cinq cent et sept mouvements mécaniques : renfermant tous...
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Cinq cent et septmouvementsmécaniques :
renfermant tous ceuxqui sont les plus
importants dans ladynamique, [...]
Source gallica.bnf.fr / Polytechnique
Cinq cent et sept mouvements mécaniques : renfermant tous ceux qui sont les plus importants dans la dynamique, l'hydraulique, l'hydrostatique, la pneumatique, les machines à
vapeur, les moulins... / par Henry T. Brown,... ; traduit de l'anglais... par Henri Stévart,.... 1880.
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BROWN, HENM T.
Cinq ccFt~ et sept
F~OMUC~eFt~S
F~ec~ynqMes reyt/sryîKtFt~
~OMS ceux qui sont ~s
plus tFMpor~yt~ dans
dynamique,
r/tyd~MMqM~
JOFtCMFÎt~~Me.
Gauthier-Villars
Paris 1880
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CINQ CENT ET SEPT~4~
MMÏEMMT~CMÎMES ranram~nt
et pluaieurB qui aont seulement depuis peu en usage
PAR
TOU$ CEUX tUt tOXT K< ft-ue tMfMTMtYt
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tA Mt)A!MQCB, L'MWMAUUOM, t'HYMOSTATteUB, M mBMtATtOM,
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CN!TBMNT BtAUOOCP BB MO<!VN!BNT8ÏN~ITS
HENRY T. BROWN
&)&tTEUR DE <.t.'AMt!R!OAN ARTISAN.
tt~tth t-th)< <w f.et.thtOM <t t'mtw
PAR
SEBN-tt.1 ST~V~T
tN~tnEUR
BRUXELLES
GUSTAVE MAYOLEZ~St
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i%Rue de )'!tM)~Mt)-)ce, M
11880
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fAUTHÏER.VtLLARSMB~AtM
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MC)tB.MNt Mmnmm L. aooM~M BT v. a*v*ox. umeoBAMM m LA eoM
t<t,MM<t'A<*<te<tM
PRÉFACE
Le besoin d'une collection compréhensible de dessins et de descriptions de
mouvements mécaniques a été sérieusement senti pendant longtemps par les
artisans, les inventeurs et ceux qui s'occupent des arts mécaniques. Ce fut là
l'origine de l'idée de compiler ou réunir la collection que l'on présente ci-après.Les mouvements qu'elle contient ont été dessinés et décrits à mesure quel'occasion s'en présentait, et lis sont dispersés dans cinq volumes de i'~meWeaM
armait, journal technique très important. Leur publication fut si bien reçue parles lecteurs, que l'éditeur de ce recueil crut devoir se réserver le droit de leur
reproduction, avec quelques modifications, en un volume spécial.
Plus d'un quart de ces mouvements dont beaucoup sont d'origine essen-
tiellement américaine n'avaient jamais paru, auparavant, dans une collec-
tion publiée.
Bien que la présente collection embrasse environ trois fois plus de mouve-
ments que n'en a jamais contenus aucune publication américaine antérieure, l'édi-
teur u'a pas eu seulement pour objet d'en augmenter le nombre sans discerne-
ment, mats il s'est, au contraire, efforcé d'en choisir quelques-uns qui fussent
d'une valeur réellement pratique; et, dans ce but il en a rejeté beaucoup d'autres,
que l'on trouve dans toutes les collections publiées antérieurement.
Obligé de prendre ces mouvements tels qujils se présentaient a lui, sans avoir ni
le temps, ni l'occasion de les classer, et es dessins ayant, d'ailleurs, été faits à
mesure des besoins d'une publication immédiate, l'éditeur américain n'a pu en
opérer la classification comme il eût convenu de le faire et comme il en avait, du
reste, conçu la pensée. Cependant, ce défaut est plus que compensé croit-il,
et avec raison, comme le lecteur en jugera,par la table des matières et par
l'arrangement entièrement nouveau des dessins et du texte explicatif mis en
regard, ce qui a rendu la collection bien plus convenable, au point de vue des
recherches, qu'aucune autre qui ait été publiée précédemment.
PRÉFACEDEL'~TtOMFMH~tSE
Le volume dont nous publions aujourd'hui ta traduction <ï'ancaiM a paru
convenir surtout à la vulgarisation de quelques notions utiles de mécanique
pratique. En même temps, il Mt connaître tes principes et les applications qui
sont considérées, e!r Amérique, comme étant d'un grand secours dans !a
construction et l'usage des machines. H est intéressant de fournir a nos
industriels et à nos ouvriers l'occasion de comparer les connaissances que nous
possédons avec celles qui sont propagées dans un autre pays, renommé pour
ses aptitudes dans la pratique de la mécanique.
La tendance qu'un grand nombre d'ouvriers, parmi les plus intelligents, ont
d'inventer h nouveau des combinaisons cinématiques déjà connues et appli-
quées sera utilement combattue par l'étude du petit livre que nous ont'ons au
public.
Ce recueil, dont l'auteur a une compétence et une réputation bien établies, est
publié avec le concours du Gouvernement et sous les auspices du Musée royal
de l'Industrie.
La traduction en a été confiée à M. Henri Stévart, ingénieur-directeur des
ateliers de La Sambre..
JV. B. Dans cet index, les numéros n'indiquent pas les pages, mais ils
renvoient aux dessins et aux numéros du texte explicatif.
AccoupteMM~t de tuya~TEt m
Anneau pouvant se détacher d'une chatne, SM.
AppaMt de Bottmetttxxter, pour le XMUwmtnt
p)an«atte,N6.
Appareil pour décrire <tm e))tpM<, Mt.dtMontrer que le <h)tteme))t d'UM
roue de voiture n'augmente pas avec la vitesse,mats 'avec )a charge qu'eue Mpporte, !M.
Appareil pour tracet- dea hettcM, SM.
je<thyp<'i'))«)e<,«6.
deipambotM.OM.
Appareth pour e)ew t'eau, <?,«).«!, «s, «<, <
<iS,<MKfû~<M.Attet pour les roues a tantenm, N&
aMehet,MO.m
a'ensrmate.m
remonter teooMntrM, a!, M%<M, M.
A)Tete<utht,!M.ffltbeamt, M
)a
Mattdercompenmtexr.Mt.
Baromètre, Ml.Mterbyarau))<)tte de Monttotner, <«.
C<bMta))B,<M,«H.
a
CtUbreNmecteur.OO.
CMtte.S.tB.M, M.tn, 190, t%m Ba.tM,m,m,<?,)?.
Chatteement demoutemeMt aMtonmttque, 87,
CtMHhs, MO.
C))quetBetK)Chet<,<9,?4,M,W,~<jCm!M,tt!M,ni.
OetooM oMXante d'EcM, <~<«).
compas de proportion, «N.
0)mp(aw4ean,«t.
WCVNtMM MÉCMHOCM.
tNDEX
Compteat-Aern (avec eM),<N!(MtM eau), <M.
CompteuM de rtvoMtotts, <)),«,?, 9%M, <B,ec,ie,n.
Co~utte d'eau OeïtNe, <?.
(Mmat)ten',tM,na,m
dtaMntttMM. M~
et pttNon, St. HS, )M, tH, 1M, U% tt!,
M%tM,mtM.M,!S.
Ortc.SM.
CNCtMt&deoit<51.
d'attaOMpourbatMM.tM.CMettett a~mmt par la fbrce centrtfttee, N3.
ûyetoeraph' «B, <0t.
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DecUc,SI.
MWSO))' aMtMMUqM, «3.
N<Krente: eepece* de moumment, Mt. MO. t53, ITt,
mim,M3,!0%tN,ÎH,tt%M,!S!,t<Z!<,Mt,M,
!M,M!M.N).tM,M,9~M).!S.9X),3m,<tS,4n,
«'),«?,«!<.
Cy))amomette,!M,M.
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HS,NO,!M,M,!)~9(M,aoi,a)t,aB.3M,3M,SMt3<n,
30S, aN, N0, SU, 3)!, 9M, 9M, <?.
EcM)ej)Man<<fN).
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Knfjrenage àcomonne, M, !t&
BngtBttafes &echetomt. M.
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Aforer.aM.
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MmtTetha, M, 9 M, t00, m. t<!i, MO, M), M, t~ M!,
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MttM)a)Att~<M,MO.Mxrtettu & atr eomprt)))~ <M.
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poNr<eMM'tes)ottp<î,SM,
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M<cm[Bt!M pou)' te e))m<ement de «MfetM <M
MMMn<s, m, ?.
tMchepoat'tNw.ae.
Me)t)m,3!e.
Mouttn & <<<tett9)t de Barker, <3&
tvent,~
MooMment de Miette, an.
deMtwte.Nt.
de taneuaee, <m.
obtenu au moyen de <eet«)Mdent<s,œ.oadttant,~
ptanetOMt~.
rectUt(me,e%m,M:M,S%m
rot<t()ftrtm0)m)6enmo<)tementatte)'-
MtM.<M.
Moatement tmnBvaKat, St Mt.
tfamvetM) MttaMe, ta, te, Mt, tM.
vm'h)Ne,9&
Mt)U'emcnt:depompe,N,M,!83.
dttCtMtttte)' M, M. se, e~ M, N, M jM.
tt)term(tteate,ta,<X,œ,<~e7,)B,0%TO,
71, T3. 'M, T5,M, ?, !m, œ, H), SM, SM.
MoMtemenKtx<raUe)e<t, N% S9, S!, M% SM, Ni, 99),
397.NS,S3~MO,Mt,M.
Moyen automaUquedechMeer )e mouwment.M.
d'attochepom't'etevtttonde«Mtet)enï,<m.
detttfetOtu'net'deMaKspaMUetesdtmdes
som dtmrentt, tW. M, SS8.
Moyex d'optOMr une rtstataneo & u)te pu)M<m<!e,
t. jw
Nivem pour arpenteur, <H.
p
) PatMpourtegoMYefMttdesnavtfe~~PaDt<WM<nhe. M!.
MOBVNtNfMttËCANtCUM.. vt)
Il
PNHMtOMm<<MM<))MttM.
PMatM, )a, tM, MB, M), 3M, <0t, <t0.
pendule d&iftvant xn conique, a:.
t~n<tu)e%aM,SM<m,a~e('m)M)MtMt')),BM,3n.
ff~tOM.a.HS.`
&d9)m))ents,!05.
&)Mteme,t(e.
àmUtUK~tN.
tMB~~lU.
Pince pour élever )M matériaux <tMt )M con<tmc.
«one,<M.
Pompe &a)t,<T3.
&ba)MC[N',<N.
Ae)M))M,<M.
A doMMeeOMt <?.<?.
ttOt<tttC)).<N!,<M
4MMa)et<<M
aMCdfttphMem~~M.
deMvtKttM.
NMthm<%<MHH,4M.
MU)<VMte,«%«t.KmtmobUe pour les <Mbnrcm)é[M,3M.
Pott)!<A<MettOt),!<n.
dt<N)'entte)K,M<.
Foa)f<t,%<,f,%7,<mj<H),j%t%M,M,t%tT,
t%mM.a,!<,M,M,<%<~<)t,<%M,!S!M,!n,B%Bf,N!.
MuMMetewd<t)9).
po))feMttN<,a!,a~N).
Mtef)MBK)ttemmte,0.
PMM4t(B,~t)9,tM.
hydmuffqNe.t~fM.
R4M)o<eMfAe''it,<a.
pour montre, 418.
R<<<t)etetm, MT, Mt, M~ MB,HO,K<. t8t, M.
IMWttver.M.
MMoet & quatre YotM, SB.
RotattOtt en sans Inverse de deux arbres commMMMs
par demt~tteMnage, 7<, ML
Rotu)e,M9.
ROHetcamea.m
tchet)U<%N9.
<t
Mttmp<u'<d)ttm,3M.as.9M,~3~M!.
Roue &couronne, t~ M.
&)aMter))9,a3,
d'engrenage dMtt~, M.
-etoUee.M.
gutdepMM'ehettte.KH.
mtMenmonMntentpm'anetM-at,
ondutee,MB.
pem<uM,«t.
Roues A eyttndrer, ?. 1~ itB, tM, Mi.
ta'tct)on<,Mta,<<N.
&p<ttett<e,<87,<N.
cotUqMee, 3!.
hy<tmm)qtM,<a<,<N,<S!,<9%<M,<i5,<M,<S!,<?.
Bct)e:tnu)tt))t<a,t!.
pourett<a)')etf«ttement,!M.
Bou)eauxtettter,<M.
oM)q)M),!0<,tM.
)t
Betea)<en)attw,9M.
tm)'))!onte)e mue au moyen d'un pen<Me, 9!9.
Bamnn,t4t.
SeeteuM dentée Mt, tS, M, ?!.
SefMjotnt&vtt.MO.
SHppOftpoucntttMf, !?.
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Tambour 4 achetons STr.
ToorA McUoa.tN.·
TraUxepteycMtdttMi, CM. M3, NM, aB, MO, M!.
Transmission par <MMement, !«.
T[emtcMnob,t!tSN.
VValves pour paMt<e de ta vapeur, <M, <t&
Va~et&v~iW.
<tech<u'penttet',tM,MC,3M.
VenMt«teMr,<9!.YMe~aie pour vafMCMtx, <?. <M.
VtN, t<% M9. Mt, tt6, MM< Mt, <?.
& deux pas dt<MFMtb, «]6.
pas & dMtte et pas & crache, m <5t.
-.d'AretttmMe.40.
-d)tMte))t)e)h),M).
m)c)'o)neM<)M, tu._e n.. m ne M m ~ea aoe am
8 MOUVEMENTS MÉCAMQM.
HOUVNMNTB H<CAf)!QCES. 9
<. Dessin d'une transmission do mouve-ment par 'poulies et courroie ouverte. Lesdeux poulies tournent dans le morne MM.
8. Diu&re du n* en ee qu'une courroiecroisée rempiaeo la courroie ouverte. Dansce cas. les poulies tournent en sens con-traires,
En disposant trois poulies cote a cote surun arbre qui doit recevoir un mouvement do
rotation, une poulie fixe au milieu, et lesdoux autres mobiles; et falant passer surl'une et t'autre une courroie ouverte et unecourroie croisée, le mouvement do t'arhro
peut avoir lieu alternativement dans unsens ou dans l'autre sans arrêter ou ren-verser le mouvement de l'arbre conducteur.Une courroie tournera toujours sur la pouliefixe, et l'autre sur une des doux pouliesmobiles. L'arbre tournera duns un sens oudans l'autre, suivant que la courroie ouverteou la courroie croisée sera sur la poulie fixe.
3. Méthode pour transmettre le mouvementd'un arbre a un autre arbro perpendiculaire,au moyen de poulies de renvoi. Ces pouliessont au nombre de doux, une pour chaquebrin do ia courroie.
4. Moyen de transmettre iemouvementd'unarbre a un autre placé perpendieuta)romentet dont l'axe est dans ie mémo plan. Unecourroie ouverte peut être employée, mais lacourroie croisée, représentée, est préférablecomme donnant plus de surface do contact.
S. Semblable au n* i, avec addition d'une
poulio mobile B dite do tension. Quand cette
pouUe est pressée contre la courroie pour la
tendre, ceito-ci transmet ie mouvement d'unedes grandes poulies ù i'autro; mais quand
cela n'a pas lieu. la courroie est si peu ton-due que te mouvement n'est pas transmis.
6. En donnant un mouvement d'oscillationau lavler attaché au segment semi-circulaire,la courroie attacha audit segment commu-
nique un mouvement rotatoire alternatif auxdeux poutios inférieures.
7. Moyen do faire tourne)' alternativementdanf un sens ou dans l'autre, ou do tasser en
repos t'arbro vorUcat deMiné u gaucho. Lacourroie est représentée sur la.. poulie dumilieu de l'arbre inférteur a b, poulie qui est
folle, et, par conséquent, aucun mouvementn'est communiqué audit arbre. Quand lacourrofo glisse sur la
poulie do gauche,calée sur l'arbre creux b portant & roue
conique le mouvement est communiquédans une certaine direction a l'arbre verticalet si la courroie glisse sur h) poulio de droite.le mouvement est transmis par la roue AHxeo sur t'arbro a qui tourne a t'intertourde
b, et l'arbre vorticai tourne dans un senscontraire.
8. Poulies multiplicatrices (poires) om-pioyeos pour tours et autres macbinos~utMSmécaniques, aun de varier ia vitesse suivantle travatt a enectuor.
9. Poulies coniques usitées dans io mêmebut que ton" 8.
Ce mouvement est utilisé dans les filatureset dans toutes les machines qui doivent tour-ner avec une vitesse graduellement croissanteou décroissante;
10. Modiitcajtion du n* 9, los pouliesétant de formes différentes.
MOUYMNrrs NËCAMetM.M
MtMVEMENTatftCAMQCN. H
Il–L_–
«. Moyen d'arriver au même résultat
qu'au n" 3 MM poutte de renvoi.
il. Pouiiesimptoempioyéo pour lever des
poids. Dans ce ça:, la puiMnnco doit être
égaie a ta résistance pour obtenir i'équiiibro.
i3. Dans ce caB, la poulie inférieure est
mobile. Utm extrémité de la corde étant
fixée, l'autre doit parcourir un chemin dou-
ble do cetut du poids, et l'on obtient ainet
une puissance plus grande.
i4. Palans, mou0es. La putesaneo obte-
nue par ce moyen se calcule comme Mit on
divise le poids par le double du nombre de
poulies du bloc Inférieur. Le quotient est ia
puiMaoco cherchée pour équilibrer ia résis-
tance, sans tenir compte des frottemonts
iS. Représente le moufle de Whito. Les
blocs ttouvent tous deux être faits de poulies
séparées ou être d'une seule pièce, et por-
ter des rainures circulaires dont les diamè-
tres sont proportionnels & la vitesse de la
corde; o'est~~ttro <. 8. 5 pour un bloc, et
9. 4, 6 pour l'autre. La puisMnce est a la
rMetanca comme t est &6.
<6 et n. CombtnaisuM Mpagxotm de
poulies.
18. Combinaison do doux poulies fixes et
d'une poulie mobile.
i9,30, a< et 99. Mu~rents arrangements
do pouttes. La rëj~e Mth'anto e'appttquo a la
ngaro 39 Dans un systëmo de poulies sur
chacune desquelles s'enroule une corde atta-
chée par une extr~ntté a un point Oxe, par
l'autre au contre d'une poulie mobile, le
nombre 9, mutUpHé par lul-mémo autant de
fob qu'il y aurn do poulies mobiles dans le
systÈmo, donnera te rapport do la résistance
& la puissance.
<!MOUVEMNnrs NtCttttOCM.
HOUVBMNTSMÉCAtOQUES.MilLa petite fouo triangulaire cottdtttt lu plus
g)'am)o par le seu) mouvement de ses rou-
teaux de ~tction da))6 les t'atnm'es radiales.
23, Moyen de transmettre un mouvement
do rotation ri une poulie mobite. La poullo au
tMB do tu Oguro est une poulie mobitei si
cette poulie <'tn)t tevec ou nbalM~ la com'-
)'oie serait )'eMcheoou tendue. Dans le but do
garder une tonslon uniforme ù ta courroie,
une poulie ~1, montée dans une glissière
entre des guides, est suspendue ù une corde
))!Mtsant sur deux pouttes-guides BB et ten-
due par le contrepoids C. i)e cette manicre,
on arrive au rcsuHat dMre.
S8. Transmission par frottement. La vf-
tesso retath'o peut être vart('c en dMngeant
)a dlstanco do h) roue supÈrtcut'a an contre de
Dntertouro. L'une conduit t'autt'e par frotte-
ment ou adhcrenco, qu'on peut augmenter on
recouvrant t'inffrieure do caoutchouc.
29. TranHnisiton du mouvouent rotatoife
d'un arbre ù un autre placé ù angte droit. Lu
non'urc on spirale de la roue-d))!que conduit
ta t'eue d'ongt-onage. qui se meut d'une dent
ù chaque révolution de t'uuh'e mue.
M. Roues d'engrenages.
85. Engrenages coniques.
96. La roue do droite est appotee uno
roue &couronne; cotte qui engrène avec elle
est une roue d'engrenage. Ces roues ne sont
pas très employées et sont seulement avan-
tageuses pour do légers ouvrages, puisque
les dents do la roue ù couronne doivent né-
cessairement être minces.
97. Roue muttipie, récente invention.
80. Engrenages rectangulaires donnant un
mouvement rotatoire de vtteMO variée it )a
roue d'engrenage conduite.
Ils onl été utilisés pour une presse d'itNprt-
merle dont les caractère)! ~ta!cnt placés sur
un rouleau rcctangutatm.
MOUVEMENTSMËCANtQUES.
MOtJVEMSSTS MÉCANXtUtiS. lit
~t.Vissaosftnetrouedentec.Cetorgane
produit le mcme résultat que le n" SU. etcotuoto it fst condn)t plus fMcHetnoot. )t est
plus souvent emptoy~.
32. Roues do frMion. Ip'i suffuces de ces
poulies sont aussi rugueusesauo possible,
aftn d'uupuonter t'adt~reneo; 1 uneest par-fois recouverte de euh' ou, mieux encore, de
caoutchouc vutcanisp.
30. Roue ftcyiindrot'et pignon, ainsinommée & cause de son application à cylin-drer. Conversion du mouvement rotutoire du
pignon en un mouvement rotatoire alternatifda la roue. L'axe du pignon a un mouvementde va-et-vient et M meut dans une coulissedroite coupée dans une tige verticaie. pourpofmettfeau pignon de s'etever ou do s'abais-
ser; le pignon engrène en dedans ou en dohors do l'engrenage de la roue. Lu rainure
coupée dans ta taco de la roue &cytindrec etsuivant aon pourtour est destinée a recevoiret ù guider t'axe du pignon et il tenir celui-ci
engage.. <
37. Mouvement uniforme transformé en
mouvement t'otototro varie. La roue coniqueou pignon do gMtche a des dents découpéessur toute )a largeur de sa surtaco. Ces dentsengrènent avec une serte de broches arran-gées en spirale sur une roue conique.
38. Moyen de changer un mouvement rota-
to!re, par lequel ta vitesse est uniforme pen-dant une partie de la révolution et variable
pendant l'autre.
39. Boue ptanetaire ou mouche. La roue
d'engrenage de droite, nommée )'o<M-~<M«e,est attachée au centre de t'autre, ou nwe-M-
M/, par une tige qui fait que la distance entreles eux centres est constante. Cecittut om.
ployé par James Watt pour remplacer, dans
une machine a vapeur, la manivelle, brevetéeen faveur d'un autre inventeur. Choque révo-lution do la roue-pianeto attachée d'une ma-nière Invariable à lu tige, en donne deux ù laroue-soieii calée sur i'arbre du votant.
33. Moues d'engrenages eiiiptiqucs. Etics
sont emptoyccsdans le cas où un mouvement
rotatoire de vitesse variable est demandé; tavariation de ta vitesse est déterminée par ta
rotation existant entre les longueurs des
grands et des jtetfts axes des ellipses.
34. Roue dentée intérieurement e pignon.Avec les roues d'engrenages ordinaires
(comme elles sont représenttcf! NMn*' 24), la
direction do lu rotation est inverse; nmisavec
la roue dentée intérieurement, les deux tour-
nent dans le même sens; et avec la mémo di-
mension do dents, les roues sont capables de
transmettre un plus grand effort, parce queplus de dents sont en prisa à lu fois.
3S. Mouvement rotatoh'e varié produit parun mouvement rotatoire uniforme. Lo petit pt-
gnon dente se meut dans une coulisse faiteSans lu barre qui tourne tibrotnent sur l'axe
d'une roue ottiptique. Les coussinets de l'axe
du pignon sont attaches il un ressort qui tient
celui-ci engagé. La.rainure de ta tige permetù la distance des centres des deux roues de
varier.
MOfVt!))E!!tTS M~CAf))CU)!8.
M
MOUVEMENTSMÉCAtttQUKS. if
Il
40 et 4i. Mouvement rotatoire converti en
mouvement rotatoire. Les dents de ces roues.
étant obliquos, portent les unes sur tes autres
d'une <hcon plus continue que cptfes des roues
d'engrenages ordinaires.
48 ot 43. DiaerentcsespL'cesde roues ))0tt)'
transmettre un momemont rotatoire d'un
arbM ù u)) au)n' p)ac6 obliquomonl pur )'ap-
port au premier et non dans to nK''mG ptnn.
44. Esp&ce de' roues d'engfcnages om-
ptoy~M pour tranMncttt'c une gmnde fbMcet donnor aux dents une portée conitnuo.
Chaque roue est comnosto de deux, trois ou
ptusipurs roues d'engrenages distinctes. les
dents, au lieu d'être en ligne, sont disposées
en C8ca))er pour donner une action continue.
Ce système est parfois empfoyé pour conduire
des hélices, et quelquefois avec une crHnait-
M're d'une construction sombtuMo pour con-
duire les tables do grandes machines &pianer
ou raboter le fer.
4S. Roues a rainures et a friction, taven-
tion reiutivemeat récente. ),o diagramme ;de
droite est une coupe agrandie qui peut 6tre
comprise plus Monont.
46. Fus('eet botte u ressort c'est le mou-
vement principal des montres, particutiero-
mont do celles de fabrique anglaise, t~ fuséede droite sert a
compenserlu perte do force
du ressort a mesure qu'il so d6rou)o. La
ehatne est sur ta petit diamMro de )a fusée
quand la montro est t'emont~e, le ressort ayant
alors la plus grands fomo.
-M. Ëmht'ayageu McUon, mit jMt' le iHvtor
inR't'tou)'. Est emptoyé peut omlmyor ou
d6set)t)))'!)yot'do tourds mécanismes. )/) moyeu
du disque de droite a une rainum qui gitsM
sur une eatc ou no'vut'e (txee sur )'ar)))'e.
48. Embrayage. Le pignon ù la partie su-
périeuro donne un mouvement rotatoiro con-
tinu o ta roue do dessous, &iaquoiio est atta-
chée la moitié do l'embrayage, et toutes deux
tournent tibfomant sur l'arbre. Quand on dé-
sire donner un mouvement a t'arbre, t'autre
)Mtt't!odo t'cmbrayage qui glisse sur une ca)o
ou nervure do l'arbre, est poussée contre h)
roue par le levier.
49. t~t)mouvemont cfrcu)a)re atternaUf de
t'a)'))rG hot'izontat produit un mouvement ro-
tatotroconUnu de t'arbrovorUcat, par Finter-
mMiairo des roues a mohetR attachées aux
engrenages coniques; les rochets des deux
roues sont p)ac('s on sens contraires, et i)!
agissent dans des directions opposées. Les en-
grenages coniques et les roues ù rochets no
sont pas catees sur l'arbre, mais los taquets
y sont solidement maintenus.
MOUVEMENTSNÊCAMQUES.
M(H~'<!MNtTS MÉCANt~UKS. 19
communiqueront le mouvement au pignoninférieur. qui tournera &ta fois autour de son
centre et autour du centre commun des deux
engrenages concentriques.
S8. Transmission du trois vitesa-s din'e-
rentcs ))ar engrenage! Lu partie inférieure (le
ia courroie t'stmonirco sur une poutiefoiie.
La poutie in plus voisine est ca~c M))'l'arttre
princ)~)[ M l'autre extrtnnM duquel est catee
une petito roue dentpc. La poulie suh'ante est
ftxf'c sur uu arbre creux to)n'))tu)t suri'arbrc
prhx.'ipat et il t'cxtrttnitc duquel so trouve
une roue dcn~-e d'un p)ut. grand diamètreque la première. La quntrtetno ot dernière
poutte de lu gaucho est ux~o sur un autre
arbre creux tournant )ihren)ont sur le précè-
dont, et ù t'autre extremitc est eak'e la plusgrande roue dpnM'c, ce))o qui est la plus rap-prot'iteo des pontfps. Conxne la courroie peutguMer d'uoo poullo a t'autre, ctte transmet
trots vitesses diu'ét'cntcs & t'arbre inférieur.
