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Livinhac Le Haut, le Lot - IMG_5098_Web
V0 23/06/2016
Compostelle
Etape 13 : Conques – Livinhac Le Haut
23 juin 2016
Profil randonneur
Vit. montée 300 m/h
Vit. descente 400 m/h
Vit. plat 4 km/h
Longueur 23,400 Km
Dénivelé + 870 m
Dénivelé - 930 m
Durée 8h 00
Alt. Max 630 m
Alt. Min 193 m
Carte IGN TOP 25 2338 E - Marcillac/Vallon/Conques (Gps) Carte IGN TOP 25 2338 O - Decazeville (Gps)
Parcours : Le départ à lieu devant l’Abbatiale Sainte-Foy, prendre sur la gauche la rue Charlemagne en suivant le balisage GR, passer à la porte du Barry, peu avant la D901 prendre la ruelle en descente sur la gauche, traverser le Dourdou sur le pont des pèlerins, continuer sur la D232. Après 200 m dans une épingle quitter la D232 pour prendre le sentier qui part en montée sur la gauche, ce sentier croise à nouveau la D232 avant d’atteindre la Chapelle Sainte-Foy. Depuis la chapelle, le sentier continue en montée puis la pente devient moins rude, le sentier devient piste et chemine à travers prés et champs. La piste atteint une petite route. C’est le point « variante N°1 » (à noter que contrairement aux anciens documents l’itinéraire officiel à savoir le GR65 est celui qui part sur la gauche direction Ouest-Sud-Ouest alors que la variante a savoir le GR6 part sur la droite direction Ouest-Nord-Ouest). Prendre donc sur la gauche le GR65 direction Noailhac, après 300 m prendre la route goudronnée sur la gauche, la suivre sur 1,5 km environ pour atteindre la D606, suivre la D606 et peu avant Noailhac croiser la D580, traverser le village pour emprunter à la sortie du village le chemin de procession sur la droite. Ce chemin conduit à la chapelle Saint-Roch où l’on retrouve la D580. Suivre la D580 (en empruntant par moment quelques petits sentiers notamment avant l’aire de Fonteilles) pour atteindre l’aire Fonteilles. Depuis l’aire Fonteilles, parcourir 200 m environ sur la D580, au point Variante 2 (point d’arrivée de la Variante 1 et point de départ de la Variante par les crêtes qui évite Decazzeville) emprunter la piste qui part sur la gauche. Poursuivre à travers champ sur cette piste durant 1,5 km environ, la piste croise une route et permet d’atteindre Laubarède. Depuis Laubarède continuer sur cette route jusqu’ Vivioles ; ne pas prendre les routes qui partent sur la gauche, continuer en suivant le balisage du GR. Traverser Decazeville en suivant toujours le balisage GR, arrivé à la D963 l’emprunter sur la droite puis après quelques dizaine de mètres prendre la route de Nantuech en montée sur la gauche. Parcourir 1,25 km sur la route de Nantuech puis prendre la voie qui part en montée sur la gauche, le chemin de Boutigou, après un carrefour il conduit à la D157, route de Saint Roch qui passe à proximité de la chapelle éponyme. Emprunter la D157 sur 1 km environ, au niveau du hameau Bégot prendre le sentier qui part en descente sur la droite, il descend à travers bois et conduit en bordure du Lot. Traverser le Lot par la D21 que l’on suit avant d’emprunter un rue sur la gauche pour atteindre la place de l’église.
Cette étape est longue et assez dure avec près de 900 m de dénivelée. La montée depuis Conques, à travers bois, bien qu’assez raide traverse une zone boisée avec un passage intéressant à la chapelle Sainte-Foy et une vue sur Conques de toute beauté. Tout au long de l’itinéraire, les passages à travers près et bois sont toujours très pittoresques, la chapelle Saint Roch mérite que l’on s’y arrête, mais l’itinéraire décrit plus bas comprend un peu trop de voies goudronnées. La variante N°1 (alternative à Noailhac) comprend plus de zones champêtres ; la variante N°2 (dite chemin des crêtes) doit être plus agréable que la voie qui traverse Decazeville ; cette traversée est sans grand intérêt et rajoute de la dénivelée au parcours. L’arrivée à Livinhac le Haut avec vue sur le Lot récompense les efforts de la journée.
