonnant que cela paraisse, aucun ouvrage (hormis une mention dans un livre anglais de 1961) ne s’était jusqu’à présent pen-ché sur ce lieu pourtant ‘’riche et capital’’ », souligne l’auteur, dans l’histoire des sports mécaniques et du cyclisme. Patrick Police a mis le doigt dans l’engrenage et n’en est ressorti que près de trois ans plus tard, les-sivé. « Je savais que je m’embarquais dans quelque chose. C’est pour cela qu’au départ, je pensais commencer ce livre lorsque je serais à la retraite. J’avais créé des blogs parlant du cyclisme et des engins motorisés. Grâce à cela, je suis rentré en contact avec le président d’une association de sauvegarde de l’autodrome, Pascal Pennetier. Il m’a dit ‘’vas-y, fonce !’’ C’est véritablement de là que tout est parti. » Malgré une vie professionnelle, sportive et person-nelle très prenante, le passionné est rentré à l’insu de son plein gré dans son « piège infer-nal ». « On ne sait pas de

quoi demain sera fait, alors je me suis lancé. »Le résultat ? Un livre de 275 pages, plus de 310 photos, des interviews de tous les champions de France ayant rem-porté leur titre au vélodrome (dont Émile Idée, 91 ans aujourd’hui) et des informa-

tions inédites fruits de longues heures de recherche. À la limite du stakhanovisme, Patrick a passé ses vacances, soirées, week-ends à collecter, fouiner, gratter tous les supports pour « ne pas faire du copier-

L’Essonnien Patrick Police présente son livre sur l’autodrome de Linas-Montlhéry. Et sur le sujet, il en connaît un rayon.

coller, apporter l’info la plus précise pos-sible », sans compter ses pauses du midi passées à réécrire huit ou neuf fois ses écrits. Mais Patrick ne le regrette en rien. « Je n’imaginais pas que l’histoire serait aussi riche. Je pensais, au début, intéresser tout au plus quelques passionnés du cyclisme et de patrimoine, des sportifs… Et puis j’ai rencon-tré l’histoire tout court. L’autodrome a ainsi servi, en 1941, de camp de déportation pour les gens du voyage. J’en ai rencontré le dernier survivant », raconte-t-il, ému.Patrick tient surtout à remercier tous les interlocuteurs qu’il a rencontrés. « Ils y ont tous cru avant moi. C’est grâce à ces ren-contres que je n’ai pas baissé les bras. » De plus, hasard du calendrier, l’autodrome qui depuis les années 2000 avait repris sa vocation première de terrain d’essais automobiles, s’est vu réattribuer sa place comme lieu de courses cyclistes en 2010. « J’y ai vu un signe du destin. Et je suis passé d’un livre testament à un livre en plein dans l’actualité… »Si pendant tout ce temps, ce Chiroquois de longue date n’a pas déserté le guidon, il a dû tout de même changé de plateau : « c’était ma bouffée d’oxygène tous les dimanches matin. Mais je vais m’y remettre plus sérieusement, car je n’ai plus ma carrure de sportif. Maintenant que tout cela est fini, je vais enfin pouvoir redon-ner au vélo la place qu’il avait, mais sur la selle cette fois ! » Jusqu’à ce que l’histoire recroise son chemin…

Je n’imaginais pas que l’histoire serait aussi riche. Je pensais, au début, intéresser tout au plus quelques passionnés du cyclisme et de patrimoine, des sportifs… Et puis j’ai rencontré l’histoire tout court.

Chaque année, la CAF octroie aux familles allocataires essonniennes à res-sources modestes le « Ticket loisirs jeunes » (Tlj), pour les jeunes de 6 à 15 ans. Celui-ci permet de compenser les frais d’inscription de leurs enfants à une activité durant l’année scolaire. Les activités ouvrant droit aux bénéfices sont : les inscriptions en accueil de loi-sirs et les activités culturelles, sportives ou artistiques.Le montant de cette aide (entre 46 et 130 euros) est évalué selon le quotient familial.

La délégation essonnienne de l’Associa-tion des Paralysés de France lance un appel aux bénévoles. Depuis 1933, l’as-sociation se bat pour une participation pleine et entière des personnes en situa-tion de handicap et leur famille dans la société.

recherche pour l ’année scolaire 2011/2012 des animateurs pour l’en-cadrement du temps de la restauration scolaire.

Vie locale

P our démocratiser l’accès à l’in-formatique, l’association palai-sienne E@net, a signé une

convention avec la Communauté d’ag-glomération afin de toucher un public plus large. Spécialisée dans la vente à prix réduit de matériel informatique sa démarche est double : proposer des pro-duits accessibles et dans un souci de pré-servation de l’environnement puisque ce matériel est récupéré auprès des entre-prises. Le samedi 22 octobre, de 9h à 16h30 (sans interruption) dans la salle à la Roue de l’Hôtel de Ville, une vente sera organisée. Celle-ci étant principale-ment destinée aux familles sous condi-tion de ressources, veuillez-vous présen-

ter au service Solidarités de la Ville, avec vos justifi catifs de revenus pour retirer votre bon d’accès.

Pour l’aider dans sa mission de soutien et d’aide pour les adultes concernant l’ap-prentissage ou le perfectionnement à la lecture ou l’écriture, ou de remises à niveaux en calcul, l’association a besoin de vous !

