bonne année - fontenay

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N° 134 du 2 au 15 janvier 2017 JOURNAL MUNICIPAL D’INFORMATIONS LOCALES www.fontenay-sous-bois.fr BONNE ANNÉE !

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janvier 2017 Journal municipal d’informations locales www.fontenay-sous-bois.fr
bonne année !
CLIC-CLAC Retraités
Repas de gala dans les clubs Au cours du mois de décembre, les retraités fontenaysiens ont été conviés à des repas de Noël organisés dans les clubs de loi- sirs de la ville. L’occasion de se retrouver entre amis et de par- tager un moment de joie autour de petits plats mitonnés par les agents de l’espace municipal de préparation culinaire, autre- ment dit La Fontenaysienne.
Décorations
La Laponie près de chez vous
Afin d’apporter un peu de la magie du grand Nord dans nos contrées, les services munici- paux ont, cette année encore, transformé le parvis de l’hô- tel de ville en village du père Noël. Pour rendre le lieu encore plus exceptionnel, le service des Espaces verts y a organisé, le 10 décembre, un après-midi convivial avec de la musique, du chocolat chaud et, bien entendu, la visite (sur son traîneau) du bonhomme en rouge et blanc. Ho ! Ho ! Ho !
Fontenay | n° 134 – janvier 2017 | 3
l’édito de Jean-PhiliPPe Gautrais Maire de Fontenay
Illuminations
LED mais très jolies !
C’est dès le 30 novembre qu’à Fontenay la période des fêtes fut lancée avec la mise en lumière des éclairages de Noël. Des luminaires féeriques, mais aussi économiques et écolo- giques, car pourvus d’ampoules basse-consommation équipées de la technologie LED.
Marché de Noël
Le Village en fête
Il n’y a pas qu’en Alsace qu’on peut flâner pendant la période des fêtes dans des allées par- fumées à la cannelle. Où l’on peut rechercher, en musique, le cadeau qui plaira à grand- maman auprès de commerçants proposant des produits issus de l’artisanat local ou régional. Où l’on peut s’amuser seul, en famille ou entre amis, un verre de vin chaud à la main, en profi- tant de spectacles de rue ! À Fon- tenay aussi, puisque les 16, 17 et 18 décembre, le quartier Village accueillait son traditionnel mar- ché de Noël.
J’aurais voulu vous présenter simplement et chaleureusement mes meilleurs vœux pour cette nouvelle année, en espérant qu’elle réponde à tous vos souhaits. Mais 2017 commence avec tristesse. Juste avant Noël, période où la joie est de mise, une nouvelle tragédie s’est ajoutée à toutes les autres… Encore une fois, la haine a parlé, et le sang a coulé. J’ai apporté ma solidarité aux proches des victimes de Berlin… Et je pose la question : dans quel monde vivons-nous ? Est-ce celui que nous voulons laisser à nos enfants ? Non, évidemment non ! Plus que jamais, nous avons besoin de paix et de fraternité. Il faut que les guerres, et tout ce qu’elles entraînent, cessent… Il ne faut pas que la peur, le repli sur soi et la recherche de bouc émissaire l’emportent. Bien sûr, ne passons pas à côté des causes profondes qui traversent nos sociétés. Mais plus que jamais, restons unis, humains et solidaires face à la terreur, à la violence et aux divisions. Alors finalement, oui je vous souhaite une belle année 2017, faite d’espérance, de paix et de fraternité !
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voisins / voisines
Les marchés • Boulevard de Verdun :
mardi de 8h à 13h et samedi de 15h à 19h30. • Place Moreau-David :
mercredi de 8h30 à 13h30 et dimanche de 8h à 14h30.
Une question de bon sens
Tous secteurs
Alors qu’un long pic de pollution a sévi sur Paris et la région pari- sienne au mois de décembre, la cir- culation douce avance à Fontenay. Bruno Amadoté, responsable Circula- tions au service Voirie : « Nous comp- tons aujourd’hui 21 km de contre-sens cyclables dédiés au vélo sur 62 km de voirie. Ces contre-sens prennent corps dans des zones 30 avec des marquages
au sol. » Problème : de nombreux usa- gers sont encore réfractaires à ce par- tage de la voie publique. « D’une, nous sommes contraints par décret de mul- tiplier ces zones. De deux, beaucoup d’automobilistes arguent d’un danger pour les cyclistes, mais cet argument est irrecevable si l’on respecte la vitesse de circulation automobile à 30 km/h. Les choses changent : le vélo devient un moyen de transport de plus en plus uti- lisé. Les gens doivent accepter d’évoluer
et de prendre en compte les autres usa- gers de la voie publique. Ils doivent sur- tout prendre conscience que l’urgence sanitaire est réelle. » À noter que les places de stationnement dédiées aux vélos se multiplient dans le même temps. À Fontenay, on a conscience de l’aberration : respirer est peut- être devenu le premier des droits de l’homme… CJ
encombrants et tags Si votre façade a été victime de tagueurs, vous pouvez faire appel gratuitement à l’équipe spécialisée du service municipal de la Propreté urbaine. Le ramassage des encombrants est effectué une fois par mois (calendrier sur www.fontenay-sous-bois.fr). Il est demandé de sortir les objets la veille au soir du jour de passage prévu. En cas d’urgence, vous devez utiliser les services de la déchetterie municipale ou appeler le service de Gestion des déchets.
Propreté urbaine et Gestion des déchets Rue Jean-Jaurès Tél. : 01 71 33 53 04.
en breF
La Redoute, Le Fort, Michelet
Des charmes au cimetière Les agents du service espaces verts vont entamer la 3e phase de replantation d’arbres (charmes) au cimetière. Cette opération est consécutive à l’abattage de prunus pissardii et de sorbiers qui dépérissaient à cause d’un champignon.
Hôtel-de-ville, Village
Atelier Consom’acteurs Le prochain atelier Consom’acteurs se déroulera le jeudi 19 janvier à 14h à l’espace départemental des solidarités (5, rue Jean-Douat). La thématique : tout savoir sur sa facture d’énergie. Ça tombe bien, le gaz a pris 5 % au 1er janvier et l’électricité va également augmenter. L’objectif de ces ateliers est l’apprentissage d’écogestes propres à prendre un peu plus soin de la planète et à faire des économies ! entrée libre.
Alouettes
Voirie Les agents de la voirie vont aménager l’allée des sablons. Élargissement du parvis piéton (sortie est Alouettes). Compter entre 2 et 4 semaines de travaux.
CIRCuLATIoN La ville compte aujourd’hui 21 km de contre-sens cyclables dédiés au vélo.
Fontenay | n° 134 – janvier 2017 | 5
en breF
Tous secteurs
Deux entrepreneurs de qualité ! Deux chefs d’entreprise de Fontenay-sous-Bois ont été primés par la Chambre des métiers et de l’artisanat du val-de-Marne. Florent amo, patron des établissements agile (construction de bâtiments et de travaux publics au 267, rue des Moulins), a obtenu pour la première fois la charte qualité excellence. Jérôme saglier, de la société de livraison de repas à domicile appétits et associés (164, bd de verdun), a quant à lui reçu pour la sixième fois consécutive la charte Performance. Accueil personnalisé, écoute, disponibilité et conseils individualisés, transmission du savoir-faire par la formation et la qualification des collaborateurs, qualité des produits et prestations dans le respect des exigences réglementaires et légales de chaque profession, sont un socle commun aux deux chartes. Un volet développement durable est pris en compte pour l’attribution de la charte qualité excellence.
Démocratie locale La députée de la circonscription, Laurence Abeille, tiendra sa permanence parlementaire. Accessible sans rendez-vous, le samedi 21 janvier, entre 10h et 13h, au 15 ter, avenue de la République (carrefour des Rigollots).
Éclairage public Les agents des espaces verts multiplient les petites opérations d’élagage sur la ville pour dégager la lumière des candélabres.
Prévention du diabète La Mutualité française iDF organise une journée de prévention du diabète (et du surpoids, de l’obésité et de l’hypertension), mardi 17 janvier au centre municipal de santé roger-salengro. Gratuit et sans rendez-vous. Renseignements : Mutualité française iDF – sotheara van au 01 55 07 57 76. Courriel : [email protected] CMs Roger-salengro : 01 49 74 76 56.
Hôtel-de-ville, Village
Un fleuriste en pleine éclosion Jorys Remaigui, 20 ans, lance sa petite entreprise qui le dit avec des fleurs ! « Bienvenue au Village ! », lui souhaite une cliente qui s’en va avec l’une de ses compositions de Noël sous le bras, un petit poinsettia. Doté d’un CAP fleuriste et d’un brevet professionnel acquis dans l’une des meilleures écoles d’Île-de- France, au lycée professionnel de Paris, Jorys déclare : « Mon point fort, c’est l’écoute du client. » On souhaite une belle éclosion à ce jeune fleuriste. Le Fleuriste du Village 3, place du Général-Leclerc. Tél. : 01 48 86 72 66.
© d
r
En janvier, le maire ira arpenter les quartiers de la partie ouest du territoire communal.