M. Transmission do deux vite~es par
roues d'engrenages. La courroie Mt t)gur6o
sur lu poulie foiio a gauche des deux antres.
i~ pouiie du milieu est caK'o sur le même
arbre que le petit pignon. et la poulie de
droite sur un arbre creux a t'extrOnite du-
quel est fixée )a grande roue d'engrenage.
Quand la courroie est sur la pouiie du mi-
lieu, un mouvement lenl est tranHnisa i'arbro,
inférieur; mais quand elle est sur la poulie
do droite, un mouvement rapide est donné
on rapport avec le diamètre des engrenages.
SOet St. Deux espèces du joints universeb:.
SS. Autre esp~e d'onbrayago. )<a roue-
diNjue do droite a doux trous correspondant
aux broches fixées dans t'autro dis()ue: quand
les roues ? joignent, les bro'ehes entrent
dans les trous et les deux ()i!!<[ucstournent
enfiemMe.
S3. L'urtM'e vertical doit conduire )':u'hr()
hortxontat dans t'uno ou t'autre dh'cctiun au
moyen d'un double etnbrayagc et de roues
d'engrenages contquM. Les engrenages sur
l'arbre imrixontat sont Hbres et sont conduits
on sens contraire pur lu troistUne roue dontt'e.
Le douMoembra~go glisse sur une cale nxee
sur rarbre horizontal, a droite ou à gauche,
Mth'ant le cùt6 sur tequct on veut t'engager.
S4. Culendre, ou roue étoilée, pour pro-
duire un mouvement rotatoire alternatif.
SS. Vitettscs ditTerentes données a deux
roues A et C ca~es sur le mOno arbre, au
moyen du pignon B.
!i6. Empioy6 'pour engrener ou deM'n-
grunor dans les mouvements rapides des
tours. En pressant le levier, t'axe do la
grande roue est ontratne en arrière, a cause
do la rainure dans hlquelle ii glisse, ça)' cite
est coupée excentriqucmont.
Sï. La petite poulie a la partie supérieure
est la conductrice, la grande roue dentée in-
terieuremeBt et t'engrenago conccatrique
seront conduits dans des directions dine-
rentes par )es cordes et, en mémo temps,
MOUVEMENTSMËCAtHQUtM.M
MOUVEMNn'8 HËCANKtMa.
cheville échappe ta première du rochet qui tombe
dam )e creux de la roue étoilée et, par ce tait, donne
un mouvement rapide de rotation a eeiie~t. Cela eo
Kpete chaque fois qu'une broche passe.
M. Autre arraneement d'un mouvement par en-
étiquetage. Le mouvement est eommuntqutt t'en'
Krenace B par la vis sans nn placée en bat et qui est
nxeesur l'arbre moteur. Sur l'axe portant fen~e-
naxe, tourne wn arbre creux sur lequel est mtee la
came A. Une parHe de cet arbre ereux est 4 motOé
eotevee. Une cote nxee dans l'arbre de t'entfCMga
tourne dans t'arbrecreux et entraîne la came quiMt )ewr la tt)fe ptacee t ta twrtte Buperteure et
maintenue contre celle-là par un ressort.,
(B.Le<tt«)M&)Mucheourouet.'MttatO)teeon.
ductrico sur laquelle est Hte le taquet A. L'autre
disque ou roue c porte une série de brochée e~utdt~
Ftantei). chaque rotation du taquet agit sur une des
broches de la roue D et force ainsi cette demMre à
Mmouvotrde la dMancequ't) yaentM ieiceettt.
têt. Ann de ne paB dépasser cotte cbune, un levier
d'arrêt est monté Mr un centre axe. Cet arrêt entre
dane une entaiiie coupée dana ta roue Cet, à i'inttant
ou te taquet A frappe une broche, ladite entatite est
en Otce du levier. Quand la roue D tourne, rentre.
mité entre les broches est poussée dehoM et t'autre
extrémité entre dans t'entatttei tnais, Immédiate-
ment aptes que te taquet quitte la broche, te ievier
est de nouveau forcé d'entrer entre les broches, et
it est tenu dans cette position par la roue C pressant
suri'autreettremtte.
M. ModHeation du n* M, un poidtD attaché t
un bras nïe dans t'arbre do la roue dentée étant
employé au lieu du ressort et de la came.
M. Autre modiCeatton du n* M, un poids ou
contrepoids Nnxe sur t'arbre creux étant employé
au lieu du ressort et de )a came et agissant par t'ao-
tton de la clavette C dans l'arbre de la roue dentée.
?. La dent uniqueA de la roueconductrice Nagtt
dans les entailles de ta roue C et la fait tourner de
ta distance d'un creux a chaque re<'oiutton de la
roue C. Aucun arrêt nécessaire dans ce mouvement,
puisque la roue conductrice sert comme ar~t,
en s'a)ustant dans les creux coupés dans la roue c.
M. Transmission de deux vitesses au moyen de
courroies. L'arbre tnMrteur porte quatre pouttes;
les deux extérieure! sont folles s lesdeux intérieures
sont caiees. La courroie de gauche est dessinée sur
ta poutte <otte) la courroie de droite sur ta poulie
MM) un mouvement lent est, par conséquent, trans-
mis t'arbre tnMrteur. Quand ta courroie de droite
est mise sur la poulie folle et celle de gauche sur la
poutte CM, un mouvement plus rapide est httMmtt.
01. Transmission de deux vitesses, dont une parmouvement dtaarmtto). LacourMteeat aguree ou)'
une poutte Mte de l'arbre tnMrteur. La poulie du
milieu est tMe & t'arbte et porte une petite roue co-
nique sur son moyeu. poulie de droite, qui est
MtnMat'te et cette de gauche, est folle sur l'arbre et
porte transversalement une autre roue conique. Une
trotetème roue eotttque, fotte sur l'arbre, est tentM
par une courroie de Metton qui peM t t'ettretntte.
Bn Otteant mouvoir ta coutTOte sur ta poutte du
milieu, on oetient un simple mouvetnent; mats
quand elle passe sur la poutie de droite, l'arbre
prend une vitesse double. La courroie de n'iction,
ou n~tn, sur ta troisième roue oonttM, permet A
cetie~t un petit glissement lors d'un changement
brusque de vitesse.
6t. Transmission de deux titeMes, dont t'une con.
xtitue un mouvement dtnSMnttei et vartaMe. Ce
mouvement est semblable au pref~dent, saut en ce
quela troisième roue conique est attachée a la qua.trlème poutie à la droite des trois autres et est con-
dut te par une courroie venant d'une poutte sur i'ar-
bre supérieur. Quand ta courroie de gauche est sur
ta poutie portant ta roue conique du milieu, et ta
poulie de drotte tournant dans le m~me sens, ta ro-
tation de ta tratsteme roue sera diminuée du doubte
de la vitesse que t'arbre aurait si cette roue restait
en repos. St, au contraire, ta courroie de droite était
croisée de taçon a taire tourner la poulie dans un
sens inverse, la vitesse de rotation serait augmentée
d'autant.
<& Rncitquetage ou mouvement rotatoire Inter-
mittent employé pour les compteurs de révolutions.
Le eitquet maintenu par un ressort a gauche est tevt
par des chevilles placées dans le disque de droite. La
MOUVHtNfN MÉCAMOCM.N
MOUVKMBNTSMÉCAtOOUM. i!909. Une petite rouera une Mute dont
esUaroueconduetrice.etunoparUedGtu
circonférence entrant entre les dents do la
roue sert d'arrêt torMjue tt) dent de lu
polilo roue n'agit ptus.
'!0. La roue conductrice C a un rebord
HKMtt'pon pointftté; t'exterteuf do ce rebord
Mrt a arrêter les broches de t'autro roue A
quand te taquet B ne touche plus aux che-
villes. Une ouverture dans te bord pennot à
une broche d'entrer et à une autre do sortir.
Le taquet B pet au milieu de cotte ouver-
ture.
tl. La ctroonf~reneo Intérieure (montrcc
par des lignes pointillées) du bord de )a rouo
conductrice Baort d'arrêt, contre lequel deux
broches de ta t'ouo C reposent Jusque ce que
le taquet A frappe une des chevilles. La bro-
che M)\'antoBort du rebord par t'ontaitte In-
férieure, et une autre broche entre dedans
par t'entaMe supérieure.
f9. Mouvement d'un marteau il écraser los
loupes )a revotuMon do )a came B soulève te
marteau quatre fois par tour.
*!S. Ala roue conductrtco D est attache un
ressort courbé B; un autre ressort C est at-
taché à un support fixe. Lorsque ta roue D
tourne, le ressort B passe sous le fort res-
sort Cqui le pousse dans une dont de la roue
dentée A et (brce eotte-ct a tourner. Le res-
sort étant roMfbe p))f if) ressort C, permet
ù ta roue A de rester en repos jusque ce quela roue Duit 6ttt ut) tour. Le ressort C sort
d'arrêt.
74. tJntnom'emo))t)'otatci)'ouNiform&)n-
tormlttent dans des diret-tions opposées o:t
donné aux rouM d'engrenages contqucs et
B, par t'httennMMro do la ruuc conlquo C,
dont la mo)t)6 des dents a été Kupprfmëo.
TS. LemouYen)entre<'t))igne alternatif do
la tige C h'anNnot un mouvement otreutatre
tntonntttent ù ta rooo A, par l'intermédiaire
du rochet B monte A t'cxtt'émtte du foviar
oMutant D.
76. Autre disposition pour compter ou on-
registrer les révolutions. Un taquet B sup-
porte sur )o ph'ot fixe C est frappé, à chaque
révolution do la grande rouo (parttouoment
raprpson(co), par le bouton D attache A)ad)te
roue. Cota fait que t'extrcmtte du taquet tou-
chant la roue denté) A est lovée et fait tour-
ner la roue de la distance d'une dent. Le ta-
quet retourne par son propre poids ù sa
position première, après que te bouton D a
passé, l'extrémité étant urttcutpo pour lui
permettre do passer les dents do la roue
dentée.
1
M MO~MMMTSM&CA)mUt)E9.
MOOVNtENMtt~CAMQUM. S6
s
7t. L'oseiiiation du levier C autour de son
centre ou pivot A produit un mouvement
de rotation de !a roue B, par l'intermédiaire
de deux rochets qui agissent alternativement.
Ceci est presque un mouvement continu.
-78. ModiOcation du n" 77.
79. Un mouvement rectiiigne alternatif do
la tige B produit un mouvement cotaUfcon-
tinu de ia roue à encoches, par les ]
attachée it )'extrémtte des bras CaM~meu-
vent.
80. Un mouvement rectUtgna§t <toM<~la tige A par roMtUaUon du
tev~~et
·
sont attachés deux bras qui enH~~tterna-tivement dans ie< dents de la tige
8i. Un mouvement recUHgne atternattfett
donné a la tige B par lea révolutions coatt-
nues de la roue A, en partie dentée; le res-
sort en spirale C force la tige à reprendre sa
position première sur les dents de la roue A
8S. Un mouvement étant donné aux deux
pédaies D, un mouvement continu est lm-
primé .des deux cotés par les bras B, qui
montent et qui descendent et dont les cames
agissent sur la roue dentée A.
Une ohatne ou courroto attachée à chaque
pédate passe sur la poulie C, et, quand une
pédaie se lève,l'autre s'abaisse.
88. Un mouvement rotatoire continu est
donné à la roue D par deux arcs dentés C
agissant chacun sur un côté do h roue
dentée D. Ces arcs (dont un teutement est
figuré) sont fixés sur ie Même arbre B et
ont ieum dents taiiiées dans des sens oppo-
sés. L'arbre M meut en donnant un mouve-
ment de va~t-Yiont au levier A. Les arcs
pourraient avoir des ressorts de tacon que
chacun serait capable do se lever pour por-
;o)<~ aux dents de désongrener pendant te
ont,
JM~h~double erémam6re .B est suspendue
~UM~. Un mouvement rotatoire continu
est don à la came D. Quand l'arbre de la
came au mtUeu, entre toa deux crémall-
les cames agissent sur l'une et t'autre:
'tttais,en levant ou en abaissant la tige A, la
crémaillère inférieure ou la supérieure est
portée vers la camo, et elle se meut à gauchoou à droite.
Ce mouvement a été employé pour le ré-
gulateur d'une machine, la tige A étant
reliée au régulateur et la cremaiiiore au mo-
dérateur.
85. Un mouvement alternatif rectiligne est
donné à la tige A par le mouvement rota-
toire continu de i'arbre portant les deux ce.
mes qui agissent sur les taquets de la tige
projetés en B et font lever cette tige. La
tige tombe par son propre poids.
Employé pour les bocarda ou pulvérisa.tours et pour les marteaux.
HOUVKMEtfMHÉCAMQ))E8.M
Mouvamanrs MËCAMQCM. a~1
86. Moyen do taire fonctionner une pompe 1
par un mouvement rotatoire. Une corde, a i
laquelle pend la tige de la pompe, est atta- 1
chée & la roue A, qui tourne librement sur 1
l'arbre.
Celui-el porte une came C et a un mouve-1
cment rotatoire continu. A chaque révolution, 1la came saisit le crochet B attaché à la roue, 1le force a tourner avec cette~t et éteve la
corde jusqu'à ce que t'extrémité du crochett
frappe l'arrêt fixé à côté; le crochet est alorsé
retMté et la roue retourne par le poids do
la pompe. 1
6t. Moyen automatique do renverser te
mouvement. La roue conique entre les roues
B et C est la roue conductrice. Les roues B
et C tournent folles sur l'arbro et, par consé-
quent, le mouvement est seulement commu- i
niqué quand l'une ou l'autre est engagée par1
l'embrayage D, lequel glisse comme man-
chon sur l'arbre et est figuré comme engagédans la roue C. La roue E, à la droite, est
conduite par la roue conique de l'arbre sur
tcquct les roues d'engrenage B et C et l'om-
brayago sont placés, et elle vient frapper le
levier coudé 6', en lui Imprimant un mouve-
ment duquel it résulte que le tevier-contre-
poids éprendra une position verticale quand
le contrepoids tombera subitement &gauche
l'embrayage se fora avec la roue B ot, par ta,le mouvement de l'arbre sera renversé jus-
qu'A ce que le bouton, dans la roue B, venant
tourner dans une direction Inverse, ramène
le contrepoids dans la position verticale et,
par M, renverse de nouveau le mouvement.
88. Mouvement rotatoire continu converti
en mouvement rotatotre intermittent. La roue-
disque B, portant les arrêts C et D, tourne
sur un pivot excentrique ù ta came A. Un
mouvement rotatoiro continu étant donné a
la camo A, un mouvement rotatoire Intermit-
tent est Imprimé & ia roue B. Les arrêta
étant tachés par la came à chaque demi-révo-lution, la roue B demeure on repos jusqu'àce que la came ait comptété son tour; alors,le mememouveatont est répété.
89. Excentrique génératement placé sur
les arbres des machines, pour communiquerle mouvement rectiligne alternatif aux gtts-sières des machines a vapeur et, parfois
aussi, employé pour faire mouvoir des
pompes.
90. MoaiBcation du numéro précédent,
un étrier allongé étant substitué au collier
de l'excentrique pour empêcher le mouve-
ment vibratoire de la tige qui glisse dans des
guides Cxes.
Di. Excentrique triangulaire donnant unmouvement rectiligne alternatif intermittent
employé en France pour le mouvement de la
glissière dans les machines a vapear.
99. Mouvement ordinaire d'une manivelle.
M MOUVEMENTSMÉCANtQUBS.
MOUVtMNffB MËCANtQUES. 99
1
98. Mouvement de mantveiio avec un bou-
ton parcourant un etriorauonge et, par ta,
communiquant io mouvement a la tige con-
t!guë.
94. ManiveHovariabto; deux plaques ctr-
cutatres tournent sur le même axe. Dans
l'une, est découpée une rafnure en spirale;
dans l'autre, une serfe do fentes fadtatee. En
faisant tourner une plaque autour de son
centre, le bouton uguré vers le dessous de
la Hgure, et qui passe ù travers la rainure en
tpifafe et tes fontes fad!a)es, est forcé de se
mouvoir vers te centre des ptatoaux ou est
torcé de s'en éloigner.
9S. Par une rotation do l'arbre vertical,
un mouvement rectiligne alternatif est com-
muniqué par le disque oblique a la tige ver-
t)cate qui s'appute sur sa surface.
96. Came on coaur. Un mouvement unt-
torme est Imprimé a la tige horizontale, par
la rotatton de la came en cœur. Les lignes
pointillées montrent la mantore do construire
la courbe de la came. La longueur du dia-
mètre est divisée en un nombro quelconque
de parties égales et, du centre, sont décrites
une série de otrconféroncos passant par ces
points. La ctrconférence extérieure est alors
divtsée en un nombre double de divisions du
diamètre, et dos Hgnos joignent ces points au
centre. La courbe est afnst dessinée par los
Intersections des cercles concentriques et des
lignes radiales.
97. Came en cœur, semblable au n* 96,
sauf qu'elle est à ra)nuro.
98. Un mouvement trr~gutter est produit
par ta rotation d'un disque circulaire dans
lequel est f)xe un bouton parcourant une rai-
nure coupée dans la tige ayant un mouve-
ment de va-et-vtent.
99. Guide en spirale attaché à la surface
d'un disque.
Employé pour le mouvement d'une ma-
chine a percer.
100. Mouvement rapide de retour d'une
manivelle, applicable aux machines a raboter.
iOi. Mouvement rectiligne d'une tringle
horizontale au moyen d'une tringle a coulisse
suspendue au-dessus par une extrémité.
M XMUVtMEWMMÉCANtQUM.
MOUVEMENTStMECANM~Ea.M)109. Boulon ordinaire avec ~crou; mou-
vement rectiligne obtenu par un mouvement
circulaire.
408. Mouvement rectiligne d'une glissière
produit par la rotation d'une vis.
i04. Dans cecm, un mouvement de rota-
tton est Imprimé & la roue par la rotation
d'une vis, ou le mouvement rectiligne de la
gUMiero par la rotation de la roue.
Employé dans les tours et les machines ù
tarauder.
<OS. Presse à vis. Mouvement rectiligneprovenant d'un mouvement circulaire.
106 et Mï. Houvomentreotitigne uniforme
attemaUf, produit par ta mouvement de rota-
tion d'une roue avec une rainure sur la
jante.
108. Mouvement uniforme rectiligne alter-
natif provenant du mouvement de rotation
)- d'un cylindre daM lequel sont découpées des
nt rainures héliçoïdoles, l'une tournant de
gaucho a droite, l'autre de droite a gauche.
Une pointe suit les rainures et parcourt le
cylindre d'une extrémité a t'autre.
<09. La rotation de la vis de gauche pro-
dutt le mouvement rectitigne d'un outil qui
M trouverait sur t'autra, vis. Lo point on la
vis doit s'arrêter peut varte)' en changeant le
diamètre des roues ù l'extrémité des axe:.
~10. Mouvement oirou!atreun)fbnne trans-
formé en mouvement rectiligne Mnttorme;
employé dans les Btaturee pour guider le ftt
sur les bobines. Le rouleau est divisé en deux
parties, chacune ayant une vis à très petit
filet une a pas a droite, t'autre a pas a
gauche.L'arbre parallèle au rouleau a des
bras qui portent deux denu-ecrous engre-
nant avec les vis un d'un coté du rouleau,
et l'autre de t'auire côté. Quand un des demi-
écrous engrené dans une vis, l'autre est de-
hors. En tournant le lovler à droite ou a
gauche, la tige avance dans l'une ou t'autre
direction.
IlM MOUVENHM8MÉCAMQCES.
MOttYNMN'K MÉCANMUB8. M
iH. Vis mtcrométriquo. Une grande
force est obtenue par ce moyen. Les (itets
sont Msde pasdinerents, un à droite, l'autre
ù gauche. Par conséquent. un écrou placé ù
t'extrémité de la petite vis parcourt seule-
ment la longueur de !a dtMrence entre les
pas pour chaque révolution do la vis supé-rieure dans un écrou.
ilî. Machine ù percer peraane. La tige
du foret est fHeteo d'un pas très allongé et
elle tourne librement dans un bouton ù sa
partie supértoure. L'écrou montré au mMeu
do la vis est tevé a )a main, et un mouvement
rapide de va-et-vient fait tourner alternati-
vement le foret à droite ou à gauche.
US. Mouvement circulaire transformé on
mouvement rectiligne ou f«'e Mr«!, au moyen
d'une oremaiiiero et d'un pignon.ii4. Mouvomenteirculaireuniformetrans-
formé en mouvement rectiligne alternatif
au moyen d'un pignon auquel it manque des
dents et qui conduit alternativement la eré-
maillère supérieure et l'inférieure.
MS. Un mouvement de rotation des roues
dentées donne un mouvement rectiligne de
la double crémaillère et produit un oi)brt et
une vitesse égaie a chaque côté, los deux
roues étant d'égal diamètre.
H6. Moyen de remplacer la manivelle.
Un mouvement rectiligne alternatif do l'appa-
rcii portant une double crémaillère produit
un mouvementde rotation Uniterme de l'arbre
du pignon. Un pignon spéciat est employé
pour chaque crémaillère, quand ces deux
dernières sont dans dos pians dinëronts. Les
deux pignons sont libres sur l'arbre. Une
roue dentée est catee sur l'arbre extérieur
de chaque pignon, et un rochet attache au
pignon s'engage dans les échancrures de la
roue; une do ces roues dentées a ses dents
tournées dans un sens, l'autre dans l'autre
sens. Quand les crémaillères se meuvent
dans un sens, un pignon fait tourner l'arbre
au moyen de son rochot. et quand les cre-
mattteres se meuvent en sens contraire,
l'autre ptgnon agit dans le mémo sens. Un
pignon tourne toujours follement sur l'arbre.
Hf. Came agissant entre deux rouleaux
dans un étrior. A été employé pour fairemouvoir la valve d'une machine à vapeur.
«6. Moyen do doubler la course d'un pis-
ton ou l'action d'une manivelle. Un pignon
tournant sur un petit axe attaché à la tige
engrené avec une cremaiitere fixe. Une autre
crémaillère, portée par une tige mobile au-
dessus, et engrenant avec le cote opposé du
pignon, peut se mouvoir on avant et en
arrière. Pour que la tige communique alors
au pignon ta longueur totale do la course, 11
faut que la crémaillère supérieure parcoure
la même longueur que si ta crémaillère infé-
rieure était moNto; mais, cette-ci étant Oxe,
te pignon est oMige de tourner et, par con-
'sequent, la crcnMittct'e avance d'une ton.
gueur double.
M MOUVEMENTS MÉCttHQCM.
tKMtVNMBNTS MËCAMQUB). ilH9. Mouvement rectttigne atternatif de la
tige portant la crémaittere sans On, produitpar le mouvement do rotation uniforme du
pignon engrenant alternativement au-dessus
et en dessous de la crémattiore. L'arbre du
pignon se ment ifettioatament et est guidé
par des guides verticaux.
130. Chacune des mâchoires est attachée &
un des segments, dont l'un a des dents en de-
hors, et l'autre des dents en dedans. En tai-
sant tourner t'arbro portant les deux pignons,l'un engrenant avec l'un des segments, l'autre
avec t'autrc segment, les mâchoires sont rap-
prochées avec une grande force.
ISi. Un mouvement rectiligne alternatif
du ievior attaché a la roue-disque produit
un mouvement rotatotre intermittent do la
roue dentée, par i'intermédiairo du déclic
attaché a la roue-disque.
Ce mouvement peut être renversé, en re-
jetant le déctic de l'autre coté. Employé
pour los machines a raboter et autres outils.
139. La rotation des doux roues d'engre-
nage munies de manivelles, réunies, produit
un mouvement variaMeattematifa la traverse
borimntaie.
i93. Mécanisme fait dans le but de rem-
placer la manivelle. Un mouvement rectiligne
alternatif de la double crémaiitore donne un
mouvement de rotation continu & la roue
d'engrenage. Les dents d'une erémaittere
agissent sur l'un des deux secteurs domi-cir-
eutaires dentés, et les roues d'engrenage
attachées aux secteurs dentés agissent sur la
roue centrale. Les deux arrêts sur la cré-
maiitère, montrés en lignes potnUUees, sont
satste par la pièce courbée sur la roue cen-
trale et obligent les secteurs dentés a engre-
ner alternativement avec la double crémail-
tero.
d94. Machine à percer. Un mouvement
rectiligne alternatif de l'arc dont la corde
passe autour de la poulie d'un fuseau portant
la mèche produit un mouvement de rotation
atternatifdeceite-ei.
iSS. Modification du mouvement montré
au n* iSS, mais plus compliqué.
496. Levier coudé employé pour changer
la direction d'une force.
il7. Mouvement emptove dans les pompes
&air. En manoeuvrant le levler fixé sur l'ar-
bro qui porto la roue dentée, un mouvement
rectiligne aitematif est imprimé aux crémait-
lères, de chaque côté. cremaitieres qui
sont attachées aux pistons de deux pompes.
fne crémaiiiére monte, tandis quo t'autre
descend.
M MOUVEMENTSM&CANtQUES.
Mt)VBMt<T8 MÉCANtOUSS. si
198. Un mouvement de rotation continu
de l'arbre portant les trots cames produit unmouvement rectiligne alternatif au cMssis
reotangutatre. L'arbre doit so mouvoir dans
la direction de lu llèche, pour la position
représentée.
1S9. Cabestan chinois, basé sur les mêmes
prinelpesque la vis micrométrique du )t*lll.
Le mouvement de la poulie, ù chaque t'6vom-
tton du troull, est égal à la domt-dtfKrence
entre la plus grande et la plus petite circon-
<ërenco dea rouleaux.
130. QiMtUes pour couper les tûtes, etc.
Le: machotreB sont ouvertes par le poidsd'un long bms de la mâchoire supérieure, et
fermées par la rotation de la came.
181. En faisant tourner le disque portant
le bouton de manivelle M mouvant dans la
boutonnière, un mouvement rectiligne atter-
natifest Imprimé a la crémaillère inférieure
par l'intermédiaire du secteur denté.
13S. Mouvement qui a été employé dansles presses, pour produire la pression néces-
saire sur les plateaux. Un mouvement hori-xontat est donné aux bras du levier qui fait
tourner le disque supérieur.
Entre cetui-ci et l'inférieur, sont deux
barres qui entrent dans des trous des dis-
ques. Ces barres sont inclinées comme le
montre le dessin, quand la presse n'est pasen activité! mais quand le disque supérieur
tourne, les barres tendent a reprendre une
position verticale et forcent ainsi le disque
inférieur & s'abaisser. Le disque supérieur
doit être bien tenu dans une (Msition stable,
qui lui permette seulement de tourne)'.
133. St. au moyen de la manivelle à main
fixée sur l'arbre du pignon, on Calt tourner
coiui-ci, le pignon communique le mouvo*
ment au secteur denté, qut agit sur le plateau
par l'intermédiaire do la ttgo qut l'y relie.
i34. Mouvement ctrcutatre uniforme chan-
gé en mouvement rectiligne au moyen d'une
corde qut est routée une ou plusieurs foisautour du tambour.
485. Modification de l'excentrique trtan-
gutatre du n" 91, employé dans les machines
a vapeur a la Monnaie de Paris.
Le disque circulaire placé derrière porto
un taquet qui communique un mouvement
alternatif rectiligne a la tringle du tiroir. Le
tiroir est au repos a la un de chaque course,
pour un instant, et est poussé vivement sur
les ouvertures d'admission de vapeur a la nn
de la révolution.
<86. Une roue à cames, dont une vue de
cOté est dessinée, a son bord découpé en
dents ou fait d'un proBt quelconque. La tige
de droite presse constamment sur les dents
du bord. En tournant la roue, un mouvement
rectiligne alternatif est communiqué a la tige.Ce mouvement peut être varM en alternant
la forme des dents sur le bord de ia roue.
