dossier de presse - massilia mundi · 1,5 milliard d’utilisateurs sont couverts par les solutions...

DOSSIER DE PRESSE

AIX MARSEILLE PROVENCE VA FAIRE RAYONNER

LE NUMÉRIQUE MADE IN FRANCE

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1,5 MILLIARDD’UTILISATEURS SONT COUVERTS PAR LES SOLUTIONS DE GEMALTO

2 MILLIONS DE MOBILESSONT VENDUS PAR WIKO, LE N° 3 DES VENTES EN FRANCE

465 % LE TAUX DE CROISSANCEFULGURANT DE JAGUAR NETWORK EN 5 EXERCICES

35 MILLIONSDE BILLETS SONT ÉMIS CHAQUE ANNÉE

PAR DIGITICK

N° 1 : VOYAGEPRIVE.COM EST LE LEADER EUROPÉEN DE LA VENTE PRIVÉE DE VOYAGES EN LIGNE

2,4 MILLIARDS D’EUROS LE CHIFFRE D’AFFAIRES DE GEMALTO EN 2013

1 MILLION DE MEMBRES FONT PARTIE DE LA COMMUNAUTÉ

CITYVOX

40 000 PERSONNESSONT EMPLOYÉES DANS LA FILIÈRE

NUMÉRIQUE D É P A R T E M E N T A L E

120 000 M² C’EST LA SUPERFICIE DU PÔLE MÉDIA LA BELLE DE MAI

15 000 RÉFÉRENCES DISPONIBLES CHAQUE SAISON SUR MONSHOWROOM

Dossier de Presse

Sommaire

LE TERRITOIRE NUMERIQUE .............................. 1du sud de la France

VOYAGEPRIVE.COM ..............................................2un leader né à Aix-en-Provence

WIKO .......................................................................3le smartphone qui donne envie d’entonner la Marseillaise

TERRADONA ...........................................................4le recyclage incitatif a de beaux jours devant lui

DIGITICK .................................................................5 numéro un de l’e-ticket

CITYVOX ..................................................................6 par ici vos sorties

ALERTGASOIL ........................................................ 7pilote votre consommation de carburant

DEVISUBOX ............................................................8surveille les chantiers

GEMALTO ...............................................................9créateur de confiance numérique

JAGUAR NETWORK .............................................10coffre-fort de données

MONSHOWROOM .................................................11la mode à portée de clic

LE PÔLE MÉDIA DE LA BELLE DE MAI ............ 12manufacture numérique

HIGHCO ................................................................ 13à la pointe de la conso

NUMÉRIQUE

LE TERRITOIRE NUMÉRIQUEDU SUD DE LA FRANCE

L’ économie numérique constitue une valeur sûre à l’échelle mondiale. En France, elle produit le quart de la croissance et des créations d’em-

plois dans les PME. Mais cette manne ne tombe pas toute seule ! Pour être dans le peloton des gagnants, le territoire fédère les nombreux atouts qui lui ont déjà fait gagner ses lettres de noblesse en la matière – dont ses divers pôles de compétitivité et technopoles high-tech – et se positionne pour être un leader du numérique made in France.

Des flots d’échanges propices à la croissance

Dans les Bouches-du-Rhône, où est né Gemplus, l’inventeur révolutionnaire de la carte à puce, les TIC emploient déjà 40 000 salariés privés, soit autant que dans les secteurs du tourisme ou de l’industrie portuaire. Couverture à 100 % en haut débit (la couverture en très haut débit est prévue pour 2020), déploiement complet de la 4G depuis 2013 et déjà sept data centers (TDF vient d’en ouvrir un à Aix-en-Provence), Aix Marseille Provence est le territoire numérique leader de l’Europe du Sud et le deuxième hub français des télécoms. Elle est aussi l’une des deux zones françaises où la Fondation Internet nouvelle génération (Fing) rassemble acteurs économiques et institutions afin d’anticiper sur les transfor-mations numériques.Enfin, elle constitue un important carre-four d’échanges immatériels. Ces flots

d’information la relient déjà à quatorze pays du Proche-Orient, d’Asie et d’Afrique via le réseau sous-marin SEA-ME-WE 4, dont elle est une plate-forme régionale.

Un vivier de start-up performantes dans un écosystème dense

Aux côtés d’entreprises matures mondialement connues, employant jusqu’à 12 000 salariés (Gemalto, STMicroelectronics…), un tissu de PME et de start-up locales s’est développé, dans des secteurs aussi divers que l’industrie du voyage en ligne, la construction de smart-phones low cost, l’image, les services dématé-rialisés ou l’environnement. Travaillant en réseau avec des laboratoires de pointe, publics et privés, certaines de ces start-up sont devenues des ré-férences dans leur domaine : Voyageprive.com, Wiko, Wyplay, Allopneus ou DNXcorp.Aix Marseille Provence booste ce « capital innovation ». Le territoire a ainsi structuré un tissu entrepreneurial vivifiant et complémen-taire, autour de deux incubateurs spécifiques, à Marseille. L’un est tourné vers le multimédia, à la Belle de Mai, l’autre, interuniversitaire, va-lorise la recherche publique au technopôle de Château-Gombert, avec l’appui de l’Espace par-tenarial de R&D (EPRD) de l’École des mines de Saint-Étienne, à Gardanne. Cet écosystème est renforcé par deux centres européens d’en-treprise et d’innovation fondés il y a vingt ans : CCEI Provence (environnement, santé) à Aix, et Marseille Innovation (deux pépinières et un hôtel d’entreprises). Le territoire s’est également fait

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NUMÉRIQUE

une réputation dans les filières de l’audiovisuel et du cinéma, de l’animation, du jeu vidéo, de l’In-ternet et du multimédia, qui travaillent elles aussi en réseau au sein du Pôle régional de l’image, du multimédia et de l’Internet (Primi). Enfin Aix Marseille Provence bénéficie des sy-nergies mises en œuvre par le puissant pôle de compétitivité Solutions communicantes sécuri-sées (SCS). Avec 280 membres dont 220 Pme, le seul pôle mondial de PACA veut offrir à la région un leadership européen dans trois domaines de produits et services innovants. Le premier, les technologies « sans contact », s’articule autour de l’identification des personnes et de leurs droits, par exemple, pour accéder grâce à son mobile à un bâtiment, un moyen de transport ou un concert, et la traçabilité des objets et des marchandises, en logistique ou grande distribution. Le deuxième domaine concerne les réseaux machine to ma-chine (M2M) et services mobiles : il couvre, entre autres, l’automatisation, en toute sécurité, de la consommation énergétique d’un immeuble, la surveillance du trafic automobile d’une ville ou la maintenance à distance. Enfin, le troisième, sensible, porte sur les technologies de la sécurité et des identités numériques, destinées à nous authentifier (sur le Net, en voyage, au bureau…) tout en protégeant nos données personnelles.

