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L’Orchestre et le Chœur Lamoureux au Théâtre des Champs-Elysées, janvier 2016

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O R C H E S T R E L A M O U R E U X

L ’Orchestre Lamoureux est un orchestre symphonique parisien associé au Théâtre des Champs-Elysées et en résidence à la Mairie du IVe arrondissement de Paris. Il compte 85 musiciens titulaires, recrutés sur concours ; il est subventionné par la Ville de Paris

et la DRAC Ile-de-France.

Fondé en 1881 par Charles Lamoureux sous le nom de « Société des nouveaux Concerts », il devient orchestre associatif en 1897, et est reconnu d’utilité publique à partir 1961.

Charles Lamoureux était un grand admirateur de la musique de Richard Wagner, entre autres. Ce n’est donc pas un hasard si c’est à l’Orchestre Lamoureux que l’on doit d’avoir entendu en France, pour la première fois, Lohengrin : c’était en 1887, dans une version de concert donnée à l’Eden Théâtre (en lieu et place de l’actuel Athénée Théâtre Louis-Jouvet).

Les décennies qui suivirent ont imposé l’Orchestre dans le répertoire français. Debussy et Ravel lui doivent les créations mondiales de La Mer, du Concerto en sol, de La Valse, du Boléro (dans sa version concert)… Son histoire est aussi liée aux noms de grands chefs tels que Paul Paray, Igor Markevitch, Jean Martinon, et plus récemment Yutaka Sado qui a présidé aux destinées de cette formation pendant 17 ans.

Depuis quelques années, l’Orchestre Lamoureux a développé son volet d’actions culturelles : le Bébé Concert et la Garderie Musicale. En terme de programmation, il a ouvert ses concerts à des artistes tels que les Rita Mitsouko, Tim Burton et Danny Elfman, William Sheller, Juliette, Michel Legrand, et bien d’autres.

www.orchestrelamoureux.com

L’Orchestre Lamoureux en vidéo

L’Orchestre Lamoureux clôture la Folle Journée de Nantes, en direct sur Arte et France Inter (2013) https://www.youtube.com/watch?v=YwK8d2VJKDA

Le Grand Concert de Noël à la Salle Pleyel, en direct sur France 3 et Radio Classique (2012) https://www.youtube.com/watch?v=4mBJIbQHTHY

L’Orchestre Lamoureux et Nathalie Dessay https://www.youtube.com/watch?v=bmYRQWYlDbM

L’Orchestre Lamoureux au Théâtre de Rungis https://www.youtube.com/watch?v=R5r90ookh6Q

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T H É Â T R E D E S C H A M P S - E LY S É E S

A vec son architecture unique et sa capacité de 1900 places, le Théâtre des Champs-Elysées est reconnu comme l’une des plus belles salles au monde de concert et d’opéra.

Situé au 15 avenue Montaigne dans le 8ème arrondissement de Paris, le bâtiment est construit en 1913 dans un style mixte art déco et classique. Premier édifice parisien construit en béton armé, par les frères Perret et Henry Van de Velde, il bénéfice de la participation des décorateurs Antoine Bourdelle, Maurice Denis, Édouard Vuillard et Kerr-Xavier Roussel. Le Théâtre des Champs-Elysées demeure l’un des jalons essentiels de l’histoire de l’architecture au XXe siècle.

Fidèle depuis plus de 130 ans à sa recherche d’excellence, le Théâtre des Champs-Elysées est un haut lieu de la musique classique à Paris (tels la Philharmonie de Paris, la Salle Gaveau, la Maison de la Radio ou l’Opéra Bastille) et accueille de nombreux orchestres symphoniques tels que l’Orchestre Philharmonique de Vienne, de Munich ou de New-York.