NOCVEMMtTSMtMM(tt!M.38
MOOVNMMMMËCMXQMa. Mi8f. Excentrique employé on Franco pour
le mouvement du tiroir d'une machine a va-
peur. L'excentrique est fixé sur t'arhro de ta
manivelle et communique le mouvement a
la bielle à fourche, a t'oxtrémité de laquelleest attachée la tringle du tiroir.
i88. En faisant tourner la came do des.
sous, un mouvement rectiligne alternatif va-riabte est Imprimé à la tigo qui, constam-
ment, s'appuie dessus.i89. Lacrémaittére intérieure, portée par
le ctu~Bis rectangulaire, peut glisser de haut
en bas d'une certaine hauteur, de sorte quele pignon peut engrener avec l'un ou l'autre
cote.
mouvement circulaire continu du
pignon produit un mouvement rectiligne du
ohtMis rectangulaire.140. Genou servant &une machine à per-
cer. Le levier de droite agit sur le joint du
genou au moyen de la tige horizontale.i4L Scie sans lin. Un mouvement de
rotation continu des poulies produit un mou-
vement rectiligne continu des parties droites
de la sale.
i4S. Mouvement employé pour varier la
longueur des guides, qui, dans les machinesa lisser la soie, guident cetto-ct sur les bo-
bines. La roue dentée tournant librement surson axe est conduite par le grand disqueoircuiaire
quitourne sur un axe fixe portant
un pignon a son extrémité. Sur lu roue d'en.
grenago est Bxée une petite manivelle quise retie ù la tige attachée aux guides. En
tournant le disque, la roue dentée est obligéede tourner partiellement autour do son cen-
tre, par l'intermédiaire du pignon fixe, et,
par conséquent, eUe force ta manivotio a se
rapprocher du centre du disque. Si la rota-
tion de eotui-ei était continuée, la roue
dentée ferait une révolution entière. Pondant
une demi-révolution, la tringio est raccourcied'une certaine quantité à chaque révolutiondu disque. proportionnellement au diamètrede la roue dentée: et, pendant l'autre domi-
révotution, elle est graduetiement aitongéedans la mémo proportion.
143. Mouvement circutaire transformé en
mouvement rectiligne alternatif. Lo mouve-
ment t'st transmis pat' une poulie ù gauche.fixée sur t'aruro do la v)s. Mto-c) glisse, enmême temps qu'ette tourne, par t'interme-dlalre d'une cale qui voyage dans une rainure
coupée dans i'nt'bre. Sur un axe fixe, parai-tëtoau premier, gtiMe un manchon qui porteune roue dentée engrenant avec la vis sans
fin, et une petite Lieite attachée ù un pointOxo sur le châssis &droite a son autre extré-
mité reliée &un bouton Oxesur ia roue den-
tée. En faisant tourner l'arbre de la vis, un
mouvement do rotation est transmis par la
vis ù la roue qui, en tournant, est forcée, parla tige qui y est attachée, d'avoir un mouve-
ment roctiligno alternatif.
i44. Système do leviers croises. Un petitmouvement rectiligno alternatif de la tige à
droite donnera un semblable mouvement,mais plus grand, ù la tige de gauche, tt est
fréquemment employé dans les jouets d'en-
fants. tt a été applique en France & une ma-
chine servant ù soulever les navires; 11était
aussi appliqué, Il y a trois quarts de siècle,aux pompes des vaisseaux.
i4S. Un mouvement curviligne alternatif
du balancier donne un mouvement de rota-
tion continu ù la manivelle do ia roue. Le
petit support & la gauche, qui est attaché a
une extrémité du tovier avec lequel le ba-
lancier est réuni par une tige. a un mou-
vement rectiligne horixontat alternatif.
40 MOUVN)KMW M<(M))QOM.
MOUVEMENTSMËCAfttQMS. 4<1
<
146. Un mouvement continu de rotation du
disque produit'un mouvement reotiifgno
aiternattf de i'étrier, par l'intermédiaire dubouton do manivelle piacé sur le disque et
glissant dans la rainure do t'étrier. La rat-nure peut être formée de telle sorte, que l'on
obtienne un mouvement rectiligne uniforme
ulternatlf.
147. Régulateur de machine a vapeur. !i
fonctionne comme suit Une machine se met-tant en marche, l'arbre tourne et entfatneavec lui un manchon auquel sont attachéesdeux tiges portant des ailettes aux extré-
mités, et des rouleaux de friction gi)ssa))t surdeux plans Inclinés circulaires fixés sur t'ar-bre contrat. Le manchon, outre son poids, aencore un contrepoids placé au-dessus. Quandla vitesse de l'arbre augmente, la résistancedo l'air sur les ailes tend à retarder le mou-vement du manchon les rouleaux de friction
tournent sur les plans inclinés et font lever
le régulateur, & la partie supérieure duquelest un levior agissant sur la valve réguiari-satrico de la machine.
148. Un mouvement circulaire continu dela roue d'engrenage produit un mouvement
circulaire aitomatifdo la manivelle attachéeà la plus grande roue.
149. Mouvement circulaire uniforme con-
verti, par des causes agissant sur des leviers,on mouvement rectiligne alternatif des tigesqui sent attachées & ceux-e).
1SO. Mouvement de glissière pour tra-vutiier avec détente de la vapeur. Les camesdo diverses excentricités sont mobiles le longdo l'arbre, de façon que l'uno ou i'autre peutêtre
ptacéo pour agir sur le levier attaché à la
giisMore. Une plus ou moins grande course
de la gtissioro est obtenue suivant qu'unecame de plus grande ou de plus petite excen-
tricité transmet le mouvement au levier.
1S4. Mouvement ctrcutatre continu changeen mouvement rectiligne continu, mais beau-
coup plus lent. La vis sans fin fixée sur
~rbro supérieur engrène avec la roue dentéecalée sur l'arbre d'une autre vis et, par sa
rotation, ottiigo les écrous dos vis de droiteet do gauche a se rapprocher ou &s'éloignersuivant le sens de la rotatton.
iB2. Apparett pour tracer des "ellipses, Lareg)o transversato (figurée dans une position
ob Tique) porte deux boutons qui gUssont dansdes rainures perpendiculaires l'une ù l'autre.En faisant tourner la règle, un crayon qui yest attaché décrit une eiitpso, tandis que les
boutons parcourent les rainures.
1S8. Mouvement circulaire change en-
mouvement rectiligne alternatif. Les chevilles
du disque tournant frappent sur un taquetplacé sous la tige horizontale et font mouvoircette-ci dansuno direction.
Le mouvement de retour est obtenu au
moyen d'une double manivelle ou levier
coudé dont un bras est atteint par la che-
ville suivante, et l'autre frappe un taquetplocé sur la face latérale do là tige horizon-
tato.
1S4. Mouvement circulaire transfbrmé on
mouvement reeliligno aiternatif par. des che-
villes placées sur le disque tournant et agis-sant sur l'extrémité d'un levier coude; l'autreextrémité de celui-ci est attachée A une corde
passant sur une poulie et & laquelle est sus.
pendu un contrepoids.
<! MOt]Vm)EMT8MËCA!!tQt)K8.
MOUVEMBN'MMËCAMQU~ 4!
1
<M. Mouvement recUU~ne alternatif changé en
mouvement circulaIre )Mtet')n)tteKtau moyen d'unrochet attaché au tevter coudé et agtoftnt Mtf ln
)'oueda)t<e.Let)MUteaMnteet<toM)e<!M~)'UMou
t'tmttedMecMo), tutvant le e6t6 sar )cq<te) )e toehetagtt.-Emptoye pottt'ttonnwtetneuwnMMt n~cM.
Mh'eaaï maeMnettt'aboter.etc.
1M. mouvement Oreuiaife chattttéen mouvement
vartabteKcUftene attefttaUfatt moyen du bouto ude manivelle placé mr un d~uf tounMtMt et m
mouvant dans la mtonfe d'M ievipr coudé,
M. Msutotew iMur roues hydrauliques, <one.
tionnant sur le même principe que )e x'iOj, mais
pardm moyens dinSfent!). Le rejfutateur est conduit
pn)'rt)'hreho)')i!0))ta) supérieur et les roues d'en.ttrenase coniques, tjp!: t'ouma'mgn'Mg)) mMeM~
t~gtext la levée et la chute de la vanne qui amènel'eau sur la roue. L'aetton a lieu comme suit t f~dent roues co)))quM la partie fnMrfeure de t'M<?central tioxt muttte)! de broehe) et peuvent tournermrtedtt axe Ubt'emettt ou MoterNxm.auMHoHK.tc))tt)!!<jne le l'ëgutateufa Me vitesse convenable.
Matu, <)es i'ttM.tattt que ta vitesse augmente, les
boates, s'écartant, etéveot t'arMtaHacheaua man.ctton )X)m'ant f[))!ict- de haut en bas sur l'axe et, lemettant en contact avec le bouton de )a mue a'en.
eMMtfm Mt~rteufe. fait tourner cette roue avec
l'axe et donne un mouvement a t'arbre horhohta)tnMrteut- dans une direction telle qu'li fait des-
cendre la vanne et. atno), r&tutt la quanHM d'eau
qui pâme sur la roue. Au contraire, M)a vitesse du
régulateur diminue et s'abaisse en dessous de lavitesse denMndef, t'arrât tombe et donne un mou-vement & la roue d'engrenage tntMettrequt conduitl'arbre hortzontat dato! un sens opposé, et produit
unettetoppote.
iM. Modtneattot) do ce dernter nxMU'emen),une tigo mobile étant substituée à la fntnure du
tev)ereoudt.
<i8. un mouvement eurvtngne atternaUf de la
pMatedontte un mouvement circulaire au dt~ue.Une manivelle peut être mtbsHtufe au <U«)))e.
!?. Mo<))ncat)on du n' iM, une torde et une
poulie Atant substttu&e!) tt ht tige «ttettmtt au tevter.
iOO. Mouvement OMrviMgMe attemfUf tttusfm'ntô
enmottvemontciMutotMattenmttf.OutOKHapMatea 6t~ttM))Bée, le reiioort placé eu tttut la Mtem pa rson A)mHe)tA. corde qui te! reUe pm!M u)M N)t8sur la pouttc, A laquelle ette doxoe le mouvement. t.
tM. Këgutateut- centrttufe pour les machtMe)! a
vapeur. Le manctM)) centMtet les hra" qui y sont
attachés, attMt quetcN houfei.xontcondutta par tamactttne au moyo" de tmM d'entMMsecontqoe!!ptacém t la partie supët'feare.et les balles s'tfarten tde t'aM en vertu do ta <&rce eontrtOtge. 8) ta vt tetModo la maeatno augmente, les boules s'écartent de
plus en plus du centre, ont monter le manchon
tnMrteur et, par ta, rétt~ctosent t'om-erturede la
vatve' t~sutarttiatt'tee qut est en communtcatton
aveeeetut'o). Une dtmtnutton<)ettteo!epro'tu)t Mt)eNhtcontMtre.
Ma. Autre arrmeement jioor un rotateur de
roue hydraulique. t)an)i ce cas-ct, te régulateurcomotande la vanne au moyen du tevter coude quiagit xur la coun'otede la Otton emvmte m cour-
rotc tourne sur une des trois pouUetjceMe du milieu
est Mte sur faite du régulateur, et celles de desstMetttedessou!) y sont c<t)eM. Qttaud te t'~utateur a
une vUesite normate, ta eourrote <tt xur ta poette
<b))e, comme t'tndtquG ta neure: mata lorsque la
vthisM augmente, ta com'totc est po<M!<e tur la
foutte tnMrteureet, par ta.agtt sur un engrenage
pour hatmer la vanne et diminuer ainsi ta venue
<tta))..Une (ttminutton de yttefsedu refuttteur ))ortetaeourmte our ta tMutte supérieure, taquettea)!ttsur <tex rouea d'encrenagt' pour prottutfe UM eniit
oppote sur ta vanne.
44 MOUVEMENTS t<ÉCAMQ068.
MOUVtauiNMMËCAMtOUM. -M
la force motrice, est un arbre portant une
seconde manivelle, d'un rayon Invariable,
attaché au même balancier. Tandis que la
première manivelle M meut suivant une cir-
conférence de cercle, le bouton a t'extrémité
du balancier est forcé de se mouvoir suivant
une ellipse et. par ta,, augmente le bras du
levier de la manivelle aux points qui sont le
plus favorables pour la transmission de la
force.
i69.Modittcatton du n< i68, dans laquelleune articutatton est employée pour relier to
balanoler avec la mantveue principale; par là,
on se dispense de la rainure dans ladite
manivelle.
if0. Autre forme do régulateur do ma-
chine a vapeur. Au lieu de bras qui sont
attachés &un manchon glissant sur un arc,
ces bras sont croisés et proton~ pour se re-lier u la tige do la vah'o par deux petitesarticulations.
iïi. Mouvement de la gtMore et disposi-tion du changement de marche employésdans les machines oscitiantesde bateaux. Les
deux tiges d'excentrique donnent un mouve-
ment d'oscillation au secteur qui commando
la coulisse circulaire au-dessus du tourillon.
Dans cette coulisse est un eo~i~seau a~ché
a la tige qui communique le mouvemenTa ta
Ktisstere. La coursa du couuNeau est un arc
de cercle décrit du contre du tourillon et
comme Il se meut avec le cylindre, it ne peutpas se mouvoir en sens contraire do la course
de la glissière. Les doux excentriques sont
semblables a ceux du mouvement employé
dans les locomotives.
i64. Levier dtnerant très pou du genoumontré au n'i~O.
tt est souventemployé
dans des presseset
des tnachines &estampittor; car une grande
puissance est obtenue par ce moyen. Luction
a Ueu en levant ou on abaissant le ievier ho-rimntai.
168. Mouvement oh'outaire transformé en
mouvement fectiUgne. La roue ondulée ou
came sur l'arbre vertical communique un
mouvement rectiligne & la ttgo verticale parteBOMtttattons d'une autre tige.
iM. la rotation du disque portant le bou-ton de manivelle communique un mouvement
de va-et-vient à la tige, et l'étrier permet &
cette-c! do rester en repos à la ttn de chaquecourse. Ce mouvement a été employé dans
une presse & briques, dans laquelle la tigofaisait -mouvoir un moule on arrière et en
avant et lui pet'mettait de rester en repos&la un do chaque course, do façon que la
terre pouvait y être déposée et la briqueextraite.
i67. Un cylindre a une rainure dans un
plan oblique a son arc. Un bouton se meut
d'un mouvement rectHigno alternatif dans la
rainure et, ainsi, convertit te mouvement
rectiligne en mouvement de rotation.
A été employé en remplacement de la mani-
velle dans une machine à vapeur.
!<?. La manivelle a rainure à gauche do
la figure est catée sur t'arbro principal d'une
machine, et le balancier qui y est relié reçoitun mouvement attemattfpar rtntormedtatm
d'un bouton qui so meut dans la rainure do
.)a manivelle. Entre la première manivotto et
<" MOUVEMENTSMÉCANtQUBS.
MMVËMËKTS MÉCANtQCES. <?
1?S. Moyen d'obtenir on 'nonvemont
uvotdo.
n8. Mouvement employé dans les ma-chines û (iier la sole, duns ie même but quocolul décrit au n*'i49. Sur la face d'un disqueou d'une roue conique, est attachée une vis
ayant une roue & roohet à une extren)tt6. A
chaque révolution du disque, la roue il rochet
vient choquer contre un taquet et recottafnsi un mouvement de rotation intermit-tent. Une poignée, attachée ù un ecrou surla vis, H) meut dans une couiiMe il i'extrc-
mité do ia tige qui guide la soie sur les bo-bines. Chaque révolution du disque fuit varier
la longueur de la course do ia tige; la rouea rochet, ù l'extrémité de la vis, tout'nant, la
vis tourne aussi, et la position de i'pcrou est,
par conséquent, changée.
if 4. Pinces de charpentier. En poussantia pièce de bois entre les mâchoires, colles-cl
tournent sur leur axe et serrent (ex côtés de
la traverse.
ns. Moyen de donner une révolutioncomplète &la manivelle d'une nmchino a va-
peur Achaque coup de piston.
HO-ift. Moyen de desembrayor les n)a-
chinos. La poignée qui est fixée sur un bras
de la manivelle (non figurée) communique te
mouvement au bras de la manivelle, qui est
représentéo quand i'anneau sur la dernière a
ses rainures dans la position indiquée au
n* 176 mais quand i'annoau est tourné pourmettre ia rainure dans la position montrée' ou
n* ~7, ta poignée passe & travers cette nu-
nure aune hffc tourner )a man~'oitc ù ta-
quelle ledit anneau est attaché.
1?8. Moyen de varie)' ta vttesse du coutts-
seau condutmnt i'outt) dans tes machines &
mortaiser et ù raboter. L'arbre moteur passeà travers un disque nxe, dans lequel est dé-
coupée une ratnure ctrcutairo. A t'extrémttede cet arbre, est une manivelle a ratnure. Uncou))sseau guMe dans ia rainure do la mani-
veUe et dans la rainure circulaire; et, a l'ex-
trémité extérieure de ce coutissatu. est atta-chée la tige qui faittnanoNtvrcrt'outit. Quandt'arbre mo(cttt' tourne, ta manivelle tourne
aussi, et le bouton portant t'extremité de la
tige est guidé par la rainure cttvutaffo OMu-
see excentriquement a rarbre: par consé-
quent, quand le couXsseau approette du bas,
)a tongueur MCta manivelle est racfourcto etla vitesse do ta tige est dtmtnueo.
H9. Changement de marche pour maehtnou
simpleet)ët. En tevant ta ugo do t'excontrt-
que, la vah'e d'admission est changée.
Le mouvement do la machine peut être ren-
versé, on .ntanawNnUejovier droit auquelest reliée la tige de t'excentrtque. L'excentri-
quo, dans ce cas, est tibro sur l'arbre et se
trouve entraîné par une cato vue en projectionsur ce dernlcr et qui glisse dans une ratnurosemi-ctreutairo de t'excentrtque, ce qui per-met ù cchu-ct de Mro un demi-tour sur
l'arbre, pour changer la marche de la ma-
chine.
180. Ce mouvement dinero seulement dun* i?4 en ce qu'tt est composé d'une simple!amo cuvant agir avec une contre-pièce f!xo
& côte.
MOUVEt)ËffMMtCtMQUm.<8
M<M)V)S)M!t)T8 MÉCANtQUBB.
~1
181 à 184. Jeux de fer employés en
grand dans les machines soumantes et danstes machines d'épuisement. Dans le n" 181.la valve d'admission inférieure et la yaivo
d'échappement supérieure sont ouvertes,tandis que la valve supérieure d'odmiMtonet la vahe Inférieure d'échappement sont
fermées; par conséquent, le piston pourramonter. Dans h tevée de la tige du piston,le bras Mrteu)' sera frappe par le taquetet, étant soulevé, M sera engagé dans t'en.coche et termera la valve supérieure d'échap-pement et la Yatvo tnfcrteuro d'admission.Au mêmo moment, le lovler supérieur étant
déga([é de t'eneoohe, le contrepoids agira,ouvrira l'admission Mpérteure et f'échappo-ment inférieur: le piston pourra alors des-cadre. Le n' 18S représente ta position des
taquets et des leviers quand le piston est au
haut du cylindre. En descendant, le taquetde la tige du piston frappe le levier supé-rieur et ramone les taquets et les leviers àla position montrée aux n<" 181.183 et 184.Ils représentent une modification des n" 181et 183. Les taquets sont remplacés par deuxsegments ou quadrans.
lisse est un couiisMau rcite a la glissière parune disposition de leviors. La coulisse, on
M mouvant sous Faction des excentriques,entraîoe le eouiimeau, et, par la. le mouve-
ment est communiqué &la glissière. Si l'on
suppose la coulisse levée de telle sorte queele coutiMeau M trouve au muteu, elle se
ntouvM autour do cetut-c) comme axe et, parrconséquent, la glissière restera en repos. St
la coulisse estnhK'ee
do telle façon que le
coaHssoau soit a t'une de ses extrémttes, le
mouvement do ['excentrtque attaché & cetteextrémité lui sora entièrement donné et lu
valve d'admission sera comptetoment ou-
verte et sera tout & fait fermée & la Mu dola coufse par conséquent, la vapeur sera
admise dans te cylindre pendant tout le tempsde la course. Mais si le eouttsseau est entre
le milieu et l'oxtrémltédo ta couHsse, comme
t'indique la figure, i) ne feeoit qu'une par-tie du mouvement do l'excentrique, et les lu-
mières seront seulement ouvertes en partie etseront promptement formées, de sorte quel'admission de la vapeur cesse quelque tempsavant la fin do la course, et la vapeur tra-
vaille par détente. Plus le couiisseau sera
près du milieu, plus grande sera la détente, et
x&e tw~.i8S. Distribution de la vapeur dans une
machine locomotive. Deux excentriques sont
employés pour une glissière t'un pour la
marche on avant; l'autre pour la marche enarrière do la maehtne.
Les extrémités des tiges des excentriquessont reliées à une coulisse, qui peut être
retevéo ou abatMéo par un arrangement deleviers tonntnc par une poignée, comme le
dessin l'indique. Dans h rainure de ta cou-
186. Appareil pour dégagof la tige de
l'excentrique de la valvo.
En tirant te reMort en avant jusqu'à ce
qu'it prenne l'encoche a, !c pivot est dégagéde l'entaille dans tu ttgo de rexcentHque.
187 et 188. Mod)f)catton du n' 186.
M MOUVBMBN'rSMÉCAN)Qt)M.
MOUVHMtamMÉCAS~UKtt. St Isens du )))ou\'Gt)Mt)t. jmrce qu'un seul ceMic
de dents se trouve sur la roue. Avec toutes
ces roues ù cytfndrer. l'arbre du pignon est
guidé et celui-ci tenu sur ta roue par une
rainure. Ledit arbre est muni d'un jointunivoree) qui permet &une partie d'avoir un
mouvement oscillant, n~CMMire pour pet'-
mettre au pignon de toujours engrener.
19S. Moyen do conduire une paire de
roues, tes surfaces opposées devant M mou-
voir dans te n)<nMMns. Les deux roues sont
parMement semblables et toutes deux en-
gT&nent dans uno vis sans )!h ajustée entre
elles. Les dents d'une rouo seulomont sont
visibles; celles de t'autre sont derftcre, en
pointillé dans la Ogure.
Le pignon B tourne autour d'un axe
uxe et donne un mouvement oscillant it'rc-
pMierau brascondufsant )a roue A.
~97. C)'etnM))!6ro a cyttndror. Une rotation
continue du pignon donnera un mouvement
auomattf au chassts rectangulaire. L'arbre
du ptgnon doit pouvoir se tever ou s'abatsser
pour passer autour des guides aux extrémités
du cMssts. Ce mouvement peut être modtné
comme sutt Si le châssis est fixé et le
pignon sur l'arbre muni d'un joint unlver-
sel, l'extrémité de l'arbre décrira une ligne
semblable il celle montrée dans le dessin
autour de la crémaillère.
i89. Autre modification du n° )80.
mu. Porre-jotnts. En tournant la pofgneo.
la vis presst! An haut contre le support, qui,
agissant comme levier, serre la pièce on bois
ou autre matière placée on dessous. n l'autre
coté de son point d'appui.
i9i. Roues d'engrenages ttëiicotdates ))0tu'
obtenir une vtteMO graduellement crois-
sanie.
~99. L'ne yat'Mté do eo mouvement est
connue sous te nom do roue)! a cylindrer.
Une roue semblable a été dessinée au
M'36. Dans cette qut nous occupe, la vitesse
varie a ottaquo partie d'une révolution, fa
rainurob, d, d, dans laquelle l'arbre du pignon
est guidé, do mcrne que les fiéWes do dents
ctant excentriques a l'axe de la roue.
~98. Autre espèce do t'ouo u cytfndrer,
avec son pignon. Avec celle-ci, de momo
qu'avec la précédente, bien que le pignon
continue &se mouvoir dans une direction, la
roue à cylindrer fora environ une revotu-
Uon entlèro dans une direction, et autant
dans une direction opposée; mais la révolu-
tion de la roae dans un sons sera plus tente
que colle opérée dans l'autre, a cause du
plus grand rayon du cercto denté extérieur.
iM. Autre roue a cylindrer. Dans celle-ci,
la vitesse est la mémo dans l'un ou l'autre
MOUVNtENK MtCAMOCM.M
MMJVtMENTBMÉCANmOEf}. sszontai et un mouvement variable alternatif
à la tige A.
803. Vis sans fin et roue dentée. Modinca-
tton du n* 80, employée quand une grande
r<'p))art<6 ou uno grande tbfco est dontand~.
908. Un mouvement régulier do va-ot-vtent
du braB a ratnuM curviU~ne donne un ntou-
vement variaMe au bt'a6 rectt))gno.
S04. Transmission de mouvement de rota-
tton d'un arbre a un autre ptac6oM)quement,
au moyen do rouleaux de friction.
MS. Roue conduite par un pignon de deux
dents. Lb pignon consiste, en reaMte, en deux
cames, qui engr6nent avec deux séries dis-
tincte de dents, placées sur !es deux faces
do ia roue. Les dents d'une face alternent en
position avec celles de l'autre.
306. Mouvement cireutaire continu d'une
roue à rochet, produit par io mouvement du
levier portant deux taquets, un qui force ia
roue &rochot ù tourner dans un sens, i'autre
son-ant a empêcher le mouvement dans t'au-
tre sens.
~8. Modification du n° i97. Dans ce eus,
te pignon se meut, mais no peut pas s'éiever
ou s'abaisfier comme dans la figure précé-
dente. La partie du châssis portant la crémail-
lère est réunie a l'autre par des tringles, de
sorte que, lorsque le pignon arrive a l'oxtre-
mité, Il soulève la M'ematHere par son propre
mouvement et poursuit sur l'autre cote.
{99. Autre forme do crematMoro a cyttn-
drer. Le pignon a lanterne se meut conttnuoi-
tomont dans une direction et donne un
mouvement alternatif au châssis rectangu-
laire qui est guidé par dos rouleaux ou des
rainures. Le pignon a des dents seulement
sur la moitié do sa circonférence, do telle
sorte que, lorsqu'il engrène avec un cote de
la crématiiere, la partie non dont&o est diri-
gée vers l'autre. La grande dont, au com-
mencement do chaque crémaiitere, est faite
pour faire engrener tes dents~u pignon.
MO. Moyen d'obtenir deux vitesses dine-
rentos sur le mémo arbre par l'intermédiaire
d'une seule roue conductrice.
Mt. La rotation continue d'un pignon
(obtenue par la roue irregutiore à gauche)
donne un mouvement variable au bras hori-
M MOPVNtBNTB MËMHQMS.
HOUVNtEDTS!XtC*MQU)S8. 6B
S07. Modification du n* t93, au moyen do
deux vis sans On et do doux mue)! dentées.
308. Roue il eheviites et pignon avee
encoches, au moyen desquels trois change-
ments do vitesse peuvent être obtenus. Il y u
trois cercles de chcYtHes <'qui<tistuntes sur la
surface de la roue, et on changeant le pignonle long do son axe, Il est en contact avec t'un
ou l'autre des cercles de chevilles; un mou-
vement rotatoire continu de )a roue produittrois changements do vOnsM du pignon, ou
MMMM'«!.
309. Représente un moyen d'obtenir un
mouvement par des roues ile contact. La
partie dentée produit le mouvement continu,
qui cessera au point do contact montré dans
ia figure. Le taquet fourchu sert ù guider ics
dents convenablement.
910. En faisant tourner l'uxe portant le
bras & rainure curviHgne, un mouvement
reotitigno do vitesse variahie est donné ù ia
tige vorticaie.