Balade vue en plan (d’après trace GPS)
Départ
Conques
Noailhac
Chapelle Sainte- Foy
Point Variante 01
Chapelle Saint-Roch
GR6
GR65
Aire Fonteilles
Point Variante 02
Séparation des GR62B – GR65
Point eau En terrasse
D606
D606
D580
D901
D580
1,0 Km
Balade vue en plan (d’après trace GPS)
Arrivée
Livinhac-le-Haut
Decazeville
Séparation des GR62B – GR65
Pique-nique
Point eau
Chemin des crêtes
Vivioles
Laubarède
Chapelle Saint Roch
Bégot
1,0 Km
Balade vue en Coupe
Départ Conques
292 m
Chapelle Sainte-Foy
389 m
Point Variante 01
540 m
Arrivée Livinhac
214 m
Noilhac 521 m
17h 00 10h 45 08h 20 09h 35 14h 00
13h 30 15h 00 12h 20
Point Variante 02 573 m
Aire Fonteilles 560 m
Pique-nique
23,400 km 0,000 km 6,570 km 11,000 km 2,370 km 18,300 km 15,300 km
Decazeville 207 m
Chapelle Saint Roch
594 m
Balade Départ
Départ
Conques
GR 65
D901
Pont des pèlerins ou Pont des Roumieux
sur le Dourdou
Porte du Barry
Livinhac
Arrivée 214 m
Vue Google 3D
N
Départ 292 m
Conques
Chapelle Ste Foy
389 m
Point Variante 01
540 m Decazeville
207 m
Chapelle Saint Roch
594 m
Noailhac
521 m
Point Variante 02
573 m
Hébergement Chambres d’hôtes « Sur le chemin...» à Livinhac le Haut
« Bar restaurant de la Mairie » à Livinhac le Haut
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Accueil/installation Bon accueil. S’adresser à la "Boucherie Gleyal" sauf dimanche et lundi, les sacs doivent être laissés dans le couloir. Gîte central, agréable. Locaux Les locaux sont très bien équipés, chambre bien préparée, spacieuse, équipée de wifi, télévision grand écran plat, salle de bain avec douche, WC, sèche-cheveux et tout les nécessaires de toilette. Le repas retenu par la gestionnaire du gîte est pris au restaurant voisin, le petit déjeuner est servi dans une salle du gîte.
Repas
Assiette complète Entrecôte
Salade verte, Taboulé, riz
-------- Crumble aux pommes
-------- Carafe vin rouge
Coûts
Gîte 56,5 € Nuitée Petit déjeuner Repas 17,5 €
Petit déjeuner
Café au lait, thé ou chocolat, jus d’orange, pain, beurre, confiture.
Arrivée
A partir de 16h00
Toponymie Decazeville TOPONYMIE DU PAYS D'OC - Jacques SERBAT, Conseiller Pédagogique Occitan Decazeville (Ville de Decazes, portant le nom du ministre de la Restauration : ancien nom La Sala). C'est le Duc Decazes qui donna son nom à cette ville minière, d'exploitation à ciel ouvert ; le charbon était transporté à Bordeaux par le Lot depuis le XVIe siècle.
Livinhac http://www.livinhac-le-haut.fr/infos/histoire-161.html C'est à partir d'un nom gallo-romain Lévinius que se serait formé le nom Livinhac à travers les âges. La « villa » (ou le domaine) s'appelait alors Levianiacum. Le suffixe « ac » est l'héritage gaulois « accos », latiné en 'acum. En 949, notre village portait le nom Léviniago dans le cartulaire de Conques. L'orthographe de notre village, s'est écrit aussi Lévignac (avant la Révolution). La désignation le « haut » fut ajoutée pour différencier notre village avec Livinhac le bas, en aval de Capdenac, lui aussi sur le Lot. Le Bournac est aussi d'origine gallo-romain (Burnacum : du gaulois Burnus), à voir aussi le lieu dit Chaunac. Le lieu dit Marcenac tient son nom des seigneurs, venus du nord de l'Aveyron. Ces terres s'appelaient avant 1328 : Sahuguière.
Les Fonteilles http://rad2000.free.fr/glosno71.htm Font. texte. (a) Dans le Forez et dans bien d’autres régions, une <Font> désigne une source naturelle ou une fontaine aménagée.
Noailhac http://www.pays-de-bergerac.com/pages/occitan/toponymie/Quand-nos-ancetres.asp http://noailhac.a3w.fr/Main.aspx?numStructure=40077&numRubrique=33439
Le nom NOAILHAC a une origine gallo-romaine: "novale" du latin "novalis", qui signifie terre nouvellement défrichée. http://www.tourisme-aveyron.com/diffusio/fr/visiter/patrimoine/noailhac/noailhac_TFO254675770076.php
L'origine du nom "Noailhac" provient du latin Novalis, "nouveau" désignant une terre nouvellement défrichée. La dérivation en-acum ajoute l'idée d'unité agricole (terres mises en culture). Aujourd'hui encore, l'implantation de l'activité agricole reste fondamentale pour la commune qui compte une vingtaine d'exploitations : polyculture, pâturages, vignes, élevage bovins, ovins, caprins et porcins.
Laubarède http://www.sudouest.fr/2015/05/11/les-noms-de-lieux-en-perigord-1917229-1713.php Cette semaine, Jean-Claude Dugros a décidé de parler de l'Alba (promenade de l'Alba, quai de l'Alba à Bergerac). Alba vient de l'occitan albar, « saule blanc ; viorne aubier ; peuplier blanc ». En toponymie occitane, c'est le saule blanc qui est principalement représenté. L'albar et ses dérivés sont très fréquents dans les lieux-dits. Pour la Dordogne, ont été relevés (liste non exhaustive) : l'Alba (forme ancienne l'Albar), l'Albarède (« saulaie »), les Albarèdes (idem, pluriel) et l'Albaret (idem). Parmi les formes nord-occitanes (avec vocalisation classique du « l » en « u »), on trouve : Laubarède, l'Aubarède, la commune d'Aubas et celle de Saint-Martial-d'Albarède (près d'Excideuil, Sent Marçau d'Aubareda).