amicale des anciens de soletanche flash n°15
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AMICALE DES ANCIENS DE
SOLETANCHE
FLASH N°15
Bon, DONALD, ne te TROMPE PAS, il y a quoi dans ce Flash
Sommaire : Le mot du président L’AG du 4 mai 2017 La visite du Musée d’Orsay Le bêtisier de cette sortie Visites chantier FIVC Une histoire SOLETANCHE Les bêtises de François Bettex Comment se rendre compte que l’on a vieilli par JCL Ils nous ont quittés en ce début d’année 2017 Rappel sur le site
En Marche pas encore, Et où on va maintenant.
LE MOT DU PRESIDENT
PRIONS ENCORE POUR AMELIORER CE FLASH.
Un regard sur notre site web confirme la vitalité de notre Amicale par la
programmation de nombreuses visites et réunions. Les personnes présentes à
notre Assemblée Générale, le 4 mai dans l'Espace Bellechasse luxueux et au
déjeuner au Musée d’Orsay, peuvent témoigner de nos capacités d’organisation
sans faille pour une participation financière sans concurrence! Il faut surtout
remercier Claude Hovart qui a réussi à faire face à un service commercial du
musée peu commode. Une fois le repas terminé, nous avons apprécié une visite
commentée par deux guides compétents.
Philippe Gancel a organisé le 1 juin pour les parisiens une visite à la ligne 15 du
métro pour une nouvelle gare souterraine faisant partie du projet Grand Paris. La
gare sera en forme de boite constituée d’une paroi moulée périmétrale d’1.20 m
d’épaisseur, fichée dans la Craie à 42 m de profondeur.
Nous vous rappelons la sortie au Puy du Fou organisée par Claude Hudelot qui a
également offert avec beaucoup d’enthousiasme et de générosité de proposer un
projet de visite en 2018 en Auvergne – nous le remercions vivement.
Lors de notre réunion de Conseil le 17 mai, nous avons confirmé le mandat de
Gerard Evers pour trois ans. Je voudrais remercier Jean Claude Laroche et
Hector Sabine pour leur disponibilité jusqu’à ce jour. Tous les deux ont fourni des
efforts remarquables pendant plusieurs années au siège de l’Amicale malgré des
problèmes de circulation routière. Bien que Claude Hovart, Philippe Bergeron et
Jacqueline Conard continuent d’assurer une présence à Rueil Malmaison, nous
n’aurons pas les moyens d’assurer le même niveau de permanence au bureau et
nous vous demandons de nous contacter dans la mesure du possible, par courriel,
en cas de besoin. Même si la majorité de nos membres sont à jour avec leur
cotisation, nous perdons beaucoup de temps pour contacter les retardataires.
Nous vivons dans une époque un peu incertaine pour notre sécurité et pour la
planète. Il faut faire confiance à l’équipe qui va mener la France.
Je vous souhaite une bonne santé et je vous présente mes remerciements pour
vos efforts à participer pleinement dans notre Amicale.
L’ASSEMBLE GENERALE DU 4 MAI 2017
Elle s’est déroulée le 4 Mai 2017 dans la salle des séances de
l’Espace Bellechasse, situé 18 rue de Bellechasse Paris VII
Nous étions 45 personnes dans une ambiance studieuse à écouter ce bureau qui
en imposait par la conception de cette belle salle, bravo aux organisateurs.
Comme l’a si bien décrit Jacques Bodoin dans la table de multiplication c’est au
fond de la classe qu’ils s’épanouissent………..
Mais rassurez vous, ils seront les premiers pour la cantine.
Pardon, non le restaurant du Musée d’Orsay, là aussi excellent choix.
Bien sur, il y a les nouveaux couples qui préfèrent un peu plus de confidentialité.
Et ceux qui aiment les grandes tablées et les échanges.
Puis la visite du Musée d’Orsay, situé à 2 pas du lieu de l’AG.
Mais c’est quoi qui vous passionne autant ????????
La femme piquée par un serpent, ah oui, cela vous pique également !!!!!!!!!!!!