Le maire va à votre rencontre
Secteurs ouest. De novembre à décembre 2016, le maire, Jean-Philippe Gautrais, est allé à la ren-
contre des habitants de la partie est de la ville. L’occasion pour lui et les élus qui l’accompagnaient d’échanger avec les Fontenaysiens sur le devenir de la ville ou sur les pro- blèmes que certains peuvent rencontrer dans leur quar- tier… « Se parler, s’écouter, se comprendre est le seul chemin que notre société doit prendre. C’est à cela que nous vou- lons nous attacher », insiste le premier magistrat de la commune pour expliquer l’objectif de ses visites. Tout le mois de janvier, il ira arpenter les quartiers de la par- tie ouest du territoire communal. Le principe reste le même. « Je souhaite rencontrer un maximum de personnes.
Je ne conçois pas mon rôle de maire sans un contact direct avec les Fontenaysiens. Mes premières visites m’ont confirmé que les habitants sont attachés à préserver leur cadre de vie et qu’ils veulent poursuivre la construction d’une ville où cha- cun à sa place. » / MM
Ces nouvelles rencontres auront lieu du 17 au 31 janvier
à 16h15, les :
– 20 janvier : Le Bois, Clos-d’orléans, devant l’école Pasteur ;
– 27 janvier : Parapluies, Pasteur, Rigollots,
devant l’école Jules-Ferry ;
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daniel
Un toit sur la tête et manger à sa faim « Mon souhait pour 2017 ? Que le plus malheureux sur Terre le soit autant que moi ! Je ne suis pas mil- liardaire, mais j’ai un toit sur la tête et je mange à ma faim. Localement, je fais le vœu que les trot- toirs de la ville soient mieux entretenus, et que les propriétaires de chien fassent preuve de plus de civisme. »
luCile
Réussir sa vie professionnelle
« Je souhaite pour 2017 moins de mauvaises nou- velles qu’en 2016 ! Pour moi-même, je voudrais réussir mon concours de magasinier pour pou- voir travailler en bibliothèque. Trouver un loge- ment proche de mon futur lieu de travail, que ce soit à Fontenay ou non. Bien débuter dans la vie en somme ! »
Vos vœux pour 2017 ? NouVELLE ANNÉE
L’ÉvèneMent
Que souhaitent les Fontenaysiens pour 2017 ? Personnels, locaux ou universels, ils nous dévoilent leurs vœux en ce début d’année… Propos recueillis par Sébastien Sass
Fontenay | n° 134 – janvier 2017 | 7
thierry
Faire un usage raisonné des énergies « Que l’environnement devienne un centre prin- cipal de préoccupations. On a trop oublié qu’il nous fait vivre, touche tous les domaines de notre société, il faut le préserver. Sans échapper au modernisme, on peut faire un usage raisonné, sérieux et prudent des énergies. Alors, pour 2017, j’aimerais que la nature prenne une place encore plus importante, dans notre ville et ailleurs. »
ouarda
Les femmes précaires ou battues doivent être mieux accompagnées « Moins de sexisme, moins de discriminations et plus d’égalité entre les femmes et les hommes en 2017 ! Que les femmes puissent avoir plus facile- ment accès à leurs droits et que les services muni- cipaux et de l’État travaillent mieux ensemble pour avancer sur cette voie. Présidente bénévole de l’as- sociation Home, qui vient en aide aux femmes pré- caires ou battues, je souhaite que celles-ci soient mieux accompagnées et mises en sécurité. Que les lois soient enfin respectées comme, par exemple, l’éloignement du conjoint violent. »
Matthieu et GasPard
Plus de démocratie « Je n’ai pas du tout apprécié la façon dont s’est dérou- lée, en 2016, la passation de pouvoir entre M. Voguet et M. Gautrais. Cela s’est passé entre élus dont le vote était acquis d’avance, sans consultation citoyenne. Pour 2017, je souhaite donc plus de démocratie à Fontenay », nous a dit Matthieu. « Moi, mon vœu c’est qu’il y ait plus de One Piece au CDI », a conclu Gaspard.
Julie
Revenir sur les rythmes scolaires
« Devenir propriétaire ! Actuellement locataire, je désire acheter un appartement ou une maison à Fontenay cette année. Que ma famille et moi puis- sions avoir un chez nous. Et puis, j’aimerais qu’en 2017 on revienne sur la réforme des rythmes sco- laires. Elle a rendu l’accès aux activités extrasco- laires plus compliqué pour les enfants en bloquant le mercredi matin dans leur emploi du temps. »
VéroniQue
Une année 2017 fraternelle
« À Fontenay, et partout ailleurs, que 2017 soit une année fraternelle avec plus de sourires et de contacts humains. Que les gens continuent à se parler, à se regarder. Artisan créatrice de bijoux à La Fonderie, j’espère, pour cette nouvelle année, continuer à creuser mon sillon. »
hanane et isabel
Des méthodes d’éducation innovantes
« Contrairement à 2016, année meurtrière, j’aime- rais que chacun puisse vivre en paix dans son pays en 2017 », aspire Hanane. « Que l’on développe au sein des établissements scolaires une communication bien- veillante des adultes envers les enfants, nous sommes leurs modèles, désire Isabel. Il serait intéressant que la ville développe des méthodes d’éducation inno- vantes, comme à la Maison des apprentissages natu- rels (MaNa) ou la pédagogie Montessori, par exemple. Fontenay pourrait devenir fer de lance en rattachant ces méthodes au service public et permettrait ainsi au plus grand nombre d’en bénéficier. »
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L’espace culturel Gérard-Philipe
Les servICes pubLICs en ChIffres
L’espace culturel Gérard-Philipe, ancienne Maison pour tous, est rattaché à la direction de la Culture. Petits et grands peuvent y assister à des spectacles ou suivre une activité artistique tout au long de l’année.
saison 2015-2016 Un lieu de création et de spectacles Intégré au sein de la direction de la culture, l’espace culturel Gérard-Philipe est un outil qui nourrit et enrichit la politique culturelle de la ville. Il a pour mission de mettre en place quatre axes de travail : diffusion de spectacles ; formation avec des ateliers (théâtre, musique, claquettes, danse) ; aide à la créa- tion ; actions culturelles. Il bénéficie de subventions allouées par le départe- ment et la région. La salle de spectacle de 93 places assises peut recevoir jusqu’à 120 personnes. En décembre 2016, le festival Les Aventuriers a pris ses quartiers d’hiver à l’espace Gérard-Philipe. Et toutes les fins de semaine, dans le cadre de ses actions cultu- relles, un travail est mené avec les compagnies et les artistes, en amont et en aval de leurs spectacles.
comment ça se passe ailleurs ? Aux Roches, vous êtes invités à un parcours artistique autour d’un apéro
La maison des pratiques amateurs de montreuil organise son prochain apéroches, parcours artistique autour du thème des addictions. […] mais la véritable heure de gloire aura lieu dans les années 60-70, lorsque l’artiste Jean Guérin y installe le théâtre-école de montreuil. « Jean Guérin portait l’idée que le théâtre est une pratique populaire et peut être joué par tous et partout, à la sortie des usines, dans les salles de quartier… Des milliers de Montreuillois ont appris le théâtre ici », explique Julien marion. et d’ajouter : « Avec les ApéRoches, les gens se croisent, discutent, passent de salle en salle pour découvrir une performance artistique différente, parfois amateur. On retrouve l’ambiance du théâtre-école. » au-delà des apéroches, le service des Pratiques amateurs de montreuil propose aussi près de 200 ateliers sur une dizaine de lieux de la ville, fréquentés par près de 1 600 personnes.
Elsa Pradier Le Montreuillois
Du 3 au 16 novembre 2016
spectacles • 4 spectacles jeune public, 21 séances : 2 200 spectateurs • 9 concerts : 1 397 spectateurs • 2 spectacles de théâtre & lectures, 8 séances : 455 spectateurs • 3 plateaux professionnalisation musique : 258 spectateurs
résidences • 7 résidences théâtre :
22 jours d’occupation
action culturelle • 6 actions
• Projet mémoire d’essence : 30 ateliers
danse • 35 élèves (28 enfants,
7 adultes) • 1 spectacle de fin
d’année • 6 stages
(141 enfants, 43 adultes)
ouvertes
Formation
MusiQue (guitare, chant, batterie, clavier) 62 élèves (30 enfants, 32 adultes) 1 spectacle de fin d’année
CoMédie MusiCale 66 élèves (38 enfants, 28 adultes) 4 spectacles de fin d’année
Partenariats avec l’école de cirque, le service municipal de la Jeunesse, le conservatoire et les ateliers-relais.
CONCEPTION, RÉALISATION, ENTRETIEN, ÉLAGAGE Terrasse en bois et composite
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Des aides pour payer ses factures
Le fonds solidarité énergie (FSE) est un dispositif mis en place par le conseil départemental en 2002, afin de lutter contre la précarité énergétique et d’apporter un soutien aux personnes en diffi- culté. Il s’agit tout simplement d’évi- ter la coupure d’énergie par la prise en charge d’une partie des factures impayées de gaz et d’électricité. Le centre communal d’action sociale (CCAS) assure l’accueil des publics et l’instruction des dossiers pour le compte de l’instance départemen- tale, grâce à une convention établie avec celle-ci. Un agent du service Défense des familles reçoit sur ren- dez-vous les personnes pouvant pré- tendre à ce dispositif, à la fois pour les informer sur ce qui existe, véri- fier que l’ensemble de leurs droits est ouvert, et instruire ce dossier. Cette action est limitée à deux aides par énergie (électricité et gaz) et par an dans la limite d’un plafond annuel de 229 € par foyer, en fonc- tion du montant des ressources. Le jour des permanences, les personnes
doivent se présenter avec des justi- ficatifs : photocopie de l’avis d’im- position, des trois derniers mois de ressources pour l’ensemble des per- sonnes occupant le logement, la der- nière facture d’énergie et une pièce d’identité. En 2015, on comptabilisait 563 familles différentes bénéficiaires de ce dispositif, représentant 818 demandes accordées, sachant que certaines d’entre elles ont pu obte- nir les deux aides de l’année.
