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Mateijka L. Utilisation de i’information sur fes brevets dans un institut de recherche tchecoslovaque. world

Parent Information 3, (3), loO- 102.

L_e present article d&it les services d’information SW les brevets en Tchecoslovaquie et I’utilisation qui est faite de cette information dans le domaine de la recherche appiiquee et par les services des brevets dans la pratique. Les diverses possibilites existent aux niveaux central, regional et dans I’industrie sont examin&.

Thomsen E. Ace& i I’information et a la documen- tation en matiere de brevets dans les bibliotheques publiques de brevets. World Patent Information 3, (3) 103-109.

L’article resume les rtsultats d’une etude effect&e en 19X0 pour la Commission des Communautes europeennes.

Cette itude avait pour objet d’analyser I’organisation des biblio- theques publiques de brevets existantes et SW cette base, complette par des entretiens avec des experts en matiere d’information sur ies brevets, de preparer des recommandations pour I’amelioration de I’acds a I’information sur les brevets dans les bibliotheques pub- hques de brevets.

En plus de la Science Reference Library de Londres, des biblio- theques de brevets et des centres d’information sur les brevets de Nuremberg, Liverpool, Lyon. Strasbourg et Toulouse. I’auteur a visite les ofhcesdes brevets de la Republique fed&ale d’Allemagne et de la France ainsi que I’Office europeen dcs Brevets.

Les princtpaux probltmes relcves sont les suivants: determination des besoins des utilisateurs, ampleur de la documentation nicessaire, campagnes de pubhciti, emplacement des centres d’information sur les brevets. organisation des centres et recrutement de leur personnel.

L’itude complete deux enquites anterieures tinancees par la Com- mission, /%ay&te reitiriue 0lt.x usugers Bes bibiiorht+es pttbiic[ues & brews et /‘&rude rie ~‘~ri~~~~f?jon rrcruelie rr frrfure Je Iii ~jff~~~~~z~r~ brevets.

Kataoka H. Classification Internationale des Brevets du point de vue des utilisateurs japonais. Worki Parenr

Information 3 (3), 1 lo- 113.

Atin de clarifier les regles relatives a la Classification tnternationale des Brevets (CIB), r’O&e japonais des Brevets a pubhe une norme de travail dont le contenu est dicrit britvement dans cer article.

Dans certains groupes selectionnts, I’OfIice japonais des Brevets utilise une subdivision de la CIB appelee “Developing Marks” (Notations approfondies)~ darts d’autres, une classification speciale fond&z sur un principle autre que celui de la CIB, appelee “Facet Classification Marks” (Notations de regroupement). est utilisee parallelement a la CIB.

Enfin,ilest fait &at de quelques propositronsjaponaises relatives 3 la Cl. Int.‘.

Steffek R. Traductions au tours de la procedure de dllivrance des brevets europeens. World Parer~t Infor-

mation 3 (3), 114- 119.

Cet expose donne un apercu des rtgles posees par la Convention sur le brevet europeen (CBE) et par les legislations des divers Enits

contractants en ce qur conceme I’obligation de produire des traductions &rites au tours de la procedure de d4ivrance des brevets europeens. II etablit une distinction entre les traductions a deposer directement auprts de I’OfIice europeen des brevets et celles qui peuvent itre exigees par les offices nationaux des Etats contractants B certains stades de la procedure.

Chasen L. Gestion des brevets par I’entreprise : r6le du biblioth~caire/do~umentaiisteindustriel. World Patenr

~~~o~~~~~on 3 (3), 120-127.

La presenceetude Porte essentiellement sur la gestion des brevets par I’entreprise aux fins de l’information technique. Le bib- iioth~caire/documentaliste, qui est rarement I’utilisateur direct des brevets, devrait prendre connaissance de la richesse des donnees disponibles sur les brevets, Des transfertsde technologie peuvent itre realiis par l’ingtnieur ou le chercheur si celui-ci dispose de tomes les informations offertes par le bibliothecaire/documentaliste en re- ponse a une demande de recherche. La General Electric Company offre un exemple de gestion des brevets par l’entreprise ehe-m&w L’auteur a effect3 deux enquetes, dont l’une aupres des grandes ecoles de bibliothtcaires/documentalistes, auxquelles il a demande si le programme d’etudes dun bibliothecaire/documentaliste sp&ialii- comportait des tours d’information sur les brevets. La seconde enquite s’est adress& a plusieurs dizaines de grandes bjbI~oth~ques industrielles aux Etats-Unis, et elle a Porte sur le traitement et la gestion des brevets. Les resultats de ces enquetes sont exposes dans I’etude. Bien que les Etats-Uniscomptent plusde trente depositaires de brevets, le bibliothCcaire,/documentaliste moyen ne fait pas appel a tow

L’enquete a indique que dans certain cas qu’il ignorant ces sources d’information.

L’etude dtcrit plusieurs brevets cli de la General Electric Company. sur lesquels des informations peuvent etre recherchees en bibliil- theque. notamment le brevet sur lesdiamantsartificiels. Les systemes de recherche documentaire en ligne par lesquels la NASA et le DTIC fournissent des donnees sur les licences d’exploitatwn des brevets, sont un exemple des sources ~nformatlon auxquelles peut avotr recours le bibliothecaire documentahste specialise danc I’aerospatiale.

En conclusion, l’etude donne un apercu des techniques de recherchr documentaire sur les brevetset lesdemandes de brevet qu‘utrliseront les biblioth~ques en general et les biblioth~ques special&es at ant le debut du prochain siecle.

PoIIick P. J. Traitement des donnles biblio~raphiques sur les brevets au Chemical Abstracts Service. World

Patent information 3 (3), 128-131.

Le Chemical Abstracts Service (CAS) s’occupe de l’lnformatit~~ stir les brevets concemant la chimie depuis sa creation en 1907. Depui,, lors, la littirature sur les brevets a subi de nombreux changements et le CAS s‘est elIor& de tenir compte de ces changements pour nrieux repondre aux besoins de ses utilisateurs en matitre d’information SW les brevets. L’un des pro& marquants a Pte la signature dun accord 2 long terme avec I’intemationai Patent Documentation Center (INPADOC) sur un fichier archive de donnees bibliographiyues exploitables par ordinateur et des bandes hebdomadaires de mise a jour. L’article examine lesevenements qui ont conduit 2 la sign,iture de cet accord avec INPADOC. la faGon dont le fichrer archive INPADOCet les band% he~omadaires sent utihses pour .selecriIliI- ner les documents du domaine de la chimie et determrner les brrie!\ mitiaux et apparentes. ainsi que le format du nt>uve;iu Reeistrc Jex brevets derive des donnees INPADOC et qui .i ere ,nirc,<i,:nr tw: ‘:’ CAS en janvier 19Rl