Un dynamisme fédérateur autour du numérique « made in France »

Témoignage de ce dynamisme fédérateur, les collectivités locales se sont unies pour être les premières à postuler à la toute nouvelle et précieuse labellisation Métropole French Tech, créée par l’État, et mailler à cette fin plusieurs hotspots dédiés au numérique. L’obtention de ce label aura pour effet de doper à l’international les entreprises du secteur et de conforter le ter-ritoire comme un pôle d’excellence numérique. Il doit également distinguer un certain nombre d’accélérateurs de start-up privés.La métropole a vu émerger neuf projets au cours des derniers mois. Ces programmes privés couvrent des domaines clés du numérique – le big data (Jaguar Network), les services sans contact (Gemalto), l’e-tourisme (Voyageprive.com), le contenu audiovisuel (TelFrance), la smart city (The Camp), les applications mul-ti-écrans (Stardust), l’e-commerce et ses ap-plications mobiles (Netangels) – ou sont plus généralistes comme celui que porte la Kedge Business School, sur les nouveaux usages numériques, et P.Factory, inspiré de l’initiative TheFamily et également partenaire de ce cé-lèbre accélérateur parisien.

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AIX MARSEILLE PROVENCE EST LE TERRITOIRE NUMÉRIQUE LEADER

DE L’EUROPE DU SUD ET LE DEUXIÈME HUB FRANÇAIS DES TÉLÉCOMS.

«


NUMÉRIQUE

VOYAGEPRIVE.COMUN LEADER NÉ À AIX-EN-PROVENCE

LEADER EUROPÉEN DE LA VENTE PRIVÉE DE VOYAGES EN LIGNE, VOYAGEPRIVE.COM A SU PRÉVOIR LES PROFONDS BOULEVERSEMENTS INDUITS PAR LE NUMÉRIQUE SUR NOS MODES DE CONSOMMATION. L’ENTREPRISE VEUT ALLER PLUS LOIN ET CONTRIBUER À L’ESSOR NUMÉRIQUE DU TERRITOIRE.

V oyageprive.com a géné-ré un chiffre d’affaires de 400 millions d’euros en 2013 et comptabi-

lise 11,5 millions de membres et 4 millions de clients depuis son lancement. Fondé en 2005 par Denis Philipon, ancien Président - Directeur général de Lastminute.com, et des associés, le site s’est rapidement imposé pour deve-nir le leader du tourisme en ligne en Europe. L’entreprise connaît une croissance à deux chiffres, avec une présence dans six pays (Espagne, Italie, Royaume-Uni, États-Unis, Brésil, Pologne) et compte 350 collaborateurs, dont 200 à Aix-en-Provence.

Des vacances de luxe à prix réduit

Un concept inédit : le club privé on- line propose à ses membres une sélection de voyages, séjours et

loisirs haut de gamme au meilleur prix garanti avec des réductions pouvant aller jusqu’à 70 %. Chaque jour sont suggérées des idées de voyages, en France, en Europe, au-tour du bassin méditerranéen ou vers des destinations plus lointaines pour des durées variables : d’une nuit à un long séjour. Les offres rigoureusement sélectionnées et négociées sont présentées en ex-clusivité pendant une durée limitée (sept jours en moyenne), selon le principe d’une vente privée. Ainsi tout membre reçoit régulièrement des propositions de voyages, et peut profiter d’offres exclusives.

Un acteur engagé pour le territoire

Voyageprive.com apporte son sou-tien au développement du secteur du numérique sur le territoire en soutenant la candidature au label Métropole French Tech – le groupe

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11,5 MILLIONS DE MEMBRES 4 MILLIONS DE CLIENTS

4 0 0 MILLIONS DE CHIFFRED’AFFAIRES


NUMÉRIQUE

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porte un projet de campus com-prenant une université pour for-mer aux métier du e-tourisme, un laboratoire marketing on-line et in-terface utilisateur, le centre de for-mation du Pays d’Aix Rugby Club (Club professionnel des Bouches du Rhône comptant 700 licenciés) et une fondation. Voyageprive.com est aussi à l’origine des Tremplins de l’innovation e-tourisme, véri-table accélérateur de business

pour les jeunes pousses ayant dé-veloppé un produit ou un service innovant, en lien direct ou indirect avec l’e-tourisme.

Avec l’appui de sa fondation, le groupe développe par ailleurs l’École des XV. Ce projet asso-ciatif propose un cadre éducatif et sportif innovant à des jeunes en difficulté scolaire, autour des valeurs du rugby.

TOUT MEMBRE REÇOIT RÉGULIÈREMENT DES PROPOSITIONS

DE VOYAGES, ET PEUT PROFITER D’OFFRES EXCLUSIVES.

« PRÉSENT DANS

6 PAYS3 5 0SALARIÉS


NUMÉRIQUE

WIKO, LE SMARTPHONEQUI DONNE ENVIED’ENTONNER LA MARSEILLAISE

CONSTRUCTEUR D’APPAREILS MOBILE LOW COST INTRANSIGEANT SUR LA QUALITÉ, LE MARSEILLAIS WIKO A CONNU UNE CROISSANCE FULGURANTE JUSQU’À SE HISSER AU RANG DE NUMÉRO TROIS SUR LE MARCHÉ HEXAGONAL. UNE RÉUSSITE PORTÉE PAR UNE STRATÉGIE MARKETING TRÈS POUSSÉE SUR LES RÉSEAUX SOCIAUX.

U ne société tricolore, déci-dée à rendre accessibles au plus grand nombre les dernières technolo-

gies de façon libre et intelligente, voilà vite résumé l’esprit de Wiko, une marque de smartphones fon-dée à Marseille au début de l’année 2011 par Laurent Dahan, un ancien professionnel de la distribution et de la logistique dans les télécoms.

Une réussite française

Depuis son lancement, Wiko s’est hissé parmi les champions des ventes dans l’Hexagone. Numéro trois en France avec 2 millions de mobiles vendus, Wiko est né dans le 7e arrondissement de la cité pho-céenne, d’un esprit imaginatif qui a misé d’emblée sur une offre de produits accessibles, parmi les plus fonctionnels du marché et destinés

à répondre aux attentes des utilisa-teurs les plus exigeants. Pour sortir des sentiers battus et asseoir sa notoriété, Wiko a conçu un vaste choix de modèles et une gamme de dix-sept smartphones, dont le leader est le modèle Darkfull. Ven-dus nus ou avec des forfaits, les ap-pareils sont disponibles en grande distribution et peuvent bien entendu être achetés sur Internet. La marque garantit un service après-vente cos-taud et de multiples services. En cas de problème avec un de ses pro-duits, Wiko assure auprès de ses clients un temps d’attente inférieur à trente secondes.