Ce marbre fut, avec les Romains de la décadence de Thomas Couture, l'oeuvre la
plus commentée du Salon de 1847, faisant l'objet d'un double scandale, artistique
et mondain. Pour cette image suggestive d'une femme nue se tordant sous la
piqûre d'un serpent symbolique enroulé autour de son poignet, Clésinger, comme
en témoigne la cellulite du haut des cuisses et retranscrite dans le marbre, avait
utilisé un moulage sur nature du corps d'une demi-mondaine, Apollonie Sabatier
(1822-1890). Muse de Baudelaire, beauté parisienne tenant un salon, celle que ses
amis appelaient "la Présidente" offrit ainsi un succès inespéré à Clésinger.
LE BETISIER DE CETTE SORTIE
Et tu l’as mis ou ton petit doigt
Le gendre idéal, m’en fous, j’ai soif.
Ne te trompe pas, moi j’ai faim….
VISITE CHANTIER FIVC
c'est en ce premier jour de juin, sous un ciel uniformément bleu, que notre petit groupe de "nordistes" s'est réuni à Clamart au pied de la gare SNCF actuelle pour visiter le premier chantier acquis par Soletanche-Bachy pour la réalisation du futur "Grand Paris" réalisé dans le cadre d'un groupement avec Bouygues TPRP. Nous venons d'apprendre que SBF a acquis avec ce même groupement il y a environ un mois un autre lot de plus de 800 M€ ( excusez du peu !), et la semaine dernière un autre lot de tunnel de 500 M€ adjacent au premier lot.... ( ça roule, ma poule !). Je te transmets trois photos de nos amis de l'Amicale en pleine action, où l'on pourra reconnaître dans l'ordre de gauche à droite sur un des clichés : A. Cracco, Ph Gancel, Ph Jauffret le conducteur de travaux du chantier, en réelle action lui, G. Evers, Ph Bergeron, P Gardes, A Ponsada, H Ollive et son épouse. Nous avons été formidablement reçus par la direction du chantier, le jeune ingénieur PB Passot, qui m'avait rencontré avant mon départ en retraite, et déjà plein d'assurance et de professionnalisme et Ph Jauffret , plus âgé déjà presque trentenaire chez Solétanche qui avait reçu en 1997 de la main de RR la distinction de médaillé du sol. Très bonne visite d'un chantier fort intéressant regroupant des techniques variées dans une emprise réduite typiquement urbaine, avec un matériel SBF de dernière génération. Comme il se doit, nous avons terminé la matinée dans un restaurant napolitain, plein de soleil également. A la prochaine.... Amicalement. Philippe
UNE HISTOIRE SOLETANCHE
L’AFFAIRE JOSE CORRAL
Je vais vous compter une histoire Solétanche, je n’avais même pas encore 18 ans
et en ce mois de juin 1966 j’intégrai cette belle entreprise Solétanche, je
commençais sur le chantier Auber en tant que PMC, pointeau marqueur
comptable, Auber, célèbre chantier ou sont passés les célèbres Richy, Billonet,
Puglisi, Orsini, Rami, Rabier, Mouxaux, sutz, Sage, Marty,Treillou,Danini,Cousin, et
Pierre Gardes mon ami de 50 ans, comme Jean-Claude Jayet……Je ne peux pas
les citer tous, tant ce chantier a vu passer de légendes.
Et surtout mon chef comptable de cette époque le célèbre José Corral, non pas
celui de tonton cristobal , lanceur de poignard, mais celui qui quelques années
plus tard allait faire tomber le patron d’Alcaltel Pierre Suard.
José Corral était un ancien pétrolier, comme plusieurs des surveillants de la
RATP, Dumont et son patron Défougère, qui pour Corral n’était qu’un modeste
laborantin.