Le droit à l’eau pour tous
Concernant les factures d’eau, un dispositif a été mis en place en 2011 afin de favoriser le droit à l’eau pour tous. Là encore, afin d’éviter les cou- pures pour factures impayées. Il fonctionne avec le seul prestataire : Veolia. Pour les Fontenaysiens non rattachés à Veolia, il existe une aide départementale : le fonds de solida- rité habitat (FSH) que le CCAS ne gère pas. Elle peut être sollicitée dès qu’un accompagnement social est mis en
place avec un référent qui sollicitera ce dispositif. L’aide du CCAS pour payer l’eau est établie à partir de la facture annuelle. Pour pouvoir l’obtenir, celle-ci ne doit pas dépasser 3 % des ressources mensuelles. Mais lorsque la fac- ture annuelle est très importante, ce dispositif peut être sollicité. Bien entendu, le montant varie en fonc- tion de la composition familiale. Un foyer peut prétendre à 120, 180, 240 euros, voire un peu plus, si la famille est plus grande. Les justifi- catifs à produire sont les mêmes que pour le FSE. Claude Bardavid
CCAS - Hôtel de ville (1er étage) ouvert du lundi au vendredi de 9h à 11h45 et de 13h30 à 17h15. Permanences sur rendez-vous au CCAS : - factures d’énergie : mardi matin
et jeudi après-midi ; - factures d’eau : lundi matin
et mercredi matin. Tél. : 01 49 74 / 75 49 ou 75 66.
en breF
Baby-sitting vous en avez assez, lorsque vous voulez sortir, d’appeler belle- maman pour lui confier vos enfants ? Jeunes Fontenaysiens de 16 à 25 ans, vous souhaitez mettre un peu de beurre dans vos épinards ? Le sMJ vous propose un service de baby-sitting. Le fonctionnement est simple : les jeunes doivent s’inscrire au Point information jeunesse (PiJ) pour signer le formulaire de décharge et la charte du service. ils suivront une formation aux premiers secours civiques (PsC1) et recevront un livret de conseils et d’informations sur les contrats, Cesu, tarifs, assurances. Par la suite, ils devront informer le sMJ de leurs changements d’horaires et de disponibilités. De leur côté, les parents en recherche de garde ponctuelle ou régulière s’inscrivent également au service et reçoivent le livret informatif. ils ont accès aux fiches des baby-sitters et peuvent en sélectionner trois. Le sMJ est un médiateur privilégié, les parents restent les employeurs. Inscription auprès du PIJ- Place du 8-Mai-1945. Tél. : 01 49 74 76 81.
Bénévolat L’association Cultures du Cœur agit depuis plus de dix ans en val-de-Marne. elle a pour but de lutter contre l’exclusion en favorisant l’accès à la culture et au sport pour tous. elle recherche des bénévoles. Contact : 01 56 32 05 04. Courriel : cdc94@ culturesducoeur.org Renseignements : cdc94.free.fr /devenirbenevole.html
Honorariat de maire en décembre dernier, le préfet du val-de-Marne, thierry Leleu, a conféré à Jean-François voguet l’honorariat de maire de la commune de Fontenay-sous- Bois. Par cette distinction sont reconnus les services rendus par Monsieur voguet à la ville durant de nombreuses années, ainsi que le dévouement dont il a su faire preuve dans ses fonctions d’adjoint de 1977 à 2001, puis de maire de 2001 à 2016.
En 2015, on comptabilisait 563 familles bénéficiaires d’aides pour des factures d’énergie (gaz et électricité).
SoLIDARITÉ
L’ACtU
Lutter contre la précarité énergétique, apporter un soutien aux personnes en difficulté pour payer leurs factures d’eau,  de gaz ou d’électricité, tel est l’objectif d’aides mises en place  par le centre communal d’action sociale.
sortir ! aGenda
JEuNE PuBLIC
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du 2 au 15 JanVier 2017
mercredi 4/01 CINÉMA 14h30 et 16h – Wallace et Gromit, animation de Nick Park. Dès 5 ans. Vf
18h – Personnal Shopper, de Olivier Assayas.
20h30 – Paterson, de Jim Jarmusch. Vostf
NuMÉRIQuE Sample comme bonjour. Atelier numérique de création musicale assistée par ordinateur. Gratuit – 10 à 14 ans Inscription au 01 49 74 79 60. 14h à 16h Médiathèque Louis-Aragon
ÉCRITuRE ET THÉÂTRE Fais voir ta langue ! Atelier d’écriture et d’improvisation, animé par Stéphanie Marchais, auteure, et Frédéric Andrau, comédien et metteur en scène. Gratuit – 11 à 16 ans Réservation indispensable au 01 49 74 79 60. 14h à 15h30 Médiathèque Louis-Aragon
VŒuX Le maire et la municipalité vous présentent leurs vœux 2017. Entrée libre. 18h30 – Salle Jacques-Brel
jeudi 5/01 CINÉMA 18h – Paterson, de Jim Jarmusch. Vostf
20h30 – Personnal Shopper, de Olivier Assayas.
vendredi 6/01 CINÉMA 14h et 18h45 – Personnal Shopper, de Olivier Assayas.
16h15 et 21h – Paterson, de Jim Jarmusch. Vostf
CoNCERT Hati. Nicolas Genest, leader et trompettiste du groupe Hati, poursuit l’exploration d’une musique métisse, inspirée de la musique indienne et du jazz. Nicolas Genest (trompette, bugle), Céline Wadier (chant indien), Denis Teste (sitar), Yvan Robillard (claviers), Hubert Dupont (contrebasse), Philippe Foch (tablas, percussions), Javier Estrella (batterie). Tarifs : 16 € - réductions : 12 € - moins de 12 ans : 5 € Réservation au 01 48 75 64 31. www.musiquesaucomptoir.fr 20h45 – Le Comptoir
samedi 7/01 CINÉMA 14h – Personnal Shopper, de Olivier Assayas.
16h15 – Wallace et Gromit, animation de Nick Park. Dès 5 ans. Vf
18h – Paterson, de Jim Jarmusch. Vostf
CoMMUniQUÉs
DÉMoCRATIE Le maire, Jean-Philippe Gautrais, vient à votre rencontre. Le 17/01 à 16h15 devant l’école Victor-Duruy. Le 20/01 à 16h15 devant l’école Pasteur. Le 27/01 à 16h15 devant l’école Jules-Ferry. Le 31/01 à 16h15 devant l’école Michelet. Lire p. 5
DIABÈTE La municipalité, l’agence régionale de santé Île-de-France et la Mutualité française IDF vous invitent à une journée de dépistage du diabète. Gratuit et sans rendez-vous au CMS Roger-Salengro, le 17 janvier de 9h30 à 13h et de 13h30 à 17h. Renseignements au 01 49 74 76 56.
THÉÂTRE, QI GoNG, TAI-CHI La Compagnie du Plateau anime, chaque lundi de 20h à 22h à l’Espace citoyen des Alouettes, un atelier théâtre : « Les 3 T ». Gratuit et ouvert à tous à partir de 16 ans. Renseignements au 07 63 10 65 84.
Elle y organise également, le jeudi de 14h30 à 15h30, un cours de qi gong avec, certains dimanches, de 14h à 17h des ateliers thématiques autour des animaux. Le prochain se déroulera le 15 janvier et aura pour thème le cerf.
Qi gong et tai-chi sont également proposés à la Maison du citoyen, le lundi de 14h30 à 16h et de 18h à 19h30, ainsi que le jeudi de 10h30 à 12h. Renseignements et inscription au 06 38 20 47 38.
SCRABBLE Le club des adeptes des mots comptent triple en duplicate – tout le monde joue avec les mêmes lettres – a désormais un nouveau créneau à la salle des Sports de l’esprit (82 bis, rue Eugène-Martin).
En plus du vendredi à 14h, tous les niveaux sont invités à se triturer les neurones et à enrichir leur vocabulaire le lundi à 20h. Renseignements au 06 24 45 16 14.
CHANT L’Association Résonances « une voix vers l’autre » recrute. Nouveau programme pour petit ensemble classique niveau avancé, chœur d’adultes. Cours de chant, musicothérapie. Stages d’interprétation avec piano, et de technique vocale. Renseignements au 06 17 80 09 30 (Olivia Lemblé).
NuMÉRIQuE La médiathèque Louis- Aragon organise un stage intensif pour débutants, en quatre parties, pour se familiariser avec l’outil informatique et gagner en autonomie. 17 janvier de 16h à 19h30, 21 janvier de 10h30 à 12h30, 31 janvier de 16h à 19h30 et 4 février de 10h30 à 12h30. Gratuit – À partir de 12 ans Tél. : 01 49 74 79 60.
