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Au Naturel, edition no25 Décembre-Janvier 2009TRANSCRIPT
Decembre-Janvier 2009
font bon ménage
Fabriquer son « casse-grippe »Roland Tremblayun homme de passionLe pouvoir de l’homéopathie
Saison froide et thé vert
Decembre-Janvier 2009
font bon ménage
Saison froide et thé vert
Fabriquer son « casse-grippe »
Roland Tremblayun homme de passion
Le pouvoir de l’homéopathie
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sommairesanté - 7
Forme en bref 7
Santé en bref 8
Roland Tremblay, un homme pour qui les plantes n’ont plus de secrets 10
Le pouvoir de l’homéopathie 13
Fabriquer son « casse-grippe » 15
Saison froide et thé vert font bon ménage 16
La colite ! Stress ou allergies ? 17
nUtRItIOn - 19
Les meilleurs restos santé du Québec 19 Nutrition en bref 24
COnsCIenCe glObale - 25
L’art du Chi 25
Renouer avec son couple en ce temps des fêtes…26
Huit façons d’éveiller le potentiel en vous 27
Décembre-Janvier 2009
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par l’éditeur. Les informations contenues dans les articles de la section santé ne remplacent nullement l’avis d’un professionnel de la santé.
SANTÉ
Facile, mais efficace !Sortez la « corde à danser » pour un entraînement cardio rapide, efficace et peu coûteux ! Le saut à la corde est l’une des activités physiques permet-tant de brûler beaucoup de calories en un minimum de temps. Une séan-ce d’une quinzaine de minutes équi-vaut à 45 minutes de ski. Il n’y a pas que le système cardiovasculaire qui profite de cet exercice. On muscle nos jambes, nos bras et nos fesses, on tonifie notre dos et nos épaules, on active notre système respiratoire et la circulation sanguine, et on aug-mente notre endurance. Vraiment, autant d’effets avec un si petit acces-soire, quoi demander de mieux ?
Du yoga à l’épicerie ?S’habiller pour le yoga en faisant l’épice-rie ? C’est possible ! Les vêtements Joe Style Frais, vendus dans les magasins Maxi, Maxi & Cie et Loblaws, nous ha-billent pour le yoga à peu de frais : haut coulissé à 19 $, t-shirt rayé à 12 $ et pan-talon confortable à 29 $. Comment s’en passer ? Pour les points de vente : www.joe.ca
Rhume et entraînement ?Quand on combat un rhume, devrait-on s’entraîner quand même ? Si l’on fait de la fièvre, on devrait passer notre tour. Autrement, on évalue notre niveau d’éner-gie. S’entraîner accélère notre circulation sanguine, permettant ainsi aux globules blancs – et à leurs anticorps – de voyager plus rapidement dans notre corps. Mais avant que les virus nous attaquent, on se prémunit… avec le sport. Selon une étude américaine, faire du sport régulièrement di-minue le risque d’attraper un rhume.Source : LaNutrition.fr
Sportif chicUn détour à Québec avant la fin de l’année ? À l’Auberge Saint-Antoine, on profite d’un service santé génial : leGYM. On s’offre un massage, une séance de yoga, un moment de détente dans un sauna finlandais ou encore une période d’exercice avec ou sans entraîneur privé. Ouvert 24 heures, leGYM offre une accessibilité à la fois pratique et personnalisée.Auberge Saint-Antoine, 8, rue Saint-Antoine, Québec, www.saint-antoine.com
Beau et robuste comme lui… et elle !On l’aime ! Il a fière allure. Il est
pratique et robuste. On le traîne
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lui que pour elle.39,99 $ dans les magasins de sports, dont Foot Looker.
Bien dans ses souliersEn glissant les semel-les Sof Sole Adapt dans nos souliers, on s’as-sure un confort excep-
tionnel. Modulables à chaud, les semelles prennent la forme du pied pour mieux les protéger et mieux les supporter. Pour vivre l’expérience, on place cette semelle perfor-mante dans un four à thermostat à 110 °C (230 °F) pendant deux minutes avant de la placer dans la chaussure. On les enfile pour les moduler de façon personnelle.29,99 $ dans les magasins Le Monde des athlètes.
Bébé, moi et le sport...C’est en duo que maman et poupon se mettent en forme au café convivial Maman, bébé et café. Si bouger et faire du sport font partie de nos résolu-tions du nouvel an, on surveille l’horaire pour s’inscrire. Au choix : « Maman, bébé et salsa », « Maman, bébé et Pilates », « Maman, bébé et swing » et d’autres cours pour faire travailler notre cardio.5814, rue Sherbrooke Ouest, Montréal, 514 509-7494, php.mamanbebecafe.com
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Comment reconnaître le diabète ?Le diabète est parmi les maladies dont entend le plus souvent parler. Pourtant, seriez-vous en mesure d’établir deux ou trois signes évoca-teurs d’un diabète ?
� Envie fréquente d’uriner, autant le jour que la nuit;� Très grande soif;� Augmentation de la faim, mais accompagnée fréquemment d’un amaigrissement;� Fatigue et faiblesse excessives;� Infections répétées à la peau, les gencives, la vessie, la vulve;� Mauvaise cicatrisation;� Fourmillements dans les mains et les pieds accompagnés d’engourdissement. Source : Topsante.com
L’acupuncture
à la rescousse du mal de têteUne vaste étude allemande en arrive à la conclusion que l’acu-puncture aiderait à soulager les maux de tête chroniques. Selon les résultats, la fréquence des maux de tête avait diminué de 44 % chez les personnes ayant reçu des traitements d’acupuncture en plus de la médication classique, une proportion tombant à 7,4 % chez celles qui n’avaient pris que le médicament. L’acupuncture aurait notamment pour effet de diminuer l’intensité de la douleur.
Source : Presse canadienne
les effets de la
turistaAvec l’hiver qui se pointera bientôt le bout du nez, nombreux sont ceux qui pensent déjà aux plages du Sud. Avec elles, le risque d’attraper la turista, cette diarrhée du voyageur qui peut faire de son séjour un véritable cauchemar. Voici quelques bons réflexes à adopter :
• Dès les premiers symptômes, supprimez temporairement les légumes, les fruits, les laitages, les graisses cuites et l’alcool. Le riz, les compotes, la viande blanche et les bananes seront de mise.
• Buvez beaucoup d’eau pour compen-ser les pertes en sel minéraux. De l’eau évidemment embouteillée et non pas du robinet.
• De façon générale, la turista se traite avec des antidiarrhéiques ou des pansements digestifs.
• Méfiez-vous des glaçons, car ils sont souvent préparés avec l’eau du robinet.
• Reposez-vous et évitez les exercices excessifs. Source : topsante.com
genacol : pour réduire la douleurUne révolution dans le monde du collagène : le laboratoire DirectLab met sur le marché le produit Genacol, une matrice exclusive de colla-gène pur à 100 %, et qui réduit de façon significative les douleurs arthri-tiques et rhumatismales, en plus de régénérer les cartilages et les liga-ments. Un produit qui a fait ses preuves si vous cherchez à augmenter le tonus de la masse musculaire, à tonifier le corps, à diminuer le mal de dos et les crampes musculaires et à récupérer rapidement après un accident de toutes sortes. Aussi utilisé pour combattre la tendinite, la bursite et les hernies. Pour plus d’infos : www.genacol.ca
quoi manger ? • Des vitamines : à partir de fruits et de légumes. Idéalement un mi- nimum de cinq fruits et légumes par jour.