Une forte démarcation

Si Wiko réussit à percer dans un secteur aussi concurrentiel que celui des téléphones portables, avec des compétiteurs aussi incisifs

3

NUMÉRO 3DE LA VENTEDE TÉLÉPHONESMOBILESEN FRANCE

UNE GAMME DE 17 SMARTPHONES


NUMÉRIQUE

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que Samsung ou Apple, c’est que cette société a réussi à convaincre une clientèle qui souhaite opter pour un forfait à coût réduit sans se ruiner dans l’achat d’un smart-phone. Les consommateurs qui se tournent vers cette solution moins onéreuse le font pour des raisons variées : étroitesse d’un budget, renouvellement d’un abonnement impossible à la suite d’un vol ou de la perte d’un portable… Le marché des téléphones sans engagement est en plein boom : en 2013, il a re-présenté l’achat d’un téléphone sur quatre. Pour cartonner dans ce do-maine particulier où un smartphone sur deux se vend moins de 150 eu-ros, la clé a donc été de se frayer un chemin dans la bataille des prix bas en prenant comme partenaire le chinois Tinno, ainsi lancé en Eu-rope grâce à des téléphones dotés

d’une double carte mémoire SIM. Et le succès ne s’est pas fait attendre, renforcé par le buzz créé sur les ré-seaux sociaux où la marque est très présente (avec une communauté des utilisateurs appelés les « wiko-nautes ») parce qu’elle désire créer du lien autour de ses idées simples et identitaires.Depuis la fin avril, Wiko a lancé son premier smartphone 4G, le Wax, qui intègre en avant-première le pro-cesseur Nvidia Tegra 4i. Les quatre cœurs de 1,7 GHz qui équipent son processeur garantissent fluidité et rapidité dans l’exécution des tâches. Et le débit 4G va révolutionner les usages en affichant les pages Web instantanément, en supprimant les temps de latence, en permettant de télécharger des vidéos en quelques secondes. Des innovations qui n’ont pas fini de séduire les technophiles.

LE MARCHÉ DES TÉLÉPHONES SANS ENGAGEMENT EST EN PLEIN

BOOM : EN 2013, IL A REPRÉSENTÉ L’ACHAT D’UN TÉLÉPHONE SUR QUATRE.

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NÉ EN 2011À MARSEILLE

2 MILLIONS DE MOBILESVENDUS


NUMÉRIQUE

TERRADONA LE RECYCLAGE INCITATIF A DE BEAUX JOURS DEVANT LUI

START-UP INSTALLÉE DANS LA PÉPINIÈRE DU CENTRE GEORGES-CHARPAK, À GARDANNE, TERRADONA CAPITALISE SUR LE RECY-CLAGE INCITATIF. ELLE DÉVELOPPE ACTUELLEMENT UN PROJET DE CONTENEUR NUMÉRIQUE QUI PERMETTRAIT D’IDENTIFIER ET DE RÉCOMPENSER INDIVI-DUELLEMENT LES PERSONNES AYANT RECYCLÉ LEURS DÉCHETS.

Inciter les particuliers à mieux trier leurs déchets ménagers et les récompenser pour leurs gestes citoyens en faveur de

l’environnement est la raison d’être de Terradona. La start-up, fondée dans le Pays d’Aix en août 2013 par Jean-Marc Toubiana, est à pré-sent hébergée à Gardanne dans les locaux du centre de microélec-tronique Georges-Charpak (une émanation de l’École des mines de Saint-Étienne) pour mettre au point la pièce maîtresse de son projet.

Un boîtier communicant universel

Le principe qui a présidé à la création de l’entreprise repose sur une don-née particulière et fondamentale : la France ne trie que 20 % de ses déchets, contre 40 %, par exemple,

en Allemagne. Et le tri urbain n’est pas toujours efficient car les ha-bitants manquent singulièrement de motivation. C’est la raison pour laquelle Jean-Marc Toubiana, qui a effectué une partie de sa carrière dans l’univers du tri, a eu l’idée, aux côtés d’autres ingénieurs et avec l’aide du Laboratoire d’électronique et de technologie de l’information (LETI) du Commissariat à l’énergie atomique (CEA), de dynamiser les collectes en introduisant l’idée d’une contrepartie accordée aux particu-liers. Pour cela, il est nécessaire de connaître la nature des déchets apportés, leur quantité, et surtout l’identité de ceux qui les apportent, d’où la création d’un boîtier commu-nicant universel. Un objet suffisam-ment robuste pour travailler dans le milieu difficile des poubelles, mais également capable de s’adapter

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2 0 1 3CRÉATIONDE LA START-UP

EN FRANCESEULS 20 %DES DÉCHETSSONT TRIÉS


NUMÉRIQUE

sur n’importe quel conteneur de tri. Intelligent, il permettra d’échanger à distance des données avec une carte à puce ou même un télé-phone mobile. Le boîtier identifiera l’apporteur de bouteilles en verre ou de déchets en papier, par exemple, puis évaluera la nature des déchets et la quantité à recycler. Enfin, il en-registrera ces données, qui seront ensuite utilisées pour accorder une prime ou un avantage à l’apporteur. Un travail qui suppose un accord avec la collectivité locale concernée ou une gestion appropriée. Pour en quelque sorte réhabiliter la consigne.

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Un déploiement prévu pour 2015

Ce boîtier, qui renferme toute la technologie, fait actuellement l’objet d’un dépôt de brevet avec le CEA. L’étude de faisabilité a été bouclée en mars 2014, et un premier pro-totype doit voir le jour en octobre. À partir de 2015 s’ouvrira une im-portante phase d’expérimentation en France, notamment avec les communes de Marseille et Aix-en-Provence. Dans un second temps, le projet s’étendra en Europe, où des contacts sont d’ores et déjà pris.

LE BUT EST DE DYNAMISER LES COLLECTES EN INTRODUISANT

L’IDÉE D’UNE CONTREPARTIE ACCORDÉE AUX PARTICULIERS.

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2015PREMIÈRESEXPÉRIMENTATIONS

11 SALARIÉS 7 EMBAUCHESPRÉVUES EN 2015


NUMÉRIQUE

DIGITICK NUMÉRO UN DE L’E-TICKET

DIGITICK EST DEVENU UN INCONTOURNABLE DU MONDE DU SPECTACLE ET DES LOISIRS. L’ENTREPRISE A SÉDUIT LES CONSOMMATEURS EN LEUR GARANTISSANT LE CHOIX ET LA SÉCURITÉ DE LEURS TRANSACTIONS, MAIS SURTOUT A CONQUIS SES CLIENTS PAR SA SIMPLICITÉ D’UTILISATION.