L’Orchestre Lamoureux est orchestre associé au Théâtre des Champs-Elysées.

www.theatrechampselysees.fr

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P R O G R A M M E

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BRÉSIL POPULAIREBRÉSIL SACRÉ

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Milhaud, Saudades do Brasil op. 67 (extraits)Villa-Lobos, Bachianas Brasileiras n°5 pour soprano et huit violoncelles

Jobim, Garota de Ipanema (Girl from Ipanema)Neukomm, Missa Solemnis Pro Die Acclamationis Johannis VI

Direction, Bruno ProcopioSoprano, Eugénie Lefebvre

Mezzo-soprano, Sacha HatalaTénor, Mathias Vidal

Baryton-basse, Arnaud RichardAvec le Chœur philharmonique du COGE – direction, Frédéric Pineau

A 16h00 : rencontre de 30 min avec Bruno Procopio Entrée libre sur présentation du billet du concert

Production Orchestre Lamoureux

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P R É S E N TAT I O N D U C O N C E R T

L e programme de ce concert consiste en un parcours très éclectique de la musique brésilienne. Programme ciselé, pour un orchestre symphonique exigeant, il est un voyage musical évocateur qui abordera les fastes d’une cour en exode : le Brésil a

vu couronner un roi européen, cas unique dans l’histoire de l’Europe.

La première partie du programme sera dédiée au Courant Nationaliste Brésilien qui a cherché à créer une musique authentiquement brésilienne. Villa-Lobos en est son plus grand représentant. Avec Darius Milhaud, l’Orchestre créera à nouveau le pont entre la France et le Brésil. Pour clôturer cette première partie, quelques tubes de Tom Jobim, l’illustre créateur de la Bossa Nova.

Darius Milhaud lors de son voyage en Amérique Latine en 1917 a côtoyé une multitude de rythmes qui l’ont considérablement influencé. Écrite comme une suite de danses, Saudades do Brasil, composé en 1920, reste une des pièces les plus emblématiques de cette période. Cette œuvre est un hommage à la ville de Rio de Janeiro ; chacun des douze mouvements ont le nom de quartiers de la ville : Botafogo, Leme, Copacabana, Ipanema, Gávea, etc.

Écrite en 1938, la Bachianas Brasileiras n° 5 pour voix et huit violoncelles d’Heitor Villa-Lobos reste à nos jours l’œuvre la plus jouée et enregistrée du compositeur carioca. Cette œuvre, qui reflète l’amour de Villa-Lobos pour Jean-Sébastien Bach, lui permet d’accéder au rand de Compositeur National car elle touche tous les publics. Villa-Lobos estime que la musique de Bach aussi bien que la musique folklorique viennent de l’Univers Astral pour s’infiltrer dans la terre, toutes deux étant universelles.

M I S S A S O L E M N I S P R O D I E A C C L A M AT I O N I S J O H A N N I S V I

L a splendeur de Mafra, le Versailles portugais, et la course féroce pour l’obtention de richesses au Brésil n’ont jamais été perçues comme conséquences l’une de l’autre à l’époque de Dom João VI. Pour le roi du Portugal, le Brésil était un bienfaiteur opportun

mais mystérieux. L’empire portugais s’étendait de Macau jusqu’aux plantations de canne à sucre et aux mines d’or et de pierres précieuses brésiliennes. Symboliquement, le roi figurait au sommet de son empire. Il n’avait cependant aucun contact personnel avec ses domaines distants. Si Lisbonne était la vitrine de la richesse impériale, dans les points éloignés de l’empire – Salvador, Rio de Janeiro, Mozambique et Goa – le roi était célébré in absentia avec des feux d’artifice, défilés et messes d’action de grâces.

Le déménagement de la Cour portugaise au Brésil en 1808 est la seule occasion de l’histoire où la distance polie entre la métropole et les colonies se rompt. Lors de l’apogée des guerres napoléoniennes, Dom João VI et sa cour fuient le Portugal en direction du Brésil. Ce voyage brise enfin la délicate membrane qui séparait le centre de l’empire de sa périphérie. Cette tournée royale n’a pas été planifiée : quand les membres de la royauté débarquent en Amérique, ils se présentent devant leurs vassaux coloniaux non comme des seigneurs féodaux mais comme des émigrés demandant du secours.