• Du fer : la carence en fer augmente la fatigue. Crevettes, huîtres, cacao et légumineuses sauront y remédier.
• Des fibres : la meilleure façon pour ne pas fatiguer l’orga- nisme, c’est encore d’éviter la constipation.
quoi éviter ?• L’alcool : il enivre mais épuise aussi l’organisme.
• Le café : peut aider à démarrer la journée, mais dépassé 16 ou 17 heures, il est redoutable pour trouver le sommeil.
• Les sodas : très riches en sucre, ils alourdissent le système digestif et sont inutilement caloriques.
quoi d’autres ?• Le sport : si vous êtes fatigué, rien de mieux que la pratique d’une activité physique. Le sport tonifie le corps, stimule le moral et aide à bien dormir. Allez, un petit effort et vous ressentirez rapidement les résultats !
Source : e-sante.fr
Des trucs pour contrer la fatigueAvec les journées qui raccourcissent et l’absence graduelle de lumière, nombreux sont ceux et celles qui commenceront à ressentir plus de fatigue. Voici quelques conseils utiles :
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lECTURE Les huiLes essentieLLLes pour La peau PAR HéLèNE BERToN
Voilà un ouvrage fort bien fait et agréa-ble à lire pour nous aider à réaliser nos propres huiles essentielles pour la peau. Des formulations de base, des exemples de recettes et des conseils précieux pour
réaliser soi-même huiles de soin, onguents, crèmes, baumes à lè-vres, etc. Un beau cadeau à offrir…Hélène Berton, Les huiles essentiellles pour la peau, Éditions Aroleome, 2006, 125 pages, 21,95 $
Augmenter ses chances de tomber enceinteLes tests d’ovulation Première Réponse sont maintenant of-ferts en formule améliorée : une toute nouvelle technologie prédit avec encore plus de précision les deux jours les plus fertiles du cycle. Similaires aux tests de grossesse, les nouveaux tests d’ovulation facile à lire Première Réponse ont un taux de précision supérieur à 99 %. Facile à utiliser et facile à lire.Pour plus d’informations : www.1stresponse.ca (cliquer sur le site FRANÇAIS).
Le nombre d’accouchements par césarienne en progressionLe nombre d’accouchements par césarienne atteint un sommet au Québec, alors que près d’un bébé sur quatre naît maintenant de cette façon. En 2001, les césariennes comptaient pour moins de 20 % des accouchements alors qu’en 2008, ce pourcentage atteint les 23 % ! Le phénomène n’est pas propre au Québec et se constate partout au Canada et même aux États-Unis. Parmi les raisons qui inciteraient les femmes à recourir à la césarienne, on note la hausse de l’obésité et l’âge plus avancé des mamans, qui rendent plus difficiles les accou-chements naturels. Source : Presse canadienne
La baignade dès la fin du repasIl y a de ces légendes urbai-nes qui sont tenaces… Parmi celles-ci : attendre une heure avant d’aller se baigner. Rien de plus loufoque, affirment les experts. On encourage même les nageurs olympiques à man-ger avant une compétition. En fait, il est bien plus important d’être bien alimenté et bien hydraté que l’inverse, même lorsqu’on s’apprête à aller se baigner ! Une vieille croyance, donc, qui n’a pas de fondement scientifique.Source : Presse canadienne
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Roland Tremblay
Alors que la médecine tradition-nelle fait d’immenses progrès, la médecine naturelle avance à pas de géant. En effet, on reconnaît de plus en plus les vertus curatives des plantes. Dans le domaine de la san-té au Québec, on peut compter sur des hommes tels que Roland Trem-blay, phytothérapeute, pour mettre un baume sur les plaies. Portrait d’un pionnier dans le domaine. PAR LoUISE MoREAU
n’ont plus de secrets
Lorsque Roland Tremblay a découvert les produits naturels, dans les années 70, il ne se destinait pas à une carrière en phyto-thérapie. Pour gagner sa vie et nourrir sa famille, il a été quin-caillier pendant vingt ans. C’est un concours de circonstances qui a permis à Roland Tremblay de découvrir les médecines douces.
L’histoire remonte au début des années 70, époque où son épouse souffrait d’affreuses migraines. Malgré plusieurs consulta-tions en médecine traditionnelle, personne n’arrivait à en trouver la cause. À chaque intervalle de six ou sept mois, le médecin l’hospitalisait en espérant recevoir le bon diagnostic. « Elle passait une batterie de tests, explique Roland Tremblay, mais aucune pa-thologie n’expliquait son mal. » Parmi l’un des nombreux épisodes à l’hôpital, (19 fois en 15 ans) et après trois jours sous observation, M. Tremblay se fera dire par un médecin : « J’ai de bonnes nouvel-les pour vous, votre femme n’est pas malade. »
Heureusement, la solution miracle arrive enfin ! Roland Tremblay apprend que la mère d’un de ses locataires est phytothé-rapeute. « Je n’avais jamais entendu parler de ce métier et encore moins que l’on pouvait être soigné avec des plantes. » Cette dame lui explique alors comment, à l’aide de produits naturels, on peut nettoyer son système, faire de la prévention et traiter certaines maladies. « Elle m’a affirmé que, dans 90 % des cas, les problèmes de migraines étaient reliés à un mauvais fonctionnement du foie. »
un homme pour quiles plantes
Roland Tremblayn’ont plus de secrets
un homme pour qui
C’est la révélation pour Roland Tremblay et sa famille ! Son épouse commence immédiatement à suivre un traitement. « Un mois après, elle n’avait plus aucune migraine. Elle n’en a plus ja-mais refait de sa vie ! » Stupéfait par les résultats, Roland Tremblay décide de changer complètement de carrière, il deviendra phyto-thérapeute. « Parce que je voulais crier la bonne nouvelle sur tous les toits, j’ai décidé de suivre une formation de phytothérapeute. »
D’après M. Tremblay, leur histoire ressemble à celles de beau-coup de gens qui ont découvert la phytothérapie et ses bienfaits. « Beaucoup de gens que je connais dans le domaine ont déjà, par le passé, été aidés par des produits naturels. »
Après avoir gradué en phytothérapie en 1971, Roland Tremblay décide de transmettre son savoir auprès des gens qui ont la même soif de connaissance que lui. Il donnera des cours pendant dix-huit ans, développera de nouvelles techniques d’approche et formera plusieurs dizaines de phytothérapeutes. Il réussira à faire vivre sa famille grâce à l’enseignement et à la vente de produits naturels.
À l’époque où Roland Tremblay commence à pratiquer, la médecine traditionnelle fait des pieds de nez au domaine de la médecine alternative. « Quand un de nos clients se présentait devant son médecin et lui parlait de la cure de désintoxication pro-posée chez nous, le médecin répondait à son patient : Si tu prends ce produit-là, ne viens plus me voir. Choisis entre lui et moi. » Le Québec, loin derrière certains pays d’Europe, avait du chemin à faire pour changer les mentalités.