ARTS PLASTIQuES Chaque samedi matin de 10h à 12h à la Maison du citoyen, l’association Les Mines des Couleurs propose aux enfants de 6 à 10 ans de peindre directement avec leurs mains ou avec des outils incongrus. Ils effectuent des expériences plastiques qu’on leur interdit à la maison, inventent des histoires incroyables en dessin et dessinent leurs grimaces en s’observant dans le miroir. Ils refont le monde et apprennent tout en s’amusant ! Renseignements au 06 61 59 88 59 (Aleksandra).
lundi 2/01 CINÉMA 14h30 – Vaïana, la Légende du bout du monde, animation de John Musker, Ron Clements. Dès 6 ans. Vf
18h – Cigarettes et Chocolat chaud, de Sophie Reine.
20h30 – La Fille de Brest, d’Emmanuelle Bercot.
EXPoSITIoN « Space Circus » L’installation « Space Circus » d’Angèle Riguidel fait oublier la réalité en vous plongeant dans d’autres dimensions, dans votre propre temps, votre enfance à travers des objets que vous connaissez certainement. Plongez, étourdissez-vous au son de la fête, émerveillez-vous de tous ces tours… Et après ? Après l’enfance, après la fête… Est-ce le monde que nous attendions ? Est-ce la vie dont nous rêvions ? Aller encore un tour !!! Jusqu’au 25 janvier Galeru et Galeru des Chemins
mardi 3/01 CINÉMA 18h – La Fille de Brest, d’Emmanuelle Bercot.
20h30 – Cigarettes et Chocolat chaud, de Sophie Reine.
EXPoSITIoN « 3 femmes, 3 expositions » Nicole Le Cam, Stojana Cymbler et Viviane Barzilai, trois femmes aux différentes expressions picturales présentent leurs dernières créations. Vernissage à partir de 18h30. Entrée libre. Jusqu’au 14 janvier Maison du citoyen
21h – Entre les frontières, de Avi Mograbi. Avant-première et rencontre avec Cheng Alon, protagoniste du film et le réseau francophone du Théâtre de l’opprimé (sous réserve).
MARIoNNETTES ET oBJETS Hors de moi. Libre adaptation d’un des magiciens de la littérature jeunesse, Toon Tellegen. Pour raconter cette touchante école de la tolérance, Grégoire Callies et Pauline Ribat imaginent une valise-forêt, entourée d’images vidéo qui déclinent les saisons, où s’animent objets et surprenantes marionnettes en métal. Compagnie Le Pilier des Anges À partir de 6 ans. Tarifs : 9 € - réductions : 7, 50 € - moins de 16 ans : 5 € Tél. : 01 82 01 52 02. www.lepilierdesanges 18h – Théâtre Roublot
NuMÉRIQuE Initiation au traitement de texte avec le logiciel Libre office. Gratuit – Débutants à partir de 12 ans Inscription au 01 49 74 79 60. 10h30 à 12h30 Médiathèque Louis-Aragon
BASKET-BALL Les minimes féminines du BCF affrontent Chevilly-Larue en coupe du Val-de-Marne.
16h – Gymnase Auguste-Delaune
VoLLEY-BALL Les féminines de l’USF reçoivent Montigny-le-Bretonneux (poule A régionale 2).
20h30 – Gymnase Colette-Besson
GYMNASTIQuE HoLISTIQuE L’association D’une empreinte à l’autre propose deux séances de gymnastique holistique (équilibre, tonicité, souplesse, détente). Inscription au 06 66 41 12 39 (Patricia). 10h à 12h et 12h30 à 14h30 Maison du citoyen
dimanche 8/01 CINÉMA 11h – Wallace et Gromit, animation de Nick Park. Dès 5 ans. Vf
15h – Personnal Shopper, de Olivier Assayas.
17h30 – Paterson, de Jim Jarmusch. Vostf
Fontenay | n° 134 – janvier 2017 | 13
BRuNCH EN MuSIQuE David Gastine invite la fine fleur du jazz manouche. Entrée libre. 11h30 à 15h – Le Comptoir
MARIoNNETTES ET oBJETS Hors de moi. Que faire de la colère qui surgit ? L’étouffer ? L’exprimer ? Adaptée de l’œuvre de Toon Tellegen, Grégoire Callies et la compagnie Le Pilier des Anges nous racontent cette touchante école de la tolérance. Compagnie Le Pilier des Anges À partir de 6 ans. Tarifs : 9 € - réductions : 7, 50 € - moins de 16 ans : 5 € Tél. : 01 82 01 52 02. www.lepilierdesanges 15h – Théâtre Roublot
RANDoNNÉE Rando cool, ouverte aux enfants : La coulée verte de Porte de Vanves à Montparnasse (8 km). Inscription au 07 83 39 12 70 ou par courriel à : [email protected]
KRIYA KuNDALINI YoGA Atelier kriya kundalini yoga, méthode destinée à amener l’individu à un état pur et radieux. Inscription au 06 22 15 28 83 (Yotham Baranes). 10h à 13h – Padma Studio
lundi 9/01 CAFÉ PoÉSIE Patrice Cazelles invite les amateurs de mots à une soirée poétique ouverte à toutes les expressions et oralités. Entrée libre. 20h – Maison du citoyen (Orangerie)
mardi 10/01 CINÉMA 18h – Paterson, de Jim Jarmusch. Vostf
20h30 – Personnal Shopper, de Olivier Assayas.
mercredi 11/01 CINÉMA 14h30 – Ballerina, animation e Éric Summer et Éric Warin. Dès 5 ans. Vf
18h – Manchester by The Sea, de Kenneth Lonergan. Vostf
20h30 – Le Ruisseau, le Pré vert et le Doux Visage, de Yousry Nasrallah. Vostf
Arnault Cuisinier (chant et composition), Armel Dupas (clavier), Edward Perraud (drums), Giani Caserotto (guitares). Tarifs : 16 € - réductions : 12 € - moins de 12 ans : 5 € Réservation au 01 48 75 64 31. www.musiquesaucomptoir.fr 18h – Le Comptoir
RANDoNNÉE Rando entre Seine et Yonne (20 km). Inscription au 07 83 39 12 70 ou par courriel à : [email protected]
FooTBALL L’USF accueille Villejuif US (Excellence 94). 15h – Stade Le-Tiec
RuGBY Les féminines de l’UBM 94 affrontent Sainte-Geneviève Sports Rugby (fédérale 2). 15h – Stade Octave-Lapize de Villiers-sur-Marne (rue Encontramento)
ADRESSES
CMs roger-salengro 40 bis, rue Roger-Salengro
espace Gérard-Philipe 26, rue Gérard-Philipe
Galeru Angle, rue Charles-Bassée et place du Général-Leclerc
Galeru des Chemins Sentier du Bois-Guérin-Leroux
Gymnase auguste-delaune 9-11, rue Pierre-Dulac
Gymnase Colette-besson 1, rue Henri-Wallon
Gymnase Joliot-Curie Avenue Rabelais
Maison du citoyen 16, rue du Révérend-Père-Aubry
Médiathèque louis-aragon 2, avenue Rabelais
Padma studio 1, rue Nungesser
salle Jacques-brel 164, bd de Gallieni
stade le-tiec 2, rue Gabriel-Lacassagne
théâtre roublot (Halle Roublot) 95, rue Roublot
NuMÉRIQuE Des clics et des bulles. Atelier numérique de création d’une BD. Gratuit – 8 à 14 ans Inscription au 01 49 74 79 60. 14h à 16h Médiathèque Louis-Aragon
VACCINATIoN GRATuITE Vaccination gratuite et sans rendez-vous à partir de 6 ans. Les mineurs doivent être accompagnés. Tél. : 01 49 74 76 56. 16h à 18h30 CMS Roger-Salengro
jeudi 12/01 CINÉMA 18h – Le Ruisseau, le Pré vert et le Doux Visage, de Yousry Nasrallah. Vostf
20h30 – Manchester by The Sea, de Kenneth Lonergan. Vostf
vendredi 13/01 CINÉMA 14h – Manchester by The Sea, de Kenneth Lonergan. Vostf
18h30 – Le Ruisseau, le Pré vert et le Doux Visage, de Yousry Nasrallah. Vostf
21h – Close Encounters with Vilmos Zsigmond, documentaire de Pierre Filmon. Cycle Le Chef op’ dans la lumière, rencontre avec le réalisateur.
EXPoSITIoN « Political poster Show » Les quelque 170 affiches des collections issues des archives de la Triennale de Mons en Belgique et les photos du collectif Frisko expriment clairement une prise de position politique et sociale. Elles soulignent les immuables questionnements de notre société. « L’affiche politique est une arme qui dénonce et rassemble. Elle garde le pouvoir de nous faire réfléchir et d’aiguiser notre sens critique de façon unique. » Entrée libre. Vernissage à partir de 18h30. Du mardi au samedi de 14h à 19h, le vendredi de 16h à 21h. Dimanche 22 janvier de 11h à 16h. www.fontenayenscenes.fr Jusqu’au 18 février Nef de la halle Roublot
oPÉRA CLANDESTIN La Vapeur au-dessus du riz. En résidence de création, pour Alexandra Grimal La Vapeur du riz « est une fable, traversée par le politique. Une symphonie pygmée. Des voix, extensions naturelles et sublimes des êtres incarnés ici, surgissent entre les sons, se diffractent, se rejoignent. La Vapeur au-dessus du riz affirme par le merveilleux sa résolution pacifiste. » Tarifs : 16 € - réductions : 12 € - moins de 12 ans : 5 € Réservation au 01 48 75 64 31. www.musiquesaucomptoir.fr 20h45 – Le Comptoir
samedi 14/01 CINÉMA 14h – Close Encounters with Vilmos Zsigmond, documentaire de Pierre Filmon. Cycle Cycle Le chef op’ dans la lumière.