SH. Ut) mouvement do rotation continu
do lu grande rouo donne un mouvement do
rotation Intermittent ù l'axe du pignon. la
partie du pignon ftgurto près de lu roue est
coupée suivant un arc do mémo rayon quo la
partie pleine de lu ch'contët'enco de ta t'eue
et sort ainsi d'iu'ret, tandis quo ceUe-ct fait
une partie do révolution, et juM)u'A ce que le
bouton sur lu t'one frappe ':< p)6co-guido fixée
au pignon quand et'hti-t'i a une autre révolu-
tion.
3t3. Arrêt de Cettc-ve. employé dans les
montres suisses pour limiter le nombre de
tours dans le remontage, la partie convexe
a; b, do la roue B servant d'arrêt.
9t3. Autre mpcce d'arrêt, cmptoye dans
le même but.
9i4-31S. Autres medUtcations d'arrct les
mouvements peuvent être facttemont comjtris 8
on les comparant au ))*3iS.
NOCVKMEM8 MÎCAtt~OtS.M
MOUVEMNtTS MËCAMQMS. N7
916. Les deux roues adoni dentées, in-
ternosot externes, engrènent alternativement
avec le pignon et donnent un mouvement
lent en avant et on arrière.
9t'Si8. Des parttm du tnèmo mouve-
ment ont été employées pour transmettre
)o mouvement dans les machines a cardef. Le
routeuu auquel est attache la roue(~ n* 318)et" forcé de faire un tiers do révolutionon arrière et deux on avant; alors ii doit
s'arrêter jusqu'à ce qu'une longueur de libres
peignées soit préparée pourMussor. Ceci est
oMonupartacameu rainure CDBe(n''Si7),le bouton A parcourant ladite rainure do
C le rou)eau se meut on an'fére, et de
.Due, n M meut en ayant, le mouvement
étant transmis au moyen du taquet <? a la
roue F sur l'arbre du rouleau Quand le
bouton A arrive au point edans ia came, une
BaMtfo derrière la roue portant ta came saisit
la pièce on saillie sur te taquet C et tevo
cetut-ci hors des crans do la roue do teito
sorte que, tandis que le bouton glisse dans
la came do e a C, le taquet passe sur la
surface piano entre les doux crans do la
roue sans imprimer aucun mouvement;mais quand Jo bouton A arrive la partie C',io taquet est retombé dans un autre cran et
est do nouveau prêt à Mre mouvoir ta roueJ!
et )o rouleau comme it convient.
319. Mouvement circulaire variable ob-
tenu au moyen d'une roue a couronne et d'un
pignon. La roue a couronne est placée excen-
triquemont sur i'arbro, de sorte que ie rayon
rotatif change.220. Les deux axes des manivollos sont
parallèles en direction, et pas dans le prolon-
gement l'un de l'autre. La révotution do l'uncommuniquera le mouvement a l'autre avec
une vitesse variable, car, le bouton d'une
des manivelles parcourant la rainure de t'au-
tre, sa distance &t'axe de lu dernière est con-
stamment changéo.33i. Mouvement circuiaire Irrégulier Im-
primé &)a roue A. C'est une roue elliptiquetournant autour du centre D: c'est la roue
conductrice. Bcst un pignon avec des dents
de mêmes dimensions, engrenant avce C.
L'axe de ce pignon n'est pas fixe, mais Il est
soutenu par une Meiie qui osciito autour d'unaxe do telle façdn que, lorsquo la roue C
tourne, la bielle se ievo et permet au pi-
gnon d'engrener avec elle, maigre lu varia-
tion de son rayon au contact. Pour gardertes dents des roues C et B on concordance
et. prévenir qu'elles ne montent l'une sur
l'autre, la roue C est attachée sur un plateau
plusgrand que cette roae.–ptatcau dans le-
quel est une rainure~, A, de6'rmo oiiiptiquesemblable, et destinée ù recevoir un petitbouton fixé à la tige osciiiant coneentt'iquo-ment avec te pignon B.
389. SI, ia roue excentrique décrite dans
la dernière Ogure, on substituo un pignon or-
dinaire se mouvant autour d'un centre excen-
trique, une simple bieiioattacheoauccntrodeia roue et u colu du pignon avec lequel elle en-
grené maintiendra la position propre des dents
d'une manlbre plus simple que la rainure.393. Combinaison pour obtenir un mou-
vement circuiaire variable. Los secteurs sont
arrangés sur différents plans, et ia vitesse
relative change suivant tes diamètres respec-tifs des secteurs.
884. Poulie à diamètre variabto. En tour-
nant le pignon <<4 droite ou à gattche, un
mouvement semblable est Imprimé t ia
roue C, qui, au moyen des rainures curvili-
gnes découpées dans la surface, repousse tes
boutons tixcs aux bras do la poulie, on
dehors ou en dedans, et, ainsi, augmente oudiminue io diamètre de la poulie.
1
58 MOUVEM)!!)TB HÉCAtOQUM.
MOCVEHENT8 M~CANtQUES. ~9 Il
99S. Mouvement ctrcuiatre intermittent de
ta roue dentée, obtenu par le mouvement
osctOont d'un bras portant un roohet.
990. Ce mouvement est destiné &doubler
h vitesse au moyen de roues d'engrenage
d'egatdiam&treotde nombre f~gat do dents,
résultat supposé gÉnefatonont Impossible ù
obtenir. Six rouef! conitjues sont omptoy~es.
La roue d'engrenage sur l'arbre B en-
grène avec deux autres l'une sur t'arbro F
et ttutro sur un manchon qui porto h)
roue Cot qut tourne follement sur 2' La roue
d'engrenage D ost portée par le chassa
fixé sur l'arbre Fet, t)ar conséquent, forcéde tourner et do faire tourner D avec lui. E
est une roue fotte sur i'nrbre et engre-
nant avec 1).
SMppoBons,)nu!t)tonant,)c8deux roues sur
l'arbre creux C ontevees et D tournant sur
son axe une révolution donnée ù la mue B
forcera le ohtssts ~4 u se mouvoir auss), et,
ce même oMssts portant la roue D engre-
nant avec une révolution sera fmprttneo
ù mats si les engrenages sur l'arbre
creux C sont reptaecs, D recevra aussi un
mouvement sur son axe pondant la révolu
tion ao B et, ainsi, proftutra deux revotutions
do~.
99t. Chutno et poulio pour dtatno. )<eii
maillons etaot dans diOeronts plans, des
espaces sont tats~s entre eux pour que tes
dents do h) poutte pu)s)!ent y entrer.
M8. A')t)t' pxjtf'M'de etMtnoct )Mt))if.
?<). Axtfu Y!))-)C)<
MO. NuuvoMCttt ch'cutatt'c tt':tnsfo)')n6 en
mouvement circulaire, Les hicttes <t'accoM-
ptemont sont urrangées d!' telle Btçon que.
torsqu'ut) (tes boutons de manivelle est au
point mort ou à l'extrémité de su course,
l'autre est à angle droit; ux mouvomfnt con-
tinu est a))))ii imprima sans volant.
Mi. Mou\'et)K)))tci)'eu)ait'e transmis d'une
nMt)twi)e:)uneau[t'
!!32. Ut) )t)ou\'e)))0))t citfutait'e intermit-
tent est imjM'in~ u lit roue donteo pat' le
ievict' Quundie bras B est tov6, le rochetC
est levé hot's des Intervalles des dehts do la
t'ouo et tourne en arrière sur lu circonfé-
rence de nouveau, i) tombe entre deux dents
on aiMi)!S)nt te tevicr et cntmtne avec lui
))) roue.
M8.Deuxd)~re))tt~mp.'w~d'M~)))out'unu)'f)uc!'))nnte)'))<
M MOUVNMStCMM&CAMeUNtt.
MOUVENNTMMtCANtCOM. 61
1
9!M. Echappement & puletlos. En faisant
mouvoir )a tige 8, lu roue & couronne a un
mouvement do rotation Intermittent.
MS. L'osctHation du taquet produit un
mouvement de rotattoo tnto'ntiUent & ta
roue & rochet. Le petit ressort ù ta partie
Inférieure du taquet garde colul-ci danx la
position montrée (tans le dessin, jusqu'ù ce
que ie bras se tovo; alors H permet aux
dent< de repafMr.
S36. Un mouvement circulaire presque
continu est Imprimé à ta rouo :< rochet par
l'oscillation du levier a, auquel sont attachés
les deux taquets b et c.
937. Un mouvement circutaife aHernat)f
'du bras auquel est fixé le cllquet produitun mouvement otrcutairo tnto'mtUont ta
roue a couronne.
288. Echappement. D est ta roue d'é-
chappement etCet BeonHes taquets; A est
l'axe des taquets.
M!). Arrangement d'arrêt pour une roue
droite.
9M. Vartét~ <)'!))'nt pour une roue &
rochet.
Mi. L')) mouvement circutatm tntertMit-
tont est Imprimé il ta roue A par le mouve-
ment ch'cu)ah'e continu de h plus petite
roue u une seule dent.
Ma. r'Mfn employé dans les grues de
chargement. En appuyant sur t'extremtté du
levier, les bouts du corcle sont rapprochés
t'un de l'autre et le co))ter du frein Mrro
contre le pourtour de la roue.
1"a MOUVEMENTStt&CASt<)Ct:a.
WOUVXXtiSTS M~CAMt~Xt. M
940. Pantugraptw. puur t'onior. agrandtf246,
pUlllugl1l1,ho,IIIIUI'
t'OIllul',ug1'lllldir
ou réduire des ans. Une régie est attachée
à un point fixe 6', autour duquel elle tourne.
B et. une pointe d'h'oiro et le crayon. Ar-
rangé comme tt est montré. si nous tracotMtes tfgnes d'un plun avec le potnt B, le ct'ayon
rept'oduh'a en gfMde)))' double. En chan-
géant le coulant uttacM au potnt nxe C,!b coulant portant le crayon sur tetu'a bras
respect)))!, la proportion dano ttKjm'ttt' te
plan sera trace Variera.
947. Moyen de tâcher un poids de MotduKe.
Quand lu pt~ce figurée au-dessous do la tige
frappe le fond de la mortelle force en haut
contre ta tige et retire te rochet do dessous
le poids, qui tombe et permet a ta tige dVtre
retevec.
948. Accouptement. A est un tuyuuaveeun petit collet buttant contre le conduit C,
qui a une extrémité. filetée. Un ecroH 7? tes
tient serrés.
949. Rotule, joint spheriquc pour Mffou-
piement de tuyaux. c
aSO.Support pour réduire les frottonmnts.
Au lieu qu un arbre se meuve dans un sup-
port ordinaire, it est'parfois supporté sur la
circonférence de roues se eroisaft. Le trot.
tement est ainsi réduit au minimum.
9Si. Déctie employé dpns les machines &
battretes pitotis. Quand le poids West suttt.
samtnent eievé, les extrémités aupériou.madadéctic par tequot it est suspendu, sont près.sces pur tes deux cotés de lu giimiéro B au
sommet ducMssis! le poids est ainsi subito-
ment taché et tombe avec forpo sur la Me
du pitotts.-
2M. Moyen du transmettre to mouvement
d'un arbre horizontal &deux arbt'CB verti-
caux à l'aide (te ftouites et d'une courroie.
344. DynumonMre ou instrument om-
ptoyé pour calculer t'cnet utt)e rendu par un
moteur. ii fonctionne comme suit A est
une poulie bien tournée, ptacéo sur un arbre,aussi prt~ que possible du moteur. Deux
blocs de bois sont adaptco sur cette poulie,ou bten un bloc de bois et une série de plan.chettes tenues par une bande ou une chatne,comme i) est montre dans le desstn. au iteud'un bloc unique. Les btocs ou bloc et plan-chettes sont arranges do telle Mt'to, qu'ilspuissent presser
sur la poulie au moyen do
vis et d'ccrous a la partie supérieure du
levier D. Pour estimer le travail transmis à
l'arbre, )i est seulement accessairo de con-
nattro le frottement do l'axe et le nombre
de rcvotutions faites. A ('extrémité du le-
vier D, est suspendu un plateau B, sur le-
quel des poids sont ptacés. Les deux ta-quets d'arrêt C et. C'servent a maintenir to
levier aussi près que possible do la positionhorizontaie. Supposons maintenant l'arbre
on mouvement; tes écrous sont serres et les
poids ajoutés on B, jusqu'à ce que io lovier
prenne la position montrée dans le dessin
pour le nombre do tours demandé. L'onet
tile sera égal au produit dos poids mutttpiié
par la vitesse que io point de suspension des
poids acquerrait si le levier était nxé &i'ar-bre.
348. Joint n tmyonnette. –En tournant ta
partie A, le bouton gttBM dans la ratnure
enLetMrtpa)'h)p!<rt)ccrcuM~()Mandtt Il
doit êtro retiré.
Il
M MOUVtMNNM MËCANtQMHt.
MOUVEMNtTSMËCAMQUftS.6tt
9M. et B sont deux routeaux qui doi.
vent avoir un mouvement égal do va-et-
vient dans la glissière C. Est obtenu en
faisant mouvoir de haut en bas h pièce D,
qui a des bras obliques & rainures.
SS8. Crochets eentrih~s pour prevonh'
les accidents dans le cas du bris d'une ma-
ohtno qui remonte ou descend los ouvrtet's
ou le tntnerat dans les mines. Aest un chas-
sis fixé a )a pat'oi du puits do la mtno et qu t
porto des brochos nxes D. t~ rouieau sur le-
quel la cot'de s'onroulo est pourvu d'un col-
let auquel les crochets sont attaches. S) te
rouleau acquiert un mouvement rapide, dan-
gereux. les crochets s'Motgnent par la force
centrifuge et l'un ou l'autre d'entre eux,
slnen tous, saisit une broche D et arrête
l'arbre en même temps que la descente do
tout ce qui est attaché au câble.
L'arbre doit, en outre, être muni d'un res-
sort autrement ta secousse provenant d'un
arrêt brusque do la conte produirait des
enets pires que son mouvement rapide.
9S4. Roue pour conduire une chaîne ou
en être conduite.
83~. Pou)!e ù collet pour conduire une
courroie pinto ou en être RonttuXn.
9M.Po))))f'j))e)no)MU)'c'turm)cp)ate.
937. PouHe concave ))ourcor<)<'ronde.
M8. Iloulie en V pour cofdM ronde.
3S').'Pott))e en V ayant s) mixum ontat)-
téo pour augmenter )'adh<'rcnco de la cour-
t'oto.
?0. ~uvetMcnt diM'renttt'). Ln YtsCse
meut dans un corou lixé au moyeu de la
roue Cette roue, soutenuo pat' un pattor,
peut tournor, maio elle est ompëchéo par
celui-ci do prondre un mouvement latéral.
L'arbre ntotee~t ttx~ dans )a roue 7). L'arbre
conducteur porte doux pignons et B. S!
ces pignons sont do tel diutnctrc qu'ita
fassent tourner les deux roues D et A'avec
une égate vitesse, la vis restent en repos
mais si tcsdttcs roues étalent conduites à
des vitesses tn6ga)e«, )a vis se mouvrait sui-
~nt la din~ronce dos vitesses.
60 tKM)VEMN)Mt)ÉC*t«UUB9.
NM~MNtïa MËûMOOttM. M
90~. CombiMaison de ntouvomont dans
laquelle io poids W se meut VM'ticaiemcnt
d'une mant~re aitcrnanvp. io «touvemontdescendant étant ptus ient que le mouvement
ascendant. B est un disque tournant, portantun petit tourttion autour duquel s'cnroute la
corde D.Une bielle C est f)x~! au disque et a la
bielle supérieure A, de telle manière que.st le dfM)uo tourne, ta bielle se meut
de haut on tma. osctuant autour du point G.
Celle bielle porto la poutte A*. Supposons
que nous dMachtons fa corde du tourillon
et que nous t'attaehtonR a un point fixe, et
qu'afom nous t&MfoM nMUvo))' la Mt'He de
haut en bas; topofds W se mouvra de lu
même longueur, et, ajoutant ce mouvement à
celui donné par la corde, le mouvement sera
doubtc. Maintenant, attachent! la corde au
touriUon ot faisons tnouvotf te disque J9; le
poids se mouvra verticatemont d'un mouve-
ment atto'natif, oimBJeqttet hn'ifceso, en des-
cendant, Bem plus tente que la vitesse on
montant, parce que te tourttton enroute con-
tfnue))emont do la corde.
M9 et 203. La première do ces figuresest une vue d'arrière et la seconde une vue
de coté d'un arrangement de mécanisme pourobtenir uno s~'We de changcmenta de v!feMO
et do direction. Dest une vis sur laquelle est
calé excentrtquoment le cône B, et Cest un
rouleau de Motion presse sur le cône par un
ressort ou par un poids.Un aMUMtnontrotfttoifoconHmt de vitesse
uniforme de la vis D, portant )o cône excen-
trique, donne uoo série do changements do
vitesse et do direction au rouleau C. Il est
Mon entendu que, pondant chaque révolu-
Uon du rône, le rouleau pressera contre une
partie diueronte du fono, et dwt'ira ainsiunespit'aiodunX'mopasquetavisD.t.efoutoau Cf'e&vm un mouvement attcfHatif,
le mouvement dans un sens étant pluslent que celui dans t'autre.
?4. Deux roues dentées d'égal diatuMnt,
mat" l'une ayant une dont. do plus que l'autre.
Toutes deux engrènent avec lu tneme tis.
Supposons que la première Mue a)t 100
dents et la <ecom)e JOi une roue g))gnamune ~vohttton sur l'autre pendant te passagedeiOO X lot dents do t'uneou l'atttre roue
ou pendanHO,iOOr6yotut)ons .te tuv))(.
S6S. Mouvement varfabto. St te tourillon
conque a un mouvement tongitudinatemont,un mouvement t'otatoire variable du routcau
de Mctfon sera obtenu.
SOC. L'artM a deux vts. de pas d)~)'enta,l'une engrenant dans une crapaudtao fixe,
et fautro dans une cranaudtne pouvant glis-ser. L'n mouvement do rotation de l'arbre
donne un mouvement rectiligne a la crapau-dine mobile, d'une longueur egato a la dit-
fcrence de pas, a chaque révolution.
M7. Poulie de ffictfon. Quand la jantedo ta roue tourne dans une dtcectfon oppo-sée a ta tMcne, le mouvontent est commun!-
<)ue ii l'arbre par t'tntennédtairo do bras
excentriques! mats quand olle tourne dansle sons ue la Dèche, tes bras tournent sur
tours pivots, et l'arbre est en repos. Les bras
sont tenus contre la jante par des rmsorts.
M8. Mouvement circulaire transforme en
mouvement alternatif au moyen d'une mani-
veite et d'une tige.
969. Un mouvement continu reftitignoducMssis avec des crémaillères donne un
mouvement alternatif de rotation au pignon.
MOUVMBttTSt)ÉC*MQNM.M
tMUVMfM-MMÉCAMQtfM.6C
il1
9f0. Moyen d'éviter les frottementtt pour
unepoutio.
S~.ËnMsa))tmom'oh'te!ovtorau<tueiles deux taquets sont attaches, un mouvo.
ment mnttnu rectiligne est donné ù la cr6-
n)ai)t<-rc.
9?9. Un mouvement de t'otation du disque
contquo donne un mouvpntcnt t'cpmtgno a)-
ternatif il la Hgn maintonue sur sa ch'conf6-
rence.
af3. Mouvement rectiligne transformé en
mouvement rpcH)ig))c.
Quand les lignes Aet B sont rapproehcc!,)M tiges Cet D sont Mo)gn<M. et )'~ tw~.
374. R6gu)ateur. La )e~'e ou lu des-
cente des boules est gutd~'e par les bras pa-
raboHques B, sur lesquels tes rouleaux L
glissent. Des bielles F relient les rouleaux L
a un manchon qui se meut de haut en bas
sur l'arbre C 1).
8'L'n mouvement do rotation do la vis
donne un mouvement rcetiiigne a la cre-
mattterp.
SïO. Un mouvement de rotation continu
de la came donne un mouvement roetiligno
alternatif do lu tige. t~ came est d'egat
diamètre dans chaque sens, mesurée de son
centre.
a'!f. invention do Colt ))0tu' obtenir le
mouvement du tambour d'un rcvoh'or par le
fait du reievage du chien. Quand le chien est
reieve, le taquet a, attaché &t'an'ot, agit sur
le ctiquct b t'arriére du cylindre. Le taquet
est maintenu sur le cllquet )mt' un ressort e.
378. Arrft do C.-R. Otis pour tes appa-
reil ~'icvateurs. A sont dos guides Mxcs et
B est la partie supérieure do ta plate-forme
se mouvant entre eux. La corde a, par la-
quelle ta cage est suspendue, est Cxcoaun
crochet t et a un ressort c, et le crochet est
roifé par deux leviers coudés ù deux taquets d
qui agissent dans les eremaiHeres des gui-
des A. Le poids de ta cage et ta tension de
la corde tiennent les taquets hors de ta ore-
matiiero pendant que lu cage monte ou <)es-
cend; mais, dans le cas de la rupture do lu
corde, le ressort c presse le crochet &et les
extrémités des leviers, et, ainsi, poussent
tes taquets dans les crans et arrête ia chute
de la cage.
w MouyauMM )))~M!<)Ct)E<.
tt(H)VBHBHT&MtCAMQUM. fi
1S?9. Huntvcjto et Me de .Mette avec los
sabots de Ctayton appliquas au teuton de lumanlvollo. Ces sabots eohststent on deux
pièces planes on coin et deux demi-coussi-nets ajustes avec des boulons qut servent enmême temps pour serrer la botte sur le bou-ton de ta manivelle et aussi a regagner l'usureaussi Mon dans les gtfssi6ros de la Mto debielle que dans teacou~tne))! ou dans le bou-ton do la manivelle..
.980. Moyen do tHanœuvror un cub~tan.Par le mouvement atternatff du levier a
tnatn a la droite, le mouvement est commu-
niqué au court levier dont l'extrémité eslImmédiatement on contact avec ta ebfonf<ronce do )a rouo. Le court )o~e<' peut tour-ner d'une petite quantité autour d'un boutonOxf dans un bloc do for compose de deux
jouox, dont OMeuno a un rebord projetéinterieufemont on contact avec la suriaceextérieure du rouleau. Par to levago do l'ex-trémité extérieure du court levier, lu cir-oonfet'once est saisie entre l'extrémité dulevier et te!! joues du btoe. de telle tiorto quece frottement oblige lu roue a tourner parle mouvement ascendant du levier. Le mou-vement on arrière do la roue est prévenu parune roue a rochot. Quand le court levier est
abaisse, <t dégage lu roue et glisse libre-ment.
381. La révotuUon du disque oblige lelevier do droite a se tovor par t'tntermMiairedu bouton nat'courant in fainuro tracée surla face du disque.
989. Par lu révolution du disque sur to-
quel Oit fixé un bouton se mouvant dans unerainurod'unc ttgovertifate, qui tourne autourd'un point ù lu partie infërteure, chaque ox-
trémité do la tfgo se meut,– ie scetour dente
produisant un mouvement rectitigne alter-
natif ù lu erétnaitiere horizontale inférieure,
etaaMiMn)nouvemot)tvorti<'u)atternaUfdu
poids.
38!t. Par ut) mouvoMent atternatif de lu
manivelle, le mouvement est communiqué
pat* te pignon aux crematii'rGs. Employédans do petites pompes a ah', pour des oxp6-riencf's scientifiques.
984. Appareil pour faire mouvoir la titbiod'une machine it scier. Par ta t'evototton dola xmntvotto à la partie tnK't'tout'oda touguro,un mouvement alternatif est commuofqut aubras tMftxontat du levier comt~,()ont to pointdo eut)pe(Mio)) est on a, pt~'s du somntct aucoin gauche de la tt~m'e. Pur m moyen, le
mouvement est communiqué au porbeau alla-
ct)6 au bras verticat du teytot', et ledit eor-baau tmn$)nBt le mouvement à lu roue
dfnt&c, sur t'arbro duquel est un pignon en-
grenant avec h ur6)na)t)6re fixée au côté dola tabla. La course est variée par une visdans la Mte du levier.
38!i. Contronointe d'un tom'. En tour-nanHa roue Mdroite, le mouvement est com.
inuniqué ù ta vis qui produit un mouve-
ment rectitigne do t'arbro i't i'extr0nit<-duquel est fixée la pointe du tour.
S80. PMato et ut'rCt pour tnanouvror lesvatvos dans tes macitines a vapeur. La pMatecourbe sur l'arbre motem' agit sur t'arret
attaché ù ia tige qui sert a élever la vatve.
a6f.!t<'guiateardePh!)<et'tng.Losi)ouiessont attachées a des rossorts dont i'extr6-mité supérieure de chacun est itxM ù un
collet fixo sur l'arbre, et t'cxtremite Mnë-
riouro à un collet sur un manchon. Les res-sorts Mussent tes hou)es agir pa)' ia force
centrifuge et élèvent io manciMn et si laforce cetttWfugo dfMnfnc, iis ritm~nent les
bâties vers t'arbre et abaissent ic manchon.
MCWNMttMWtCMttCCM.M
MOUVBMNfMtt<CM)tOUN. t<t
0
!6S et ?0. t.c premier est ce que l'on nomme Un
t'eeut.ettederoter un arrêt on échappement pourles hoftofM". Les mêmes tettt~ tndtqwwt ? mêmechose dans tes deux Heures. t.'M)cre~.j!f go meutautour de )!0n aœ a par t'aeUon du ba)N)f)er. Mntreles deux extrémités ou patetst, JiTest placée la rouedtchappement A, dont les dents viennent a)tem<Ht.vement contre ta&ceett~rtfme'tH (mtet~Tef contrela face )t)t<fteure du pttet ? DtUM! te M' !8tt, cesNMes sont coup~m) courbes eoneentrtqum t t~M
t,et,paf<!OMMqt)eat,pe))d<mtque l'uuedes ~ntftmtcontre le palet, la roua reste paf&Htetneot en repos 1de là te nom de <~)M. )M)M le u' N~ les Mr0)cessont <)9.<MtM; tttatfcnteit; Ueitt Men MdMt que,chaque <t))'<ne n'étant pMCOt)<!entrtq)Mawo t'axe<t,H doit M protutre un ff'Mt raM) de ta roue pctxhmtt'MMppemeat de la dent, et Mnot te terme <T<t~
o'eïpttqwe. Les tmtete se levant t OMqueoMtttattondu balancier, les extrémité!) des dents ~)t6Mnt le
tow des eut~ca) c, f et &et donnent MatMm-ment d'impottitoMau pendttte.
!?. Autre espem d'échappement du pendule.
<H. 0)ro)M)mAtMd'Amotdo)t<c))appement ttbre,qaetqtte<bis employé dans tes montres. Un MsaortAt
e!ttai[eo)tvh!<econtre)e)ionï<)t~)nontreonhA)a
partie tetarteore de ce remortest attache un petitarrêt contre teque) s'arrêtent Mtecemtvement hodents dota roue d'échappement N, et au-dessus duMMOft est tM un t«ton t, temntMn petit temort
plus mtnce et plus a<f[)b)e, qui pane sous un cro.OMt 4 t'extttmtM de A, de tette sorte qu'U estlibre quand )t est pressa et, en se levant, n tew auBst
terNMrtA.iiurraMuubatancterestMepeUt bou-ton a, qui tMtehete ressort mexte A enaqae osOMa-tlon de la roue servant de batateter. Quand te mou-vement se fait dans le sens de la Mené, te boutonpreMe te ressert en passant, mals en retournant t)feteve ot, par coM&taent, avec lui le t'MsoM A ett'aMe).<<;docette mantere, Il permet a une dentdela ro<M d'ecttapptmeat de pâmer) tout retombe,pour arrêter la dent suivante. En même temps quecettedent échappe, une autre ooppe contre la de-
coupure et rend &ta row-hatMX-ter )a force perduependant tmeoMtttatton. Hcxt bteneHtoMu que, exM point seulement, te ttbt-e tnouvemext d'osctt.