Digitick est une plate-forme de billetterie web où les consommateurs peuvent acheter des places pour

des lieux ou événements aussi di-vers que le Grand Palais, le festival des Vieilles Charrues, le Parc Asté-rix, le château de Versailles, la Cité des sciences et de l’industrie ou en-core l’OM et le Stade-Vélodrome. Ainsi ce sont 35 millions de billets émis par an par ces institutions culturelles et de loisirs qui sont dis-tribués et contrôlés par cette entre-prise numéro un de l’e-ticket, dirigée par Christian Sere-Annichini.

Des solutions innovantes

Aujourd’hui installé dans le bâti-ment emblématique Le Silo, dans le très actif quartier de la Joliette, au cœur d’Euroméditerranée, le pion-nier de la billetterie dématérialisée en France couvre tout le spectre du divertissement grâce à des accords

avec la majorité des organisateurs de spectacles. Ses activités sont dirigées vers les consommateurs qui souhaitent acquérir des billets comme vers les professionnels qui souhaitent en vendre. L’entreprise développe ainsi des solutions de billetterie innovantes, 100 % web, pour aider à la vente et fournit d’autres solutions professionnelles clé en main telles que Digitick Sys-tems. Ce logiciel bénéficie d’un écosystème complet de modules métier pour apporter une réponse aux besoins fonctionnels et tech-niques des établissements culturels et de loisirs : vente en ligne, gestion des abonnés, contrôle d’accès, bou-tique, applications mobiles, gestion des groupes. Grâce à DigiOnline, il est aussi possible de décliner sur un site internet une billetterie avec une charte graphique personnalisée.En 2010, Digitick a rejoint le groupe Vivendi, société internationale au cœur des univers de contenus et de

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2010 ACQUISITIONPAR VIVENDI

120 SALARIÉS


NUMÉRIQUE

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divertissement et partenaire privilé-gié des industries culturelles et ré-créatives. Ce groupe, actionnaire à 100 % des sociétés Digitick et See Tickets, deux acteurs majeurs en France et au Royaume Uni, a pour ambition d’accompagner sur le plan international le leader français de la billetterie de nouvelle génération.

Une solide réputation

Digitick conçoit au final des solu-tions de billetterie pour l’ensemble des opérations de vente, d’accueil et de fidélisation des publics, de mesure et de pilotage de l’activité, en temps réel. De la définition du besoin jusqu’au déploiement sur

site en passant par le suivi d’ex-ploitation au quotidien, les équipes accompagnent les organisateurs de A à Z. Ces experts de la billetterie nouvelle génération sont répartis entre Marseille, Nantes et Paris. Cent vingt collaborateurs – chefs de projet, développeurs, techniciens, administrateurs réseau, formateurs, graphistes, experts fonctionnels – font le sérieux et la réputation de Digitick. Et concourent par là même au bon déroulement de nos loisirs.La Tour Eiffel, le Château de Ver-sailles, ou encore l’Olympique de Marseille exploitent la plateforme Digitick pour gérer l’ensemble de leur billetterie (ainsi que leur relation clients pour certains d’entre eux).

LES ACTIVITÉS DE DIGITICK SONT DIRIGÉES VERS LES CONSOMMATEURS

QUI SOUHAITENT ACQUÉRIR DES BILLETS COMME VERS LES PROFESSIONNELS QUI SOUHAITENT EN VENDRE.

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NUMÉRO 1DE L’E-TICKET

35 MILLIONS DE BILLETSPAR AN


NUMÉRIQUE

CITYVOX PAR ICI VOS SORTIES

PERMETTRE AUX INTERNAUTES DE RÉUSSIR LEURS SORTIES EST L’OBJECTIF PREMIER DE CITYVOX, UNE SOCIÉTÉ FONDÉE EN 1999 PAR BERTRAND BIGAY, BERTRAND GSTALDER, MICHEL ATHÉNOUR, XAVIER CORMAN ET PHILIPPE GUGUEN, DEVENUE UNE DES FILIALES DU GROUPE FRANCE TÉLÉCOM EN 2008.

Pour trouver un restaurant, un spectacle ou tout sim-plement savoir que faire et où sortir en France à n’im-

porte quel moment, Cityvox s’est imposé comme le numéro un. À la fois annuaire, moteur de recherche et guide, Cityvox est la référence. L’objectif est d’offrir aux utilisa-teurs des contenus et des ser-vices de qualité sur l’ensemble des buts de sorties en s’appuyant sur une vaste base de données (plus de 50 000 restaurants et 80 000 évé-nements) et une communauté de plus d’un million de membres. Le principe est simple : vous recher-chez une sortie, un restaurant, un bar, un hôtel ou une exposition dans votre ville, le site propose des lieux ainsi que les avis asso-ciés déposés par les membres de la communauté qui partagent leur expérience dans toute la France.

Tout pour passer une bonne soirée

Depuis le Pôle média de la Belle de Mai à Marseille, quarante-cinq personnes, informaticiens, com-merciaux et rédacteurs, travaillent au confort des visiteurs en attente de sorties réussies, une garantie portée par le slogan du site. L’ob-jectif de Cityvox consiste à ne pas manquer ce qu’il se passe tout en sélectionnant ce qui peut le plus attirer son public, soit une clientèle de 25-40 ans, à la fois urbaine et féminine qui souhaite trouver un événement dans sa ville ou sa ré-gion. Outre les spectacles, le site propose des restaurants classés par thèmes. Avec les CityBonus et les newsletters, la société sou-haite également s’engager auprès de ses membres avec une charte qui rappelle l’éthique, le respect

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UNE COMMUNAUTÉ

D’1 MILLIONDE MEMBRES

PLUS DE500 000 RESTAURANTS

19 9 9CRÉATION DEL’ENTREPRISE


NUMÉRIQUE

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de la vie privée, l’utilisation des informations personnelles et le contenu des avis. Afin de garantir au maximum l’objectivité des avis écrits sur le site, plusieurs règles permettant de limiter erreurs et abus ont été établies.

Un succès reconnu

Fort de son fonctionnement limpide et de son e-réputation, Cityvox est classé en première position des guides de sorties généralistes. Ce

qui confirme que ses valeurs fonda-mentales, la proximité, la simplicité, l’efficacité et l’enthousiasme, sont partagées par le plus grand nombre.Cityvox propose enfin une applica-tion pour smartphones qui délivre les mêmes contenus et services. Tous les événements et adresses y sont répertoriés.