16h15 – Ballerina, animation de Éric Summer et Éric Warin. Dès 5 ans. Vf
18h30 – Le Ruisseau, le Pré vert et le Doux Visage, de Yousry Nasrallah. Vostf
21h – Manchester by The Sea, de Kenneth Lonergan. Vostf
THÉÂTRE, VIDÉo, oBJETS L’Ombre de Tom. Le jeune Tom est effrayé par son ombre, cette chose toute noire qui le suit à chaque pas. Alors un soir, en rentrant de l’école, il se met à courir vite et l’abandonne sur le trottoir. Désespérée, celle-ci part à la recherche d’une autre personne… Et le temps passe. À partir de 3 ans. Compagnie Le Bel après-midi. Tarif : 6 € Réservation au 01 49 74 79 10. www.fontenayenscenes.fr 18h – Espace Gérard-Philipe
NuMÉRIQuE Samedis appliqués. Un samedi par mois, découvrez les applications pour tablette, sélectionnées par les bibliothécaires. Venez jouer seul, en famille ou entre amis. Gratuit – Enfants seuls et accompagnés à partir de 5 ans Tél. : 01 49 74 79 60. 10h30 à 12h30 Médiathèque Louis-Aragon
ASSEMBLÉE GÉNÉRALE Assemblée générale de la Croix-Rouge Française locale, suivie d’un pot de l’amitié. 10h à 12h – 11, rue Michelet
RINK-HoCKEY Les filles du Sporting accueillent une journée du championnat de nationale 1. Les Fontenaysiennes vont se mesurer au club de Mérignac à 16h, puis au HR Aix-les-Bains à 21h. 16h – Gymnase Léo-Lagrange
BASKET-BALL Le BCF affronte l’AS Créteil (départementale). 20h30 – Gymnase Auguste-Delaune
HANDBALL L’USF sera opposé à Joinville HB 2 (honneur départemental). 20h30 – Gymnase Joliot-Curie
YoGA ENFANT Atelier de yoga pour les enfants. Inscription au 06 14 09 07 96 (Margaux Lecolier). 15h à 16h – Padma Studio
dimanche 15/01 CINÉMA 15h – Manchester by The Sea, de Kenneth Lonergan. Vostf
17h30 – Le Ruisseau, le Pré vert et le Doux Visage, de Yousry Nasrallah. Vostf
20h30 – Ces garçons qui venaient du Brésil, de Franklin-J. Schaffner. Ciné-club, Ciné Parano, épisode 4, répertoire. Séance décryptée par un intervenant de l’ASTS, historien.
THÉÂTRE Chute d’une nation. En quatre épisodes successifs (neuf heures, entractes compris), Chute d’une nation est une épopée au cœur de la politique. Elle raconte la fragilité de la démocratie et les responsabilités de chacun. Tarifs : 19 € - réductions : 12 € - moins de 25 ans : 8 € Réservation au 01 49 74 79 10. www.fontenayenscenes.fr 13h – Salle Jacques-Brel
CHANSoNS RoCK Arnault Cuisinier : The Dawn. Soirée rock pour Arnault Cuisinier dont le prochain album Follow Poets est prévu en 2017.
14 | n° 134 – janvier 2017 | Fontenay
L’ACtU
Une approche globale de l’enfant
Delphine Maunier (27 ans), diplô- mée en 2014, est éducatrice de jeunes enfants à la crèche des Grands-Chemins. Née à La Réu- nion, elle suit ses études supérieures à Nice, avant de décrocher ce poste à Fontenay. Avec un deug en langues étrangères appliquées en poche et une licence en sciences de l’éduca- tion, elle découvre en cours d’études cette profession et décide d’en faire son métier. « Ce qui m’a décidée à m’en- gager, c’est l’approche globale de l’en- fant. C’est-à-dire la prise en compte de tout ce qui le constitue, en lien avec sa famille, et qui va nous aider à sa prise en charge afin que celle-ci puisse être la plus adaptée possible à ses besoins. » Imposé par la PMI et contrôlé par la CAF, les crèches sont tenues d’avoir dans leur personnel un, voire deux, éducateur de jeunes enfants. Aux
Grands-Chemins, qui accueille 60 ber- ceaux, trois EJE exercent aux côtés des auxiliaires de puériculture, dont fait partie Sandrine Applincourt (54 ans) depuis vingt-neuf ans. Elle a passé, vu son expérience et ses acquis profes-
sionnels, son diplôme d’éducateur de jeunes enfants par le biais de la vali- dation des acquis et de l’expérience (VAE) en 2010. « Ce métier n’est pas suffisamment connu, reconnaît-elle.
Quand on travaille dans une structure importante comme les Grands-Chemins, il est difficile pour les parents d’appré- hender qui fait quoi dans la mesure où nous sommes toutes, y compris moi, auprès des enfants. Mais au bout d’un certain temps, ils apprennent à nous connaître et à nous cibler tout au long des trois années pendant lesquelles nous accueillons leurs enfants. »
Le projet pédagogique
Une crèche n’est pas un mode de garde, mais un lieu d’accueil avec des valeurs. Corinne Danek, responsable de la Petite enfance, souligne l’impor- tance du projet pédagogique dans la vie d’une crèche. « Il s’agit d’une pièce maîtresse parmi tous les documents pré- sentés à la PMI afin d’obtenir un agré- ment pour l’ouverture de la structure. » Grâce à des connaissances en psycho- logie et techniques éducatives et un référentiel en management pouvant leur permettre d’occuper des postes de direction, les EJE introduisent au sein des équipes des notions péda-
gogiques et assurent l’application du projet établi au sein de chaque crèche et réactualisé tous les cinq ans. Au Grands-Chemins, chaque auxiliaire de puériculture est référent d’un groupe d’enfants, alors que les éducatrices de jeunes enfants assurent une rota- tion régulière dans chacune des sec- tions. « Nous procédons toutes les trois à un roulement dans les trois sections, explique Sandrine Applincourt. Une semaine chez les bébés, celle d’après chez les moyens, et la suivante chez les grands. Cela nous permet de prendre du recul et de mieux observer. En quinze jours, nous sommes en capacité de voir si un enfant est en difficulté, si un autre a grandi… De plus, cette organisation nous permet de nous rencontrer, de travailler ensemble, en particulier sur le projet éducatif. » Tout sourire, Delphine Maunier assure que sa fonction « est un métier multi- tâche où il faut faire preuve de compé- tences dans plusieurs domaines, avoir un esprit analytique pour appréhender rapi- dement ce qui se passe sur le terrain afin de répondre au mieux aux besoins des enfants, des familles et des collègues ». Claude Bardavid
Le métier d’éducateur de jeunes enfants (EJE)  en crèche souffre encore d’un manque de  connaissance et de reconnaissance. Il participe pourtant pleinement à l’éveil des tout-petits.
« C’est un métier multitâche où il faut faire preuve de compétences dans plusieurs
domaines »
Delphine Maunier (à droite) est éducatrice de jeunes enfants à la crèche des Grands-Chemins.
Fontenay | n° 134 – janvier 2017 | 15
en breF
Croix-Rouge L’assemblée générale de la Croix-Rouge française de Fontenay-sous-Bois aura lieu le samedi 14 janvier, de 10h à 12h, dans son local (11, rue Michelet). elle sera suivie d’un pot de l’amitié.
Enquête de l’Insee Jusqu’au 16 septembre 2017, l’insee réalise une enquête appelée « Budget de Famille ». objectif : connaître le poids des grands postes de dépenses dans le budget des foyers. Ainsi, elle permet de comparer les niveaux de vie et les choix de consommation des diverses catégories de ménages. Dans notre ville, quelques familles seront sollicitées par courrier. Un enquêteur de l’insee, muni d’une carte officielle l’accréditant, les contactera et se présentera à leur domicile. Renseignements : Julie Schmitz, responsable du recensement de la population au 01 71 33 58 27 ou au 01 49 74 53 05.
Réviser le bac français et maths Pour préparer le bac, le Point information jeunesse (PiJ) propose une session de révisions en français et une en mathématiques à la Maison du citoyen et de la vie associative. Ces deux séances, encadrées par des intervenants qualifiés, sont gratuites et ouvertes aux Fontenaysiens quel que soit leur lieu de scolarité. Celle de français se déroulera du 6 au 10 février pour les élèves de premières générale et technologique. La session de maths du 7 au 10 février pour les lycéens de terminales générale et technologique. Attention ! Le nombre de places est limité, alors inscrivez-vous au plus vite auprès du Service municipal de la jeunesse, place du 8-Mai-1945. Tél. : 01 49 74 76 81.