En juin 1998, Roland Tremblay et Yves Larochelle fondent la compagnie Phyto-MED, à Québec, avec une réceptionniste comme seule employée. Alors que l’entreprise connaît une ascen-sion rapide, 10 phytothérapeutes se joignent à eux. Leur formule, où travaillent plusieurs phytothérapeutes dans un même bureau, est un concept unique. « Ç’a été une très belle croissance, nous en sommes nous-mêmes surpris. »
La philosophie qui au départ animait les fondateurs est demeu-rée la même au fil des ans. « Notre idée était de vendre un concept de prévention, c’est-à-dire de nettoyer notre organisme afin qu’il puisse se défendre contre les maladies. En fait, un traitement semblable à ceux de nos grands-mères, sauf qu’il serait élaboré avec des produits plus performants. Les gens pouvaient voir notre publicité à la télévision, qui est d’ailleurs encore la même après dix ans. Je véhicule le même message depuis trente-sept ans et je fais le même dessin qui démontre comment on intoxique notre propre corps avec tous les produits chimiques avec lesquels on est en contact tous les jours. Je faisais les mêmes croquis devant chaque client que je rencontrais. C’est devenu ma marque de commerce !
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SANTÉ pRÉvENTION
Quand on s’intoxique, la logique est qu’il faut se désintoxiquer. Il faut nettoyer les filtres du corps : les reins, le foie et les intestins, au moins deux fois par année. Même si l’on n’est pas malade, il faut faire de la prévention. »
Roland Tremblay est conscient de l’efficacité de ses produits, mais aussi de ses limites. Le concept est basé sur le fait de pren-dre soin de sa santé par la prévention et non de remplacer un trai-tement recommandé à la suite d’une consultation médicale. « On ne fait pas de diagnostic, on n’a pas le droit. Quand la personne malade arrive chez nous, elle connaît ses problèmes de santé. Notre mandat est d’informer les gens des alternatives possibles en complément à tout traitement médical. En général, le médecin ne s’occupe pas assez de chercher la cause des problèmes, il prescrit un médicament pour aider le patient, mais il ne nettoie pas l’or-ganisme, ce qui éliminerait plusieurs symptômes qui mènent à la maladie. Quand on a mal quelque part, c’est un signal d’alarme qui nous dit : il y a quelque chose qui ne va pas à l’intérieur. On peut aider notre corps à “s’autoguérir”. Je le répète depuis trente-sept ans, la santé est à l’intérieur de nous-même. »
Le succès de l’entreprise de Roland Tremblay repose sur des assises solides : la passion pour son métier et le désir incondition-nel de trouver une solution différente pour les gens qui souffrent. Il souhaite qu’un jour les professionnels de la santé travaillent de concert avec les naturopathes et les phytothérapeutes. « C’est essentiel si l’on veut avancer. »
Il est satisfait aujourd’hui de constater que la phytothérapie fait beaucoup de progrès. « Je trouve ça lent, mais je suis très heureux de l’évolution, dit le spécialiste. On voit qu’il y a une ouverture d’esprit plus grande qu’il y a dix ans. »
Chez les Tremblay, malgré la passion du père, la relève n’est pas assurée quand au métier de phytothérapeute. Cependant, deux des quatre enfants travaillent au sein de la compagnie. « Pour faire ce métier, il faut vraiment avoir ça dans l’âme, avoue Roland Tremblay. C’est presque un travail de missionnaire ! Par contre, deux de mes enfants ont montré de l’intérêt pour la compa-gnie. L’une travaille en comptabilité et l’autre comme directeur des opérations. »
Quand à Roland Tremblay, malgré une retraite bien méritée, il continue de travailler une journée par semaine au bureau de Québec. « Je veux continuer de m’impliquer pour les cinq prochai-nes années encore. Le reste du temps, je peux voyager et faire des activités entre deux bons verres de vin. D’ailleurs, un verre de vin par jour, c’est aussi excellent pour la santé », conclut l’expert en riant.•www.phyto-med.com
pourquoi ont-ils tant acclamé l’homéopathie ? Einstein, Darwin, Gandhi, Mère Teresa, Monet, Beethoven, Mark Twain, Sir William Osler, MD, communément appelé le père de la médecine moderne, et Emil Adolf von Behring, prix Nobel de médecine (1901), qui découvrit l’antitoxine de la diphtérie et du tétanos. Voilà quelques noms parmi tous ceux qui ont tant acclamé l’homéopathie. Qu’ont-ils donc trouvé à cette médecine si méconnue au Québec ? Pourquoi Osler va-t-il jusqu’à affirmer que « Nul n’a aussi bien servi la profession médicale que Samuel Hahnemann » ? (Time Magazine, 27 mai 1940)
Entre autres parce que…C’est une médecine de génie qu’a découverte ce médecin et chimiste
allemand, Samuel Hahnemann. L’homéopathie est une médecine qui soigne l’être dans son ensemble,
avec l’immense pouvoir naturel de l’infiniment petit. Elle soigne sans effet toxique ni secondaire, en renforçant les défenses naturelles du corps de fa-çon remarquable et souvent spectaculaire. Un message de l’infini à la vitalité afin de stimuler l’intelligence du corps, issue de cet infini.
Des défis de taille relevés par l’homéopathiePeu après sa naissance, à la fin du 18e siècle, cette médecine se mé-
rita ses premières lettres de noblesse en relevant haut la main des défis dignes d’une grande médecine. Face aux épidémies aussi ravageuses que le typhus, le choléra, la malaria, la fièvre jaune, la scarlatine et la grippe es-pagnole, l’homéopathie connut un succès inégalé : un taux de mortalité des patients de deux à huit fois moins élevé qu’en médecine conventionnelle !
PAR INGRID SCHUTT, HoMéoPATHE UNICISTE DEPUIS 1998, MEMBRE DU SPHQ (SYNDICAT PRoFESSIoNNEL DES HoMéo-PATHES DU QUéBEC)
Le pouvoirde l’homéopathie
« L’homéopathie, l’immense pouvoir de l’infiniment petit » – Samuel Hahnemann
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Rapidement, au début du 19e siècle, l’homéopathie se propagea en Europe et en Amérique, et plus tard, en Asie et à travers le monde.
l’homéopathie soigne les épidémies modernesTout récemment encore, en 2007, à Cuba, une épidémie de leptospi-
rose menaçant trois millions d’habitants fut éliminée en quelques semaines grâce à un remède homéopathique, développé par les immunologues de l’Institut Finlay et distribué par le système de santé publique. L’immunologiste Gustavo Bracho, de l’Institut Finlay, était à Montréal en juillet dernier afin d’in-former les Québécois de ce fait extraordinaire et d’une importance capitale pour la santé publique. Mais aucun journaliste invité n’a répondu à l’appel.
qu’est-ce que l’homéopathie ?L’homéopathie est une médecine qui rétablit l’équilibre de la vitalité et
renforce les capacités naturelles de défense du corps. Parmi ses principes de base, on retrouve la similitude et l’individualisation. La similitude
Le terme grec homoios signifie semblable et pathos, la maladie, ou l’état global. Le remède homéopathique a la capacité de provoquer chez une per-sonne saine un ensemble de symptômes, un état global et complexe (phy-sique, physiologique et émotionnel) qu’il pourra guérir chez une personne malade qui présente ces symptômes spécifiques. Le remède soignera la personne dont la résonance est semblable au remède. L’individualisation
Puisque le remède doit correspondre à l’état global de la personne, à chaque personne son remède. Dix personnes consultant l’homéopathe pour un problème X peuvent guérir en profondeur grâce à un remède totalement différent. L’homéopathie est une médecine sur mesure au traitement indivi-dualisé. Prendre n’importe quel remède inadéquat ne signifie pas que l’on reçoit un traitement homéo-pathique. Mise en garde
L’automédication et le traitement sans suivi professionnel sont fortement déconseillés, car le remède inadéquat a la capacité de provoquer des symp-tômes indésirables. Seul l’homéopathe professionnel et diplômé saura vous guider dans un traitement profond, sécuritaire et efficace. Seule une automé-dication d’urgence limitée à certaines situations est sécuritaire.