FORT DE SON FONCTIONNEMENT LIMPIDE ET DE SON E-RÉPUTATION,

CITYVOX EST CLASSÉ EN PREMIÈRE POSITION DES GUIDES DE SORTIES GÉNÉRALISTES.

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PLUS DE80 000 ÉVÉNEMENTS

UNE CLIENTÈLEDE 25-40 ANS

45 SALARIÉSAU PÔLE MÉDIA BELLE DE MAI


NUMÉRIQUE

ALERTGASOIL PILOTE VOTRE CONSOMMATION

DE CARBURANTLA SOCIÉTÉ MARSEILLAISE AVENIR DÉVELOPPEMENT

DURABLE (ADD), INSTALLÉE AU PÔLE MÉDIA DE LA BELLE DE MAI, A ÉTÉ FONDÉE EN MARS 2009. EN 2014, L’ENTREPRISE A DÉPOSÉ PLUS DE CENT BREVETS À L’INTERNATIONAL ET DÉVELOPPÉ UNE OFFRE INNOVANTE : ALERTGASOIL.

A lertGasoil aide les en-treprises à lutter contre le gaspillage et le vol de carburant. Grâce à un

système de télémétrie embarqué, composé d’une jauge électronique et d’un boîtier de transmission, il as-sure un suivi de la consommation en temps réel ainsi que des opéra-tions de géolocalisation permettant ainsi aux entreprises d’économiser entre 7 à 17 % de leur consomma-tion d’énergie et, mécaniquement, de leurs émissions de CO2.

Une technologie unique au monde

Pionnier du secteur devenu aujourd’hui leader, ADD avec AlertGasoil va plus loin que ses concurrents et propose de ne plus subir sa consommation mais d’en devenir l’acteur principal. Ainsi, le système informe précisément sur le volume consommé, donc sur la quantité de dioxyde de carbone

émis. L’application AlertGasoil recense ainsi l’étiquette CO2 de chaque véhicule pour chaque tra-jet : une disposition légale mais aussi des données fiables pour la sensibilisation des chauffeurs.Le principe de fonctionnement d’AlertGasoil se fait autour de la distinction nette entre consomma-tion de roulage et consommation à l’arrêt pour identifier les poten-tielles économies. Chaque arrêt improductif est horodaté, localisé, et la consommation est mesurée durant tout le temps de l’arrêt. En agissant comme un « nettoyeur » de consommation, ce système appuie en quelque sorte là où ça fait mal, c’est-à-dire sur les « temps moteur allumé véhicule à l’arrêt » (TMAVA).Les suivis de consommation, repor-ting des pleins, monitoring et géolo-calisation deviennent alors de nou-veaux indicateurs pour des clients soucieux de maîtriser leur consom-mation de carburant afin de réali-ser des économies conséquentes.

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UNE BAISSE DE

21,64 %DE LA CONSOMMATIONDE CARBURANT POUR VÉOLIA

100 BREVETSINTERNATIONAUX

DÉPOSÉS

2 007 LITRESDE CARBURANTÉCONOMISÉSSUR UNE ANNÉE


NUMÉRIQUE

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AlertGasoil est le seul outil de me-sure de l’empreinte carbone exis-tant actuellement sur le marché. L’entreprise a été distinguée en 2013 au salon SITL Solutions logis-tiques de Paris. Elle y a reçu le prix de l‘innovation logistique dans la ca-tégorie « Écologistique ». Favorable à l’environnement, la solution, dont le coût pour l’entreprise représente moins de 1 % du poste carburant, se révèle économiquement rentable puisqu’elle rapporte entre 6 et 15 % à chaque client. Là ne s’arrête pas

l’inventivité du système puisqu’il permet aussi d’agir contre le vol de carburant par siphonnage ou à la cuve par différence de remplis-sage, via e-mail ou SMS. En outre, il fournit aux clients une cartographie complète du vol. Après les Français, AlertGasoil séduit logiquement le reste du monde avec la confirma-tion de ses brevets vers plus de soixante destinations et un dévelop-pement en Italie, au Royaume-Uni, en Pologne, en Ouganda, au Gabon, en Côte d’Ivoire et au Vietnam.

ALERTGASOIL OFFRE AUX ENTREPRISES UNE SOURCE

D’ÉCONOMIES SUR SA CONSOMMATION ET DONC SUR SES ÉMISSIONS DE CO2.

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MAÎTRISEDU STOCK

24/7


NUMÉRIQUE

DEVISUBOX SURVEILLE LES CHANTIERS

DEVISUBOX EST LE LEADER FRANÇAIS DES SOLUTIONS DE SUIVI VISUEL DE CONSTRUCTION. L’ENTREPRISE BÉNÉFICIE D’UNE EXPÉRIENCE DE 1 500 CHANTIERS ET D’UNE CROISSANCE ANNUELLE DE 100 % DEPUIS TROIS ANS. SON AMBITION : ÉQUIPER 20 % DES CHANTIERS DE CONSTRUCTION FRANÇAIS ET DE DEVENIR LE LEADER EUROPÉEN SUR CE MARCHÉ.

La société Devisubox, créée en novembre 2006 par deux ingénieurs passion-nés de nouvelles technolo-

gies et de photo, est aujourd’hui ins-tallée au Pôle média de la Belle de Mai. En huit ans, elle est devenue, avec des moyens initiaux réduits, le leader français des solutions de sui-vi visuel de construction. Un marché qui n’existait pas et que les initia-teurs ont créé.

Devisubox, un précurseur devenu leader

À l’origine, les solutions proposées, reposant sur une alimentation et une télécommunication filaires, étaient trop complexes à installer et trop chères pour être commercia-lisées. Devisubox a innové en créant un boîtier autonome sans fil. Solaire et 3G, pouvant être installée en moins d’une heure, cette innovation a ouvert la voie au développement du suivi automatisé des chantiers. Grâce à des boîtiers Nikon de 10 à

24 millions de pixels entrés dans les caissons, les prises de vue peuvent être programmées à des cadences multiples selon les heures ou les jours. Ce qui a permis, par exemple, à L’Oréal de régler un litige avec un de ses clients sur un chantier au Caire. Mais surtout, Devisubox propose aujourd’hui à ses clients un savoir-faire audiovisuel unique pour restituer en quelques minutes la construction des ouvrages dans un film professionnel. Des time-lapses qui génèrent de l’emploi, car la start-up intègre nombre de métiers en lien avec son domaine d’activité. Deux cents chantiers sont actuellement placés sous surveil-lance photographique.