)at)on est entpecM pendant ûxe o~OMton.
tie. Échappenxnt employé dMXt les tMMit!) t)M"
) o~s. pn palet B agit à lu partie supérieure de laMMctt'atUfe à )t. partto tntMmte. tes boutonssont, MfMtBf" symétriquement ot restent fmemati-YetMttt t)t~ts<M< et e)t dexsoM!). comme la coumodm palets est m) arc décrit de )) y a repos Mt
eenappetaetA
!<B. ~OMppement Duplex, tiMt nommé ptM~qu't) emploie ta roue dentée et la rm 4 <!o))tcm)e.L'axedu btttmeter porte un rochet Il. qui, à chtqwoOMmattott.recottttnettnpMMoa d'une broe))e de lacouronne. Dans t'Me A de ta M))e4)t)aneter mttMMo une aécoxpaM dans laquelle les d<t)t« dupourtour do ta MMeviennent SMcmott-enMnttom'ber xpr~ que chaque broche n n'appe le [ochet B.
!M et K6. tetmppemfttt à cytttMtt'e. le n* M
montre te cyU)MtMt))petS))ecttwet)en'N!HNt voir
uneporttede ta rotMd'echappement em'une eramteéchelle et Mpt<M)tte les <M<!eten<<e pottttoM prioeaPM' le cyttnare AB, pendant une tsotttotton. Les
pa)et«!e<te la mue restent at<e)t)att<Bment surt'tnteMtta' ou fMiertettr du cylindre. Au haut d)tCylindre est ottaeMe la )'oue4)a)anot<x'. Les palets
de la roue sont cwpei ot NaU et, et)M, (;ard<mtt'tmputttottdttbahMterot f~ttsant sur tMttOtdsdu cylindre coMpêa en biseau.
t~ ÉetMppement 4 levto'. L'ancré ou ptecequi portete~ pttet~tttattecheeoutette)' C, A une
eltrenuteduquet est tmedeeoMpure & Sur un disquea.ttMM à t'axe du Manctet est ttïe M petit bouton
qui penetredant ta rainure au mttiet de chaque os-
einatKm.forcantaiMttepetet~eatMrettMrtfrdetdents de la roM d'échappement. La Mue <oaM une
tmpttttton a chaque palet attematttMMnt, quandtt teMUNedeot.ettetettet'tmpttmetUMtmputatonà la fO)M.hata)Mter dans UM direction opposée.
74 MOU~MBNTSMÉCAMQUH8.
«OUVEMNtTSMËCAtMQMS. ?s1
29* échappement avec une roue & lan.
terne. Un bras A porto tes deux palets
etC.
398. Vieil échappement de montre.
399. Vieil échappement d'horloge.
800 et 30i. Ëchuppement d'hot'iogo ou do
montre; le tf 800 est une vue de titco et le
n" 80i une vue do côté. Le palet est mis on
mouvement par dents de t'uno et do l'au-
tre des deux roues d'échappement alternati-
vement.
302. ËehappenMnt. par (a rouo-bataneiot'.
C'est le batanefor ~4 ot le ))atanc)er B qui
sont les palois et D est lu roue <MctMp-
pement.
803. ËchupjMtnent par le pendule. La faceint~rteuM du patet et la tace extérieure
do D sont concentriques avec l'axe sur lequel
les palots se meuvent; et, par ta. )t n'y a au-
cun recul,
904. iËchappetneht par la roue a broches,
ressemblant quelque peu & l'échappement
montré par le tf 998. Les broches A et B
de la roued'~chappemont sont do doux formes
di~rentos! n)a)s la fbnno de celles du côté
droit est lu meUtoure. Un avantage de cette
espèce d'échappement, c'est que, si t'uno desbroches est endommagée. elle peut être faci-
lement remplacée tandis que, si une dent est
endommagée, la roxe onttcro est hors de
scrvfee.
303. Ëctmpjtoment pm- un simple bouton
dans le pcndute. La t'oue d'échappement est
un très petit disque avec un simple bouton
excentrique; elle &it une demi-révolution à
chaque oscillation du pendule, donnant t'fm-
putston sur les faces verticales des patets.
Les faces horizontales de ceux-ci n'agissent
pas. Peut aussi ett'c adapté aux montres.
fC MOOVKMBNTSM~CANtQUM.
MOUVEMEttK NtCAMQMSS. 'n
1
806. Échappement & trois branches. Le
patets sont ptacea dans une ouverture pratt-
quéo dans une plaque attachée au pendule,et tes trois dont: de la roue d'échappement
agissent alternativement sur ta partie supé-rieure ot inférieure. Une dont est montrée
agissant sur le patet f~uj~rteur.
807. Modtftcatton du numéro procèdent,
avec des arrêts D et J5'. A et B sont tes
palets.
308. échappement libre tatsMnt le baluu-
cicr P non rette & )a roue d'échappement,
sauf pendant le temps qu'il retoit rhnpu)-
sion. Il y a un palet fqui recott l'impulsion
pondant t'OMtHaUon du pendule à gauche.
Lo levier Q enraye ta roue d'échappement
jusqu'au moment précise!) se donne t'imput-
sion, et it estdésenrayô par le oHquet C, atta.
ché au pendule. Quand le pendule retourne &
la droite, le ettquet qui tourne sur un ptvot
est eorte tmr le tevto)'.
309. Echappement de Mudge, tmr la gra-
vtté. Les palets A et J9,au lieu de se trouver
sur le même axe, sont sur deux. axes dit-
férents, comme il est Oguré on C- Le peu-
du)o oscille entre les branches P et Q et
élève ainsi un des contrepoids hors de ta
mue n chMjjuo oscillation. Quand tebatancior
retourne, le patet tombe avec lui et Io potds
du palet donne l'Impulsion.
810. Ëehappement à trois branche!) par la
gravité. La ~6e des palets A et B est faite
par trois chevilles près du centre de la roue
d'échappement; les pulets oscillent autour
d'un centre près dt< point de suspension du
penduto. La roue d'échappement est enrayée
par tes arrêts D et E sur les palets,
3H. Double échappement ù trois bran-
ches par la gravité. Deux roues A, B. C et
o, b, c sont omptoyées avec une rangée de
chevilles ontre elles. Les deux roues sont
suNmmntent éloignées l'une de t'autre pour
permettre aux palets de s'appuyer entre elles.
Les dents de la première roue monUonnee
sont arrèteeB par un arrêt D sur un palet, et
celles do l'autre roue par un arrêt F sur le
second palet.
819. Échappement do Btoxam, par la gra-
vité. Les palets sont levés attomaMyement
par la peUte muo.ett'afrët est fatt au moyen
des taquets A et B sur la grande roue; ~'et
F sont les fourches qu) embrassent le pen-
dule.
?s MouwMNtra M&CMHt~M.
MËCtMQUES. 19
3i3. ticHappemeat de e))mMomé)M:<&fnM)tnpt)mordtMatrementemjftoyee.quaNd te bataucter tournedans ta dtfBcttctt de ta fteche, ta dent ~pMs'M) teKMort contre to tevipr, aot tt'eau'te et pennet a tafOUed'<e))apBem<!))t d'a~nccrt'medctit.Oumtd lebatauetef tMoutue, ta dent rmwtM te MtMrtdectté Mmtm.tromonYot)' tetev& q)tt. ators. MMecentM t'atïêt ?.- f eat te )t'ut pâte? an- tequet t'tm.Pulsion est donnée,
ment entre ce t<otnt neutre ot t'NM du httnnoter. EnMMttt mouvo))- raimtUe & dfottc, on rMMt )? fon-meurdettDttt~te ecMwdtt t~mort, et les <Mc)))e.nom <tu bn)Nnc)eraontp!MB mpMotien )e fahmntmouvetr tgatche, un eOe! eoutMtre n't proamt.
am. Mencter compeoxeteur. -<.«,<' ot )a tmfMK)M))M))e du batnncttf, avec \'h! t~mtttcs t)om't<t!ie)'
)m Mtt~mtt~et f Mnt deMï ban'e!) cont.
peNMtrtcm <)M<t a pertte exMrteun'esfM cuh'reet ;t Mftte httMeMM en <t'r, et portant )e!f poidsi' et MQuand )t chateur aueneent~tet tMrtMMntcourMM Intérieurement, par la pAM ((mxde dtte.mtton du cntY)f, et tes potde amt Ur~ tnterieS.rement, df(nh)uantatt)s))'}nert)e du bt))enc)er.- iM]t dMieuf dttnttlue. uneAt eon<M)M eet tfodutt.Ce balancier est comjteme parita proprodHHtaHonCMcoxtmetton et cette <tMreoMt't au batoncter.
3H, Jrehap~ent de ~bl'Ol\omètre pal' le\'lel',Ici
je& patata X pt et le jcvtcr aont MMbtabtcs Àt~ecMpp<MM€ttt M)' levier du n* N0~ ma)N Mëa naictsMmemNt fcn~Ha'd'~aM.~ MMCpWeM t'as <t')!BpnWion, !impMtMon mt donnto
Mr des aeSM ae )« roue d'échappementdtrectenx'nt
& une paMtc (', attachée nuMiS)e)er.
3M. Pfndute contqttp. iMapendtt~ ut) Ott a) de ter.A)a partie tntMeMre, n est t'e)M4uneaf(!U)))eni(~eeuM axe verticat tcuroaMt, et tout eet foodutt de~çon & tourner ex rond. tUtodu )'en<)Mh. dec~tmtc<;)tedan<Mrevo)uHon.
N0. CtMtMte MM On, matttteeant t'BCUoM tt ttMbaritM pour qu'une hoDoce conttnue t marcher}Mdtequ'on)ar<')aontotOperat)onpendant)aquena)e potds ou teimort n'eetfphM wat' te baMUet. 1~roue de drotte est )a rouo MrvMtt t MM mouvo)t't'hartOM, et ceUe de saMChc )n roue pour )a :!on*
trtee etmunte d'un atTSt pouremtXette)' te fthœe'ment d'une corM ou d'uxe chatne paeMnt tur e))e.UNepouUe mmMtMe roule nur un pettt x)'hfe~ qutpeut être t'arbre de ta grande roue de to MnnèMe.etaH'M!Me per un rocnetet un encHquettge&cetteroue, ou au chEm)<! de t'))0)-)<w, st ceUe-et n'a pa~de~onnerfe. Les poids tiont aMachtit comnMojtte
yott.tepetttétant )!eu)en)ent axse! tourd pournMtn.textr t<t conteou chatne mr tes poutte~Sfia parttetde ta corde ou chaîne mt ttree m bat, )a pbutte aroeaettoufnesous t'HtcMquctaxe et te t~Huxt potdseat cemonté par c, MtM'Umtttucr enrte)) M')) acttonsur la roue motrlce.
MO. Pendulo compensateur a mercure. Uu YMede verre rompt) de mercure est enmtoyé comme coM.tte-potde. Quand la ttga du pemoto o'aUMMM parrux
accM~ententdetemperaHm, tadUataHotdumercure dans le Ytee )a ttoutève t UM plus ftmndehauteur il ~nterteur et AteYe «)Mt Mm centre dettmvtté de <Mon a être tum<!ant pour comtenserMioNgement tige'. Quand ta ttgeeet contractéepar une reducUoM te <emteMtm% ta eontnMttottda mercure aM)Me relativement ta tige. De cette&eon, te eantro d'oxetHatton est toujonm a la même
ptace et )a toNeuetu* eaeetttc du pondute toujouM
!n.BMfo compettMtrtcepourpenduta.-o'mUabarre compenMtHM en catvfe ot~r ott aOer, MS-
dte cnMtnbte par da cutyra & )a parHe tnMHeMM.tbrnme le cutvre du cuI,1'O quo parUe laté eul'O.Comme )e OMtYM M«)a<e ptus qMie <?, )a barn) Mcourbera WM te haut gaand U ?? ptnt chaud etettvera )e: t<ojds W ~V, ttevaut atn<!a le centte deMtYtMde)) pOdsJVet H~r~nt~ae teneeorteque!e centm d'08<-)))atton Mt é).<-<'quand la t&'dupMdato s'atton~e.
SH.BartUetde Harrttu)).– Une gmnderoue &roehet.A XqMettt te cttqMet~eift attache, est rettëea ta gmade roue 0 par un teiNtort <, t'. Pmdtttt quet'))oH<)gemaKhe,)e))oMBO~tat)')atM)xteroueO üau moyen du temo)'{;nMh a)~m~Mt~.M'eH remo))-tant.on enteve t'actton du potdB, te <Mcf)e K dont teplvot eRt llxé au ehllsssts, empêo1ie 7et III'/UICIUroue èrochet do toMmef, et atnx) tp remo~ %<' eondutt laMMdc roue pendant te temptt voatu pont'te MOMtt'Mge, car ttMt mutement necessatre 5e contorvcr temouvement & t'ecttappement.tependttte so ettBtomta ttM.meme pendant œ temps trS court. DeTXwnesmontK!) poNfedent uu apparett qat est MnsiMenMntte menx'.
3M. Resutatear de montre.– 1~ report du batan.cter est attaché, & M)n oxtremM exMrteaM. & unbouton am J?. et, amn extfAmtM tnt~rteuM.a t'aMdu batanOer. Un. potnt nentre M trouve dan: termsorten P, entre les deux b<Mt!t d'«M atgutHearrant~e pouf toumef futvant on cercte eoncen.trtque aa Mtaocter! et to [eMort Onettonne Mute.
MOUVEMENTS MÉCANtQMS.80
MOUVEMEKT6MÉCANWM. et
822. Règles parallèlos pour desstncf, faites
en coupant un rectangle suivant la diago-
nale formant deux triangles rectangles Aet B. EUes sont employées en faisant glisser
t'hypothénuse d'un triangle sur celui de
t'autro.
SM. Regto pamttete consistant on une
simple règle rigide B munie d'un axe C et
d'une paire de roues A, A. Les roues qui la
pouMent en avant en tournant sous la règleont leurs bords faits de telle sorte, qu'eites
pressent fortement le papier et gardent ainsi
toujours la régie parallèle a chaque ligne tra-
cée.
394. Règles parallèles composées de deux
simples règles A, A, réunies par doux brns
croisés tournant autour do leur point de ren-
contre, milieu do leur longueur. Une extré-
mité do chacun de ces bras pivote a l'extré-
mité correspondante de ta règle, et les autres
sont rettés avec les autres extrémités des
règles par un bouton glissant dans une bou-
tonnière, comme il est montre en B. De cette
façon, le parallélisme entre les bords est
gardé. Le principe de construction do ia plu-
part dos règles représentées est employé avec
avantage dans la construction de quelques
pièces do la mécanique.
8M. Règles parallèles composées de deux
simples règles A et B réunies par deux brns
C, C, pivotant.
896. Moyen simple d'obtenir le mouve-
ment d'une tige de piston d'une machine.
La crosse du piston A se meut et est guidée
par lu rainure verticale dans les guides, quiont leur surface rabotée:
3M. Forme différente du n" 336 on co quedes rouleaux sont substitués a la partie a'ot-
tante dans la crosse du piston. Les rouieaux
M meuvent contre des guides A, ~.attachés
au eMsats. Employé pour do petites ma-
chines en France.
3M. Mouvement inventa par le B' Cart-
wright, en ~87. Les roues dentées C, C
sont d'égal diamètre et de nombre égal de
dents; les manivettos A, A ont un égal
rayon et sont placées dans des directions
opposées: par conséquent, elles donnent une
m<'me obliquité aux tiges qui y sont attachées
pendant h révolution des roues. La crosse
du piston est attachée aux deux tiges et
obligée ainsi de se mouvoir en ligne droite.
3M. Guide de tige de piston. La tige de
piston est reliée ù un bouton 0x6 ù une roue
denMo B, qui tourne sur un pivot porté par
une plaque caiée sur i'arbre. La roue J3 en.
grf'Mavecune rouodontee intérieurement.D,
de diamètre double de .û. et, de cette façon,
le mouvement est communiqué a la manivelle
et la tige du piston est maintenue verticale.
3)M). La tige du piston est prolongée et se
meut dans un guide A, qui est placé dans
i'axodu cylindre. La partie intérieure de la
bielle fixée a la tige du piston est fourchue,pour permettre ù la partie supérieure do la
tige du piston de passer entre.
M WOUVEMNfM MÉCAMQUEtt.
MOMN)ta<f!t MÊCAMQUM. 8SS3L Machine avec mouvement do mant-
veUeMtnMabte &eotu! repréMnt6 aux n<"98
et 9f9. Le bouton do la manivelle tto meut
dans une rainure pmttquéo dans ta crosse
du piston A. Cette crosse voyage entre deux
guides D, D du Mtt do ta nMchtttc.
33S. Mouvement communément emptoyé
pour des machines fixes ft batancier.
330. Arrangement do mouvement pour les
machines do bateau. Les barres parallèles
a)tac))6.(')t aux btenM du balancier sont aussi
roltées par une courte Mette catée sur un
axe tournant dans un cooMinot Oxp.
M3* Mouvement dans lequel la MoHera-
diale est attachée &la partie Inférieure ù une
courte btctto oscillant; la partto supérieure
est attachée au balancier, et & son centre est
fixée la ti);e du piston.
338. Autre modification dans iaquetie ta
hieiio radiate est ptaepo au-dessus du balan-
cter.
<
339. ttouvement emptoyé pour des ma-
chines a action directe. L'extrémité do la
Mette JB.C est ici attachée &la tige du pis-
ton, et l'extrémité B gtiMe dans une rainure
fixe D. La bielle F, A est attachée en F* &
un pivot fixe, et en A au milieu, entre les
points B. C.
3M. Mouvement M)tp)oy6 pour lu tige du
piston dans les machine: do bateau. C
cet ta Metta radiai et E )a crosM du piston
& taqueite lu bteHe pamUMo /i'. est atta-
fh~e.
333. MouvemetH emptoyé Mutement (tana
des cas partleulierf;.
884. Mouvement emptoyé dans quelques
vieilles machines à balancier. La tige du pis-
ton e!t formée d'une ofématuere verticale
ongronant avec un secteur denté sur le ba-
lancier. La parUo extérteurb de la crénM!).
)oresc meut contre un rouleau A.
M HOCVBHBNM MËCAMQUES.
MOUVBMEKMHËCAN~UM.1
340. Autre mouvement. Le balancier D, C
a un support osoiiiant B, qui pivote surson centre J* La tige du piéton est attachéeen C. La Metio F, produit le mouvement.
341. Machine &Balancier de Gramhopper.–Le balancier est -attaché par uoe extrémité a
un support oscillant A, et l'arbre moteur
ptacé aussi près du cylindro quo la rotationde la manh'ette le permet. B ost la 'bielle
rudiato du mouvement.
349. Vieille machine d'épuisement u simpleelfet, travatUant par la pression atmo~phe-
rique, au moyen d'une chatno reliant ta tigedu piston à un segment 4 l'extrémité du ba-
lanolor. Le eyUndre est ouvert a ta partiesupérieure. Une très faible pression de vapeurest admise sous le piston, et le poids de la
tige de la pompe 8, à l'autre extrémité du
baianoier, atde à lever le piston. La vapeurest alors condensée par Injection, et un vide
est ainsi produit sous le piston, qui est forcé
de descendre par la pression atmosphérique,entratnant la tige de la pompe.
84B. Mouvement pour machine verticale.
A, A sont les bielles radiales attachées parune extrémité au bMi de la machine et, à
l'autre, a une Mette reliée a la tige du piston.
844. Machine àcylindre oscillant. Le
cylindre a des tourillons au milieu de sa lon-
gueur, tournant dans des coussinets Nxcs,ta tige du piston est attachée directement a
la manivelle et, de cette façon, des guides no
sont pas employés.
pendule. Le cylindre a destourittons &M
partie supérieure et balanceiibrementcomtne
un pendute. L'arbre de la manivelle est au-
dessous et ta tigo du piston attachée direc-
tement ù ta nMntvotto.
340. Petite machine. Le cylindre est fixe
sur une taNo servant d'assise. La tige du
pMon a une crosse se mouvant entre des
guides fixés au haut ducylindre,
et elle est
retiée par deux bielles a deux manivelles
calées sur l'arbre sous la table.
847. Coupe d'une machine rottitive. Le
piston-disque, vu de proui.aun tMouvement
analogue ù celui d'une pioce domonnale qu'onfait tourner quand elle commence a tomber.
Les fonds do cylindres sont en eone. La tigedo
piston porte uno partie sphértque sur laquelleest uxe te disque et qui travaitto dans unsiège de même forme, ménagé dans les fonds.
L'autre extrémité de la tige est attachée à la
manivelle du votant cate sur le bout de l'arbre
a gaucho.
La vapeur est admise alternativement sur
les deux faces du piston.
348. Moyen d'obtenir un mouvement de
va-et-vient d'une tige. par une révolution
d'un arbre, breveté en 4886 on faveur de
B.-F. Snyder; it a été employa pour obtenir
le mouvement de l'aiguillé dans une machine
a coudre, par J.-S. Mao Curdy, et aussi pourconduire des tames de scie. Le disque~, calé
sur l'arbre contrat, a deux rainures a, a, se
coupant au contre angles droits, et ta tige B
a deux pivots <, c, glissant chacun dans une
rainure.846. Oscillation renversée CM mM)))ne-
MOUVBMKNMMÉCjUHQfES.86
MMV)H))H)K MÉCAMQUES. 8?
et, au lieu da tomber, commenceront u M
mouvoir autour de luxe vertical.
3S6. Machine do Bohnenborger montrant.la mémo tendance des corps en rotation, Ello
consiste en trois anneaux ~1', placésl'un dans l'autre et reunis par des pivots &
angios droits, l'un avec l'autro. Le plus petitanneau As contient les coussinets pour les
axes d'une balle pesante .B. La tMtie étant
mise en mouvement rapidement, ses axes
conUnnoront a Kardor ta mèmo direction,
queUe que soit la position des anneaux, et
l'anneauqui
les supporte, résistera &une
pretsion constderabto tondant ù le déplacer.
851. Gyroscope régulateur, pour des ma-
oh)Bes ù vapeur, etc., breveté on faveur
d'Alban Anderson, on 18S8. A est une
roue pesante i'axe B, B', sur lequel elle
se trouve, est fait do deux pièces réunies parun joint univorsol. La roue A est sur une
des parties B, et un pignon sur l'autre
partie .B'. La partie B est retire par son
milieu ù un châssis tournant H, de toUe
sorte que tes variations dans l'inclinaison de
la roue A puissent ctovor ou abaisser t'extrc-
mit& oxt6rioure de la pièce B. Le ch~sis H
est conduit par une roue conique do ta ma-
chine do cette façon, le pignon 1 engrèneavec te corcte denté ttxe 0, et la roue
reçoit ainsi un rapide mouvement do rota-
tion sur son axe, Quand )o oMssts H et la
roue sont en mouvement, la tendance do
la roue à prendre une position vorticato
est vaincue par un ressort L. Plus grandeest lu vitesse, plus grande est la tendance
ci-dessus mentionnée et plus le ressort aura
à vaincre, et vice tw' La pièce B est
réunie & la valve d'admission par des trin-
gles C et D, et le ressort L est réuni aux
mOmes tringles par un levier JV et une tige P.
849. Autre forme de régies puraitetes. Le:régie ssont réunies par une troisième, inter-
mediairo, au moyen de laquelle leurs extré-
mités, aussi bien que tours arêtes, sontmain-
tenues parallèles l'une a l'autre.
8SO. Mouvement de va-et-vient.–Le pivotdans ta rainure supérieure étant fixe et celui
dans la rainure tnferteuro se mouvant dans
la direction de laligno potnUuée hortiMntato,le levier, par sa solidarité avec t~ bielle, don-
nera a la dernMre un mouvement do va-et-
vient dans ses guides a, a.
*3B1. Bocard.–Percussion vertfcate pro-venant de la rotation d'un arbre horfzontai.
Le pignon, denté en partie, agit sur lu cré-
maittere pour soulever la tige, jusqu'à ce queses dents la Mènent alors la tige tombe.
3S9. Autre arrangement pour )c cabestan
chinois représente au n* 129.
8M. ModtMcatton du marteau soulevé ro-
présenté au n* f9. !et te marteau est un tevterdo premfor ordre. Au n* Ta. c'est un levierdo irotsiomo ordre.
3M. Modiftcation de la manivelle et do la
crosse do piston a rulnure du n" 93. La crosse
contient uno rainure sans tin dans laquelle le
bouton de la manivelle se meut et qui pro-duit ainsi une vitesse uniforme au mouve-ment du bouton, ou alternatif do la tige.
8SS. Le gyroscope ou rotascope est un
instrument démontrant la tendance qu'ont les
corps en rotation de garder leur plan do
rotation. L'axe du disque métnlllquo C est
ajusté pour tourner iacifenmnt dans des cous-
sinets do t'anncau A. Si io disque est mis
rapidement en mouvement sur son axe, et la
pointe F, placée sur le cote de l'anneau A,mise au sommet du support Gi, le disque et
t'annei'u sembleront indiui&rents il la gravité
MOUVHMtMTSMËCA(tt(tUE8.88
MOCVEMMfKMÉCMttQNM. 89
t
supérieur et de son tambour produit par un
bouton &l'extrémité do l'arbre, ot se mou-
vant dans une rainure oblique tracée sur le
tambour inférieur.
M9. Balançoire un des plus simples
exemples d'un mouvement d'osoillatton ou
d'un mouvement circulaire aiternatif.
364. Mouvement intermittent de rotation
provenant d'un mouvement continu de rota-
tion autour d'un axe placé en angle droit
avec le premier. La petite roue, à gauche, estla roue conductrice, et les rouleaux do Mc-
tion placés sur le prolongement des rayons
glissent dans des rainures obliques décou-pées sur le bord do la plus grande roue et
impriment, par là, le mouvement.
860. Tige oyttndrtque placée entre deux
routeaux dont les axes sont obliques l'un par
rapport a l'autre. La rotation des routeauxproduit un mou vement longitudinal et rota-
totredetat:ge.
866. Machine è percer. Au moyen de la
grande roue conique, un mouvement do
rotation est donné à l'arbre verUcat de la
mèche qui glisse dans la petite roue conique
pouvant tourner avec lui & l'aide d'une
cale et d'une rainure. La mèche est pressée
par une pédaie réunie au levier supérieur.
3S8. Mouvement variant au moyen d'une
fusée, suivant ln variation du diamètre sur
lequel agit ta cordo.
859. Appareil perforateur primitif. Mis
et) mouvement, 11est gardé dans cet état en
abaissant la barre transvorsale et en ta re-
levant alternativement & cette barre sont
attachées dos cordes qui sont obligées de
s'enrouler alternativement sur l'axe dans
des directions diSerentes, pendant que le
d)sque pesant donne une grande staMUtea la
mèche perforatrtco dans son mouvement de
rotation.
380. Mouvement de rotation provenantd'un mouvement d'oscillation. Le balancier
étant étabU pour osctuor, le tambour sur
lequel la corde est attachée se meut libre-
ment sur l'arbre d'une roue donnant le mou-
vement audit arbre par l'intermédiaire du
roohet et de la roue dentée, te rochet étant
attache au tambour et la roue dentée eatéo
sur l'arbre.
36i. Autre forme simple de frein pour
poulie, consistant en une cheville sur l'arbre
inférieur et une cheville sur le plateau de la
poulie. La poulie est mue le long de l'arbre
au moyen d'un levier, ou d'une autre façon,pour mettre son taquet en contact avec le
taquet placé sur l'arbre.