Pour s’inscrire à l’un des ateliers sur les remèdes d’urgence et de pre-miers soins pour la famille, écrire à [email protected] •Source : www.homeopathe.ca 514 991-6316
En premier lieu, on fait un concentré liquide pour chacune des plantes utilisées, que l’on mélangera ensuite, selon les besoins. Pour les concentrés, on peut utiliser comme solvant de l’alcool à 40° ou du vinaigre de cidre de pomme biologique à 8° (en vente à la Maison Orphée). On se sert des parties de plante suivantes : des cayeux (gousses) d’ail, des feuilles de thym, des racines d’un plant d’échi-nacée ayant au moins trois ans, des feuilles de mélisse. On prend des plantes fraîches, sinon séchées, et on les nettoie bien sans les laver, sauf les racines.
On mesure trois volumes de vinaigre ou d’alcool pour un volume de plante bien tassée. Par exemple, pour 100 ml de gousse d’ail, on ajoute 300 ml de vinaigre. On met la plante coupée en morceaux et le solvant dans un contenant en verre qui a un couvercle en plastique. On laisse ensuite macérer quatre semaines en agitant de temps en temps. Puis on filtre avec un linge fin et on remet le tout dans un contenant en verre avec couvercle en plastique.
Les concentrés liquides se conservent environ quatre ou cinq ans au frais, à l’abri de la lumière.
pour fabriquer le « casse-grippe »On mélange quatre concentrés liqui des de
plante dans les proportions suivantes : • Deux parties d’ail* (Allium sativum) pour ses propriétés antibactériennes, antibiotiques. C’est une plante de vitalité qui tonifie et stimule. • Deux parties de thym** (Thymus vulgaris). Le thym est antiseptique, il supporte l’immunité et fluidifie les sécrétions; c’est aussi une plante spécialiste du système respiratoire. • Deux parties d’échinacée* (Echinacea purpurea ou angustifolia). Plante de force et
de vitalité, l’échinacée est une plante de base pour faire face aux infections, aux virus et aux bactéries qui nous assaillent. Elle stimule la cir-culation lymphatique et le système immunitaire, qui devient moins vulnérable. • Une partie de mélisse* (Melissa officina-lis), pour ces propriétés antivirales, calmantes et équilibrantes.
On obtient ainsi un « casse-grippe » puis-sant qui a une action immunitaire hors pair. La combinaison des principes actifs respectifs des plantes offre un large champ d’action qui nous fortifie. On utilise ce mélange chaque fois que l’on sent que notre corps à besoin d’un coup de pouce pour combattre.
Voici une procédure et un dosage suggé-rés pour un adulte de 150 livres (environ 68 ki-los) – ajuster les dosages en fonction du poids. Par exemple, un enfant de 15 livres (environ 6,8 kilos) prendra 1/10 de ce dosage : Prendre 10 gouttes aux demi-heures pour cinq doses, ensuite les prendre aux heures pendant un maximum de 12 heures. Si cela persiste, continuer pendant 24 à 48 heures avec une dose aux deux heures. Habituellement, si l’on se repose et que l’on s’hydrate bien en plus de prendre les herbes, après 24 heures, le tout est terminé et on ne développe pas de grippe, rhume, etc. Si cela persiste plus de trois jours, on peut ajouter, à raison de 10 à 15 gouttes aux deux heures, de l’usnée barbue (Usnea barbata), qui est un antibiotique naturel des plus intéressant.
* Interaction possible avec certains médicaments. ** Déconseillé durant la grossesse en dosage thérapeutique; la prise alimentaire est sans danger. •
son « casse-grippe »Voici un « casse-grippe » ou « casse-tout » qui pourra vous être très utile lorsque vous sentez que vous êtes en train de combattre rhume, grippe, gastro et autres petits désordres de santé. PAR NATACHA IMBEAULT, HERBoRISTE ET THéRAPEUTE EN SANTé NATURELLE
Fabriquer
Source : Natacha Imbeault est directrice de l’Herbothèque, une école d’herboristerie, établie depuis 1995. www.herbotheque.com • Des questions ? Écrivez-nous à : [email protected]
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le thé vertLe thé vert se consomme en infusion
chaude. Ses parfums délicats en font une boisson de plus en plus populaire. Populaire parce que l’on vante ses bienfaits pour la santé ? Peut-être ! De toute façon, nous sommes très nombreux à vouloir profiter de ses propriétés antioxydantes et anticancéreuses.
bon pour la santéOn confère au thé vert de puissantes
vertus antioxydantes grâce à la présence de polyphénols et de flavonoïdes. Ceux-ci permettent de lutter efficacement contre les radicaux libres, lesquels sont princi-palement responsables du vieillissement prématuré et du développement de nombreuses maladies, dont les maladies cardiovasculaires et le cancer.
L’action du thé vert contre le cancer agirait au plan de la prolifération des cellu-les cancéreuses en empêchant l’angiogé-nèse (la formation de nouveaux vaisseaux autour des tumeurs cancéreuses). La molé-cule responsable de cet effet angiogénique se nomme l’épigallocatéchine-3-gallate ou EGCG. Après deux ou trois tasses de thé vert, l’EGCG se répand dans tout l’organis-me, à travers les vaisseaux capillaires qui entourent et nourrissent chaque cellule du corps. Lorsqu’on l’a testée en laboratoire, on a observé qu’elle ralentissait considé-rablement la croissance des cellules de la
leucémie, du cancer du sein, de la prostate, du rein, de la peau et de la bouche.
Le thé vert protégerait également l’organisme des maladies cardiaques, en inhibant la formation anormale de caillots sanguins dans les vaisseaux, en abaissant le taux de cholestérol total, en élevant celui du cholestérol HDL, et enfin, en réduisant la tension artérielle par inhibition de l’en-zyme de conversion de l’angiotensine.
le thé vert : « premier » sur toute la ligne
Pour pouvoir profiter de ses bienfaits, il faut en consommer deux ou trois tasses par jour. Comme le café, le thé contient de la caféine (théine) dont l’effet est stimulant sans être excitant. La différence vient du fait que dans le café, la caféine se retrouve sous forme libre, tandis que dans le thé, elle est partiellement combinée aux polyphénols et aux tanins. Résultat : elle se libère progressivement dans l’organisme.
Le thé vert est une boisson qui mérite une place de choix dans notre quotidien. Profitez de la saison froide pour l’apprivoi-ser et vous réchauffer.
Pour maximiser l’infusion du thé vert et en retirer tous les bienfaits antioxydants, il est recommandé de l’infuser de 8 à 10 minutes. •
font bon ménage
Source :www.anticancer.fr
Les effets bénéfiques du thé vert sur la santéLe thé est probablement une des boissons les plus extraordinaires qui soient. C’est d’ailleurs, après l’eau, la boisson la plus consommée au monde. Entre les thés noirs, verts, blancs, semi-fermentés, fumés, on estime à plus de 3 000 le nombre de variétés de thé. Toutes, sans exception, proviennent de la même plante : le Camellia sinensis, dont l’origine est chinoise, et non indienne comme le veut la croyance.