Innover sans cesse

L’entreprise trouve ses origines dans un projet de boîtier photo pour le suivi de la construction de maisons individuelles. Le projet évolue en 2011 avec une version grand compte qui intègre un appa-

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1 500CHANTIERS AU TOTAL

EN 3 ANS

2 0 0 CHANTIERSACTUELLEMENT

PRÉSENCESUR 4 CONTINENTS


NUMÉRIQUE

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reil photo reflex. Il connaît un grand succès et convainc une dizaine de sociétés du CAC 40 et de grandes métropoles, ainsi que l’association Alumni Business Angels, qui lève des fonds à la fin de cette an-née-là. Après avoir mis au point une version stable du boîtier Devisubox, les efforts portent en 2014 sur les outils d’intégration de cette techno-logie, la mise en valeur du contenu des constructions, l’industrialisation de la solution et l’internationalisation de l’offre, déjà présente sur quatre

continents. Devisubox emploie au-jourd’hui une dizaine de personnes aux compétences pluridisciplinaires, réalisant en interne l’ensemble du cycle produit : conception méca-nique, électronique et logicielle ; fa-brication et assemblage ; installation et service après-vente ; intégration multimédia et production audiovi-suelle. Depuis la commercialisa-tion du boîtier Devisubox en 2010, la société double chaque année son chiffre d’affaires, qui a atteint 830 000 euros en 2013.

DEVISUBOX INTERVIENT SUR UN MARCHÉ QUI N’EXISTAIT PAS

ET QUE LES INITIATEURS ONT CRÉÉ.

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830 000 EUROSDE CHIFFRE D’AFFAIRES

EN 2013


NUMÉRIQUE

GEMALTO CRÉATEUR DE CONFIANCE

NUMÉRIQUEGEMALTO EST DEVENU EN QUELQUES ANNÉES LE LEADER

MONDIAL DE LA PROTECTION, DE LA VÉRIFICATION ET DE LA GESTION DES IDENTITÉS ET DES INTERACTIONS NUMÉRIQUES. L’ENTREPRISE COMPTE AUJOURD’HUI 12 000 COLLABORATEURS POUR UN CHIFFRE D’AFFAIRES DE 2,4 MILLIARDS D’EUROS EN 2013.

Gemalto est né en 2006 de la fusion entre Gem-plus, inventeur de la carte à puce, et Axalto. Son

ambition est d’établir des relations de confiance dans un monde de plus en plus connecté. Pour cela, la société offre à des millions de personnes la possibilité de profiter pleinement de leur vie numérique et la liberté de communiquer, voyager, acheter, réaliser des transactions bancaires, se divertir et travailler de façon pratique et en toute sécurité. Aujourd’hui, des milliards d’objets sécurisés sont embarqués, comme les cartes UICC, les cartes ban-caires, les jetons, les passeports ou les cartes d’identité électroniques. Gemalto conçoit et déploie des lo-

giciels et services permettant de les gérer et surtout de protéger les données confidentielles qu’ils contiennent, sur l’ensemble du cycle de vie des produits. Ses clients (ad-ministrations, opérateurs mobiles, banques et institutions financières, opérateurs de transport, etc.) sont répartis dans 190 pays.

Un succès international

Présent dans 44 pays, Gemalto emploie plus de 12 000 salariés travaillant depuis 85 bureaux et 25 centres de recherche et dévelop-pement logiciel. L’entreprise connaît une croissance exponentielle et a été distinguée par plusieurs titres. Récemment, elle a été classée par

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12 000COLLABORATEURS

PLUS DE 110S I T E SDANS 44 PAYS

25 CENTRESDE RECHERCHEET DE DÉVELOPPEMENT

LOGICIEL


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ABI Research leader sur le marché des services gouvernementaux et a acquis SafeNet, le numéro un amé-ricain des transferts électroniques interbancaires.Gemalto a adhéré au pôle de com-pétitivité Solutions communicantes sécurisées (SCS) dont le président est depuis 2013 Alain Sigaud, se-nior vice-president de Gemalto. Ayant plusieurs de ses sites dans

la région PACA, Gemalto a éga-lement ouvert ses installations à la plate-forme technologique mu-tualisée Com4Innov dédiée aux réseaux de communications 4G, LTE, IMS, M2M. Com4Innov dis-pose désormais d’un deuxième centre d’expérimentation, véritable laboratoire pour les services de de-main, grâce au leader mondial de la sécurité numérique.

GEMALTO OFFRE À DES MILLIONS DE PERSONNES LA POSSIBILITÉ

DE PROFITER PLEINEMENT DE LEUR VIE NUMÉRIQUE.

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2,4 MILLIARDSD’EUROSDE CHIFFRE D’AFFAIRESEN 2013

1,5 MILLIARDD’UT I L I SATEURS

COUVERTS


NUMÉRIQUE

JAGUAR NETWORKCOFFRE-FORT DE DONNÉES

CRÉÉ EN 2001, JAGUAR NETWORK RÉPOND À UN BESOIN EXPONENTIEL D’HÉBERGEMENT ET DE CLOUD COMPUTING. L’ENTREPRISE AFFICHE UNE CROISSANCE DE PLUS DE 465 % SUR LES CINQ DERNIERS EXERCICES AVEC UN CHIFFRE D’AFFAIRES QUI EST PASSÉ DE 8,6 MILLIONS D’EUROS EN 2011 À 16,7 MILLIONS D’EUROS EN 2013.

Pour Kevin Polizzi, le PDG de Jaguar Network, l’ex-ternalisation des données informatiques vers des

centres de proximité constitue une tendance durable. « Les PME ont compris que cette option leur reve-nait moins cher. Cependant, c’est un paradoxe étonnant du cloud com-puting, la plupart veulent conserver leurs données près d’elles et récla-ment un service “humain”. Un data center n’est pas qu’un immeuble avec des équipements ! »

Un secteur en pleine expansion

Confiant, l’entrepreneur de 32 ans a investi 12 millions d’euros sur un site de 8 000 m2 situé dans un bâtiment en zone franche de l’Estaque à Mar-seille. Ouvert en 2013, le site, centre névralgique d’une expertise globale en télécommunication et unique data center « tiers IV » à Marseille, sécurise les accès aux serveurs par caméras, badges et codes. Parmi les 900 clients figurent des institu-

tions et des marques prestigieuses comme Allopneus.com, Neopost ID, Sony Pictures, Capgemini, Voyage-prive.com, Cdiscount.com, L’Oréal, le Club Med, Veolia ou encore RMC - BFMTV. Il s’agit de les accompa-gner dans leur développement et de les aider à structurer leurs projets de croissance tout en leur assurant confidentialité et sécurité.