Mes premiers jours j’observais cet homme qui en imposait, superbes chemises et
costumes, et une classe…..Mais…..méfiez vous, c’est u n T………………………..Le
père Naveau, dessinateur du chantier dont la fille était hélas pour elle la
secrétaire de José Corral et du chantier, m’expliquait qui était José Corral, j’avais
en ce début beaucoup de mal à croire ces dires.. Je n’avais pas beaucoup de
travail, du pointage, du coloriage de plans, rien de bien passionnant pour un jeune
garçon comme moi. Le fameux José avait plus une vie nocturne qu’une vie de
travail le jour au bureau. Il n’était pas matinal, apparaissait en fin de matinée,
allait boire ses Ricards avec ses amis du coin, revenez pour établir le fameux RJ3
et surtout maitrisait le livre de paye et acomptes, je compris beaucoup plus tard
pourquoi. Un jour il n’est point venu au bureau, François Billonet me demanda si je
pouvais gérer cette absence, et surtout établir ce RJ3 dont je n’avais reçu aucune
formation. C’était une chance pour moi, je démontais les rapports de la veille et
reconstituais les chiffres du fameux RJ3, puis je m’attaquais à celui du jour,
j’avais tout compris……..José Corral réapparut au bout de quelques jours et me
regarda différemment, j’avais pu modestement le remplacer sur certaines tâches
qu’il prit soin de me laisser à l’avenir. Plus de temps libre pour lui…….J’étais
remonté dans son estime et un soir il m’invita à le suivre dans ses sorties
nocturnes, nous commencions au Pixi rue Godot de Mauroy.Le champagne coulait
à flot, les dames étaient bizarrement gentilles……Je découvrais la vie Parisienne.
Dans ma petite tête je me disais qu’il me fallait payer ma tournée, la bouteille
coutait 70 francs, une fortune pour moi, je mis ma main dans mon blouson de
daim, blouson acheté avec mon ami de 50 ans Jean-Claude dans une boutique
proche d’Auber, j’avais bien 7 billets de 10 francs, je demandais donc à la chef des
dames si gentilles d’ouvrir une nouvelle bouteille avec mon argent ; José Corral
qui surveillait tout de son oeil sombre pris mes 7 billets de 10F et me les restitua
fermement ; ici, il n‘y a que moi qui règle. A ce moment je compris toutes les
remarques du père Naveau, et je cessais ces sorties qui ne me correspondaient
pas. José Corral m’en a tenu un peu rigueur…..Il m’obligea à pointer nos ouvriers
nord-africains pendant leur longues vacances ; à cette époque ils prenaient au
moins 3 mois ; j’assistais également aux plaintes du personnel sur des montants
d’acomptes que José trafiquais…..Je commençais un peu à contester, et le soir
j’en parlais souvent avec Jean-Claude, mais nous étions si jeunes et peu
reconnus…..José Corral m’aimait bien mais il avait eu vent de mes contestations,
alors pour m’impressionner il me convoqua dans le bureau de Puglisi le patron de
cette époque, et me menaça ; j’en n’ai voulu à Puglisi, mais je pense qu’il ne savait
pas ce qui se passait…..Je décidais donc de rentrer dans le rang et d’obéir à
toutes ces magouilles de pointage et autres…….Tout allait bien pour notre José,
ses nuits étaient belles, le boulot se faisait, la vie était belle pour lui et tout ceux
qui en profitaient……Je ne donnerai pas de nom bien sur, ce dont je me souviens
c’est que José Corral notait tout, il avait des dossiers sur tout le monde……Cela
lui servira plus tard, nous le verrons en fin de cette histoire. Entre temps nous
eûmes l’épisode 999 Jévics plus un Jévic = mille Jévics, c’était une monnaie
couramment utilisé sur le chantier du Métro. En réalité c’était une secrétaire aux
dents longues, et fort jolie que José Corral avait embauchée. Elle se nommait
millejevic……d’où 999 jévics plus un jévic…..Elle faisait tourner la tête à tous nos
responsables…….Un jour levant mon nez de mon fameux RJ3 je découvrais sur le
trottoir d’en face de notre bungalow un homme à lunette, imper !!! qui regardait
constamment le bureau, je le fis remarquer à Mme 999 jévics plus un jévic qui
aussitôt se mit à pleurer……Et oui, c’était son mari qui l’avait retrouvée, elle était
en instance de divorce et il ne connaissait pas son domicile……Alors pendant
plusieurs soirs le jeu, bien triste quand même consistait à la faire sortir sans qu’il
s’en rende compte, et lui permettre d’accéder à une bouche de métro….Pendant la
journée, il s’approchait de la fenêtre du bureau, et la nous avions droit à tous les
quolibets que je ne citerai pas non plus…..
Mon éducation en prenait un coup, mais bon, c’est ça la formation.