Campagne d’hiver Depuis le 21 novembre, les bénévoles de l’antenne fontenaysienne  des Restos du cœur sont à pied d’œuvre pour aider les plus démunis.
restos du Cœur. « Bénéficiaire du RSa, j’obtiens l’aide des Restos depuis 1994. Je viens aux distributions alimentaires une fois par semaine. » À l’image de cette Fontenaysienne, maman célibataire de trois enfants, ils sont nombreux ce matin à venir braver le froid glacial du mois de décembre pour faire la queue devant le 2 rue Alfred-de-Musset. Dans ce petit local de 150 m², la cin- quantaine de bénévoles s’affaire pour la 32e campagne des Restos du cœur, qui a débuté le 21 novembre dernier. Comme chaque année, elle durera près de seize semaines. Tout l’hiver, environ 450 familles dans le besoin bénéficieront de denrées ali- mentaires, de produits d’hygiène et de vêtements… mais pas seulement ! « Évidemment, l’aide alimentaire est la partie émergée de l’iceberg », explique Marilène Cayre, responsable du centre local. « Nous aidons également les bénéficiaires sur le plan administra- tif, en les accompagnant dans l’acquisi- tion de leurs droits. Dans le cadre d’un partenariat avec la CPaM, une psycho- logue professionnelle vient passer huit demi-journées au centre pour soutenir
les personnes qui en ont besoin. Enfin, nous proposons des cours de français une fois par semaine. »
appel aux dons et aux bénévoles
La ville fournit à l’association le local de deux étages et sa chambre froide. Quatre fois par semaine, elle met aussi une camionnette à la disposi- tion de l’équipe afin qu’elle fasse une ramasse de denrées à Auchan (Val- de-Fontenay). Une fois par semaine, un chauffeur accompagne quelques bénévoles en camion jusqu’à Run- gis pour qu’ils collectent les pro- duits livrés par l’antenne nationale des Restos. Mais pour fonctionner, l’association a aussi besoin de dons et de bénévoles. « Il nous faut tous les jours entre 22 et 25 personnes sur les activités liées à l’aide alimentaire », détaille Marilène. « Quatre personnes assurent les cours de français et trois les aides administra- tives. Une d’entre elles est spécialisée dans le microcrédit et l’accompagne- ment à la gestion du budget. » Collecte, distribution, préparation, manutention, gestion des stocks…
La polyvalence semble le maître- mot pour ceux qui décident de s’investir. Motivation et envie de donner sont les deux seules com- pétences requises. Bruno, bénévole depuis cinq ans, gère une société d’événementiel. Pouvant travailler à distance, il a décidé de consacrer son temps libre à la communauté. Quant à Jean-Pierre, investi depuis près de six ans, il avoue avoir eu un « flash » : « Quand je me suis retrouvé à la retraite, je prenais mon petit-déjeu- ner devant la télé, et j’avais tendance à passer mes journées en pyjama. J’ai vite pris conscience que je ne pouvais pas continuer ! Ici, j’ai plaisir à m’ap- peler le joker. Je collabore à la ramasse, je conduis la camionnette quand il le faut, et je confectionne même des éta- gères pour le local. Le travail est loin d’être monotone ! » Il est en revanche indispensable afin de toujours mieux accompagner les plus démunis vers l’inclusion sociale. Anthony Guidoux
Restos du Cœur 2, rue Alfred-de-Musset Tél. : 01 48 76 73 02.
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Fontenay | n° 134 – janvier 2017 | 17
« Il entame une carrière aussi brillante que réussie, alternant nominations
prestigieuses, enseignement et publications scientifiques »
C’est une curieuse histoire que celle d’Émile Bertaux, né Fonte- naysien par les hasards de la vie et mort pour la France en 1917. Celle d’un intellectuel de haut vol, que la passion pour l’histoire de l’art et ses connaissances ont conduit fortuite- ment à mourir à la guerre. Il est issu d’une famille de la bonne bourgeoisie. Son père, Ernest, est un gros négociant parisien originaire du Nord de la France. L’acte de naissance conservé au service des Archives municipales de Fontenay-sous-Bois précise qu’Émile Auguste Joseph Ber- taux a vu le jour le dimanche 23 mai 1869 à sept heures et demie du matin. C’est dans une maison située au numéro 3 du boulevard des Écoles (aujourd’hui bd André-Bassée) que s’est produit cet heureux évènement. L’acte précise que les parents du nou- veau-né sont ordinairement domici- liés à Paris au 22 rue de l’Échiquier dans le Xe arrondissement, mais qu’ils « demeurent momentanément » à Fontenay. Les hasards de la vie font donc du petit Émile un Fontenaysien de naissance.
Une bonne étoile
À voir son parcours, on peut penser qu’il est né sous une bonne étoile. Il fréquente des établissements sco- laires prestigieux, dont l’école privée catholique Sainte-Croix de Neuilly, puis le lycée Condorcet, un des plus anciens et renommés de la Capitale. Travailleur et talentueux, il y acquiert une solide culture classique en y étu- diant les humanités. Grec ancien, latin et italien n’ont pas de secret pour lui. Il est admis à l’École nor- male supérieure de la rue d’Ulm et obtient l’agrégation de lettres à l’âge
Portrait d’Émile Bertaux par Ramon Casas, Musée national d’art de Catalogne.
Maison natale d’Émile Bertaux à Fontenay-sous-Bois de nos jours.
CENTENAIRE DE LA GRANDE GuERRE
histoiRe
de 25 ans. Il entame alors une car- rière aussi brillante que réussie, alternant nominations prestigieuses, enseignement et publications scien- tifiques. Il devient professeur d’his- toire de l’art à la Sorbonne, spécialiste du patrimoine chrétien médiéval. Il écrit divers articles, en italien et en français sur l’art de la péninsule ita- lique durant le Moyen Âge. À l’été 1901 à Paris, il épouse Jeanne, la fille de son collègue de la Sorbonne : Gustave Larroumet. Émile Bertaux devient en 1909 directeur d’études au tout nouvel Institut français de Flo- rence, puis est nommé premier direc- teur du musée Jacquemart-André en 1912. Il est reconnu comme l’un des plus éminents intellectuels de l’époque.
mobilisé comme lieutenant-interprète
Lorsque la guerre éclate, il a déjà 45 ans, un âge où l’on n’est pas affecté au front. Du fait de ses connais- sances, il est mobilisé comme lieu- tenant-interprète dans l’état-major de sa division. Devenu capitaine, il prend la tête du service de rensei- gnement de la toute nouvelle direc- tion : l’aéronautique. Passionné par cette nouvelle arme, il franchi le pas en 1915 et devient aviateur. Maîtri- sant parfaitement la langue de Dante, il effectue plusieurs missions sur le front austro-italien. Il prend part à la terrible et sanglante bataille de Gorizia dans le secteur très dis- puté du fleuve Isonzo, à la limite de la Slovénie. Il voit de son avion l’ef- frayante réalité de cet affrontement titanesque au cours duquel périssent des centaines de milliers d’hommes. Il perçoit à la fois le désespoir des sol-
Émile Bertaux : Fontenaysien, normalien et historien
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dats italiens, mais comprend aussi les revendications irrédentistes du poète Gabriele D’Annunzio qu’il fré- quente alors.
écrivain mort pour la France
En 1916 il est de retour en France et effectue de nombreuses missions de reconnaissance sur le front. C’est lors de l’une d’elles, au-dessus de la Somme, qu’il contracte une mala- die en service. En l’absence d’anti-
biotiques, non encore inventés, il est emporté à Paris, le 8 janvier 1917, d’une bronchopneumonie. Il est inhumé dans le cimetière de Villec- resnes au côté de son beau-père. Son nom figure sur la plaque en mémoire des écrivains morts pour la France du Panthéon. / Loïc Damiani
Samedi 7 janvier, à 10h30, au 3, boulevard André-Bassée aura lieu une cérémonie afin d’honorer la mémoire d’Émile Bertaux.
18 | n° 134 – janvier 2017 | Fontenay
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TENNIS DE TABLE Petite pose photo pour Stéphanie Jourdain, Laura Blanco et Stéphanie Molinier (Maguy De Almeida et Anaïs Levêque étaient absentes) en attendant la N1.