36!. Mouvement transversal de l'arbre
90 MOUVEMENTS x6c*M(!MM.
MOUVEMENTSMÉCtMQM~. Bt
367. tMgtes parallèles avec lesquelles des
lignes peuvent être tracées & dos distances
voulues, sans les ôter. L'acte Intérieure de la
règle supérieure a une échelle graduée, en
ivoire, sur taqueite l'arête extérieure do i'arc
on cuivre indique h distance entre les deux
régies.
868. Sjtiraio décrite sur un cylindre. La
roue dentée qui conduit la roue conique et
qui donne ainsi un mouvement de rotation au
cylindre engrené avec la crémaillère et, parta, fait que le crayon parcourt le cylindre de
haut en bas.
369. Surfaces oycioïdatos forçant le pen-duio à se mouvoir suivant des courbes cy-cioïdatos rendant tes oscillations tMchrones,c'est-tt-dire eObetuecs dans des temps égaux.
3'!0. Mouvement pour polir les glaees.Le frottement est varié comme on le désire.
On tourne ta manivelle a laquelle sont reiiées
lu longue bâfre et la roue à rochot. La glacoest attachée solidement & la roue ù rochet.
La longue barre est guidée par des broches
dans la pMco de bois inférieure et a un dou-
Me mouvement longitudinal et d'oMittattonla roue a rochet est forcée de tourner parintermittence au moyen d'un déclic manoeu-vre par un excentrique sur l'arbre de la mani-
vetie, et, ainsi, la glace a un mouvement
composé.37-t. Modtncatton do mouvements d'une
roue a cyitndrer. La grande roue cet dentée
sur l'une et l'autre do ses faces, et un mou-
vement circulaire alternatif est produit parune rotation uniforme du pignon, qui passed'un côté a l'autre de la roue par une ouver-ture figurée a la gaucho de ta tigure.
373. Dynamomètre de Whiti pour déter-
miner ia force nécessaire pour donner un
mouvement de rotation à chaque pièce me-
cantque. Les deux roues coniques horizon-tales sont ptacées dans un châssis do forme
circutaire, qui tourne librement sur t'arbre
horizontal, sur lequel Il y a deux muée d'en-
grenage coniques verticales engrenant avectes premières horizontales l'une est eatéesur l'arbre et l'autre est folle. Supposons lecMssis circulaire stationnaire un mouve-
ment donné a l'uno des roues vortteates sera
communiqué par tes roues horhiontates al'autre roue verticato mais si te châssis c)r-cutatro peut se mouvoir avec )a roue verti-
cale, la force nécoMatro pour le maintenirstationnaire correspondra a celle tranftmtse
par la première roue, et une courroie atta-chée a sa
périphérie Indiquera cette forcepar le poids qu'on y attachera pour la gar-der on repos.
373. Invention do Robertpour prouver que
le frottement d'une roue do vo turc n'aug-mente pas avec la vitesse, mais seulement
avec ta charge qu'elle supporte. Un pâtit wa-
gonnot chargé est supporté sur la surface deta grande roue et retté avec un Indicateur
construit au moyen d'un ressort & spiralepour montrer la force nécessaire a maintenirla roue constructrice en repos pendant que la
grande roue ~st en mouvement. 11a été trou-vé que la diftëronce de vitesse no produit pasde variation à l'indicateur; mais une diffé-roneo do charge est indiquée immédiatement.
374. Mouvement d'une pédalo obtenu au
moyen d'une courroie sans un enroutée au-
tour d'un rouleau placé sur ta pédale etautour d'une poulie excentrique catée surl'arbre.
37S. Paire de meules pour presser ou
pour broyer. Les axes sont réunis à l'arbre
vertical et les roues tournent dans un )MOou
auge.
M MOUVMUitfK)t)tCAMtQUÈS.
WOCYMMtMSM)6CM)tÛM!S. '9!!
376. Mouvement produit par te poids d'un
animal essayant de marcher dans l'intérieur
d'une roue. A été employé pour conduire les
roues de bateau et autres au moyen de che-
vaux. Le chien a été auMi employé dans
certaines roues de l'ancien temps pour tour-
ner les vtandes que l'on faisait rôtir a la
broche.
377. Moulin a marches, ustté dans tes pri-
sons de quelques contrées pour faire tra-vaiiter les criminels condamnés aux travaux
forcés, o< pour moudre le grain, etc. tt
tourne par le poids d'une pefsonne mar-
chant sur les échelons de la périphérie de la
roue. On croit que c'est une invention chi-
noise, et olle est employée en Chine pour
étever l'eau pour arroser.
378. Soie pour couper les arbres, mue par
un mouvement de pendule; elle est repré-
sentée sciant un tronc d'arbre.
379 et 380. Appareils perforateurs porta-
tifs. Dans le n° 379. le pied est opposé a ta
mèche, et dans le n* 380 la mèche passe a
tdtvers la vis de pression.1
38t. Joint d'cmboKemont de Bowery,
plan et section transversale. La pièce de bois
a. &une extrémité, ses deux côtés coupés on
biseaux inclinés l'un sur l'autre et taillés en
queue d'hirondotte vers t'Mérieur, a partir
de faréte supérieure, pour recevoir deux
coins destinés &serrer la pièce ou les pièces
de bois pour être rabotées.
389. Support pour miroir, etc., par lequel
une glace ou tout autre chose peut être
élevée, abaissée, tournée~ droite ou à gauche
et variée dans M: inclinaisons. La tige est
ajmtee dans un pied creux et aesnjettte au
moyen d'une vis. La glace est & charnière
sur cette Uge, et une vis est placée & la
charnière pour permettre de la serrer.
Employé, entre autres, pour les appareils
photographiques.
383. Principaux éléments do la machine à
carder le drap. Ils consistent en deux rou-
leaux sur lesquels la laine utée ou le drap est
onrouté, et un cylindre placé entre eux et
ayant sa périphérie formée do sur&CM dou-
ces ou armées de brosses, cardes ou autres
engins, suivant la nature du travail al faire.
Ces étémonts sont employés dans les maohi-
nes servant 4 régler ia chatne des tissus,pour carder la laine et dans beaucoup de
machines fabriquant des étones.
884. Héiioographe ou instrument pour
décrire-des hélices. La petite roulette, en se
mouvant autour du centre Oxo. décrit une
hélice ou spirale en parcourant ia tige ttietée,
et transmet la même figure au papier, sur
lequel un papier & décaiquer est placé, le
côté coloré fixé en bas.
M MOUVfMtRtt'M M6eAtt)(;NM.
xtouv~esTS M~cÀtxouee. 99
388. Moyen employé on Russlo pour fer-mer tes portes. t:n pivot est ajusté et tournedans une crapaudine attachée &)a porte! un
autre est Oxé symétriquement au châssis. En
ouvrant ta porte. les pivots sont rapprochéset te poids est éiové. Le potds ferme la portoon
déprimant)o Joint de la genouillère, do
façon u lui faire prendre une ligne droite, et
augmente ainsi la distance entre les deux
pivots.
386. Echctioptiantopourtibrairie.– Elle
est figurée ouverte, partiellement ouverte et
fermée. Les échelons peuvent pivoter sur les
montants qui sont arrangés pour former une
perche ronde quand t'échetto est fermée; les
échelons se ferment a t'tntértour.
387. Mémo ajustement d'escattors pourdébarcadères dans lesquels le niveau del'eau croit ou décrott. Les marches pivotentd'un coté dans les barres formant les mon-
tants du garde-corps et cette-ct dans h main
courante. Les marches restent horizontalesdans chaque position que i'escaiier prend.
388. Mouvement des machines à raboter, de
Woodworth c'est un rouleau a frottement
doux servant de support, et un rouleau denté
au-dessus.
389. Cric manœuvre par un excentrique,un encliquetage et un rochet. Le rochet su-
périeur sert d'arrêt.
390. Invention pbur convertir un mouve-
ment d'oscillation on un mouvement de rota-tion. La pièce demi-cirouiaire est attachée&un levier qui se moût autour d'un point a,et a ses extrémités sont attachés les boutsde deux courroies C et D, qui tournent au-
tour do deux poulies libres sur l'arbre duvolant B. La courroie C est ouverte et lacourroie D est croisée. Les pouiics ont des
rochets attachés sur olles et qui s'on gentdans des roues dentées Oxées sur t'arBre du
volant. L'n rochet agit sur la roue dentée
quand ta pièce A tourne dans un sens, et
t autre rochet quand ladite pièce tourne dans
l'autre sens; de cette façon, un mouvement
continu de rotation de l'arbre est obtenu.
391. Mouvement alternatif transformé en
mouvement de rotation. Los crémaiiteres à
contrepoids A et A' pivotent ù l'extrémité
d'une t)s;e de piston, et des coutiMeaux a
t'uutre extrémité desdites crémaillères se
meuvent dans des guides fixes ?, de telle
façon qu'une crémaillère agisse sur ia roue
dentée on montant, et l'autre en descendant.Do la sorte, un mouvement de rotation
continu est obtenu. Le levier coude c et leressort d servent à faire passer le bouton do
la cremaiiiere de droite dnns t'angto supé-rieur de ses guides t.
392. Mouvement d'une Mie. L'extrémité
inférieure est reliée &une manivelle, qui la
fait marcher, et l'extrémité supérieure a un
ressort, qui la maintient tendue.
393. Appareil pour potir les lentilles et les
corps do forme sphérique. L'appareil polis-seur est une caiotte spherique reliée
parun
joint ù genouillère a un arbre vertical placéau-dessus du centre du corps a
polir.La
oatottoestpiacéeexcentriquementet.decetto
façon, est forcée d'avoir un mouvement de
rotation indépendant autour do son axe sur
le joint universel, en même temps qu'elle se
meut sur l'axe commun de l'arbre et du corpsa polir. Cela fait que les parties de la surface
de la calotte viennent plusieurs fois en con-
tact avec les mêmes parties de la surface do
la lentillo ou autre corps.
9$ ))KMJVNMM<TS MËCMttQUM.
ttOM'BMMM MËCAMttNM.
M
.I
394. tnvontion brevette en faveur de
C. Parson, pour convertir un mouvementalternatif en mouvement rotatoire; une efé-maitfere sans un ses eûtes tntértours engre-nant avec un pignon ayant deux faces con-
centriques de diamètres dinerents. Em-
ployé on remplacement de la mamveiie. dansles machines à cylindre oscillant.
89S. Robinet ù quatre votes, employé jadisdans les maeMnes à vapeur pour l'admis-sion et ta décharge do la vapeur dans un
cylindre. Les deux positions représentéessont obtenues par un quart de tour du bou-chon. Supposons que -la .vapeur entre & ta
partie supérieure dans la ttguro do dessus,
i'echappcment est a J'extrémité droite du
cylindre, et dans celle de dessous, l'échap-pement est gauche, la vapeur entrant
dans la lumière opposée.
396. Ancre et tovier d'échappement pourmontres, brevetés on faveur de G.-P. Beod.
Le levier est appliqué, combiné avec t'éctMp-pement du chronomètre, de telle sorte quel'Impulsion entière donnée par le batanoterdans une direction est transmise par le
levier, et l'impulsion entière dans une direc-tion
opposée est transmise directement aux
palets du chronomètre, se trouvant ou ne se
trouvant pas en face do la roue d'échappe-ment, mats une fois à chaque impulsion don-
née par iadito roue.
397. Mouvement circulaire changé en
mouvement rectiligne alternatif. Employédans plusieurs machines it coudre pour con-duire la navette. Le même mouvement est
appliqué dans les presses &Jmprimer.
898. Mouvement ctrcutaire continu changé
on mouvement cireutaire alternatif. la came C
étant ta came motrice.
399. Moyen de réparer des chatnes ou de
serrer des chatnos employées comme ten-
deurs ou attaches. L'anneau est tait en deux
parties une extrémité de chacune est iiieteo
l'autre porte un écrou; )a vis de chacune
entre dans un eerou porté par l'autre.
400. Mouvement do pédate (breveté en
faveur d'A.-B. Wiison). employé. dans les
machines à coudre de Wheotor et Wilson,
Sloat, etc. La tige est fourchue et contient
une seconde tige B (portant de petites dents)pivotant dans ladite fourche. La tige B estlevée par la came C en même temps que les
doux tiges sont portées en avant, Un ressort
produit le mouvement do recul et ta tige B
retombe par son propre poids.40i. Mouvement de manivelle breveté de
Brownell, pour obvier aux points morts. La
pression sur la pédale force le coutisseau <4
a se mouvoir en avant avec le bouton jusqu'àce que ce dernier ait passé le point mort;alors le ressort B force le coutisseau contretes arrêts jusqu'à ce qu'il soit de nouveau
appoté A se mouvoir en avant.
408. Echappement pour montre, breveta en
faveur de G.-O. Guernsey. Dans cet échappe-ment, deux roues-batanoiers sont employées,conduites par la môme force motrice, mais
oscillant dans des sens opposés, dans le but
de contrecarrer faction de chaque choc.
Le choc qui aeeéterera le mouvement d'une
roue retardera le mouvement de l'autre.L'ancrée est attachée au levier B, qui portoun secteur denté mi-partie en dedans, mi-
partie en dehors. Chaque partie engrène avec
tes pignons des bainnciers.
HOUVEMtMTS MtCAMQUM.98
MOCYEtttSNTSM&ÛAMQMS. 99
403.OyctoBMphe pour
décrire dM armde eerete
quand Mcentre n'Mt pa)! accmttMe. t) put compotfédo trois réftet! droite La corde et la nectM étantdonnées, tiret te: deux cortex des demi-are!) et
~)ur ce! Urne". places deux dex retttM m erotmntauMmntet. Ftxe! ce)! réffteienxemBte et p)<tce)!Mue
'aveM.7)of)tH!m)PpOnteac)mqueexMtatte de ta corde pour fnt'det't'MMKM. Et) Mt-
mntmoMyo)rce)ut.F), de mmOeretn~M~'er too.joun <m' têt) deu]; extt<m)te)t de )a corde, un crayonpfaeeauMmntetttect'tfat'aftdeeptvte.
<N. Autre eyetoemphe. La <)? flexible mt mo).
Ue )no)as forte aux exMmMes qu'au miMeu f't eueest faite de tette Ocon, que sa M~ce exiëtieureeo~nctde nue un are de cercle qund sa courbureest A MM ptuxnaut .potnt. -tM))! points de l'arcdettxu«t<6tt)))t donxes, )a ref;)«st tendue Terx euxau ntoyen de ta vh, chaque extremtM étant matn.tenue la rectp drone au moyen d'm) pptH routeau.
<Ki. Moyen )tmp)))eue de décrire dm hyt'erboie!leura ~yeri) et )eur<mn)n)ett étant donner suppo-MHMteB courbe:) des deux hypo'botm o);po!iem,taMené verttcate potnmtfe Atantta tfjme aes <byer<.Uneextremtte de ta reKfetourxeautourd'un&yercomme ceatro par lequel pa&M constaNttnent unede eesa)<tes. Une cotde ttant attacttéeatineeptngte[«tttMe à J'autre tbyer, par une extr~mtM, et par
i'autro à Fautre extfenuMde ta re~te, avec autant
telndro~leaommet4uand
la règle colnetde avec ta
lignedes centres. Un crayon, re~te, pendant que cet~esur la corde et le long de!a rAyie,pendant
que cottedernière m meut a parttr de ta ttme des ceatte)!,décrit unedemt.hypM'botP! la rettto est atora ren-YeMte pour t'outre denne.
.euM~leuM~Î.des turralroles;
Jour base. teur hauteur. le loyer et ta directriceétant donnés. PtactS une équerre dont un coté cor-resppnde arec ta directrice; et fautre Mté de t'antttedt-oit avec t'axe, procède:! a~ te crayon commedans te cas précèdent.
<(H. Instrument pour tracer des lignes courbe!.Une barre horimntate avec une ramure a un cou.MsMau M mouvant dedane et portant un boutonpour attacher ta corde, une régie étmttqueenbomest Clée angle droit avec la barre horimntate. Mreeie horiimntate eitt placée de tette mcnn, auo oonM~teMpérieure soit Mr une tiene tmMe. !!a tteteetafitiqueestcourbéfJUMU'aeequeiecotéMpérteurrencontre te MtnmcfdeTare, et unevertteaienax-mnt Mr t'interoecifon des arête! MperteureiTdedeuxrMetfMra tou)ot)r<t tansentea t'are.tje crayonest attaché A ta ré~te nextMe. au point d'attache deM corne.
<tB. tnstrumcMt pour tmcer des tieuef! ~rs unpotntUnaceemibieoo trop Motfme.–t'rtndpatement
emptôyé enoerxpecttve. t~* cote m) btseaa de ta
reme u'acanto et te)!doxdes deux refdes
mobHesdotYent converKer vers te centre te ta pMce dejotnt.K diagramme géométrique indique le moyen de
lacer i'tnetruntent. régie* mobtiei) peuventmrMer des m)K)ea )t)e)!a"ï "Yec ta <<e<t)etm~Mte.A chnqm* ettfemnêttm t)p)e!t potnttHem extrême!)est axée une épingle COMM taquette t)tW)U)e t'))).xtrttMent. M t'0)) w )ieut tmcef les tfgnescottver-ntes Jumu'A t'tnters'otjo)), on peuf tttMier drn!))ttM')) t)t)t'a)Mtmtcenm-)t< ef en <Mansdet'ang)eqtt'eXes forment. 1
«)!). compM proportionnel e)N)t)oy~ pour copterdes dessins mr une échelle donnée, uttM ennMteouptue petXe. Le ptyot dM comttta est nxe dans uncouU'f'etttt()U)mt<t)uxtédMS a M)nufe
tonfdtudt-nate dea bnmchett du eompae, et pou~ntefre ttïexarunepettte v)6.t/)d))))ftM)ont mot pr)MS entreaeux pomtesetteporMeaevec tes atttfM, et. atm),at!ra)td)es ou rapetttBeat dons In proportion dee dts-tances retatt vêt des potntM au ph'ot. Une echeUe esttracée Mf t'une ou )%«)«' hranche, p«u)' )MdX)ue)' laproporttun.
«O. Oattbre MNtoeteur. Des deux Joueo sur tabarre, tttBe ntt nte et t'outre peut ee ntouwtr etêtre rendue nife au atoy<n 't'uae *):. Da))t chaqueJoue mt ajustée une dea deux courtes )tarres d'egatefongueur <<untee par un ptvot ayant une pointepouf tracer. Cette po)t)M est tou)our< au mttteuentre tes deux Joueit, quette <)uemtt teur distance.de tette Mfte'nte, te!t Joue!) etont n![ees aux deuxcttespaM))è)es d'un <o!Me,ce)ut<t peut Atredtvttiéen deux ait Ihlsant vos le calibre d'unbout àen deux eu )Mamt .f0)'a):er te eatntrea'un bout
at'autre. Dee eotNe~ A cotm non para))e)es peuventau~t etMdMeë! de ta )n<me <aton.en Meant con-otamment momvotr une Joue, ahn de toujoum gar'der le contact avcc le eoltde.
<H. Ktvemt pour arpenteur. tt comtete en uncttariot dont [a <om)o mt refttee par un trtattgtetxoeète 4 batte horttontote. La ctrconten'xco dechaque roue eftt egate t la ba<e du trfattftte. Un
pendute, quand t'tmtrument est au)'un torraln de
mveau, parta)t<* ta baee en deux part)<w eNte! etquand itestaurunterraMen pente, tombeadrotteou a (muene du mttfeM.NUYanUe cas. Un tambour,tournant au moyen d'enffrenagH!, enjtrenant aTeoune roue portée par une dm roum du chariot, portesur sa mr~ce une bande de papier sur taqucHetacfayon du pendute trare te pron) correspondant auterrain parcouru. M tambour peut être (Mptace ver-ticatetoent pourconeorder aveouneecheitedonnee,et )tort!ontaten)ent pour'Mrouter te papier.
«C MOOVËMMtSM~~tQUES.
)KM)VE)HMT$ Mi6CAtMm)M. 1Milet mettant l'autre on action au moyen de h
manivelle /?.
4tC. Invention pour aider & passor tea
points morts ia manivelle d'un mouvement
Ii pédalo. Le ressort Miicotdai A a une ten-
danceù Mre mouvoirla manivelle B dans une
direction à angle droit avec les points morts.
4if. Mouvement circulaire continu changéon mouvement rectiiigneaiternatif. L'arbre~.
tournantdansnnecrapaudtneMxo~, estcour-
b6 à l'une de ses extrémité et disposé pourtourner dans ta partie supértoure d'une tige B,dont t'extrémMe intMoure est dans un creux
du gtisseur C.Les Hgnes potnUUees montrent
la posttton de la tige B et du gtissour quandl'arbre a <att une demi-révolution a partir de
la position indiquée en lignes pleines.418. Mouvement de tiroir de Buchanan et
RiKhtor. Le tiroir est attache &t'extremite
tnMrioured'unetigeBetpeutgttsMrhorizon-taiement euria tabte du tiroir. L'oxtfémitesu-
périeure de la tige B porte un pivot pouvant
gtisNer dans un erainure verticate, et un cou-
nsseauC~ttaché&ta tige glisse dansun secteur
suspendu D. Cet arranxement a pour but d'em-
pêcher que te tirotrneMittropfortementpres-s6 contro ta table par unotrop grande pression
do vapeur, et do diminuer ainsi son frottement.
419. Mouvement circulaire continu trans-
formé en un mouvement de balançoire. Em-
ployé dans les berceaux se balançant d'eux-
mêmes. Une roue A tourne et est reliée à
une roue B de plus grand rayon, & taqueUeelle communique un mouvement de va-et-
vient la roue B est reliée à deux bandes
flexibles Cet D, qui sont attachées chacune a
un montant fixe au berceur E du berceau.
480. Arrangementde marteaupoursonner.
Un reasort sous le marteau 1 élève et fait
au'ii no touche plus a la cioche après avoir
frappé de cette façon, it ne vibre pas avec
temetatdeiactoche.
41S. Kouugo d'un cabestan. Ainsi
arrangé, le cabestan peut être employécomme machine simple ou composée, de
force simple ou triple. La manivelle et te
tambour tournent indépendamment. La pre-mière, étant ttxée sur un axe, tourne et peutactionner directement te tambour quand on
l'embraye, et produit ainsi un elfort simpio;mais quand tes rouages sont embrayés, le
tambour tourne en sens contraire avec une
vitesse trois fois plus grande.413. Roues de friction de J. HoWiett. Per-
fectionnement apporté au n" 45. La roue su-
périeure monu'ée en eoupe.-ost composée
d'undisqueencaoutchoudawctesbordsenet serrés entre deux plaques de métal. En ser-
rant l'éerou B, qut rapproche les parties l'une
contre l'autro, Je disque en caoutchouc s'al-
longe suivant son diamètre, et un plus grandfrottement peut être obtenu entre les deux
roues.
414. Roue d'engrenage en spirale et pl-gnon glissant sur son axe, pour produire un
accroissement de vitesse du plateau A dans
une direction et une vitesse décroissante
quand le mouvement est renversé. Le pi-
gnon B se meut sur un manchon sur l'arbre.
4iS. Invention P. Dickson, pour convertir
un mouvement de va~-vient on un mouve-
ment circulaire Intermittent dans l'une ou
t'autredirection.Unmouvementdo va-et-vient
est communiqué au levier A, qui est pourvude deux rochets B et C, à charnières, sur sa
partie supérieure près de l'axe de ta roue D.
Une petite manivelle E, placée sur la partie
supérieure du levier A, est attachée par une
corde à chacun des rochets, de teiîe sorte
que, lorsque le roehot Cest mis en contact
avec l'intérieur de la roue D, le mouvement
a lieu dans une direction et le roohet B n'agit
plus. Le mouvement de la roue peut être
renversé en levant le rochet C, qui agissait,
i0!: MOUVEMENTSMÉCANtQtJES.
HOOVNMMTSMËCANtQUM. iOS
<tt. MaehtneaR)U)fcau,emp)oy&)dM)M la marine.Au ptsttxt te trouve attaché un manchon m ter, A
t'extremttetmaneuredu'tueteitt feUec dXectement
tabteOeaveeteptstou. Le mauchon <!<:meut dansune boite a Moupeij au haut du cyMndre. M suMaoode la parttesuperteurc du pMton est grandementrtdmte par te maltctlon. PONr~attMr la preiHttonsur les deux face!: du piston, on a premièrementemployé ta) tMMtttft praKtotw Mr la partlo ttupe.rteM)~ et la vapeurddétente ëtattemptoyee daM la
parttetnMt'fettMducyttNdre.
<!<- Piston oscillant, -Le proftl du cylindre a a laforme d'un secteur. Le piston B est porte par unarbre C, et ta vapeur est admise dam Io eyttndfepour agir sur l'ano et l'autre 9%«-dttpletmalternit-pourN~rtur)')meeH'<tHtM<acedKphto)tatterna.ttwnMn t au moyen du Urotr abtotmnettt commedaM les toacM~ ot-dtnatres. L'arbM est relié àune manivelle pour tratMUMttre le moutement derohtHon.
«&M<Mth)neadouNeqttadt'aMbroMtêe en faveurde Boot. Mme principe que le n* <!<! mats deux
fttmpKo pMoM a~siant B, ttont emptoyea, et l'unetrautresotit reliés a une manivelle B. t~ vapeurest admise et aett sur tes parties extérieures desdeux pistons atternattvetoent au moyen d'une valved'introduction a, et est expulsée par t'espace entretes pMons. Les ptstonaet la tnantwUesontatTang&ide telle façon, que la vapeur aeitise sur chaque pistondurant environ deux tteM de ta révolution de tamanivelle, et, atM), M «'y a pas de point mort.
<M. MaehtneaptstoacaH-eadouMeettbt.deRoohLe cynadre A de cette machine est de l'orme teetan.tutatte et contient deux pistons 8 et C< le premierse mouvant hortMntatement et le demter se mou-vant verMcatementdanstepremter.Leptston C estM))eaveo]e))outo)) « de la MMtMite sur i'arbre&.t<s )umteKa< pour )'a<t)n)sfHon de la vapeur aoûtmontttes en notr. t~ deux ptstotm produloent tarotation de la mantvettc sans point mort.
<a.UtMdesfMn)esde)amaoh)ne& rotatton A estle cylindre ayant t'arbrc qui te tratWM suivant
SOtt axe. Le ptotOM Cest fthnptomeut ttt) excenthquecalé sur t'arbre et en contact en un potut avec le
cyttndre. L'adXMNtton et t'éetmppement de la vapeurse tont comme Il est tndtque par )m aeches, et lapremton de la vapeur sur un cote du ptston produtt ttarotatton do eeM-ct; et, par conaequettt, celle dol'arbre. lA ttxe B, ({"mant entre les lumterM <)'<m.m)N!ton et tt'eettappemeBt, Mmoate pour tatwrtournor le ptoton.
< Autre forme d'ttne nmeMtte rotative, danstaqtteUe))yadeuïrenftetnent!)~,j9datt)!)ecyUt)dfe.Dans b but de les mettre d même de pâmer ceft ren-
dements, les doux pistons A, A peuvent etiMer sm-vanttedtamAtredanxftes t'ambre!) prattqaeesdao')tedXqueOcate Mr t'arbre principal B. La vapeuragit xur tttn ou t'autre p~ton d h) Mx et produtt t larotation du dt~ae et de t'arbre. ï.'admtMfon et
l'échappement sont Indiqués par des Oecheft.
<t7. Autre machtHe rotative datN laquelle t'arbrese meut excentrfqNetneat à t'axe du cylindre. Lex
piston: A, A peuvent e'tsMr dans doit rainures du
disque C, qut est coucetttrtquc avec t'arbrej mats Ilssont tomoum ptacas ituttaot ieit myottode ta eeeUondu eyUMtre, car Ils sont mitMtenm) ainsi par desanneaux (montre') en pohttttte) ojuetea au disquedans te cylindre, i~s pMOM ~tment dans dm
gateht a, a daM le disque C.