Pendant ce temps la notre ami José Corral vivait de mieux en mieux…..Souvent
présent qu’en fin de journée mais toujours la…..J’ai vu défiler des artistes dans le
bureau, dont les guitaristes de chez Vincent, célèbre cabaret espagnol de la gare
de L’est ou du Nord, je ne m’en souviens plus, et même des acteurs, grands j’en
savais rien, mais rien du tout. Il nous raconta même qu’un soir il avait fait la fête
avec Pierre Perret, et c’est au cours d’une de ces beuveries que le fameux José
corral lanceur de poignard dans tonton Cristobal pris un sens…..
Tout était parfait jusqu’au jour oû un spécialiste Nord Africain de retour de ces
longues vacances réclama sa prime de juin, pour info 50 francs……José Corral
refusa de lui donner, et oui la fiche de paye du mois suivant et des autres mois le
donnait présent…..L’homme insistait mais l’infâme José lui tenait tête et l’envoya
promener….L’homme ne se démonta pas et alla porter plainte au siège rue de
Prony, et enfin je reçu un coup de fil du siège me demandant pourquoi Ahmed
…….était pointé présent alors qu’il était en vacances…..j’expliquais que je savais
tout ça, mais que j’avais des ordres et tout petit que j’étais je les appliquer.
C’était soit Mr Vinsard, soit Mr Perrot, je ne me souviens plus, ce que je sais c’est
qu’ils avaient compris mon soulagement d’expliquer toutes ces malversations…
Et le lendemain matin, arrivait sur le chantier pour contrôler la caisse et tout le
reste un comptable détaché du siège,.. Super dans son petit costume, il
m’impressionna quant il se présenta à nous pour ce contrôle…..Mais hélas pour lui
le lanceur de poignard finissait sa courte nuit et cuvait son alcool dans un hôtel,
mais où ???????Et nous n’avions pas les clefs du coffre bien sur….Alors le pauvre
cotrôleur pris une chaise et patienta jusqu’à l’arrivée en fin de journée du triste
sire. José Corral ne se démonta pas devant cette mission de contrôle, il invita
cette personne à aller boire un verre avec lui avant le contrôle..
Quelques heures plus tard José Corral réapparaissait mais seul……. Le comptable
du siège s’en n’était retourné sans le moindre contrôle vu l’heure tardive…..José
Corral n’était plus si fringuant que ça, il sentait l’étau se resserrer autour de lui,
ce soir la il finit très tard, je suppose qu’il avait récupéré ses dossiers dans le
coffre, et surtout de l’argent car on ne le revit pas avant 3 nuits et 3 jours.
On se débrouilla au mieux sans coffre et sans chef …..puis au 3em jour il arriva
dans le bureau tout pale, non rasé, chemise et costume froissés, il me salua et se
dirigea vers le bureau de François Billonet, en ce temps la, c’était le conducteur
de travaux qui avait la caisse en son nom, et le comptable qui la gérait, les
caisses étaient importantes car on gérait les payes sur place et les acomptes bien
sur, pour un chantier comme Auber c’était important. Au bout d’une heure
François Billonet entra dans le bureau et me tendit la clef du coffre, Faviou, c’est
comme ça qu’il m’appelait, voilà la clef du coffre, chiffre nous le trou stp.
Ce soir la je travaillais très tard, et peut être que ma mémoire me fait défaut mais
le trou était important si on ajoutait les fausses payes, les factures et acomptes
douteux, on pouvait ajouter 40% de plus.
Je ne revis plus jamais José Corral, il fut muté en Algérie dans notre agence
d’Alger, il devait rembourser une partie de ce trou…..
On me nomma un nouveau chef, après le lanceur de poignard, guitariste à ses
heures, je vis arriver un certain René Fouque, un chanteur d’opéra, au teint
bronzé, avec de superbes voitures américaines qu’il ne fallait surtout pas toucher.
Mon Dieu, tous des artistes ces soletanchiens. Sur ce je parti faire mon service
militaire à Mourmelon, sur les terres de l’adjudant chef CHANAL, il faut savoir
vivre dangereusement.