Un choc réciproque

Le départ de Lisbonne en novembre 1807 se fait à la hâte. Des familles sont disloquées. Le voyage est pénible pour ceux qui partent, et une tragédie qui s’annonce au Portugal pour ceux qui restent. En 1808, le Prince régent débarque à Salvador de Bahia puis à Rio, accompagné de sa mère, et d’environ dix mille personnes. Le Prince y installe un véritable appareil d’État et un corps diplomatique.

Depuis longtemps, les mines d’or brésiliennes étaient épuisées et la colonie avait retrouvé son rôle traditionnel : une usine de produits agricoles actionnée par des esclaves. Rio était le plus grand marché d’esclaves d’Amérique : un tiers de sa population était africaine. Les ministres et secrétaires du Prince régent se voient obligés de contempler les effets de leur politique et, pire, de vivre au milieu de leur œuvre coloniale. Le choc est réciproque.

En avril 1821, Dom João VI prendra la fuite pour retourner à Lisbonne. Mais avant il sera acclamé à Rio de Janeiro en tant que roi du Portugal, du Brésil et des Algarves lors d’une cérémonie préparée pendant deux ans et qui se prolongea par des fêtes des jours durant.

“Viva el-rei, nosso senhor” – Acclamation d’un Roi sous les tropiques

En février 1818, la ville est finalement prête à l’Acclamation tant attendue – reconnaissance formelle de l’accession de Dom João VI au trône. Le séjour prolongé de la Cour au Brésil atteint son sommet. Les charpentiers de la Mission Artistique française achèvent des œuvres architectoniques éphémères. Une véranda spécialement projetée, soutenue par des colonnes, s’étend sur la totalité de la façade du palais royal donnant sur la place principale de Rio : la famille royale salue la foule du milieu de ladite véranda.

L’occasion devrait servir à confirmer symboliquement le pouvoir de la couronne portugaise. Pour Dom João, c’est l’affirmation de son compromis avec le Brésil. Pour la première fois, il se présenterait à ses vassaux brésiliens avec la tenue traditionnelle des monarques. Il était tout près de devenir le premier souverain à ceindre la couronne dans le nouveau monde. L’Acclamation est confirmée par une messe en action de grâces, avec de la musique spécialement composée pour l’occasion.

Sigismund Neukomm

Sigismund Neukomm pourrait être reconnu en France comme le musicien qui a été au service de Talleyrand pendant plus de vingt ans ; l’auteur du Te Deum joué à Notre-Dame pour l’entrée solennelle de Louis XVIII dans Paris ; l’ami de Cherubini, Dussek, Grétry, Monsigny, Gossec, Choron, Cavaillé-Coll ; le compositeur de près de deux mille œuvres, pour la plupart conservées à la Bibliothèque nationale de France.

Neukomm part pour le Brésil en 1816 avec le duc du Luxembourg, chargé de rétablir les relations diplomatiques entre la France et le Portugal fortement mises à mal lors de l’époque napoléonienne. Après avoir renoncé à retourner en Europe avec le duc et avoir envisagé de rester à Rio pour toujours, Neukomm rentre en France cinq ans plus tard. Il quitte le pays seulement dix jours avant le départ du Roi portugais. Tous deux fuient les mouvements révolutionnaires qui conduiront dès l’année suivante à l’indépendance du Brésil.

Les cinq ans du séjour brésilien constituent une période remarquable du travail de composition de Sigismund Neukomm. Pour la musique brésilienne, son passage dans le pays représente également une époque très féconde. C’est à Rio que Neukomm compose plus de la moitié de son œuvre pour clavier et qu’il écrit les premières œuvres de musique savante inspirées de thèmes brésiliens. À Rio, Neukomm note et harmonise des modinhas permettant ainsi que ces mélodies survivent jusqu’au XXIe siècle. C’est à lui qu’est due l’une des premières, sinon la première symphonie composée au Brésil. Il est encore le responsable de l’une des premières exécutions du Requiem de Mozart en Amérique du Sud, pour lequel il compose en territoire brésilien un Libera me, Domine qui le termine.