A pprofondir et développer des projets ambitieux et nombreux en Essonne autour du dévelop-

pement durable et solidaire, tel est l’enjeu de ces rencontres, qui prendront place du 5 au 8 octobre. Pendant trois jours, les dif-férents acteurs engagés dans le développe-ment durable en Essonne pourront dialo-guer, échanger, débattre, créer et renforcer coopérations et synergies.Collectivités, entreprises et particuliers seront les bienvenus aux conférences, forums et ateliers sur le thème de « Pour un futur solidaire et désirable : Engagez-vous ! »

Vie locale

D u 17 au 21 octobre, dans le cadre de la Semaine Bleue, les communes de Chilly-Mazarin, Morangis et Longjumeau, en partenariat avec le Clic d’Orgyvette (Centre local d’informa-

tion et de coordination gérontologique), proposeront aux personnes de plus de 60 ans plusieurs activités autour de la nutrition et de l’activité physique.L’objectif de ces journées ? Favoriser le « bien-vieillir » des seniors vivant à domicile, prévenir l’apparition de problèmes de santé et favoriser les échanges entre les habitants des trois communes. L’accès à ces manifestations est gratuit, tous les frais étant suppor-tés par les communes participantes.

Programme :Une conférence sur la nutrition et le bucco-dentaire vous sera proposée le lundi 17 octobre de 14h à 17h à la salle des fêtes de Morangis. Sylvie Veinat, nutritionniste, et le réseau Appolline vous délivreront tous les conseils relatifs à l’alimentation et les bonnes pratiques bucco-dentaires. Un débat et un goûter termineront la conférence.

À Chilly-Mazarin, vous pourrez profi-ter d’ateliers d’initiation à la gymnas-tique douce, le mardi 18 octobre (2 cours le matin de 9h30 à 10h30 et 10h45 à 11h45, 2 cours l’après-midi de 14h à 15h

et de 15h15 à 16h15), au centre de loisirs Les Temps Modernes.Deux atel iers sur la commune de Longjumeau auront l i eu le j eudi 20 octobre de 9h30 à 10h30 et de 10h45 à 11h45 à la résidence Avril.

Une randonnée culturelle sera orga-nisée le 21 octobre, de 14h, heure du RDV devant l’église à 17h au départ de Longjumeau. Un guide vous fera décou-vrir l’histoire dans les lieux remarquables de Longjumeau, Champlan et Saulx-les-Chartreux. L’occasion de se rencontrer et se dépenser tout en se cultivant !

L e 6 septembre der-nier, les habitants de la rés idence

Saint-Éloi étaient conviés par le bailleur 3F pour une réunion de présentation du réaménagement des espaces extérieurs de leur résidence, en présence du Maire et d’élus de la municipalité. Ces restructurations sont le fruit d’une concertation des résidents et du groupe immobilier. Le nombre de places de sta-tionnement sera augmenté de cinquante places, passant de 298 places à 348, les aires de jeux seront redécoupées pour offrir plus de diversité et limiter les nui-sances sonores, la végétation enrichie et

diversifiée, l’éclairage repensé, des rampes d’accès créées.

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EntretienClimatisation

Sports

L e rugby, un sport réservé au sud de la France ? Que nenni ! Vous répondra le président du Rugby-

Club, Éric Bigeat. Enfi n… « C’est vrai que le rugby reste très ancré dans le Sud. Je suis issu moi-même d’une famille du Sud-Ouest pour qui le sport, c’était le rugby ! Là-bas, cela sonne comme une évidence. Tout le monde y passe. Mais cela n’a pas empêché le rugby de conquérir le Nord, surtout depuis sa profes-sionnalisation en 1995. » Deuxième sport préféré des Français, la Coupe du monde de 2007 organisée en France n’aura pas été pour rien dans cette ascension fulgurante.

Créé en 1966, le Rugby Club de Chilly-Mazarin n’a cessé de voir croître son nombre de licenciés. « On est passé de l’image d’un sport dur et violent à une vision plus honnête : celle du combat collectif, autour des valeurs du partage et du respect. Évidemment, il y a de l’agressivité, mais le message fort, c’est le collectif, le fait que pour être plus fort, il ne faut faire qu’un. Il n’y a qu’à voir le nombre d’entreprises qui repren-nent ce sport ou ses métaphores comme moyen de fédérer ses équipes en interne. Ou, pour faire une autre comparaison, c’est comme dans ce jeu télévisé où les partici-pants sont abandonnés sur une île… »

Autre avantage, chacun peut trouver sa place dans le jeu. Grand, petit, trapu, maigre, chaque poste nécessite des quali-tés particulières et diverses. « Et le rugby apprend également à encaisser les chocs, à tomber… » Et puis, il n’est pas inutile de souligner que l’équipe féminine évo-lue en championnat élite. Déjà passées par le top 10, les « rugby-women » sont présentes, tout de même, dans le top 20 français. « Nous sommes d’ailleurs le seul club du sud de l’Île-de-France à possé-der une équipe féminine ! », rajoute le pré-sident, avec fi erté..

En ce mois d’octobre, le rugby est en fête. Jusqu’au 23, les meilleures nations s’affrontent pour remporter le titre de championne du monde. Compétition organisée tous les quatre ans, il aurait été impensable pour le Rugby Club de Chilly-Mazarin de manquer une telle occasion ! C’est pourquoi, tout au long du mois de septembre, le club a organisé des démonstrations de rugby (cf. photos). Une période d’intense ébullition qui s’achèvera avec une retransmission de la fi nale sur grand écran.

venir

…

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Opposition municipale : Groupe « L’Avenir à Chilly ! »

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