<N. Machine rotative en caoutchouc, daM la.
quette te eyttndmatttto bande nextMe F en caout.
ottoue, et tes routeauï A, A sont mb<Utue!< aux ph.tons! te~dtta rouleaux sont attachés d des bras del'arbre prtnctpat B. t~t vapeur agit entre le caout-cttouoet la parot du cyHndre. presM )e caoutchoucMtr tes rouleaux, et force eoux-c) a m mouvoirautour du eytMre et a tttre tourner t'arbM.
«).MnehtMe rotative efHpUque brevetée de HoUy.Les deux pistons etttpttques en~H-nant l'un avec
l'autre, sont xomt'acHon de la vapeur, qui arriveentre eux, de telle taeon qu'ette produtt tour rota.Mon daao des dtreeHons opposeei. ces maetHnes
rotaUve~peuvantetreconverHesen pompes.
tMtfVMNCM MËCAtHQUtS.<M
MOUVEMENTS HÉCAtttQUBS. iM11
-1
<
430. Roue hydrautiquo ù courant supé-rieur.
431. Rouo hydraulique & t-ourant tnfe-
rieur.
43S. Roue attaquée parle cOté.–Sortd'in-
termedtaire ontro )M roues à courant sup~-t'teur et celles a courant Inférieur, Elle a
des palettes comme tes premières, mais les
cavités existant entre elles sont converties
on augets qut se meuvent daM un ennai con-
strutt suivant la circonférence de la roue etaussi large que cette-ct; l'eau entre dans la
roue a peu près au niveau do t'axe.
433. Roue hydrauttque hot-bontate ù cou-
rant supérieur.
434. Vue en plan de la turbine do Four-
neymn. Au centre sont des cloisons curvi-
lignes A, on certain nombre, qui dirigentl'eau contre los augets de l'extérieur de la
rouo B, qui tourne, et l'oau s'écoute par la
circonférence.
438. Vue en plan de la turbine a décharge
ccntrate doWarren.– Les guides a sont exté.
rieurs, et lu roue b se meut tntArieuromoxt,jéversant l'eau au contre.
439. Turbine Jom'at. Los cloisons
sont disposées sur ta partie extérieure d'un
tambour, suivant les rayons partant'd'un con-
rc commun et ~tationnaire dans la eaisso b.La roue c est fatto ù peu près do la n)6me fa-
?on. Les augots sont en nombre plus grand
tue ceux du couvoroto et sont Inclinés, au
lieu d'6tro suivant les rayons; lu courbe géné-'atoment employée est une cycMdc ou une
Mfaboto.
437. Roue on volute, ayant des vannes
'adiates « contre lesquclles t'oau vient frap-Mr et~it atMi tourner la roue. Le canal on
rotute b conduit l'eau de totte &con, qu'otio
tgtsM contre les vannes dans tout le pour-ourdeta roue. Par l'addition des aitiottcs
notintes c au milieu, l'eau est obligéo d'agirtveo une augmentation do force quand elle
s'on va par les ouvertures desdites ailettes.
438. Moulin à réaction de Burker. Un
mouvement de rotation do l'arbre central est
)btona par la réaction de t'eau s'échappanttux extrémités des bras. la rotation a lieu
tans un sons oppose a celui de t'ecnappe-nent.
MO MOUVBME!<TS t~CAMQMN.
MOttVBMMtM HËC*tMQt)M. MT
4tt. CMmthMt t'm tM<tM<nmt <)«tMt)f en moyen
~'«M otttm'me mmMew.ptt )1tt«rm«Mtt t'xm Mh<
qui t'otttn) <m. le fe~dx Mttt quand MM-<) tmxtm )t
Mt.et.ptrtt, <rMt)e tMt),<)))tMttMt<<<)< nm~tt par
t'mttett d'un MMtttffeHttHMM t rentre mtttmtHd'tM'
mtje pHtMt mr une pte))t.
4M. Ait))* Nthf* ttmMmn)M<mt te <tm ftrtiM <);<tht
et mppeftft mf at) Me )<M vit <M<t)t. t.* etmt< <t')mt «)))-
p))Mtet xe tAM, )< btt n) )M)M mf Km tM, et, M mttttt
«Mt«)t)'i) tUtt~K rMtt,t< le o4td t)<)«<t< tt tt<xtT< mM b
oeBttttt tt « ttmpM'. 0<)))M,t M« tour, tttt cmotM )o ptt-
mier. )!Mp)ty< <hM ht emptmM hydrauliques.
«). Roue (wt«tM t)tttfh<t<t <)<M les <mttt<« whnmM
pour )')ft)t<ttM. H ]r < m arbre etmt « due t)MtM oui-
it))))«< aux Mtt~m)t<' <<t<[<ttH« saut mtfm~m <« <«M.
t* roue <tt, M )t<t(M<,o)b)Mt)t<t dmt un oounot t~tMot
t«t la <Mt(tM ewtom <M «ibttM. t)< cette tt~eo, la mue oit
fon!<<t dt tourner. OotMtMtX qtMttM fMM est <)tir<t t
chaque )r<tohMM) dont les ailes et <<nn<t <mt t'Mbm
et«t)t, te mtott t«ep* que t'm <tt ttont ttmpM ~'Mx
arrive t mt tifm)) supérieur, et )) est t)d< « Mmet m
<X«ttMt ttM an t*qt)tttM?)M< t M.Mtmit toNTMtbb.
44!. )t«)MM,<)'m)tt)M)t!«!)mM,<atfht<tMf la tMtm
M<Mh, d<at le TyM)t pour etwTM font. Ça courant tMhtttMt
« <<xtt~a toettïe«Mt! ht <W)t)t sur « p<ti))Mt)< Mtt
<tMttM)*o<)mt (tt)e«t()<<, remplie et tHft <tM we MMt
ttt~tMttt de courant.
44!. Afp))M))w de )< *)<<)<)<)<)«<<< pour 0<Mt t'tM,
te courant «Mt h foM< oomm. t-tn oblique tt nm
te«Mtt« un ttttXM t)ttM)t, ')M)t )'Mtt<«)M htttfMttt est
)<to<tt<e dtM t'Mtt. Le «enot, <;)«<«< mr )* mm t a
partie ttttMMtt, ))m<«H <* ~«tttMm, par t«)m))< fttM «t
etftMiM MttMatMtttftOtt t tM*en )* txt< M <())«)<, et
<MMM<< t )< jtM)!< mp<t)mm.
4M. Délier t.j~n.t.t~M de t)e.))).)ttr.- «M t.W.tl.ut.
<)tttt tttOtt )xm~ 0<w <M jtt t une ))"<t<)e hauteur mt <ttw.
airaae quaolitb d'esu M e)*mu mpfrhxt. tt f<)M du
droite étant <M)«t«MM <<)'<«< ftt m )«tM< m en to.Mtt,
h MWtMtt couture troren )< Mot) <tM la ditMtMoo de h
M<))Mt),t)MMj<MMhMt,Ttt<Mnt)tr<<j<tM«<)tjMMt<Xt<ttressort et nftnmm )t MN~pe. tttt de )« hnatton de cette
ttttt, le <Mt)tn<t)t agit tor t'tutM mtjx~. t'ftttvn et ))H)<H<
MtftMe'tM d'Mtt <h)tt te ohembM t air. t.'t)t tmxptht<
force )'M« de mMt par )'<))«))< p)ext<*at <tm )t ottm.tM
t ttt. t)<m la )nM)t)o<) d'~ttMbM, le ntr* d. d~tto ttt ou.
'MX et celle de tte<A< formée. *)~ par t'MMox <)ttt.
MUtt <h. Y.)Mt, NM <)M"HM <'«* Mt <)tt<t <t.t, ).
ohmtttnt donttt t <)t<M)tM t<H)', <t )'<)M)MM ))e t'ttr dont
là
chambre à *et à chaque mp, et léfutivité de I*air doue
<<)'~f.mM.t.J.t.
<4t tt <M. Colonne oMMtxt.tt do dlicte) pour élevés «M
jMtthd'ttm chute d'Mtt ttttt ettmtt m~rtmt M 0)0~
<)'UM tMth)M <tMt t0t)«t h. p.rttM .Mt .tt~MMOt ttM.
)iH< tomttte m un tube t ouverture ttMitt, f)M< un ))<-).
et qui «< <!<.Btt<«t!)Mtt rempli d'm<), et on )M))ttttb< pho<
m btt,<tt et«tM)Mt M p).)ttn tttMxhtn) «m<mtt)t<m Mtt
)<<<«) t'orn du tube mpMw t<«tte.&. ptmttttet t t'MN
<« tomhtf. comme cela <<) <tm< ~m te tf «t, U M forme
tfMtmttttMet un c&M tttf le (tttt«)t etM<th)M, ttmi qH'i)il
ut m)~M M e' «9, ~.t qui ~«tt ~M )t petit tube un
<Mt<)< eM))<e))Mt t'omt de tomber. t.'Mt <MiM<tt n~tt.
Mmmut, le <t(T<t<t <Mt le wm~t mf~hM t'Otït
Jo~t'* ee tM )t <tM de phtme <tMttb!M permette t
t'MN <x t'<M<t)M. COto action est M«et)t<)<* pfHefittM.
ment tt M trouve t<t)<« pu h) réaue de t'OtN.
«!. a'ttttte <<tMMM au bateau <t'tMn rire <t'<tt< t)«tM
t t'oMx, <!<Momm<mmt tmptt]~ Mf )< «Mo, <h).–
Obtenu par t'tCtiOM du courant <M ))t <MttMMM,
feHo )e bttMtt .n tmTM) du courant <u)M)t< un tm <t
vomit dont ht Mtttte cet rtxcM, qet txtpttte h httMMt <t
descendre MM tt courant.
<oa MOMVKWHtm MÊCAmeoEs.
MOUVBMKKT8 M<!CAK)Qt)BS.
<«. t«tt))XM)))<MBt.<.nHMtt<). e.M t'tMM~M <t<
phtm, t< MHjMjM )oMt)o)n t'mm, et celle <.M b ptttm M
f*H)t<t )'<)t Mt m.<M dMt le Mf)t< ))< pompe, «t t'Mtt
t'Otre pmf sortir par jt M~– 6.m la <<M<)!)Ht<tt p).t<m,
la «)t))Mj)t ieMftottM Mt (tnt)<<), ot sous fM. la pistou
MWr'tt t'Me parro .)atp)«Mt)t t tMtmtt ~<to<t. t'été
qui M trouve tt~<MM du pistou est <bTt'e et .'<«..). t
e)t«)MW)())<t jMtM)X) Ct)t< (M. M jMet élever lots
qt'ttMt)MpM«feh.ttttm.
«t. Xojrm ttt«<en.e <)'<bMr t'ma. Ottt< pompe eptM
<h h t<t<tm htox que <Mt le mt )tt~<))<ttt, Mof que le tige
<)« )Mttm )MMt t travers ttM Mtt t )mtr. et rtM«< Mt
f<m<< par M .).jMt .'MttMt du <edM< au ~)Mn. t'Mtt
)m)t «M <ht<t i n'importe quelle ttMtmr M-<tMm. d.
M'hpomp..
4M. )~)ap< m<MMttM MM dext «?))<)«. )< Mt~ cy.
))t<tt~tM MtMt-~n.tt. do t'Mt) et <M)t)Mt Oa pittMt )))«)?) i
<tMMtp.jH ferme )« tay.). de MbohmMt et MM) Mtn
&fXM )t 'NjfM <)'«tt)MtM<t. Qmd to j,)tt<<n K Mï.. t. Mtt.
ff~ <t'M)<)tttio)t Mt OMMtttt t'Ottt t't)<M dans lecorps
'ttMt~at, le Mt))t)w de MtM< «Mt bntt<< A la d.Mmte
du f<)t<OB, la mojMtt <t'mp)m<fMt M bnm et )'<M Nt ebMt<<
df p<M<ft tn)Y<Mt<Mt)p*tM de M~o t dimporte <))M)hdh~MM mt qtmt!e auteur.
M). P<mpt )))m f~h), MMbhb). t b prt~bnt.TM
)'*Mt)M d'mt ot*a<bt<e t <)t «t HtftN de Mftttthmet,
jMttt )<t«<tt)M <t!t «mmet eotttfm. tt Mtttt de )t ottttobM <
t)r mt ind4tt& deux p)M«, <~«ft )'<*« peut <tm j<t)M.
Mt «t tOttp~'té pMxhnt )t<N<!tttte <)t pttt0!t tt M «t«t<
m) )<M<Me< mf )'<*« MttMM< dans la etoehn) pto~xt
t*t«!<Mt!e)t du phton.
<M. tm))xit.)«ttMe <)&t. aile M.t).t< m M <~)MM
f<nt)< t ttftm Mtt<<atM et ttm ))))< de jthtm pmMnt t tm-
Mn )m< Mtt i h<ttM<e< t mt MttMM: b ~)MM
<;mtn mtMUttM f<t<e<M )?)-<« o)t))tt.tdt«t )x.ar M.
tXttttM) <t )'m<t et <tmt peur le mfeetttmat. Aait un tt~
d'M)<httt<m.t h tttfm de n~utmwt. QMm) tt~ttm
<t<Mm<, )'«') t'Otte Jtt~tt't h Mtiptpt a'np<nMo.t 1, t le
partie supérieure du cylindre, et M))o eo <MM'M<)t) ttttm
est eMtt<t de ptMt t tr~m la Mtw 8 et le Htjtm de ~0)~.
tHHMt N.Nh) ptttm NtOtth, t'ttt pttM)t*t )0 ottjx) <)t
MfeutmMot 4, t )< partie Mp<ttmM du cylindre, et entre
M ber parle b oh~t d'Mpjmttm
<N. Pompe ~ubh MHMtt. -.Qmxd un tmfXtt «t <<-
tendu par te)eY)w, MtMtttt<M it.MttMmmmt et t'.M
p«M <M< le t<t)f«tt fMjttf.Mott jMt)tttm))Uf le ')<)<) «X
m~m ittopt, r<)ttm m)t))« est to«)ft)<tt< <t Mj)<t)M son
contenu par t~x de <M<)«<t<. t.M chp))). tntmtXmt de
)< m<tM h~tt que ~m te pompe e~Mitt.
<M. ~tt)*). <t!t()ttttttm. Me Otphn~mt OMtMtMt
««).tejt< M lieu <h MuNot et ht soupapes Mttt d!tjw<Mh masse <tto<t qM ct-~Mtm.
<M. tMMt pM.f< Mt*tt)m. t'mt'<ttttm )t.M[bon)
Mtt t r<M)tt<t de ftM et )'N).tM<a<e .ttpMmr.. M <Mt)t.
t" ptttte <M.)rtb ro mmt tïte <M MttM dont )« )<c~.
t'tdtpttM pMtttMtMOt t h mrf.<. intérieure du o~Mn.
<««)<)< me!t<M dtt)< la t' MMmre da cylindre ma
Mt<t ~.thf t hrmm)M T.tw quand elles atteignent M
p.t.
450. Pompe MtttofM de C<rt. BoM to cylindre «M M
trouve tm tambour BNbMe N <t< 4 un arbre une MM)' a
M) tmtti e<d<< mf cet MbM. ))« <o)tr du ttmtotr ft)t tjMmt
)<. deux~M
C C et leur oblige M mouvoir Mt~t )«
aMNTMMttt t. h MtM. t'Ottt tOtte et M) <.p)))<<t ptr lu
<MtMthtM. t tt V. t<t OtMthtM dont tad~uOrn par <M M.
«))«. h mtot cet M-n.t<<<. de telle f'tett, que .h<~ p).)MMt mm!Mt)nMtttftM<<)tMMt<Mt quand t'mtMMteM~
<<<M mmtvottM-tm t. partie hM~uft du cylindre, et tie<)
t'OMttt tottj.ttft )MtM<<t~.M )t conduit Il, uadir qm ht
tN~N ))'p)M)i.t), ftt remplit.
MOUYEMBKT8HÉCAN)C!)M.iiO
HOCVEMBST8 MÉÇAtOOCES. <H
1
4Sf. Moyen ordinaire d'élever t'eau horsd'un puits de peu Oc profondeur. tt y a un
contrepoids égat &environ lu moitié du poidsdestin à ~tro levé, de telle sorte que le seautend a s'abaisser quand it est vide. Le con-
trepoids aide a l'élever quand )) est plein.4S8. Poulie ordinaire et Maux pour
~evor l'eau. Le seau vide est ahatN~ pour~oYcr ce!u) qui eet ptetn.
4{i9. Ëtévation atternathe pur des rouée.La parUe supérieure représente une roue tt
vont ca)co sur un arbre portant une vis sans
On. disposée de tetie façon, qu'un petit mou-
vement à droite ou & gaucho lui permetted'ag!r séparément sur l'une ou t'autro )'ouodentée. Derrière les roues dentées sont des
poulies sur lesquelles passe la corde qui
porto les seaux ù chaque extrémité. AumHtcu est un taquet osdOant contre lequelles seaux viennent butter pendant leur as-cension et qui, au moyen do chcviiies placéesdans un manchon qui supporte l'arbre et lavis sans (tn. fait aller cett<Mi d'une roue d
l'autre, de totte sorte que le seau vidé estabaissé et l'autre étove.
460. Vase d'épuisement de Fairboirn, pourélever i'oau & de petites hauteurs. L'auge estreliée par une petite bielle au balancier d'unemachine n stmpte oflbt. La hauteur d'élévation
peut être variée en plaçant l'extrémité do labielle dans tes dents do la crémaillère mon-trée dans la Ogure.
46i. Gouttières oscillantes pour éleveri'eau par le mouvement d'osefttatton. Les ex-trémités inférieures sont des pochettes ettes extrémités supérieures sont des tubes ou-verts. Les réunions intermédiaires des tubeset des godets sont fennecs au moyen do
clapets, chacun correspondant & deux bran-ches de tube.
462. Potupeacbatae. élevant t'ouu par un
mouvement circulaire continu. Ce sont des
disques en bois ou en métat, porter par une
chame sans On et qui sont ajusta &un corps
cytindriquo pour former, au moyende celui-
ci, une série do seaux remplis d'eau, La for-
ce motrice est appliquée &une roue Mla par-tfe supérieure.
403. Ëctuses. Doux portes tournent sur
des pivots. La partie supérieure est pluslurge
quo l'intérieure et tourne dana la direction
(fu eourant. tandis que t'tnferteure tourne
contre eetut-ct. L'arête supérieure de ta porteinférieure recouvre t'arme inK'rteuro de la
porto BupéHouro et est maintenue contre oJte
par la pression do t'eau. Dans t'ctat normaldu courant, des pressions contraires tuain-tiennent les portes verticates et fermées.
comme ft est Indiqué dans la figure de
gauche; l'eau s'écoute a travers une fonte
dans la porte supérieure. Nais. t'eau s'éievant
&un niveau supérieur, la pression se fait sur
la plus grande surface, et la porto supérieures'ouvre en poussant l'intérieure et en livrant
ainsi passage a l'eau.
464. Fontaine de Héron. t/eau, étant
versée dans le bassin supérieur, descend parun tube &droite dans le bassin inférieur. Unbassin intermédiaire est aussi rempli,-et, on
versant l'eau dans le bassin supérieur t'atr
qui remplit les vides est comprimé, car le
bassin intermédiaire est en communication
avec le bassin intérieur par un tube à coucheet it en résutte un jet d'eau par le tube con-
trat.
46B. Pompe &balancier. Les deux pom-
pes fonctionnent alternativement par l'inter-
médiairo d'une personne pressant tour à tour
aux deux extrémités d'un balancier.
tM tMUVNtENMMÉCANtQUN.
MOUVMUNttS )H6cAN)(!t;E8. «s
<M. fMMt bfdttu~M. t'Mtt est eonpt)m<<, par la
)tt))tM,m )!tMMtt tt<M« )e petit tubo.dtat )< grand
etOmin MM le jtMm plein, tt ))««* watM MM~. t«
<t'K< obtmm est jMtwMemtttt tm tttftcM nhUïMeo
mMtt<dMd)<ttt4M<f))p)<tmt <b)<poN)M ot du ttMMt
ytttae. tttjtjxxoM que b pMm de la pompe <)t ux
pOttM de Omtétto et h tttMt fttMO M )MN<Mt < h RMt)"))
M<m )w )< phtotttmMO M< la pnt'im <)«M<< mr le
fi'tea jttontmt,
W. Crie ttjfdt.u~tm de MxtttMt). ))M. <!thM. tt
Fiston «t thé Mt un «eb t la ptftto tefentUM, et (t
cylindre p«tt<ttt MpMdeMettt attend mt lui. h pompe
~m~ )'«a t la partie htMmM et la feree t )MM<r <)<m le
cylindre MMxh)tt<ttmMttm~e qui tmv<'tM)e phtoo, ttt
~ttn<n est, par M, <.H)t< de t'fbMr. ). partie ttMmr t
<)wt)))rmt,)) )< «M Mej<t)MmmM<t«e)Mtr)tMth,f<'Nr e
MtMtMH~t'Mtt et faite <t<M<t<M le c~indrn *Mt) tm.
<mtb<M«< tjttU est a<M<mitt.
<M. Conduite tt'MN <htth)t. ))<«. t~ttt de )t t Mpen-CM de th~tre htt<t)<!ttrt ayant b<tn jetait «!«<! f«m<<,M<X)t)i«et l'eau de la Otjf)* Mt XtMMMt hydrauliques de
ehtww. Les <<tyMt «mt Mtttjttth t des ehMt solides 'yoat
dM ohtntttmt ~fotthottMBttat. <.«"MtMt et les
ttt~Wt ft)n<))t ptm<<tMmttb .M le etM <<t<)de la HïMm, t
fMtttmM ttm~ fut )tt)!mtt<t. tt t Mttt Mp!t*')<'o Par Nat
<Mch)Mt'mf<) *M)'<t)ttt tiM,tt httnMttttt 0<tt)b)t ~<
'ttyttft tt MoteU pntpfM t txttM le ~m).
«)9. h*mtt«a <He~M pour obtenir ot tXMTexxot deNMfoo provenant de h dtfMmtM de tmtp<n)ttM d< dm*
))<)tt)dM. tmi t<!<wm)M MttMwttmt de t'm<) dont rolui de
tMt'tt,t)«««t<Mhm<tBUMiMt*td*M <xMd*dTe)<e, t
«m tm)p<Mt«M p)m <)<r<<. Dans celui de dm!n M) âne
tMMm))mt«<t«YMt)M<r))d'*MMmtdt p)«<e dtMmtttt 1
de )ttMht. De )* tjttx <p)t«b de ro d<n)i*r pot M 'ttifM
qui ttMXM ptt-d<)M)K et )tMM de fMtM côté 'Ottt )t tous. Le
mM)t)M<'t«he M ttM«re«M<tt par la v)' tMnxot d<Mune <))Het)<m opjMtte t celle )Nttr 0<r<r fM* *)'"). <<a-
)tt)tMMtqo!mM))t)« d<Mhte)<e<t)m))t)tM)ettx)))Tmt*nt
thmttt.tMtohtW '«)jn'm)*«t MM ht e))M)t<t)Mat de
t««)~t<tttm, h MMMttt est tMiaMtNt m m<mYem*"t.
)hM M)totMOB<mM))n<)<f)<t)tdttf)«td< MMtmmmcttt
)* d))MK«« de Ktt~tttOtt pMT*)t <tM «Mte~tM.
<M. thtttttt t Ttjmtr. )< <)r)txdnt Mt tt~ <t)-4<n<t< e t
le MtttMm attaché t )'«tt<tt)M Inférieure de << tige da
;t)<tM. tt ttftw, «Mt tXenttXTMMttt tdtttttt MtM le fhtm
et pouvant m <<t))t(t))<)f, <MM le «MMro, qo) n)tmM)x par
m* propre poids.
<!t. JttttMtt «t~Ott<Mt)<t<M<e XttchUM.– tt hrtttti*'
moule <)t )'*)t MMtj)[tm< La MX<t<t mMtMX C ait t)t«h<t t
tM pht0!t ~mtë t m o~MadM f, qut Mt n)« par une tige 0 <
une mt))iM))t Mr )'*rbn oMnah <««)< ht oy)Mte tmxt*,
t'ttt mtrt par <, «t ow<ttpt)<))< Mm h Fiston tt «M )<«*
t'Mt.Qmo~ )tt!y)fmtr< <hM<t<, l'air mtnet par b trac <
cet <!<«)))tt)t<t< et t'tmxmtth jMr jtmtntn h) et<M par M
4<t$Mte,tp~«jtiN t< tMMiweOt et t< tige cet tOMrn< tuteur
da rMtM.
<n. thtte'tt t <M)t)W)t<< <e OfbMtttW. t~ tête <<<M tft'M« Mt *ttteM< t un jttttox .),<)))) M "MOt <tm tttt
ejttMMNt)"" lequel Mt<x)~n<)<,Mt)tntt la T'pttit <tM
MM tttM)t)tt<,P«' XMtttMXn eu MfMMt, M-<MMKt <*
<)tMWM du phtoa. h'ttf ttt fMrMt par ua rtMtvott C dam
le Mti, rempli au mo)rt« <*<tM pompe t tir D mtM par une
nM)tt*<))< p)Mfe Mt )'M)<M OM<<t)tt'.
4?S. ~ntptàMfJteetMttwttea~mpte.–Un~Mtttf~Mf"
vair cet Mtt~<n< <)<M ua plus ~Ma~. Ce d<nti<~ e'MtMwt de
)'mttJtttqu't)tM)[mjX)t«t!)t<tMtf<t)Mm.)))tttt)~M'<Mtt<a
p<t~ peae NMOttatM du CMU< t<Mt<f~f et t'Mt<~t~<M~<M<
pMM«ta<jo«u< dn <t!vMU de l'eau. ~'UMTt~MM Mj~fieaM
Mt fanage par w<t et<p<t t'eavMat <ie bas M h~et. be )~<
to)r<<t)'Mm)t ttt muai d'un bout de tube e~<tt Mnt un
ehp*t <'Mtm)tt de ))M M ))mt, et ait tmp«t<t< par <Mcordes ttA). M<t..QMM'' la t<MtM)t supérieur <Me.
une ))Me<e partie de )''it t cootmtt Mt MpuM j«t )*
eh~et Mp<vtw*tt de Mttw ~M, toM)e*M Mmuate, t< n)~*factice oblige le BMM l'air à ttmtM par b ottpot htMmr.
0<ttt pompe Mt <!«jtb~t*M ))<*«< <)tettt)M)tttMtM)M
)'<Mt<<< «th~~M fmt puits h~< et )wf«))<.
<M. Mp)b ou j<«tj-M t MpMt de Mm, <Mer)t par
H'iMt MbModth )t0 tue *net ~C. et Mt<r<<) ttXtxtC.
t~at comme la pMNtitM «MoMMA vo~Ott. Nn fMe Inférieur
uM th«M)Mfw, t~t~Mttt deux to~M eeadattMt !< Mptw dM<
un t<«tre)f tptt~~tM. CM tubes forment ner Mf te~wh
ledit WMMftf tpMM dttM !< direction du Mettes par
t'echejtpMMat de )< vopwf t tMWOn an cMtaJn MomhM de
bras cmrM.. ~MUmtM <).tm le .ottM pr)m))K que )t
aMtttttt de BMtw, J<tt)t ttt. 4M.
114 MOUVEMENTS MËCAMQUE9.
MOt)VR))t{ST8M~CAXtUUKS. M5
t~Mf. La ))tt<t)m Mt f<t()t m<)"t)tt!)t mus )M)d< C. C e"
MMMttTMt.
4t. *<)"* t<j!t<t te ftmmt'M. --t* <!b<-)x) m< [xM<*
junte tube Metmt a, qui «MM sur un «ht «M t d*M )'tM
de t)* ew~e.