D’après Luciane Beduschi, septembre 2008 (partie historique sur le déménagement de la cour portugaise basée sur l’ouvrage de Patrick Wilcken,

Empire Adrift, London: Bloomsbury, 2005)

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Bruno Procopio Direction

Chef d’orchestre et claveciniste, Bruno Procopio mène une solide carrière internationale, après ses études au Conservatoire National Supérieur de Musique et Danse de Paris auprès de professeurs tels Pierre Hantaï et Christophe Rousset. Il fonde en 2007 le label discographique Paraty Productions distribué mondialement par Harmonia Mundi, et s’attache à apporter une dynamique nouvelle à l’industrie du disque classique. Il est

également copropriétaire de Classiquenews.com.

Bruno Procopio travaille en étroite collaboration avec le Centre de Musique Baroque de Versailles auprès de grandes institutions et orchestres en Amérique du Sud qui lui accordent une relation privilégiée.

Fréquemment invité à diriger le Simón Bolivar Symphony Orchestra du Venezuela, Bruno Procopio a enregistré avec lui le disque ‘Rameau in Caracas’, qui a obtenu le CHOC de Classica, 5 Diapasons et a été choisi comme meilleur disque de la semaine par le journal Le Figaro et Radio Classic FM à Londres.

Bruno Procopio a notamment dirigé de prestigieux orchestres, tels l’Orchestre Symphonique du Brésil (OSB), l’Orchestre de l’Opéra de Manaus (Brésil), l’Orchestre Philharmonique Royal de Liège, les Chœur et Orchestre Les Siècles, le Simón Bolivar Baroque Orchestra du Venezuela.

Attaché à transmettre ses connaissances, il participe à des master-classes dans de nombreuses universités d’Amérique latine : Unirio à Rio de Janeiro, Universidad Simón Bolivar à Caracas, Universidad Católica au Chili. Il a également été invité au Conservatoire Central de Pékin et enseigne le clavecin à l’Accademia Villa Bossi en Italie.

Eugénie Lefebvre Soprano

Lauréate au concours international de musique baroque de Froville en 2013, Eugénie Lefebvre obtient son diplôme au Centre de Musique Baroque de Versailles en 2009, et se perfectionne par la suite à la Guildhall School of Music and Drama de Londres. On la voit régulièrement avec des chefs d’orchestre tels que Emmanuelle Haïm, René Jacobs ou Leonardo Garcìa Alarcòn. Elle apparaît en concert avec le Concert d’Astrée, l’ensemble Sagittarius, l’ensemble La

Rêveuse, Les Symphonistes, le Poème Harmonique et l’Académie für Alte music de Berlin.

Sacha Hatala Mezzo-soprano

Diplômée en 2001 du Conservatoire national Supérieur de Musique de Paris, Sacha Hatala obtient un Premier Prix à l’Unanimité au Conservatoire national de Région de Paris. Après avoir fait ses débuts lyriques à l’Opéra de Rennes, d’Alger et de Bratislava, elle se produit régulièrement avec les Arts Florissants, le Chœur Accentus ou encore les musiciens du Louvre, dans le cadre de récital ou d’oratorio baroques. Elle participe à une multitudes

de productions prestigieuses, notamment au Festival international d’Edimbourg avec Les Solistes du Palais Royal, sous la direction de Bruno Procopio dans un programme de musique baroque portugaise et brésilienne : « la superbe alto Sacha Hatala a fait preuve d’une maîtrise saisissante dans les graves, rendant charnelles ces paroles sacrées (…) Bruno Procopio et Les Solistes du Palais Royal nous ont offert un équilibre subtil qui a su trouver les parfums des mots, parfums fleuris ou boisés, qui devaient dans les églises brésiliennes accompagner l’expressivité du chant. » Monique Parmentier, Resmusica, 2008.