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Elles l’ont fait. Cinq ans que les filles de l’USF attendaient ça. Cinq ans durant lesquels, elles jouaient les Poulidor de la petite raquette en nationale 2 avec dix places consé- cutives de deuxièmes (chaque saison se découpe en deux championnats). Stéphanie Jourdan, entraîneur- joueuse de l’équipe A de l’USFTT : « Je crois pouvoir dire qu’on avait fait le tour de la N2… » Dimanche 4 décembre, les expertes fontenaysiennes ès effets spéciaux avaient de la pyrotechnie plein les raquettes et un mental de feu pour s’orbiter en nationale 1. Après quatre heures et demie de lutte achar- née, dans une ambiance bouillante, « même les baby-pings étaient survoltés dans les bras de leurs parents », Decau- dain a enfin pu exploser de joie. Une émotion format panoramique, tout en décibels. La N1 est là…
Les belles de match
Laura Blanco, l’une des deux semi- professionnelles de l’équipe, treize ans de salle Decaudain dans ses
mains chaudes, aura conclu les hos- tilités dans un contexte mental du domaine de la sueur froide. Explica- tions de l’intéressée : « Lors de mon premier match, je mène 1 set à 0 et 10 à 7 dans le deuxième. Mon adversaire met alors une balle haute sur mon coup droit. Je vendange et perds le match dans la foulée… » Sur la confrontation de la gagne, le scénario est un faux jumeau : « Je mène 10 à 7, nous sommes à 1 set partout, et c’est une balle haute qui arrive sur mon coup droit… » Sté- phanie Jourdan, qui était alors en pleine joute, ouvre une parenthèse pour chambrer sa jeune coéquipière : « Le coup droit, ce n’est vraiment pas son point fort à Laura ! Et une fois, elle s’est évanouie lors d’un match coupe- ret ! » Laura poursuit : « La balle arrive, et j’ai tout le temps de me dire : je vais la rater, je vais la rater… » Mais Laura fait pan ! « Je claque en diagonale et dieu merci : ça passe. » La délivrance. Stéphanie Jourdan : « J’ai entendu une énorme clameur et vu tout le monde bondir. J’en ai lâché ma raquette ! On est tombées dans les bras les unes des
autres. C’était intense. Nous n’étions pas favorites contre Rennes, mais on était en mode rageuses. Une centaine de supporters étaient là pour nous porter. Et dire que Laura et Camille Molinier revenaient de vacances en Guade- loupe… »
Les cinq mousquetaires
Camile Molinier a connu la longue épopée des deuxièmes places de A à Z : « C’est la victoire de cinq amies avec Maguy De almeida, formée au
club, et anaïs Levêque, recrutée il y a deux ans, élément du top 100, et qui nous a donné le bon ton en entamant la confrontation avec ses sensations du
temps où elle faisait partie des 50 meil- leures joueuses françaises. » Stéphanie Jourdan : « On doit aussi notre vic- toire à Danijela Grkovic, qui nous fait répéter nos gammes à l’entraînement. C’est un peu notre maman à toutes et à tous au club. » Le président Dague de conclure, toujours pointu : « Cette montée en N1 est une juste récompense pour les joueuses et le club. Depuis quatre ans, nous menons une politique très volontariste pour développer le ten- nis féminin à l’USFTT. Ça fonctionne, puisque nous avons doublé le nombre de licenciées entre 2013 et 2016 (de 35 à 70). L’équipe a joue un rôle de modèle pour les jeunes joueuses ; qu’elle monte en N1 va susciter des vocations ! Notre objectif à court terme est de nous main- tenir en N1. À moyen terme, nous vise- rons la montée en pro B. Il nous faudra trouver un partenaire financier pour cela, ce qui n’est pas simple dans le contexte. Mais avec des adhérents en nombre, des équipes qui gagnent, des entraîneurs et des dirigeants motivés, la météo de l’USFTT est au beau fixe ! » Dans le sous-sol de la salle Decau- dain, c’est plein soleil ! On en pro- fite pour dire au revoir à Christophe Dague, en partance après un quin- quennat de présidence impeccable. / Christophe Jouan
« On doit aussi notre victoire
à Danijela Grkovic, qui
l’entraînement » Stéphanie Jourdan
Des filles de feu L’équipe A féminine de l’USF tennis de table  a enflammé Decaudain en décembre dernier. 
Fontenay | n° 134 – janvier 2017 | 19
Sylvain Flender a appris le Pencak Silat auprès de maître Pougari, un Indonésien. On est dans une pratique traditionnelle…
PenCak silat. Sylvain Flender entre dans le vif du sujet : il entame son jurus (technique), scandant le nom des coups en indonésien. Les élèves aguerris suivent, les débutants s’y escriment ; comprenez : tous les niveaux sont mélangés pour une meilleure osmose de groupe. Il dit : « Vos mains protègent toujours votre axe central. » Il dit : « On se protège d’abord en se déplaçant. » Il dit : « Le Pencak Silat imite les animaux ; dans les jurus, on finit tou- jours par chercher la tête, tel un prédateur dans le monde animal... » Le Pencak Silat, littéralement l’art du combat éclair, est en effet réputé pour son efficacité... « Si l’on applique les techniques au plus direct, c’est un excellent self-
defense. Cependant, le Pencak Silat m’a séduit par sa dimen- sion traditionnelle, spirituelle, avec ses techniques de transe animale [ndlr : le Silat de Sylvain repose en partie sur l’ha- rimau, le style du tigre, originaire de Sumatra]. C’est avant tout un art, qui plutôt que de détruire l’autre, vise d’abord à se construire. » Parole d’anthropologue. Pour la petite his- toire, Sylvain Flender a été initié au Silat il y a vingt ans, à l’occasion d’un voyage d’études sur le chamanisme du sud-est asiatique. Le Pencak Silat, à découvrir le mardi en soirée à la Maison du citoyen. / CJ
Le mardi de 20h30 à 22h à la Maison du citoyen. Tél. : 06 64 86 75 63. Tarif : 140 €
aPnée. La discipline est relative- ment nouvelle vague. Franck Lepage, entraîneur fédéral : « Rien n’exis- tait pour encadrer l’apnée au sein de la Fédération des sports sous-marin il y a encore vingt ans. » Palmes aux pieds, masque ajusté, à son groupe de nageurs de l’USF, parés pour une séance d’apnée dynamique (en mou- vement) : « Nous allons commencer par des séries de 25 mètres. Puis nous monterons à deux longueurs de bas- sin en nage autosurveillée (ndlr : les apnéistes nagent en binôme, l’un surveille l’autre), avant de passer à deux virages... » Les aventuriers du souffle se concentrent. Les respira- tions s’allongent, se font profondes. « 5, 4, 3, 2, 1, top ! » Immersion. Sous
l’eau, les apnéistes ondulent comme des poissons. Avant la plongée, celui dont le cœur bat à 42 pulsations/ minute au repos, signalait : « L’apnée est un sport tranquille. Moins on fait d’efforts, plus on tient longtemps. » Sur les effets physiologiques : « Le corps envoie l’oxygène en priorité dans les organes vitaux. Le taux de CO
2 aug-
mente dans le sang. Nous luttons alors contre l’hypoxie (manque d’oxygène). Visualiser des images apaisantes aide... L’apnée respire la zénitude... » Une session d’apnée statique conclut la séance. Franck Lepage tient plus de quatre minutes… / CJ
L’autre club de plongée fontenaysien, la Bulle, pratique également l’apnée.
Au bout du souffle
en breF
uSF short track Première sélection pour Clément Florac Clément Florac a fêté sa première sélection en équipe de France seniors de short track en décembre dernier ! Résultat : Clément a pris l’avion pour shanghai (Chine), puis Pyeongchang au Pays du matin calme (Corée du sud), soit la patinoire de vitesse des Jo d’hiver de 2018. on frissonne pour le jeune patineur de vitesse de l’UsF. À noter que Miss Millième de seconde, Aurélie Monvoisin, n’avait pas été retenue en équipe de France de relais féminin. on l’espère d’attaque alors que 2017 sera préolympique.
Karaté Habitués des podiums eudes Uliengue n’avait pas fait parler de lui depuis dix-huit mois. normal, il était absent. Pour son retour, il n’a pas dérogé à ses habitudes en gravissant les marches d’un podium. Une seule pour être précis : celui de la coupe de France cadets-juniors à Carpentier en décembre dernier. De son côté, hazem Dawoud continue à tracer sa voie en décrochant également l’argent chez les - 52 kg. Le team UsF karaté a glané 12 médailles dans sa première partie de saison contre 4 l’année dernière au même stade. À noter que le club a été choisi par la Fédération mondiale de karaté pour illustrer une vidéo de promotion des Jeux olympiques de la jeunesse de 2018 à Buenos Aires.
Tennis Les deux font la paire Romain Boudon classé 4/6 et Antoine Gautier classé 5/6 se sont imposés 3 à 0 en finale des championnats du val-de-Marne contre les joueurs de Le Perreux dans la catégorie des 15-16 ans. Grâce à cette victoire, ils vont pouvoir participer aux championnats de France. Les filles se sont quant à elles inclinées en finale.