PAR MARIE-LYNE PATRIE, ND.A., MEMBRE DE L’ASSoCIATIoN DES NATURoPATHES AGRééS DU QUéBEC (ANAQ)
Saison froide lA COlITE !et
thé vert
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Symptômes et causesLes douleurs abdominales, la diarrhée
et les hémorroïdes sont les principaux symptômes de la colite. Souvent, on retrouve du sang mêlé de mucus dans les selles. Dans la colite grave aiguë, la fièvre, un rythme cardiaque accéléré et de vives douleurs abdominales accompa-gnent une perte de poids rapide.
D’autres problèmes de santé peuvent l’accompagner, tels que des problèmes de peau, des troubles aux articulations, une inflammation des yeux. Même si des prédispositions génétiques rendent une personne plus vulnérable, ces prédispo-sitions ne s’exprimeront que si une cause les déclenche.
Les causes de la colite sont soit bactériennes (Escherichia coli, Proteus, Klebsiella)1, soit fongiques (Candida)2, soit parasitaires (Blastocystitis hominis, Dientamoebia fragilis, etc.)3, soit iatrogè-nes (provoquées par des médicaments : laxatif irritant, antibioti-ques, radiothérapie) ou soit allergiques4 .
Même si la réaction allergique alimentaire figure comme la cause la plus fréquente, il ne faut pas négliger d’investiguer toutes les causes possibles. L’approche théra-peutique ne sera véritablement efficace que si l’on a pris soin de bien cibler la ou les causes pertinentes. Un traitement qui ne vise qu’à supprimer les symptômes est voué à l’échec dès son arrêt.
Gardez en mémoire que votre organisme n’est pas « fou ». S’il génère une réaction inflammatoire, c’est qu’il se défend contre la présence d’un ennemi. Les circonstances de l’apparition des symptômes sont importantes pour aider votre naturopathe à évaluer tout déséqui-libre de la flore symbiotique. Les choix alimentaires influencent aussi grande-ment la qualité de la flore et la réaction inflammatoire.
Des probiotiques à la rescousse
Associés à une alimentation hypoal-lergénique, les probiotiques donnent
des résultats remarquables. Ces bactéries amies jouent un rôle important dans la santé des cel-lules de la muqueuse intestinale. Cette muqueuse sert de barrière aux allergènes et devrait avoir la capacité de se défendre contre les agents infectieux.
Si vous souffrez de colite, consultez un naturopathe agréé
pour vous aider à trouver les solutions adaptées à votre problème.
Vous n’êtes pas condamné à souffrir… Il existe des réponses. •
Stress ou allergies ? La colite désigne l’inflammation du gros intestin : le côlon. Elle ressemble à la maladie de Crohn, mais se limite au côlon et au rectum. Elle peut être bénigne ou grave, aiguë ou chro-nique, généralement évolutive. Au Canada, on estime qu’envi-ron 150 000 personnes sont atteintes de colite ulcéreuse.
PAR GILLES PARENT, ND.A. ET LISE GUENETTE, ND.A.MEMBRES DE L’ASSoCIATIoN DES NATURoPATHES AGRééS DU QUéBEC (ANAQ)
lA COlITE !
1. World J Gastroenterol., 2005, vol. 14, 11 no 46, p. 7266 à 7271. 2. Indian J Med Microbiol., 2003, vol. 21, no 1, p. 6 à11.3. Int J Parasitol., 2007, vol. 37, no 1, p. 11 à 20.4. Int Arch Allergy Immunol., 2000, vol. 121, no 4, p. 270 à 283.
NUTRITION
On vous invite au restaurant, mais pas n’importe où. Seu-lement là où le bon goût et la saveur se rallient pour vous offrir une cuisine saine, apprêtée dans une ambiance décontractée. Voici donc nos suggestions d’adresses pour vos prochains dîners en famille ou entre amis, afin que le plaisir de savourer sans culpabiliser soit toujours présent. PAR ANNE GENEST
restosLes 8 meilleurs
du Québecsanté
À Montréal
Aux Vivres46�1, BoULEVARD SAINT-LAURENT, 514 842-�479
Dans un décor épuré techno-urbain, le chef et propriétaire Michael Makhan ne se contente pas seulement de retirer de son menu tout produit d’origine animale, il recrée avec beaucoup d’originalité le goût de la viande. Son secret ? La noix de coco fumée remplace le bacon du sandwich BLT. Le champignon portobello grillé et relevé d’épices à steak remplace la boulette du hamburger. Les pizzas, les sandwichs chauds et les salades portent l’empreinte des influences de l’Asie, du Moyen-Orient et du Mexique. Pour y voir plus clair, on jette un œil au glossaire. Un petit truc La carte des thés vaut la peine d’être examinée. On y élabore les vertus médicinales de chacune des infusions. Prix entre 4 $ et 12 $ à la carte.
1| 19 |
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Bonnys1748, RUE NoTRE-DAME oUEST, 514 9�1-41�6, WWW.BoNNYS.CA
La cuisine à aire ouverte laisse entrevoir Bonnie, la propriétaire et chef, qui s’affaire aux fourneaux et façonne de bons petits plats sains, végétariens et végétaliens. Les ingrédients, pour la plupart biologiques, sont choisis avec soin en fonction de la fraîcheur recherchée et de la proximité. Bonnie a semé ici et là sa personnalité. Le service est jovial. Le décor vivifiant de la salle à manger est façonné par le bois naturel. Le menu évolue en fonction des produits du marché et des inspirations du chef. On essaie le chili aux fèves noires, quinoa et pomme de terre douce, un incontournable ! La lasagne aux ricottas de tofu, les sandwichs toujours garnis de laitue et de pousses de trèfle rouge biologiques valent aussi le détour. C’est aussi l’un des restos préférés d’Annie Brocoli ! Un truc On déjoue nos habitudes en troquant sa tasse de café contre une boisson chaude de chicorée et d’orge. Un choix sain et réconfortant. Prix entre 7 $ et 14 $ à la carte, plat du jour : 10 $.
Chu Chai 4088, RUE SAINT-DENIS, 514 84�-4194, WWW.CHUCHAI.CoM
Par le truchement de la cuisine thaïlandaise, ce fin restaurant végétarien reproduit le goût et la tex-ture de la viande et du poisson à partir du seitan et du tofu certifié bio. Devant des crevettes falsifiées qui ont l’air de vraies crevettes, on reste bouche bée ! Le poulet, le bœuf, le canard et le poisson sont également recréés grâce aux coups de génie du chef Lily Sirikittikul et de son mari. Les saveurs progressent avec la subtilité du lait de coco et les notes plus relevées du gingembre, du cari et du piment. Installée depuis plus d’une dizaine d’années, cette institution demeure une expérience inédite à partager entre amis. Un petit truc On fait provision de petits plats pour emporter au comptoir du service de traiteur adjacent au commerce et l’on réduit le prix de l’addition. Quelques tables permettent de prendre une bouchée sur place et d’y partager une bouteille, puisque le concept est : « Apportez votre vin ». Prix entre 5 $ et 19 $ à la carte.