Mathias Vidal Ténor

Le talentueux Mathias Vidal est diplômé du Conservatoire national Supérieur de Musique de Paris en 2003, lauréat cette même année de l’audition annuelle du Centre Français de Promotion Lyrique puis Révélation Classique de l’ADAMI en 2007. Son répertoire se promène du bel canto italien au répertoire baroque, en passant par la musique légère et contemporaine.

« Aussi sympathique que talentueux, le ténor français ne recule devant aucun défi musical. Ses atouts : une voix saine, un esprit vif et un sacré sang-froid ! Munich, janvier 2015. Une salle chauffée à blanc ovationne un artiste dont le sourire trahit la surprise mêlée à la joie. Ce chanteur, héros presque malgré lui d’une soirée mémorable, s’appelle Mathias Vidal. Dans le milieu lyrique, il est apprécié comme l’un des meilleurs ténors français : technique souple et agile, timbre doux et clair, musicalité séduisante. » Emmanuelle Giuliani, La Croix, 2015.

Arnaud Richard Baryton-basse

Arnaud Richard obtient en 2000 le prix d’excellence du Conservatoire à rayonnement régional de Caen puis parfait sa formation auprès d’Alain Buet. Son répertoire de baryton-basse embrasse des ouvrages de l’âge baroque à nos contemporains. Programmé à l’Opéra de Rouen, à l’Opéra national du Rhin, il apparaît aussi dans plusieurs productions au Château de Versailles. Régulièrement invité par les Arts Florissants, il a notamment tenu le rôle du

Guerrier puis celui de Saül (Charpentier) qu’il endosse à grands succès à l’Opéra Comique en janvier 2013. Il fête ses débuts à l’Opéra de Stuttgart dans Nicolas/l’Ecume des jours (d’après Boris Vian) d’Edison Denisov.

Chœur philharmonique du COGE (Chœurs et Orchestres des Grandes Ecoles)

Née en 1982 de la fusion des chorales Polytechnique et de HEC, cette formation s’étend peu à peu à l’ensemble des Grandes Ecoles puis des Universités. La vocation du Chœur philharmonique est de proposer à tout étudiant la possibilité de chanter dans des concerts d’exigence, dans les plus grandes salles de musique à Paris et à l’étranger.

Le Chœur philharmonique est composé de 60 choristes recrutés sur auditions.

Frédéric Pineau Chef de Chœur

Chef passionné, diplômé d’État et titulaire du Diplôme National Supérieur Professionnel de Musicien en direction d’ensembles vocaux depuis 2015, Fréderic Pineau assure la direction musicale et artistique du Chœur philharmonique du COGE et du Chœur de Chambre de Rouen. Depuis 2013, il est professeur de chant choral au Conservatoire à Rayonnement Régional de Rueil-Malmaison, et intervient, depuis 2015, en tant que chef de chœur

sur des projets socio-culturels mis en place par la Philharmonie de Paris.

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E Q U I P E

Le conseil d’administration

Cécile GRONDARD, présidente

Pierre MONTY, secrétaire général

Emmanuelle DEAUDON-STANÈSE, trésorière

Julie CHOUQUER, Julien LO PINTO, Sébastien ROUILLARD, Rémi FRANÇOIS, Cyril NORMAND, Hugues BORSARELLO

Equipe administrative

Directrice de production : Hélène THIEBAULT

Responsable du développement et de la communication : Marie de LOMBARDON

Assistante de production et communication : Clémence SEINCE

Equipe technique

Régisseur général : Stephane COMMECY

Régisseurs : Romain BEKIER, Simon BENITA, Philémon DUBOIS, Nantan KATZ, Simon LEGER, Antoine MILLET

PA R T E N A I R E S

Orchestre Lamoureux Usine Springcourt

5 passage Piver – 75011 Paris 01 58 39 30 30

www.orchestrelamoureux.com