A mon retour je fus muté comme par hasard en Algérie, sur les traces de José
Corral qui entre temps avait mis les voiles de l’entreprise, non sans nous piquer
encore un peu d’argent….C’est Odette Villeneuve qui me raconta une partie des
exploits du lanceur de poignard. En ce temps la nous achetions tous nos billets
d’avion en Algérie, c’était le boulot de JC il allait chercher chaque jour les billets
pour le siège, toutes les destinations et il réglait en espèces. Un mois il réussi à
ouvrir un compte et ce n’est qu’à réception de la facture mensuelle que l’on devina
la pratique de JC le guitariste qui avait à nouveau disparu.
Plus de nouvelles pendant des années jusqu’au jour ou écoutant la radio et la mise
en examen de PIERRE SUARD PDG d’Alcatel, on nous expliqua qu’il ne s’était pas
méfié d’un de ses directeur administratif de filiale ; et voici à nouveau mon José
Corral.
Nommé directeur administratif et financier d’une filiale Alcatel, il avait comme à
son habitude magouillé à mort, démasqué par le fisc et la direction d’Alcatel, il fut
condamné à la prison non sans oublier de sortir un de ses nombreux dossiers qui
allait faire tomber Pierre Suard le grand patron d’Alcatel.
Belle histoire mes amis, aujourd’hui je me pose encore des questions…..Comment
un personnage pas plus doué ou diplômé que moi, et de plus un peu même
beaucoup truand a pu se retrouver directeur administratif financier dans un
groupe comme Alcatel…..J’ai du louper quelque chose dans mon parcours……Ah
j’oubliais José Corral me doit toujours 500F valeur 1968 qu’il m’avait empruntés.
Alors José, si tu me lis, tu peux enfin me rembourser…..
LES BETISES DE FRANCOIS BETTEX
Du tac au tac......Un élève plus doué que le Prof.....
Un professeur déjeune à la cantine quand un étudiant vient s'asseoir en face de lui.
> > > > Le prof lui dit avec un sourire narquois, pour le taquiner :
> > > > - «Les oiseaux et les cochons ne déjeunent pas ensemble !!!»
> > > > - «Oh! Excusez-moi.....dans ce cas je m'envole.....» lui répond l'étudiant.
> > > > Honteux de s'être fait avoir si bêtement, le professeur décide de le coller lors du contrôle de la
semaine suivante, mais l'étudiant répond parfaitement à toutes les questions.
> > > > Alors le prof lui pose un petit problème :
> > > > - "Tu es dans la rue et tu trouves deux sacs, l'un contient des billets de banque et l'autre de
l'intelligence, lequel choisis-tu ?"
> > > > - " Le sac rempli de billets" répond l'étudiant.
> > > > - "Moi, à ta place, j'aurais choisi l'intelligence ! "
> > > > - "Les gens prennent toujours ce qu'ils n'ont pas" lui répond l'étudiant !
> > > > Le professeur ravale sa rage, mais il prend la copie de l'étudiant et inscrit dans la marge :
"CONNARD".
> > > > L'étudiant reprend sa copie, va s'asseoir et au bout de quelques minutes revient :
> > > > - "Monsieur" lui dit-il , "vous avez signé, mais vous avez oublié de me mettre une note !!!..... "
En croisière
Une dame âgée était appuyée sur la rampe d'un bateau de croisière tenant fermement son chapeau
pour qu'il ne s'envole pas dans le vent.
> > Un jeune homme l'approcha et lui dit :
> > - Pardonnez-moi Madame, je ne veux pas me mêler de ce qui ne me regarde pas mais saviez-vous
que votre robe se soulève avec ce grand vent ?
> > - Oui, je sais, répondit la dame, mais j'ai besoin de mes deux mains pour tenir mon chapeau !>
- Mais Madame, vous ne portez pas de culotte et vos parties intimes sont exposées à la vue de tous !
> > La femme regarda son interlocuteur de haut en bas et répondit :
> > - Cher jeune homme, ce que vous voyez plus bas date de 75 ans ... et ce chapeau est neuf d'hier !...
Chez le pharmacien :
> > A la pharmacie, la vendeuse dit :
> > - Nous avons des shampoings pour les cheveux gras, des shampoings pour les cheveux secs, des
shampoings pour les cheveux normaux...