Pushap5195, RUE PARé, 514 7�7-4527 ET 975, RUE JEAN-TALoN oUEST, 514-274-�00�
C’est l’endroit pour manger des thalis végétariens à petits prix et en bonne compagnie. On pige, selon l’appétit de chacun, dans les assiettes en inox étalées au centre de la table, et qui déclinent du curry très parfumé, des végétaux rehaussés, du riz basmati, des laitages et des noix. Les pains chapati au blé entier, les bhaturas à base de levain sont servis encore tout chauds. À la fin du repas, le serveur vous offre avec beaucoup d’amabilité le thé indien et le dessert. Et, surprise agréable, c’est compris dans le prix ! Devant les sucreries au lait, on se promet une petite place la prochaine fois. Un petit truc On rapporte à la maison les portions généreuses pour le lunch du lendemain. Le comptoir de sucreries permet de gâter les autres qui viendront la prochaine fois. Prix entre 5 $ et 15 $ pour un repas complet.
4
© PHOTO : SPA EASTMAN
La Fleur de Sel59, RUE LAVAL, HULL, 819 772-8596
Christian est plutôt carnassier alors que Lucie est tombée dans la marmite végéta-rienne quand elle n’était qu’aux couches. Ensemble, ils offrent une table en parfaite cohésion dans une sympathique maison de fine cuisine végétarienne sise dans le Vieux-Hull. Au menu, on retrouve un heureux compromis. La table d’hôte est en-
tièrement végétarienne le midi. Le soir, les produits de la mer côtoient les plats sans viande. Chacune des assiettes est apprêtée à la minute avec une touche de dentelle : thon à la coriandre et noix de coco, salade tiède de pétoncles au pamplemousse, cari de tofu à la mangue, mijoté de pois chiches et noix d’acajou à l’orange… Les produits sont pour la plupart biologiques. Le cadre intimiste favorise les découvertes. C’est qu’on ne voit pas le temps passer, confortablement assis dans ce décor sobre et étayé d’un vert olive sur fond de bois. Un petit truc Le chef Christian Pressburger est Breton. On retrouve quelques effluves des lointaines côtes en choisissant le poisson et les fruits de mer à la carte. Prix entre 7 $ et 24 $ à la carte, 30 $ pour la table d’hôte.
5Outaouais
Spa Eastman 895, CHEMIN DES DILIGENCES, EASTMAN, 1 800 665-5272, WWW.SPA-EASTMAN.CoM
Pause santé ! On se fait chouchouter. Le corps se dénoue sous des doigts de fée. On se sent tout léger. Alors, dans ce paysage à contempler, on ne souhaite qu’une seule chose : des petits plats sains qui seront en parfaite harmonie avec l’équilibre créé. Promesse tenue par le Spa Eastman. Les aliments de cette fine table sont pour la plupart biologiques et proviennent, en saison, des jardins qui approvisionnent la cuisine en fines herbes, fleurs comestibles, germinations, légumes et petits fruits. Le menu est élaboré en collaboration avec une spécialiste en nutrition. Une large part convient aux régimes végétariens. Quant à la viande, on priorise les produits du terroir locaux et biologiques. Un petit truc Il n’est pas nécessaire d’avoir pris des soins pour bénéfi-cier d’une table au restaurant. Attendez-vous toutefois à voir des gens se balader en peignoir. Cela va sans dire, une tenue décontractée est de rigueur… Prix pour la table d’hôte : 29,50 $.
Cantons-de-l’Est
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En région
K-Fée Namasthé105, RUE DE L’ANNoNCIATIoN NoRD, RIVIèRE-RoUGE, 819 275-1�14
Ce café végétalien, chaleureux et sans prétention, est né du désir commun des propriétaires, Martine et Marjolaine, d’apporter santé et vitalité dans leur entourage. Dans un décor gorgé de lumière où flottent quelques capteurs de rêves, l’accueil est spontané. Des airs rythmés accompagnent les mouvements des cuistots qui s’affairent dans la cuisine, lieu d’inventivité et de création. Les sandwichs sont onctueux et apprêtés avec des garnitures concoctées maison : végé-pâté, pâté de noix ou pesto. Les salades rivalisent en couleurs et en vitamines. Un must : l’assiette de sushi végétal bio qui a tronqué le riz pour laisser toute la place aux végétaux crus et à la germination. Namasthé rayonne d’exotisme. On y tient des spectacles et divers événements socioculturels qui contribuent à la vitalité de l’endroit. Un petit truc Pour faire provision des produits du prêt-à-manger, il vaut mieux se prémunir de ses propres contenants. Ce restaurant a aussi à cœur la santé de la planète… Prix entre 4 $ à 11 $ à la carte, table d’hôte : 13,50 $.
Laurentides
L’Auberge Le Baluchon �550, CHEMIN DES TREMBLES, SAINT-PAULIN, 1 800 789-5968, WWW.BALUCHoN.CoM
Dans un décor champêtre aux parfums d’autrefois, cette station multi-vocationnelle renouvelle la gastronomie en lui apposant une touche santé et environnementale. Au cœur de l’assiette, le chef met en scène les produits des agriculteurs locaux, les ingrédients biologiques et naturels. La carte souligne les mets végétariens, les choix équilibrés et les choix sans gluten. Ornementée d’herbes fraîches et de fleurs, la présentation émoustille les sens. La santé n’aura jamais eu autant de goût. Un petit truc On prend l’apéro à l’Éco-café Au bout du monde. Cette vitrine de dégustation des produits du voisinage permet de prendre une bouchée tout en sirotant une bière d’ici ou un vin fabriqué dans la région. La carte des cafés, thés ou tisanes bio-équitables nous transporte jusqu’à l’inconnu. Prix de la table d’hôte à partir de 43,95 $, menu Éco-café : entre 4 $ et 17 $ à la carte.
Mauricie
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Des salades santé, vraiment ? « Attention, les salades n’offrent pas toujours une quantité de pro-téines adéquates », croit Louise Desaulniers, coauteure du livre Le végétarisme à temps partiel. « Il est nécessaire d’absorber au moins une tasse de légumineuses pour ne pas ressentir un coup de fatigue deux heures après le repas. » Quant aux vinaigrettes trop grasses, on demande au serveur de les remplacer par un filet d’huile d’olive avec un peu de jus de citron.
Cuisine ethnique, cuisine santé ? D’après la nutritionniste Marilyn Manceau, de la clinique Nutrium, les restaurants de cuisine du monde offrent souvent une solution santé. La gastronomie asiatique et méditerranéenne dispose, par exemple, d’un grand choix de poissons et de végétaux. « Par ailleurs, l’idée d’un plat commun placé au centre de la table per-met de se servir de petites portions et d’éviter les assiettes trop généreuses », estime Marilyn Manceau. On trouve généralement ce type de solution dans les restaurants maghrébins et indiens.
produits industriels ou naturels ? « S’alimenter ne devrait pas être perçu comme une punition », af-firme Marie-Claude Lortie, critique gastronomique et journaliste à La Presse. La spécialiste déplore le fait que plusieurs se privent de bons produits locaux très savoureux et privilégient les aliments allégés et industriels provenant de l’autre bout du monde. « Il vaut mieux écouter son appétit et jouir de sa liberté, celle de ne plus se sentir coupable. » •
Des pièges dans votre assiette !