40. Compteur t tM ht<)mth<)ttt. La MitM OM A M<
Mmj))t< <t'MX JHt~M't'WXtMM <tt MX contre. <.t tambour
tmtMet t )')ntMemt oui <ttïM en qmttt Mttpt~tmMt*
N, e, MM <h. m't<f autour da ttt~tt a. qui ttttNdttttmt
tM 4&» )'ttM <« MWta tambour. Ce ttt)r*t< «t disposé
)t<mt admettre le ttt m~tMXtfe t'Mtt. ")'") <(tM l'indique
h M<')m )')<M<< pt*' <" Mtttn do h «tUM. Comme k t"
<mb<t MtMHtitmmmt <hM tn MmjXtttmmX ? N. n dit
te~M le tambour <'M la dimttM <'<- h CMt. tnmtt<*
)M*t dt un p<ttftt'm. <t<p!tt<nt t'mx de chot)") 'TM*.
Qmxd tM MmjMrMtttMtt ttpttttnt, )h M ttotptbttttt de
ttex'Mt) <*««. t* tM'MMm de <<)tt<tM Mmptfttmmt
tt<to) MMtm *t b mmh* de )rt<e)'tM*)« dtt tmhottt étant
d<m)< par un MtopMttt, la 'jMBtM de ftMMt Mt
tittttXtt tttMtMt.
<M. B~tthtmr x ttt tP"w<r'< jMttttt) p<mt ~tw )*
<).<Mbt)Mm du )jm t tous ht )<«M d'mt tmim ox d'at
<~))Mtmnmt,m dtpitdtt vttttthtM d< pwMhtt Mdft w)*-
tiM} produites par Mwmtet d'ttt. certain toottn) de htM
M) plus, mtMmptt )'nt)act)mtd'ttnMttt)o oemht.~ "~<
t<tJtt)M<Mtt)M D- dttt ttM ItttO Mt dCHOft tf)ttt<«)mt
«t <jx<t~< M)- )< '<t)xH d'mttfo Bot nUto par un tt~f d
ores um ttocht nnMn<< N. dont )M b<rd*. M«! bien t)m
MO* de h Mt't, ))t<m<t drnt un MM) mettnmt da tMt-
MtM. M N't a mnt'M t'MM ~mt le 6« par )* e)<M<M M.- tMh
tt t dN mMttmM t dam )t *M tm" ftnMttm en <<*
de pMtW tttt la Mt~tt «t mtmtM. tmt<i la ttmttco du ft
M~Mttt, )) agit mt la mrttM txKtfmn de h ebehe ?.
Mt ?)"< e"nd< que h m)*t, et t* ot<i:))t mt «tôt) )M<e, pro-
datftnt une d<ptM<)M de la «)« dtM )< ttttm'n', <«<<-
~M«t let mW'M. 6 et diminuant la ~MtM de (!*<
} ptMtttt. <mad )t ptMbn diMixm, Xtt t<f)ttt M-
ttttm Mt ~tMm. ~<t't*tem)MtMtMtm F.
4)0 C<o«pt"'tt)t" !)t<mhttMdemettt)tM<tMe-
MtMM<<, qui Mtt*«M'MttT<t*M' «mp))ttd< )tK e'
T)d<« ttt Mt voire B. «mNtth) t une ~iM. de mMMm
t vapeur, et mue par te' thtOtbtM tt et A'. La ttpMM d«
ohtmbm «mt «xm*e' )' <Nt<tbMdtfe)'qtt't))Mmt<M
pM«M <t<)tt dat)<t< p'r"B comptmr, )t <n)tt))it< de 6" <
a tnMn< f.pptntt M<M!<t<t<<.
<?. t~ttctmtf'MTHtr t'MU << la cale des navires ou
F~at élever )*fMt 4M* <!MMatM etn'oatt«wf (brerwM cri
h~mf deBnttt). ~Mt OMohwmbM MMaht t Ma tuytu
<'Mptm)ioe B et t un selon de Mttm~e C. et ayant ttm
<t<!m <t fttm da ftptm «MtttM T«t t< (tt))m<t< «thtt~t.
))t) jet <t vt~Ot)- mtMtt par ")" l'air de tt C,
produit xt ~He 'M)<t )'Mtt ~ttiftt dans ?. COtt Mtt
tttMnt D et CM Ne courant t<)t<)bt et mnttM'. t'aitr
t<)m))t)<tt< peut «M «ttjthyf M remplacement de Mp<or.
<M. Aatre appareil bM* <Mr mttoe j~tMot~ que le p~-
e«mt. Il M( m<am< f<mpt~).)Me t vapeur (<.MMt<'M*'
pttmt). tut tt pttf T'pn't. t, <t "ntt <M« 'N~M
<'M)')<tthtt <'<«~t au t)tt<)t de «t)«~t C. le jet dt Ttj~ur
Mttttat dttt* ta tb)tM)M n'~N~ etMaa ebtttott au jUMMBe
de )*M)tt qui M mMtt HCtO<ÏONtMt)MM<tt <? UM MMMttt
itttnttKttat.
<??. Purgeur dw vejxm pefMettMt de retenir h vapeur
ee ttÏMtat t'MMpp~t r«)t e<m<«M~ des «MduttM Mt *pp<-
ttth t c))m)))tr. Il cm<')itt M une bobo n))i<* en '*«
rMt<<t«tM <)tt toyM) <h<Mttt(< <ttot oae t<w')e<n N <t
jf'mt d'an~ tt)vt oreuro ?, dont la p~ftie taKfiMte est
t«n)Mt<* d'ae <))*)')tMto< ttt<M<. h< *<)T< mt remplie de
th)t))d<tt)tmrm<M<)Nm<tmt formée, tt )< dh)'))f*)j<M reste
sur m &pptt< <to-<«m do pttt~e. t~t pt<t«<m d* la
MjfMt <<M)*t<t')*MMt<MM << )<t )Mttt <<)<«<?' )'««
d<M )< valve M potat que te ~hp))MK'w <ttve la Tttve
JtttjX'tM «n'ft tt, t. t'Ma de tMt<MMti)«t MMttaeXe
Omfnm)* t<mp<t*<tM))<)< Tt)ït,tt, le )h)ttM< « ceatt*
tout, le <hfhnt)ta< M<)WM«) tt )~<M )'mtt t'<c««~.
4M. Autre TttM t Mp<t)t fttty't pttMt). tt tMp'ft a
Mtf<tttt<< et mtmtt ~t la tNttMhm et ttcmthMM'mtht
~~n qui M tetMtWM eM<M ~'me tp~è~ mwM« Ct
y est M)M<. Une pttM* ta~m nt tbttttxmt <*<< t an
WppWt & La MttptpW MMtttt ea )M ptMt~eWt M mouvant
<mt une botte t hmtm)t <M< la tphtm eppotte t t'Mttt.
misé da tuyau, et pMtttMtttt cette mttfmiM par un Ioder
<M~~ <)ue t*on mtttfMTM it TetM~ par ht vt< t et Fof~t
0<<'t< )< ttt}TM est )')<)« d'eau, M longueur fat tette. têt le
M)t< Mtte ouverte i o~ <()tM< )) est pMtt de Mjxer, !) est
0)tt<dtfot< que )t n)m.tftme. LtTttt Mrtt 4 régler)'tet)tm<tttM)M.
<79. a*Mmttm. X t<«tt<<t creux supérieur A ttt
MMtnf <<at la mw d'tm e 0 )«dM)mme) toattt))<~)M<
par des poids C, C. tttM'mtM <tt« b <ttm<tt<m par l'un<<< t«tMt ttMMttt t travers la MYt et en Mft pet t'ttttM.
)[x <n<<M <tmpt<(tM )t j)a m(M, )< t<M~ett <'<Mrt, '<w
1"C MOUYiîMtMmMÉCAStQUES.
MUVBMËfm M~MQUES. <n
l~
484. Spinale autour d'un oyttndre, pourconvertir le mouvement du vent ou d'un cou-
rant d'eau on un mouvement de rotation.
48S. Moulin ù vont commun, montrantla production du mouvement circulaire parl'action directe du vent sur des aiics obli-
ques.
486. Ptan d'un moulin ù vent verticat. Lesailes sont placées sur pivot do façon a tour-ner leurs faces vers )e vent. dont ta direction
est supposée être indiquée par la Oechc.
487. Roue a natottes commune, pour la
propulsion des tMteaux. La revotution do larouo force tes palettes de presser contre l'eauet produit ainsi le mouvement en avant dubateau.
488. MOtco. Les ailes sont Il sectton hé-
Ucotdafes; leur révolution dans t'eau a le
même effet quo le travaft d'une vis dans unccrou et
produit un mouvement dans la
direction do i'axo, co qui fait avaneer levaisseau.
489. Moues a patcttes verticales. Les pa.lettes a, a peuvent pivoter dans les bras b, b
a égale distance do l'arbre. Aux pivots sont
attachées des manivoties c, c, qui peuventtourner autour des bras d'un anneau d, fixéa un excentrique fixe e. La révolution des
bras et des palettes avec l'arbre oblige t'an-
neau D a se mouvoir aussi sur t'oxcentrique,et l'action de cet anneau sur les manivelles
est de maintenir les palettes de toile façon,
qu'elles entrent et sortent sans résistance,
tandis que, dans t'eau, elles ont h positionlu plus convenable pour la propulsion.
400. Gouvernail ordinaire. Vue on pian.Sur i'arbre de ia roue a main, ii y a un tam-
bour sur tcquoi est enroulée une corde qu)
passe sur deux poulies-guides et dont les
extrémité sont attachées 5 ta barre du gou-vernail. En tournant la roue, une partie de
ta corde est enroule, tandis que l'autre est
tOcMe, et te gouvernail est mis dans l'une ou
l'autre direction, suivant le sens dans lequella roue est tournte.
a
49<.Cattestan. Le ctMe ou corde en-
roulé sur le tambour du cabestan est tendu
en tournant le cabestan sur son axe au moyendes bras que l'on M passer dans la tête. Le
mouvement de recul du tambour est provenupar un rochet attaché it sa partie inférieure
et agissant dans une crémaiiiero circulairefixée a sa base.
499. Crochet d'attache de bateau (Brown et
Level). La barre verttcaio est attachée au
bateau, et ta pince, a sa partie supérieure,entre dans un (Bittet du levier qui se meutsur un axe au milieu de l'attache. Un appa-Mii semhtabie est applique a chaque extré-
mité du bateau. Les crochets des palansaccrochent les pinces, qui sont fermées jus-qu'au moment ua t'en veut détacher le bateau.
Une corde, attachée à t'extremtto inférieure
do chaque levier, étant tirée dans une direc-tion convenable pour faire échapper i'oxtre-
mité supérieure du ievier do la pince, celle-ci est laissée libre et glisse hors du crochet
du paian et détache le bateau.
1tt8
)tOt!VE)t)!S'KNtCAtttOfES.
MOuvBMtanrsMËCMMeMEe. ne
<M. tteyett d'~f'ttot jttttKtftM )<t MMttnMMom.
t'tjtjttmi) est f<)«tpM< <*BM pitm m fer M«)<t)<, tTM tttX
Coins ttmMt'tht f'M* ft th'<xt de m «<t< bo )nt'
))ttm* Mnt iairadaitweorambia ~m m tMtt ht< ~m le
phMt,<t)enqut )<M)t) «ott*) ottuM)* sur les autres
suint, «<ut-<t MtWt <) ftttmtttat Mtttn )<* parois du trou
que )<t pierre («Ktt <tnfOtt)Mtt.
4M. KacM pour )<tw )« )t!<tt<t, «e.– te <MeMe« Mf la
thttm qui y cet ~tmMt force bt bm* du levier t agit sur
tM btM Intérieurs d< )' )')Mt,<<) f*tm t MTer Mm-t) outre
la pttm. )*<"< tmttd tm la potdt, ptm ht («MM Mn*tmt.
<M. !tt)(n'M)tM <'<)ttW)tth. t.'<0))M'M)f COtt~'M est
<M. t)t)fMa')tt ores A mt dttpMt peat tourner t«r un
«M t', t'< t'«t))M N, <t M~ttet t)ot) MM la «KM sont-
<tm C, HbM M)' t'tm B. Un mouvement de mttt'«<t ~t
donné t t'orbn) D, h n)M t MttttM mtMtt de A o) tutti
sur «M pmpm M<t, tt)«mt ttM) mt C de dem mteMm* t
ptt M rotation sur «)t propre <M <)Mt<, <t MMt't j~r sa
t<)M)<mmt<mt~ *t<otMh nmm <'<))*) <ttmt<'n, tt
roue CMt deux t<M)«t)«M pour ch*~M tour de t'ttbM 1).
tMvhmttde mt*th"')m'(Mf<tt<hot<tnf«ti<tMc)MB<ttnt t
)« dtttttttft* <M «m«. C est mpt<*«t«e MM )tt) 'me-
«ttM e'q«t y Mt nM Ot tytt4))M d'mtrm*te peut MM
empteff pour Mtt<)))m dtmn appareils. sa appliquant )«
t«)M«tM) ea C, rMttm jxet <tM n".Mt*<et 'm motT*-
mmtttmtaeOebtMt).
<M. Ajtptmi) Ftttt<t!«r tt tordre, m tx'Mmttt, h m'
h )t)M, tto. Lttt tm'btM B toeroMt pht Tito que les "'tt-
ttNM Aet ~m<t)(M' me ttM'tM qui <ttM t« Obtus f'MMt
mttttm ).<tmpt<M<«n)x)mMtBà)tfettM'.<,<t<'i.)t<t
M MttMea autour do h bobiae, le tet~ *t r«ttetth "'r
Mttt-t).
tMK<<t<< Mtmwtt un t" t'ftM partis est "))<< t )'
t))tM<MtM t MjMtttON autre tjtjXmit dans h ~Wttett doit
<tn )))dt<)t<<<. La )<MM)M ont )< aumuM <*M «m <tM h*
thM une une dtpKttttm qui fait t'<htmr le «<MttM <<
rM)M ~f)))'t M qM )'<<)t)Mt«t Mit tttMtmtmte pold. du
m<M«"' et )' ).n<M" de vapeur <t*M ttM<« ttMMtttt, )'
)x)!~t<<t )MrM)n)tt )* )<t<Mi<'tttttt)M)~t<~t"<'<'m t'*<ttm.
t!'«t b mmmttt'M nKOmtt) )« p)M MMt JttX()t'M ) 0)tf< )) a
)!<<M t* ftMe i <*«); qui << *KM )<r<M<j«<tMnt <tM« «
<'t)M forme ())! tTtott[e<t<e
tM. tttnetttotm ))«!MMi<tM,M<M)tt MM te Mmdt m<M-
Xtttm <)* e«ttt<M, de «om de Mtt Inventeur tntottit.
« NUtn tube mtttbt, fonot t M< <tM«th<<, et< «t C au
mMhn <)<M hettMttrtt t~mt M< <ttt<m)t<* HttM. (<Mt-
t)M << la Mp«tf oa <)'«* autre a«He admis dans le tubs «)<<
)<df)tttt)t)' ftM Mt tMht, mt'Mt M t<et)M. t«< Mtt<-
mh<< dll tube Mot MM<t. t m Metmf dmM m~mMat MM
un ~t<M<t p)M< sur MM ti)tttt)te<t<<))th ))oiot< i<.<!q-xt't la
pMMten Mtf u. MdMH.
MO. it<M<)~tn), <* f'-a H.nma.ttmmt tM).)~ au-
jourd'bul, t)M)'ttMt<')t «tt<.Mt<~ tmtMmtttt <t Ot<~
)Me~. <). pem h t~t'UM m. Il Nt f.bt)q' ''M
.t. fM* et cMtpe. te guide, ~«t to )tM<thm .Mt «M
).<)tt<<, agit «tf "n <M~)M <!)tmtM« xtttttttqM K<*<-
tthtMttt tm<!t)f. tt la dépression du <tt«f)M MM ))t«*'0
<M)M)<M<'Xttt))<m< t)'<t<et«tt<*«Mf,<)<t)mfj'tMttM
ua ~)<m.t ).).o< t~f t'~)t<tt))e de t'MfttMttf.
M) BMMtmtm t meteft*. Le toneee bronche <« tube
rMMfM CtNtnt )*!)<«)!* Mt tMt<t )')M))h) <tt fWMM m
tttat, tt tt ptm m)t)rtt bntttetM est MttKtt t la )tMtth<t
ttetMpMrittM ou tttt'MMttt M«)ttWf<<'m« mttitte )M.
M<tM. <'< «tbme de nMmtn, <tM )< t<)«)tm brioche <*
tt<ttM))e )' t <M extrait, «t élevés par h pKtKeo de Mt
sur <* surface dt celle <"a te tMKtt hMMtx, et t'tttMMt
t'thtttM Mtirmt que tt ptMttett ottMtptMtitM tMit. t«
jttm otMtNMMt *<'«< eM~fM ')'m ttt)xt «mthbh ttttA*
nu~Mmt d'un M<MB, t) N0 autttttt !t.tt«<Mt <Mt )t MXttt
tfMt!)M du tube eOttXft avec une M<Mtt)Mtt tt MX jt~MO,
qui fait mouvoir, par nM Mt<* et «M f<Mt)M, une Mftt!))*
ttx)i<ttn<t.
4M. VMtMhttMt. tt MtMt a tMt WMttttM <<i<~MM
«tran tM eôMt.t tMMtt hqmMe, par t~Mtttttmt do
t'MbM, Mt «t h).<< j-M )M ptMtM t'tMMt< MttMt arbre.
L'air MtM par le ct)t)t* dtm Ctet<f)«tr de )t <)«< 0 ««t
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«S. ttttMNtttM. tt partie tttMtt~tttO du m)x' MnMmt
du «MKOM. t.<tp<rttt<* tube emtm ))tt)<t<t)te )'<<:)Mth Mt
!M MOUVBHENTSM&CAmQOM.
MOUVEMENTS MÉCANtQUBS. m
1
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SOS. Forme très simple d'un train epicy-
ctotdat dans tequot F û est un axe relié &
l'arbre central A, sur lequel tournent libre-ment les roues coniques C et J9. L'axe se-
condaire porte la roue conique B, qui est
disposée pour tourner librement sur lui.
Le mouvement peut être donné aux deux
roues C, D pour produire un mouvement do
l'axe secondaire, ou a cehti-ct et à l'une des-
dites roues pour produire un mouvement de
l'autre roue.
S04. Paradoxe mécanique doForguMO)).dessiné pour montrer une curieuse propriétédu train epioyctoMat. La roue Aest fixée sur
un arbre fixe autour duquel la barre C D
tourne. Dans cette barre sont doux axes ~et
N, sur l'un desquels est arrangée librement
uneroue~?, engrenant aveo~; sur t'autreaxe
sont trois roues libres F, F', <?, toutes engre-
nant avec B. Quand la barre C D tourneautour de l'axe, le mouvement est communi-
qué aux trois roues E, C, sur leur axe
commun Les trois roues forment avec la
roue intermédiaire B et la roue trois trains
épicycloidaux distincts. Supposons que
ait vingt-deux dents, 2*'vingt, vingt et une
et 0 dix-neuf. Si le bras C D tourne, F no
paruttra pas tourner sur son axe et chaque
point do sa circonférence tournera toujours
dans une direction, tandis que E paraîtra
tourner dans un sens et G dans un autre, ce
qui est un paradoxe apparent, d'ob le
nom donné à t'apparaU.
SO!. Tratn 6picycto!dat. Tout tmtn de
t'eues d'engrenage dont les axes des roues
tournent autour d'un centre commun est con-
nu sous ce nom. La roue extrême de chaque
train est toujours concentrique avec le ctiits-
sis tournant. C'est te châssis portant les roues.
La roue centrate A, concentrique avec le chas-
sis, engrène avec le pignon F, sur le méme
axe duquel est Huée une roue E, qui engrène
avec une roue B. Si la première roue A est
axe et si un mouvement est donné au châs-
sis C, le train tournera autour de la roue fixe
et le mouvement relatif du châssis à la roue
Oxe communiquera au train un mouvement
do rotation a B sur son axe. La première
roue, aussi bien que le châssis, peut être
arrangée pour tourner avec des vitesses dif-
férentes, avec le même résultat pour la
vitesse do rotation de B sur son axe. Dans le
train épicycloidal ainsi décrit, la seule roue
extrême est concentrique avec le châssis
tournant; mais si la roue E, au lieu d'en-
grener avec B, engrène avec la roue D, qui,
comme la roue A, est concentrique avec
le cMssis, on aura un train épicycloidal dont
les roues & chaque extrémité seront con-
centriques avec le cMssis. Dans ce train, on
peut indifféremment communiquer le mou-
vement au cMssis ci A une roue extrême,
pour produire une rotation do l'autre roue
extrême, ou bien un mouvement peut être
donné aux doux roues extrêmes du train A
et D, et le mouvement sera ainsi commu-
niqué au châssis.
MOU~MBNM MÉCAMQUES.1M
SOS. Autre forme simple d'un train epicy-
cMdat, dans lequel la barre D porto un
pignon B, qui ongreno avec une roue den-
tée ~4 et une roue annutairo 'C l'une et
l'autre concentriques avec l'axe de la barre.
Chacune des roues A et C peut être sta-
tionnaire et la rotation du bras et du pignondonnera le mouvement a l'autre roue.
M6. Autre train cptcyctoMat, dans lequel
ni la première, tu la dernière roue n'est nxe.
M, n est un arbre auquel est relié l'axe t,
portantiesdeux roues engrenant d,e, reliées
ensemble, mais tournant sur l'axe lui-mème.
Los roues et c sont réunies et tournent
ensemble, mais librement, sur i'ariM'o M, H.
Les roues sont aussi reliées, mis tour-
nent simultanément sur l'arbre )M, M. Les
roues c, d, e et (constituent un train épicy-
eloldai, dont est la premioro roue et f la
dernière. Un arbre A est employé comme
moteur et a doux roues a et h caiees sur lui.
La première engrène avec la roue b et com-
munique ainsi !o mouvement ù ia première
roue e du train épioyctcMa). et la roue /<con-
duit la roue(f, qui communique ainsi io mou-
vemdnt a ia dernière roue Le mouvement
transmis de cette manière aux deux extré-
mit~sdu train produit un mouvement plus ae-
c~~reau bras k et 1 et a l'urbre Ht, s. Ce
train peut Mm modifié par exemple, pre-
nons les roues p et désunies, 9 calée sur
l'arbre )H, n, et y soutomont tournant tibro-
ment sur lui. L'arbre ntoteur communi-
quera, comme auparavant, le mouvement à
la premtôro roue <! du train éptcyctojrdat au
moyen des rouea <t et t, et, par la roue /),
force)'a à se mouvoir la roue l'arbre w,
n et tout le tratn t, <. La rotation sera 6ga.-
lement communiquée ù la roue libre i:
SOt. Autre forme do train epicyctoMat,
destiné produtro un mouvement tr~tont.
tn est un arbre fixe sur lequel est tthrontont
arrangé un long manchon, a t'oxtrcmite infé-
rieure duquel est uxee une roue D et à t'ex-
trOnttA sup''rieure une roue Sur ce long
manchon, )t y en a un plus court, qui porto
les roues A et ~r. Une roue C engrené avec
chacune des roue: D et A, et une travorso
<x, M, qui tourne librement sur t'arbrow, p,
porte sur un axe e, K les roues J'' et <?.
Si ~4 a dix dents, C, cent, D, dix,
~t', soixante-une, quarante-neuf, C, qua-
rante-une, et H, cinquante-une, on pourra
avoir vingt-cinq mitio révolutions do ta tra-
verse ?, n pour une seule de la roue C.
LtBRAtMN aaomnnoMQoa BZ) GcsïÀva MATOMSS,
t:, ne de rimp~triee, & BntMUm, t3.
M< ANNEE.
BULLETIN
MUSEEDEL'INDUSTRIEDEBEMIQUEft'tutisot'f
LA DIRECTION DE LA COMMISSION ADMINISTRATIVE,
MttMSMtKStte
M. E-OTGhNNB G~AUTH'Y,
Diremteur du Muoee royat de PMmtMe et de t'&mte tnd(Mtrte)te,MetabM honoraire de la SocMte (teMtMdatfte pour te projtt~ de t'fndtMMe.
AHONNEMEifT ArtNt!EL X~ iWtneft.
(Po!«' M~M~ef, le port Nf M*.)
Le F«/~tt du .Af~ ~~)<<tMMe de Belgique existe depuis trento-neuf ans. Cette longue
période est la meilleure preuve que ce beau recueil, in-8< !mpreM)on sotenéo, parais-sant tous les mois par ttvra)sons de 3 a 4 feuilles de texte, accompagnées de boites ptanohMsur fort papier, répondant à des besoins réels, est appelé Il rendre do nombreux et utiles
services aux industriels, aux Ingénlours, aux commerçants, aux professeurs et à tous ceux
qui s'intéressent au devetoppemont et auxprogrès
de nndustrte et du commerce de la Bel-
gtque. Le talent de M. Gauthy et de ses cottaboratours est une garantie de l'excellonce de ce
recueU, qui <bm)o un véHtohto trafté pmMque en une toute do mattores. Il tient !argen)ont
compte des besoins dos tndustrtets et cherche surtout & vutj~rtMr les notions utiles, lestnvonUons sérieuses et tous les faits dont H est posstbte de ttrer immédiatement parti dans la
pratique. Les questions hygiéniques, ceiios se rapportant aux institutions ouvrMres ou &
l'enseignement industrie!, dont Il n'est p)us permis do se désintéresser aujourd'hui, ont
toujours trouvé dans cette utile pubtication la place à taqueito eiies avaient droit.
Ajoutons que tes planches en sont reproduites avec une rigoureuse exactitude par le des-
sinateur attaché au service du B«/~H. Ce beau recueil, compiété chaque année par deux
tables, l'une atphabéUque, t'autro pa)' ordre de matières, forma deux volumes appelés à
prendre place dans toute une série de bibliothèques utiles et sérieuses.
'-p-a'Bi<io~À.'ri.oN'
At'fMO)!
DE L'E)tSE!MÉMEt)T~BUS~t~& PMFESStOHHEt.
BoYAMtT(L.). Construction pratique des voûtes tr. 3 a
D<!SGtfttt(P.).LamachmedeRuhNtJ(or<fetseseHëts. fi. 076
LBMY (L). Notions du commerce etde !a oomptabuité. Cours donnée t*Êco!e
industrielle de Charleroi, en 40 leçons, suivies chacune d'un questionnaire et
d'exercices d'application. 3'édition. Û'. » M
LBMY (L.). Notions d'ecoaomie industrielle ou politique. Cours donné a !'Ëcote
industrielle de Charleroi, avec questionnairOt 8*édition. Cartonne n'. 1 60
Ltt«it.tn (E.). Nouvelle théorie éiémentaiM des régulateurs a force centri"
<hge. < ?. 3 »
LMcut) (E.). Traité élémentaire de la résistance des matériaux. Premier Mvre.
Théorie gënëraio. A'. S a
Puddlage mécanique (ie) parle procédé OASM. fr. 380
STBMs (E.). Tables des moments d'inertie et des moments de rupture des pou-
trelles en fef du pronidouMeTiaminëes parles usines belges ?. 4 »
Sir~Am (A.). Les chemins de fer a voie ëiMite en Europe &. 1
STÊVAM (A.). Résultat d'expériences sur l'élasticité du caoutchouc vulca-
nisé. fr. a 80
V~Mcs (B.-et H.). Traité théorique et pratique de ta fabrication du f!~r et de
t'acier. 2'édition. Texte et atlas fr. 78 ?p
V*t.Ë)Mus(H,).Les applications do]a chaieHr, avec un exposé des meneurs sys-tèmes de chaunage et de.ventilation. 3'édition, fr.d8 ? p
M. MAYOMBZ se chat-ge de fournir ~M~ toutes tes publications ~<~
conques que pourraient lui démander ies particuMers comme les établissements
d'instruction à tous les degrés.
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