Un service complet pour les entreprises

Jaguar Network est dorénavant en mesure de couvrir la quasi-totalité des besoins de sa clientèle en ma-tière d’hébergement (sur serveurs mutualisés, serveurs personnels ou en virtualisation, par stockage sécu-risé grâce à des fermes de disques synchronisées) en assurant une présence dans trente data centers de grandes villes du monde entier. L’entreprise a en plus enrichi son panel de services avec un statut d’opérateur télécoms, des services d’interconnexion de réseaux et des accès à internet professionnels

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C H I F F R ED’AFFAIRES16,7 MILLIONSD’EUROS EN 2013

700C L I E N T S30 DATACENTERS

PLUS DE 1 000 BAIES

ET 10 000SERVEURSDONT 1 000 INFOGÉRÉSHÉB ERGÉS


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couplés aux périphériques que sont les firewalls, les messageries et les antispams. Jaguar Network se classe au troisième rang des opéra-teurs IP français et 187e opérateur mondial. Avec une intolérance af-fichée à la panne puisque l’entre-prise garantit un temps d’interven-tion de dix à trente minutes pour un temps de rétablissement de deux à quatre heures.

Jaguar Network a été récompensé pour la quatrième année consécu-tive par le Technology Fast 50 de Deloitte, trophée décerné aux entre-prises technologiques les plus per-formantes. La société, dont la crois-sance a été jusqu’ici exclusivement financée sur fonds propres, dispose d’agences à Paris, Sophia-Antipolis et Genève.

JAGUAR NETWORK A ÉTÉ RÉCOMPENSÉ POUR LA QUATRIÈME

ANNÉE CONSÉCUTIVE PAR LE TECHNOLOGY FAST 50 DE DELOITTE, TROPHÉE DÉCERNÉ AUX ENTREPRISES TECHNOLOGIQUES LES PLUS PERFORMANTES.

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UNE CROISSANCE DE

465 %EN 5 ANS


NUMÉRIQUE

MONSHOWROOMLA MODE À PORTÉE DE CLIC

MONSHOWROOM.COM, S ITE DE PRÊT-À-PORTER INCONTOURNABLE POUR TOUTE FASHIONISTA, EST L’UNE DES RÉUSSITES QUI SYMBOLISE LA CRÉATIVITÉ ET L’ESPRIT D’ENTREPRENDRE DU TERRITOIRE AIX MARSEILLE PROVENCE.

Créé en septembre 2006, Monshowroom s’impose comme le leader de la vente en ligne des collections de

prêt-à-porter et d’accessoires. Le concept : délivrer la meilleure expé-rience shopping sur la toile et mettre la crème des magazines de mode à portée de clic. Monshowroom offre ainsi un large choix de nouvelles col-lections sélectionnées par ses sty-listes et se situe à l’opposé des sites de ventes privées, qui proposent uni-quement des anciennes collections à prix discount. Environ 15 000 références sont disponibles chaque saison, et plus de 270 marques réparties sur trois espaces : « Femme », « Homme » et « Enfant ». Résultat, le site en-registre plus de 500 000 visiteurs uniques et a atteint le seuil de la rentabilité en seulement dix-huit mois : un modèle de succès.Cette mode déclinée sous forme de clics a changé le regard sur les achats en ligne. À l’origine, deux jeunes femmes passionnées de mode, Séverine Grégoire et Chloé Ramade. Elles font le constat que

les créateurs parisiens sont introu-vables à Marseille. Et qu’il faut bien y remédier. D’où l’idée de créer une société de vente de vêtements en ligne. Avec leurs économies (56 000 euros et un prêt d’hon-neur de la ville de Marseille), elles achètent les premiers vêtements et proposent aux clientes de se les procurer sitôt qu’elles les ont repé-rés dans la presse féminine.

De nouvelles opportunités

Pour développer une structure déjà bien lancée, les deux jeunes femmes font ensuite appel aux business angels de l’association Provence Business Angels, qui lève 200 000 euros de fonds dé-but 2007. Le succès est au ren-dez-vous : le chiffre d’affaires pro-gresse de 100 % chaque saison. Suit une seconde levée de fonds de 4,3 millions d’euros par Alven Capital et Crédit agricole Private Equity. Puis un déménagement d’Aubagne à Carnoux, où travaillent aujourd’hui une trentaine de salariés. Pour cer-taines marques, Monshowroom est

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2006CRÉATION DU SITE

PLUS DE500 000VISITEURS UNIQUES

PLUS DE 270MARQUESSUR 3 ESPACES

F E M M E ,H O M M E ,ET ENFANT


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devenu leur plus gros distributeur en France avec un important turno-ver de produits et un suivi au plus près de l’actualité pour coller aux tendances d’une nouvelle forme de commerce répondant aux besoins de la société. Comme la création de « Mon Fashion Depot » qui per-met à la clientèle de mettre en ligne ses propres articles « en deux

clics » et d’éventuellement trouver en retour la perle rare qui manque à ses collections. La sécurité est garantie par la validation de l’au-thenticité de chaque article mis en vente et la livraison est offerte sans minimum d’achat. Simple et inci-tatif, MonShowroom garde depuis huit ans un temps d’avance sur la concurrence.

POUR CERTAINES MARQUES, MONSHOWROOM EST DEVENU

LE PLUS GROS DISTRIBUTEUR EN FRANCE AVEC UN IMPORTANT TURNOVER DE PRODUITS.

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15 000RÉFÉRENCESDISPONIBLESCHAQUE SAISON


NUMÉRIQUE

LE PÔLE MÉDIA DE LA BELLE DE MAI, MANUFACTURE NUMÉRIQUE

LE PÔLE MÉDIA DE LA BELLE DE MAI EST UN ESPACE UNIQUE DE 120 000 M², QUI REGROUPE START-UP, GRANDS GROUPES INTERNATIONAUX, CONCEPTEURS, DÉVELOPPEURS ET DIFFUSEURS DE PRODUITS, DE SERVICES ET DE SOLUTIONS.

Ce site réhabilité est de-venu le lieu de conver-gence entre les contenus et les technologies, entre

les auteurs et les développeurs. Au-delà des espaces, des équipe-ments et des outils qu’il propose aux professionnels du secteur, le Pôle média de la Belle de Mai est devenu le point de rencontre et de rayonnement d’une communauté d’intérêts aux cœurs de métier et projets divers.

Une pépinière de talents

En favorisant la visibilité et l’acces-sibilité des compétences dévelop-pées dans la région sur une chaîne de valeur complète, il joue le rôle essentiel d’accélérateur d’innova-tion. En effet, au sein de l’ancienne Manufacture des tabacs, divisée en trois bâtiments (le Pôle patrimoine, le Pôle média et la Friche) lors de sa réhabilitation en 2004 par la ville de Marseille, se nouent des relations propices à l’inventivité.