Sources : Louise Desaulniers et Louise Lambert-Lagacé, Le végétarisme à temps partiel : le plaisir de mieux manger sans viande, Éditions de l’Homme, 2002, 239 pages • Marilyn Manceau, nutritionniste chez NUTRIUM, 514 343-7055, www.nutrium.org • Marie-Claude Lortie avec Robert Beauchemin, So-lutions restos La Presse, Éditions La Presse, 2008
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Plus de gras trans au resto ?La chaîne de restaurants Pacini est la première à avoir éliminé tous les gras trans artificiels de ses menus. C’est en accord avec les ser-vices de cardiologie et de nutrition clinique du Centre hospitalier de l’Université de Montréal que son chef a développé ce menu exempt de gras trans et créé à base d’aliments de premier choix tel que l’huile d’olive extra vierge d’Italie un menu plus sain. Pacini distribue d’ailleurs, depuis peu, sa gamme d’huiles d’olive, de vinaigre balsa-mique et d’assaisonnements en épicerie.
petits et grands festins…• Menu Santé, c’est une entreprise menée par une naturothérapeute qui a la santé et l’alimentation à cœur. Elle nous prépare des repas congelés fait d’ingrédients bios dans des conte-nants individuels. Ne reste qu’à les réchauffer ! Mets chinois, poissons et délices italiens, saucisses, muffins et fromages : tout y est. À Saint-Bruno, 450 461-0167 • Une réception, un 5 à 7 ou un cocktail à organiser ? On appelle Les Acolytes traiteur à la rescousse pour qu’ils nous concoctent un festin sans pareil aussi délicieux que beau pour les yeux. www.acolytestraiteur.com
Tout végé ! Pour trouver une épicerie, un restaurant ou un magasin végétariens, on arrête de tourner en rond dans les rues de Montréal et on clique sur www.vegemontreal.org. Rapide et efficace !
Et Thym SelPour cuisiner le goût des enfants et des plus grands, Et Thym Sel propose des ateliers culinaires variés et appétissants dans la région de Québec. On enfile no-tre tablier, on trouve une louche et on surveille leur calendrier ! www.etthymsel.comDélicieuse
apparitionRose flamboyant, le pitaya – aussi appelé fruit du dragon – captive nos yeux dans les étalages de fruits. Non seulement, il est beau, mais il est délicieux. Sa chair blan-che garnie de minuscules graines noires rappelle le goût du kiwi. Il est riche en vitamine C, en calcium et en phosphore, et ses graines nous donnent une bonne source de fibres. Pour le manger, on le coupe en deux (dans n’importe quel sens) et on le mange directe-ment à la cuillère. Certains aiment aussi l’arroser de jus d’agrumes. Pour 100 g de pitaya, on n’obtient qu’environ 50 calories. Bon choix !
Recettes pour bébés et enfantsCe qui est bon pour les petits l’est tout autant pour les grands ! Ces recettes allant des purées aux collations et aux lunchs de la petite école colorent nos menus familiaux ! Trois ingrédients clés de ce fabuleux livre : le plaisir, la santé et la facilité. Cuisiner n’aura jamais été aussi agréable… et savoureux !Marie-Claude Morin, Recettes pour bébés et enfants, Éditions Modus Vivendi, 2008
Manger pour mieux déciderGrosse réunion en vue ? Remaniement au boulot ? Problème de couple ? On mange avant de prendre une décision. En effet, une chercheuse britannique a montré qu’on est mieux disposé, plus calme et plus ouvert pour prendre des décisions intelligentes quand on a laissé le temps à certains aliments de réveiller l’action de la sérotonine. Les aliments qui réveillent notre esprit de décision : le chocolat, la volaille, les pois chiches, la viande rouge et les produits laitiers. Source : La Presse
Des graines de lin dans les croustilles ?Difficile d’y échapper durant la période des fêtes, les célèbres chips sont partout !
Alors autant choisir les Viva Omega 3 de Yum Yum ! Additionnées de graines de lin moulues et cuites dans l’huile de canola, deux sources d’oméga-3. Il ne faut pas pour autant en abuser ! Trois saveurs délicieuses : Fromage asiago, poivre et romarin; BBQ à la fumée de noyer; Sel de mer.
CONSCIENCE glObAlE
Il me soignait. Il m’enseignait aussi. Nous étions maintenant couchés sur le dos et il me faisait découvrir une nouvelle technique de « CHI ». Il y eut un grand silence… Il venait de me dire : « Je vais te montrer un miracle ! » Mon cœur battait si fort, je croyais enten-dre des roulements de tambours. Il leva un bras…
Le Chi. Pour les uns, il s’agit d’une pa-nacée : il est partout et est la seule raison à tout. De lui dépendent le bien-être et la santé, disent les acupuncteurs et bien des inter-venants en santé. Il serait aussi la connais-sance, au-delà de tous les savoirs. Il serait la spiritualité même, au-delà de toutes les religions.
Pour les autres, il ne s’agit que d’un des nombreux témoignages de la bêtise humai-ne. Héritage des superstitions qui régnaient avant la pensée rationnelle, cartésienne, scientifique. Il n’a évidemment rien à voir avec la santé – sinon par l’effet placebo. Y croire est la preuve d’un esprit superficiel, naïf et bigot.
Et pourtant ! On est bel et bien « tombés dedans quand on était petit » ! Le Chi est tou-te notre vie, nous lui appartenons. Cela n’est pas une affirmation théorique, mais peut-être le simple fait de l’expérience. Or, pour la plu-part d’entre nous, le Chi n’est qu’une « idée », une « pensée magique ». Si le Chi était à ce point au cœur de notre vie, ne devrions-nous pas le sentir, concrètement, physiquement ? Qu’est-ce qui nous en empêche ?
La première raison qui fait que le Chi ne fait pas partie de notre univers, c’est que… nous ne vivons pas dans le même monde ! Je m’explique. Nous vivons dans notre tête, dans nos idées : la famille, la profession, la vie sociale, amoureuse, économique, cultu-relle, religieuse… Voilà nos mondes, voilà nos vies. Or, ce ne sont que des idées, des idéaux ! Tout cela nous éloigne du phéno-mène de la vie.
La seconde raison (qui souvent découle de la première) est que notre stress crispe nos muscles et nous gêne bien au-delà de nos mouvements. Il altère aussi nos sens et
donc, nos perceptions de nous-même et du monde.
Que faire ? Commencer par la détente musculaire, qui permet de mieux sentir ce qui se passe dans le corps, à l’intérieur, dedans : le Chi, la vie en action, sans les bruits de notre agitation et de nos idées. Et puis… changer de monde ! Progressivement. Nous pourrions ainsi nous rapprocher de la (notre) vie, et nous rendre compte... Nous pourrions…
Son rire résonna fort dans toute la pièce. Le bras levé, c’était ça, le miracle qu’il voulait me montrer. Seule la Vie est capable de faire ça, me dit-il. La Vie est le seul miracle, dans tout l’univers ! La Vie est dans ton corps. C’est là qu’il faut que tu cherches. Le Chi est là où se trouve la Vie. Le Chi sera ta recherche. Arrête de croire dans des balivernes. Arrête de te foutre de la Vie !