La voie animale
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Né dans une famille musi- cienne, Fabrice Moreau n’était pourtant pas destiné à réson- ner en caisse claire. Le dessin et la peinture devaient être son acadé- mie, mais c’est un « besoin physique de rythmes, de mouvements » qui lui a permis d’abandonner les brosses pour les baguettes. C’est devenu une véritable passion avec toujours l’élé- gance de la touche. Du frais sur frais… En résidence cette saison au Comp- toir, le sideman jazz si recherché s’est mis à la composition. « Les résidences au Comptoir durent quelques jours. En ce qui concerne Fabrice, après l’avoir
entendu avec le trio Viret, nous nous sommes interrogés sur le fait qu’il n’ait, au-delà de son talent, pas de forma- tion sous son nom, pas encore livré ses propres compositions », précise Sophie Gastines, directrice à la programma- tion et des résidences du Comptoir. Jean-Philippe Viret, avec lequel il joue en trio, connaît ses qualités : « C’est à la fois un magnifique musicien et un artiste. Il arrive à gérer son talent d’instrumentaliste énorme sans se faire dévorer par l’instrument. Fabrice nous apporte beaucoup de rigueur ! » Et pour le batteur de tenter l’expérience : « J’avais besoin de me construire une
maison musicale, et cette résidence de création au Comptoir est une belle période artistique. La salle est idéale, l’atmosphère aussi, c’est un lieu dans lequel on se sent bien. Il n’y a pas d’es- thétique imposée, tout semble ouvert à la création. J’avais des morceaux en sommeil, et je passais de sideman à compositeur et jouais en quartet, quin- tet avec des musiciens que je connais- sais et d’autres pas, comme le guitariste cubain Nelson Véras : un génie. Lors des différentes sessions, l’alchimie s’est faite, tout a fonctionné. Dès le début, c’était très exaltant et on a su en déve- lopper les enthousiasmes. »
« composer, écouter, recomposer »
Franck Bergerot, pour Jazz Maga- zine, a assisté au « sidérant » concert du 9 décembre : « Un son d’orchestre nous donnant souvent le sentiment d’en- tendre le double de son effectif, le tout finement crocheté avec cet art de den- telière propre à ce batteur qui n’a pour- tant rien oublié du swing, du drive, du
groove, de toutes ces sortes de choses que l’on attend de son instrument. » Pour Fabrice Moreau, tout s’harmonise. « J’avais déjà une forme de poésie, mais il me fallait plus de rigueur pour que tout s’équilibre. Composer, écouter, recompo- ser. Pour avancer, il faut toujours une part de doute, avec plaisir et sincérité », confie le musicien. « Je ne veux pas pré- voir. au début, en répétition, on a joué très lentement la partition. Toutes les notes étaient là. J’accorde cependant une grande liberté aux musiciens, pas par dépit mais pour apporter du dynamisme. J’aime les temps de suspension, l’efface- ment, les phases suggérées. Ce n’est pas forcément bavard, car on n’a pas besoin de tout dire pour se faire comprendre. Il faut laisser des espaces dans l’accumula- tion, mais il faut que tout cela respire. » Question trac d’avant-scène Fabrice Moreau a trouvé le remède. « avant mes concerts en tant que sideman, il me refroidissait, j’étais hors de mon monde. aujourd’hui, il y a de l’anxiété, mais c’est mon pays, ma langue, mon monde. » / Didier Vayne
Fabrice Moreau, batteur en suspension Autodidacte, ambidextre selon certains,  doué pour d’autres, Fabrice Moreau, batteur  remarqué et remarquable a accompagné les  grands noms de la chanson française avant  de fréquenter ceux du jazz. Il est en résidence  cette saison au Comptoir.
JAzz « Il arrive à gérer son talent d’instrumentaliste énorme sans se faire dévorer par l’instrument. » J.-P. Viret.
CULtURe
Fontenay | n° 134 – janvier 2017 | 21
ConCert. Un samedi après-midi à la médiathèque Louis-Aragon. À travers les rayonnages du pôle musique résonnent la voix chaude de Seban, ses notes de guitare ainsi que celles de son accompagnateur. Certains spec- tateurs ont fait spécialement le déplacement. D’autres, venus simplement emprunter un document se sont lais- sés hypnotiser par son « folk blues belge à la française », tout un programme ! C’est dans le cadre du Kiosque musique que ce concert était organisé. « La formule a été mise en place en 2010, nous apprend Guillaume Salvaing, assistant principal patrimoine. L’idée est de permettre aux Fontenaysiens musiciens amateurs de bon niveau de trou- ver un lieu d’expression, de leur donner l’opportunité de se produire en public et d’acquérir une expérience scénique. La pratique amateur est très riche à Fontenay. » Un ou deux kiosques sont organisés par trimestre. Autant d’occa-
sions de mettre en avant l’impressionnant fonds du lieu : environ 39 000 CD, 1 000 DVD musicaux, 4 500 partitions. D’une durée de 45 minutes à une heure, l’entrée y est gra- tuite. « Si les musiciens ne sont pas rémunérés, nous faisons tout de même en sorte de les accueillir avec chaleur. Nous leur prêtons la salle Senghor qu’ils peuvent utiliser comme loge et lieu de chauffe. Notre objectif est que la médiathèque puisse être identifiée comme un lieu de pratique musicale vivante à la fois par le public et par les artistes. » Prochain kiosque le 25 février avec le duo « jazz, rock, pop, blues », Treïma. / Séb. S.
Pour postuler, envoyer vos démos (liens) à : [email protected] ou [email protected]. Blog musical de la médiathèque : https://semelazic.wordpress.com/
en breF
Samedi 7 janvier - 18h Dimanche 8 janvier - 15h Théâtre Roublot Hors de moi Libre adaptation de l’œuvre de toon tellegen, Hors de moi évoque le droit à la colère, mais à une colère salutaire. elle peut apaiser, lier, dénouer les conflits, faire rire aux éclats… Grégoire Callies et Pauline Ribat ont imaginé « une valise-forêt, entourée d’images vidéo qui déclinent les saisons, où s’animent objets et surprenantes marionnettes en métal ». Compagnie Le Pilier des Anges À partir de 6 ans. Tarifs : 9 € - réductions : 7, 50 € - moins de 16 ans : 5 € Réservation au 01 82 01 52 02.
Vendredi 13 janvier - 20h45 - Le Comptoir La Vapeur au-dessus du riz en résidence jazz, Alexandra Grimal raconte une fable traversée par le politique. Une histoire simple aux ramifications complexes : celles du passage d’un monde à l’autre, de l’émergence d’une pensée. « Une symphonie pygmée. Des voix, extensions naturelles et sublimes des êtres incarnés ici, surgissent entre les sons, se diffractent, se rejoignent. La Vapeur au-dessus du riz affirme par le merveilleux sa résolution pacifiste. » Alexandra Grimal (saxophones, voix), Lynn Cassiers (électro, voix), Bruno Chevillon (contrebasse, voix), Théo Ceccaldi (violon, alto, voix), Sylvaine Hélary (flûtes, voix). Tarifs : 16 € - réductions :  12 € - moins de 12 ans : 5 € Réservation au 01 48 75 64 31.
Dimanche 15 janvier - 13h - Salle Jacques-Brel L’ombre de Tom Cette création de Bénédicte Guichardon, pour la compagnie Le bel après-midi, est librement inspirée de l’album Tom et son Ombre de Zoé Galeron. Ce conte poétique raconte l’histoire d’une ombre abandonnée sur le bord de la route par un petit garçon, tom. Désespérée, elle part à la recherche de quelqu’un qui n’aurait pas d’ombre… À partir de 3 ans. Tarif : 6 € Réservation au 01 49 74 79 10.
La médiathèque part en live !
théâtre. Chute d’une nation est une série théâtrale, sorte de feuille- ton épique et politique. Elle raconte la fragilité de la démocratie, des enga- gements politiques, des respon- sabilités et de la peur des hommes face à des choix qui vont modifier l’Histoire. En quatre épisodes (neuf heures, entractes compris), vous sui- vrez le parcours de Vampel, député de l’Union de gauche. Avec son équipe, ils sont amenés à se présen- ter aux élections présidentielles pri-
maires, jusqu’à l’improbable second tour contre un candidat extrémiste, moment où l’Histoire semble déra- per inéluctablement. Yann Reu- zeau, auteur-metteur en scène : « Il s’agit pour moi d’explorer les choix de quelques hommes à un moment où l’His- toire bascule, de les interroger sur leurs engagements, leurs convictions quand l’Histoire commence à s’écrire sous leurs pas, par leurs mots, par leurs actes dans un évènement d’une gravité extrême. » Cette fiction est aussi une façon de
parler de la démocratie d’hier et de demain et de ceux qui la font, qui la feront. En lien avec cette pièce, l’ex- position « Political Poster Show » se déroulera du 14 janvier au 18 février dans la nef de la halle Roublot. / DV
Dimanche 15 janvier, 13h, salle Jacques-Brel. Tarifs : 19 € - réductions : 12 € - moins de 25 ans : 8 € Réservation au 01 71 33 53 35. www.fontenayenscenes.fr
Quand la démocratie bascule
Vos droits
La médiation familiale et la question du logement au moment d’une séparation Questions à Karla Martins, médiatrice familiale de l’Association pour le couple et l’enfant du Val-de-Marne (APCE 94) au Point d’accès au droit et à la médiation (PADM).
Quel est l’intérêt d’une médiation familiale dans le cadre d’une séparation de couple ? La médiation familiale est un processus de résolution amiable du conflit. On peut y recourir, entre autres, à l’occasion d’une séparation, que l’on soit marié, pacsé ou en concubinage. Elle aide au rétablissement du dialogue et accompagne l’organisation de la séparation.
Que peut-elle apporter plus particulièrement quand la séparation n’est pas encore suivie de la décohabitation ? une séparation demande du temps pour différentes raisons : difficultés pour adopter une nouvelle organisation, notamment pour les enfants, difficultés financières ou pour trouver un nouveau logement... Elle implique un temps de cohabitation plus ou moins long dans le logement familial avant qu’une décohabitation soit possible. Cette période est souvent difficile pour les personnes séparées qui doivent continuer à vivre sous le même toit. Elle nécessite généralement de nouvelles règles de cohabitation : un aménagement de l’espace et du temps de chacun dans le logement, une organisation autour des enfants, la préservation de l’intimité de chacun, etc. La médiation familiale peut accompagner cette période en aidant à l’organisation du quotidien dans le logement. Elle propose aux personnes un espace d’échanges dans un lieu neutre, en présence d’un médiateur familial qui veille à faciliter le dialogue entre elles. Celui-ci travaille avec les besoins de chacun, s’assurant que des décisions se prennent dans le respect mutuel.
comment solliciter une médiation familiale ? La médiation familiale débute par un entretien d’information, individuel ou en commun. Pour les Fontenaysiens, cet entretien a lieu au PADM. Il est gratuit. Puis les personnes se rencontrent pour une ou plusieurs séances de