Trois pôles pour trois univers créatifs

Le Pôle patrimoine regroupe plu-sieurs entités sur 52 000 m². Le Centre interrégional de conserva-tion et de restauration du patrimoine (Cicrp) intervient sur la recherche, la préconisation et l’engagement de mesures et de techniques inno-vantes en matière de restauration d’œuvres d’art, issues notamment du musée du Louvre ou du château de Versailles. L’Institut National de l’Audiovisuel (l’INA) Méditerranée collecte, conserve et exploite les programmes des radios et télévi-sions publiques régionales, afin de promouvoir et de diffuser la mémoire audiovisuelle de la région et de la Corse. L’INA Méditerranée coopère également avec les détenteurs d’ar-chives nationales de télévisions du pourtour méditerranéen, en vue de la création d’une base documen-taire euroméditerranéenne. Enfin, les Archives de la ville de Marseille rassemblent, protègent et valorisent

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6 0 0EMPLOIS CRÉÉSPOUR LE PÔLE MÉDIA

UN ESPACE DE120 000 M2


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les documents et collections qui racontent les 2 600 ans d’histoire de la plus ancienne cité de France. La Friche, installée sur 45 000 m², concentre la création contemporaine avec l’objectif de réinscrire l’artiste au cœur de la ville via 500 événements organisés chaque année. Soixante structures y sont représentées avec 400 professionnels, un studio de ré-pétition, un restaurant librairie, des espaces de bureaux et plusieurs salles de spectacle.Le Pôle média, organisé sur 23 000 m², est un cluster rassem-blant les professionnels des filières régionales de l’audiovisuel et du ci-néma, de l’animation, du jeu vidéo, de l’Internet et du multimédia, du bu-reau du cinéma de Marseille et de

structures d’aide à la création et au développement d’entreprises (Incu-bateur Multimédia, Marseille Inno-vation). Une soixantaine de sociétés ont trouvé là un lieu favorable à leur croissance et à la création d’emplois. Ce troisième îlot de la Belle de Mai s’est imposé comme le lieu privilégié de toutes les activités de l’image, du son et du multimédia. Créés et gérés par Groupe TSF, Groupe Image, Films du Soleil, les studios de Marseille accueillent quotidiennement le tournage de la série culte Plus belle la vie, pro-duite par France 3 et TelFrance, et une télévision locale, La Chaîne Marseille (LCM), pour une au-dience moyenne plus de 5 millions de téléspectateurs.

CE SITE EST DEVENU LE LIEU DE CONVERGENCE ENTRE LES

CONTENUS ET LES TECHNOLOGIES, ENTRE LES AUTEURS ET LES DÉVELOPPEURS.

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4 PLATEAUXDE TOURNAGES

50 ENTREPRISES

CRÉÉES


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HIGHCO À LA POINTE DE LA CONSO

EN 1990, UNE START-UP D’UN GENRE NOUVEAU VOIT LE JOUR DU CÔTÉ D’AIX-EN-PROVENCE, SUR L’INITIATIVE D’UNE POIGNÉE DE JEUNES ENTREPRENEURS VISIONNAIRES. HIGHCO VA OFFRIR AUX GRANDES ENSEIGNES DE LA DISTRIBUTION ET AUX MARQUES DE GRANDE CONSOMMATION DES SOLUTIONS MARKETING POUR CONQUÉRIR ET FIDÉLISER LES CLIENTS.

L’idée de départ est simple : trouver pour les annonceurs un vecteur de communication ori-

ginal à même d’influencer effica-cement les consommateurs. Cam-pagnes promotionnelles, systèmes de fidélisation, animations, flyers, échantillons et surtout coupons de réduction sont les premiers outils mis en avant par la jeune société alors dirigée par Frédéric Chevalier. Sa clientèle attire rapidement de grands groupes (Auchan, Carrefour, Casino, Système U, Leclerc…) et des marques prestigieuses (Da-none, Nestlé, Unilever, Coca Cola, Colgate…). Le développement est rapide, ex-ponentiel, et les solutions se mul-tiplient, toujours plus ciblées et technologiquement à la pointe. Dès 1996, le titre est introduit en Bourse

sur le nouveau marché d’Euronext. Trois ans plus tard, WPP, un des leaders mondiaux de la communi-cation, prend une participation de 34,1 % du capital.

Le premier acteur national du couponing sur mobile

Aujourd’hui, HighCo est le premier acteur national pour le couponing sur mobile dans le secteur de la grande consommation. Sous l’impulsion de Richard Caillat, les compétences se sont diversifiées, vers le clearing et la communica-tion notamment.L’activité actuelle vise toujours à influencer le comportement des acheteurs et à cibler les opéra-tions, en développant les solutions numériques drive to store (susciter la préférence pour une marque

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19 9 9CRÉATION DE L’ENTREPRISE

900COLLABORATEURS

CHIFFRE D’AFFAIRES 2013

133,06MILLIONS D’EUROS


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ou une enseigne), en consolidant les solutions in store (augmenter les ventes dans les magasins et en ligne) et en optimisant l’analyse des données (affiner la connaissance des consommateurs). De quoi mettre en place un système économique vertueux reposant sur la bonne offre,

au bon moment, sur le bon canal, et ambitionner de décrocher la place de leader européen des solutions marketing intelligentes. Avec en ligne de mire, le renforcement des axes stratégiques : l’international et le numérique. HighCo est aujourd’hui présidé par Didier Chabassieu.

HIGHCO EST AUJOURD’HUI, LE 1ER ACTEUR NATIONAL POUR LE

COUPONING SUR MOBILE DANS LE SECTEUR DE LA GRANDE CONSOMMATION.

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PRÉSENCE DANS

15 PAYS


L’E-TICKET pour visiter la tour Eiffel ou le château de Versailles est émis à Marseille.

LA CARTE À PUCE est née à Gémenos. Depuis Aix Marseille Provence, LE LEADER MONDIAL DE LA SÉCURITÉ NUMÉRIQUE veille sur des milliards de données sensibles à travers le monde.

SURVEILLER JUSQU’À 200 CHANTIERS en temps réel, c’est possible grâce à une innovation marseillaise.

Il est désormais possible de s’offrir DES VACANCES DE RÊVE SANS SE RUINER grâce à une entreprise made in Aix Marseille Provence.

Sony Pictures, Capgemini, France Télévisions, Cdiscount, L’Oréal, le Club Med ou encore RMC-BFM TV confient LA GESTION DE LEURS DONNÉES à une entreprise du territoire.

LE LEADER FRANÇAIS DE LA VENTE DE TÉLÉPHONES mobiles en ligne est installé en Provence.

dossier de presse - massilia mundi · 1,5 milliard d’utilisateurs sont couverts par les solutions...

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