À suivre… •
« Seule la vie mérite qu’on lui consacre sa vie » – V. StévanovitchPAR PIERRE BooGAERTS, directeur du ceNtre P. BoogAerts eN estrie, forMAteur et resPoNsABLe de L’ÉcoLe iNter-NAtioNALe de LA Voie iNtÉrieure Au QuÉBec. VLAdy stÉVANoVitch Lui A recoNNu LA QuALitÉ de MAître de chi et de tAi Ji QuAN.
L’ART DU CHI
Source : www.artduchi.com/centrepb
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Nous recherchons tous l’équilibre dans nos vies, mais, il faut bien l’admettre, ce n’est pas toujours facile. On se laisse quel-que peu entraîner par les responsabilités quotidiennes et lorsque le temps des fêtes arrive, on aspire au calme et à la tranquil-lité. On veut recharger ses batteries, et c’est essentiel, disons-le.
Cependant, en tant que sexologue clinicienne et thérapeute conjugale, je peux vous dire que c’est tout aussi important de refaire notre énergie de couple. Revenir à la source de notre épanouissement conju-gal. Votre conjoint a, lui aussi, connu des bouleversements et des défis dernièrement et pourtant, vous êtes là et vous vous
aimez toujours autant. Peut-être n’êtes-vous simplement
pas connecté à cet amour et à cet élan
pour l’autre car, me direz-vous, je n’ar-rive même pas à me connecter avec moi-même.
À cela, je répondrai qu’effectivement, avant de retrou-ver l’autre, vous devez d’abord
vous retrouver
vous-même. Faites le point sur les derniers mois : ce que vous avez vécu, les belles et les moins belles expériences et, surtout, ce que vous en avez retiré, car, avouons-le, on grandit toujours davantage des expérien-ces qui semblent en apparence négatives, si l’on veut bien y jeter un second regard. Après que ce petit bilan sera fait, dorlotez-vous, prenez quelques moments pour vous faire du bien, en ayant toujours en tête l’équilibre du corps, de la tête et de l’esprit.
Une fois votre équilibre retrouvé, plani-fiez une rencontre avec votre conjoint. Une rencontre est plus qu’un rendez-vous. C’est une façon d’être, d’entrer en relation avec l’autre de manière aussi ouverte et sincère que possible dans notre dévoilement et dans notre réceptivité à l’autre. Faites le point sur votre vécu de couple des derniers mois et prenez le temps de dire à l’autre qu’il vous a manqué. Cette rencontre vous permettra de vous ressourcer en tant que couple et d’amorcer le temps des fêtes sur le bon pied.
Évitez le piège de penser que vous connaissez tout de l’autre. Profitez de cette période pour redécouvrir l’autre là où il est maintenant et non là où vous vous êtes connus il y a des années. Prenez le temps d’évoluer ensemble et de partager, car c’est ainsi que vous pourrez vieillir côte à côte.
On dit que le début d’année est le moment idéal pour prendre des résolutions. Faites-vous une promesse à deux, ensem-ble : celle de ne pas laisser le quotidien l’emporter sur votre amour et votre intimité. Joyeuses fêtes ! •
La vie tourbillonne, le travail, la famille, les amis, les loisirs… et le conjoint dans tout ça ? Vous vous êtes un peu perdus de vue ces der-niers temps, alors c’est le moment d’en profiter pour de belles retrou-vailles. Aux câlins !PAR GENEVIèVE PARENT, M.A., SEXoLoGUE CLINICIENNE ET THéRAPEUTE CoNJUGALE, MEMBRE DE L’ASSoCIA-TIoN DES SEXoLoGUES DU QUéBEC ET DE LA CoRPoRATIoN DES PRATICIENS EN MéDECINES DoUCES DU QUéBEC WWW.GENEVIEVEPARENT.CoM
en ce temps des fêtes…
Renoueravec son couple
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Trop souvent, nous recon-naissons en nous une
tendance à douter et à sous-estimer
l’immense pou-voir que nous détenons de faire naître nos rêves les plus précieux. Une
certaine gêne s’installe à l’idée
que nous sommes mé-ritants de tout ce qu’il y a de plus beau dans la vie et que nous possédons déjà tou-tes les aptitudes nécessaires pour accomplir ce que nous désirons. Il est pourtant erroné de porter une attention soutenue aux qua-lités que nous ne croyons pas posséder et à tout ce qui nous semble impossible d’ac-complir, et espérer des résultats positifs.
Voici huit réflexions qui vous aideront à prendre conscience des émotions et des pensées qui dictent vos comportements et qui nuisent à l’éveil et à l’actualisation de votre plein potentiel. - Apprenez à aligner vos pensées à vos objectifs. - Évitez de ressasser toutes pensées dé-faitistes qui font revivre les peines et souf-frances du passé. Elles ne servent qu’à vous rendre malheureux et vous convaincre davantage de leur bien-fondé. - Devenez conscient des réactions néga-tives, quasi robotiques, que certaines situa-
tions ou personnes provoquent en vous et qui ne contribuent pas à votre bien-être.- gardez en tête que vous n’êtes pas obli-gé d’accepter comme vérités toutes croyan-ces limitatives que d’autres auraient à votre sujet et tenteraient de vous faire croire. - Cessez d’entretenir toutes pensées né-gatives qui sapent votre énergie, minent vos chances de réussite et favorisent des comportements qui vont à l’encontre des résultats souhaités. - Réévaluez toutes croyances restrictives qui définissent les paramètres de ce que vous pouvez accomplir, vous poussent à l’inaction et freinent l’actualisation de votre plein potentiel. - Souvenez-vous que vos émotions vous indiquent clairement les changements né-cessaires pour vivre davantage une vie ca-ractérisée par la joie, la paix et le bonheur. - Apprenez à lâcher prise. Tout change-ment est une occasion d’abandonner votre zone de confort et vous invite à développer l’aspect créatif en vous.
Votre pouvoir réside dans le moment présent. Hier est passé et demain est incer-tain. Accordez toute votre attention à l’épa-nouissement de votre être et à la réalisation de vos rêves. Vous vivrez ainsi le voyage magnifique que vous méritez.
Bonne route ! •
d’éveiller le potentiel
Les pensées que nous entretenons à notre sujet, les pa-roles que nous prononçons à notre égard et notre façon d’agir contredisent trop souvent l’être magnifique que nous sommes, et que nous avons le potentiel de faire apparaître et connaître. Il semble si facile de se souvenir de toutes les fois où nous nous sommes sentis démunis et si difficile de se pardonner pour nos erreurs de jugement. Mais comment cesser de douter de soi ?
PAR NICoLE TAMARo, CoNFéRENCIèRE ET FoNDATRICE DU CENTRE DE LA NoU-VELLE PENSéE VERS L’éPANoUISSEMENT DE L’êTRE
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LECTURE DE L’ÊTREConsulter votre passé afin de chercher le sens du présent pour pressentir votre avenir. Luc Des-chênes,450 646-6362, [email protected]
Relation d’aide • Focusing • Suivi de deuil.Deux-Montagnes et Montréal (métro Laurier).Sylvie Gingras, 450 974-2342.
Vous désirez une relation plaisante, enrichissanteet durable avec quelqu’un ? Commencez avec vous-même ! Georges-Henri Arenstein, psychologue,Montréal & St-Jean-sur-Richelieu, 1 877 346-2577
DiversVOYANTE. Cartes, lignes de mains, dessins, café, objets, photos. Ginette, 514 766-7587
Pour informations : 514 396-5179 poste 45, [email protected]
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