> > Le client lui répond :
> > - En avez-vous pour des cheveux sales ?
Corvée du matin :
> > Le mari :
> > - Chaque matin quand je me rase, j'ai l'impression de rajeunir de 10 ans.
> > Sa femme lui répond :
> > - Tu devrais te raser avant de te coucher !
COMMENT SE RENDRE COMPTE QUE L’ON A VIEILLI PAR JCL
Les réponses sont multiples et toutes et tous en connaissons, souvent
malheureusement beaucoup.
Il y en a eu une que je n’avais pas envisagée. C’est quand » votre gamin » (qui a
quand même 50 ans), vous déclare : jeudi prochain, je vais au dépôt de
Soletanche-Bachy à La Courneuve en fin de journée pour recevoir la médaille du
syndicat du BTP des 25 ans !!! Rien effectivement d’anormal ayant 27 ans
d’ancienneté. Il n’empêche que
Après avoir assimilé l’annonce, j’ai décidé, que bien que non convié à cette
manifestation, je m’inviterai.
Je me suis donc rendu à l’heure et au lieudit indiqué.
J’ai fait un peu tache et devant une interrogation muette, après avoir décliné
mes nom, prénom, ma qualité d’ancien de Soletanche et père du récipiendaire,
j’ai immédiatement été adopté. L’esprit de famille n’est pas mort.
L’environnement était typiquement chantier et dépôt. Cela m’a transporté 54
ans en arrière avec une bonne odeur de ciment et de bentonite. Le hangar était
ouvert à tous les vents, je pense que les récipiendaires auraient mérité un
cadre plus solennel.
J’ai rencontré bien sur peu de visages connus, seul SOULIE tranchait. Accueil
très sympathique de VIARGUES et surtout GRUNWALD qui officiait à la remise
des médailles. J’ai aussi fait la connaissance des fils de Alain LE MAYOT, les
dynasties se perpétuent et c’est heureux. On a aussi beaucoup parlé des
retraités actuels, bref une journée réconfortante. Je crois que si vous pouvez
assister à une prochaine remise de médailles, allez-y, vous serez bien accueilli.
Ci-joint, une photo de l’ancien et du « gamin ».
JCL
IS NOUS ONT QUITTES EN CE DEBUT D’ANNEE 2017
NOUS AVONS UNE PENSEE POUR EUX
MR DANIEL COSSET LE 19 FERVRIER 2017
MME OLGA MOUXEAUX LE 27 MARS 2017
MR ROBERT LOUP LE 11 AVRIL 2017
MR MICHEL TRIMAILLE LE 1 MAI 2017
Le petit mot de Claude à Nicole.
Quelques mots au sujet du décès de Robert Loup : mes sentiments très attristés
vont vers Nicole et tous ceux qui l'ont connu et ont apprécié sa personnalité. Sa
bonne humeur, sa présence chaleureuse et son merveilleux accent méridional
resteront dans ma mémoire. Toute mon amitié et ma profonde sympathie pour
Nicole dont j'imagine la douleur. Claude Hovart
RAPPEL
Notre site
www.amicaledesanciensdesoletanche.com
Plus de 53 200 visiteurs.
Avec un nouveau compteur de visites sans Pub, merci à Yves.
Je ne sais même pas qui a été le 40000°, mais le 50000° C’est MOI
Accélération importante des visites sur les derniers moi, bravo à tous.
20 pages dont celle des membres qui est protégée.
Sur cette page figurent tous les contacts des membres, je suis étonné de
parfois devoir renseigner des collègues internautes sur les adresse
Pour obtenir l’identifiant et le mot de passe nécessaire, faire une
demande en ligne, vous pouvez également me demander de porter votre adresse
mail perso comme identifiant, le mot de passe lui ne changera pas.
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Les membres de l’amicale 3 autres pages dessous dont :
Le conseil d’administration, vous y trouverez tous les documents de l’amicale
09101112131415et 16 ce sont nos disparus des années précédentes.
Nous ont quittés en 2017 c’est la que vous pouvez consulter les derniers disparus.
Si vous souhaitez passer à l’informatique, nous sommes la pour vous aider, nous pouvons à distance prendre la main sur votre ordinateur. Ne passez pas à côté de cet immense progrès.