acrosport a - cerimes

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ACROSPORT METTRE EN SYNERGIE L'ARTISTIQUE ET LE SPORTIF PAR J. COASNE, A. COURTOIS A border les APSA par le biais des activités gymni- ques artistiques (notion antinomique pour certains tant le monde de l'art et du sport leur sem- blent opposés) n'est-ce pas une gageure ? Notre démarche est donc de nous appuyer sur un corps sportif acceptant de deve- nir gymnique, pour s'ins- crire petit à petit dans une démarche de création du « vu, apprécié et/ou jugé » et s'installer p e u à peu dans une démarche artistique. Les contenus d'enseignement que nous avons choisis doivent emprunter à deux logiques qui se croisent, voire s'enrichissent mutuelle- ment : la sportive et l'artistique. En témoi- gnent les productions de certains sportifs tels les Duchesnay qui ont su marier avec bonheur exploit sportif et sens artistique (1). Parfois des chorégraphes de danse contemporaine (Découflé) ou du cirque (Cirque du Soleil, Cirque Baroque, Cirque Plume, Cirque de Châlons-sur-Marne) empruntent et revisitent sans complexe des techniques sportives, les combinent entre elles pour les mettre au ser- vice d'un projet artistique. Mettre en synergie le sportif et l'artistique est avant tout un pari didactique exploitant les ressorts émotionnels et opérationnels des deux types d'activités, afin de créer un milieu sti- mulant chez l'élève des capacités spécifiques de création, de production ou de reproduction de formes (cf. tableau). TYPOLOGIE DE PRODUCTIONS DES ÉTUDIANTS Situation de référence A cinq, sur une musique d'une minute, réali- ser une production comportant au minimum un porté statique et un porté dynamique qui soient reconnus par le spectateur comme étant signifiants, (porteurs de la volonté de la trans- mission d'un thème) et repérés d'emblée comme difficiles (aériens, ou hauts, ou base de sustentation précaire, ou nombre de partici- pants engagés). En fonction de ce thème, choisir un espace défini : espace Zingaro, espace studio, espace à l'italienne, espace cirque. Composition des portés • Porté en statique uniquement, pas de porté dynamique. • Tous réalisent le porté. • Pyramide en symétrique. • Pyramide en frontal devant le public. • Pyramide de type empilement en 2 ou 3 niveaux pour les plus acrobates ou étale- ment à 2 niveaux uniquement avec base de sustentation large pour les porteurs. Les plus acrobates au centre avec un porté de deux niveaux. • Souci de tenir la pyramide et d'avoir le bras tendu à l'horizontale : signe de maîtrise du geste gymnique. EPS № 2 9 4 - MARS-AVRIL 2002 21 Revue EP.S n°294 Mars-Avril 2002 c. Editions EPS. Tous droits de reproduction réservé

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Page 1: ACROSPORT A - CERIMES

ACROSPORT

METTRE EN SYNERGIE L 'ARTISTIQUE

ET LE SPORTIF P A R J . C O A S N E , A . C O U R T O I S

A b o r d e r l es A P S A p a r l e b i a i s d e s act iv i tés g y m n i ­q u e s a r t i s t i q u e s

( n o t i o n a n t i n o m i q u e p o u r ce r t a i ns t an t le m o n d e d e l 'a r t et d u s p o r t leur sem­b l e n t opposés) n ' e s t - c e p a s u n e g a g e u r e ? N o t r e démarche e s t d o n c d e nous a p p u y e r sur u n c o r p s spor t i f a c c e p t a n t d e d e v e ­n i r g y m n i q u e , p o u r s ' ins­c r i r e pet i t à pet i t d a n s u n e démarche d e création d u « v u , a p p r é c i é e t / o u jugé » et s ' ins ta l le r p e u à p e u d a n s u n e démarche a r t i s t i q u e .

Les contenus d'enseignement que nous avons choisis doivent emprunter à deux logiques qui se croisent, voire s 'enrichissent mutuelle­ment : la sportive et l 'artistique. En témoi­gnent les productions de certains sportifs tels les Duchesnay qui ont su marier avec bonheur exploit sportif et sens artistique (1). Parfois des chorégraphes de danse contemporaine (Découflé) ou du cirque (Cirque du Soleil, Cirque Baroque, Cirque Plume, Cirque de Châlons-sur-Marne) empruntent et revisitent sans complexe des techniques sportives, les

combinent entre elles pour les mettre au ser­vice d'un projet artistique. Mettre en synergie le sportif et l'artistique est avant tout un pari didactique exploitant les ressorts émotionnels et opérationnels des deux types d'activités, afin de créer un milieu sti­mulant chez l'élève des capacités spécifiques de création, de production ou de reproduction de formes (cf. tableau).

TYPOLOGIE DE PRODUCTIONS DES ÉTUDIANTS

Situation de référence

A cinq, sur une musique d'une minute, réali­ser une production comportant au minimum un porté statique et un porté dynamique qui soient reconnus par le spectateur comme étant signifiants, (porteurs de la volonté de la trans­mission d 'un thème) et repérés d ' emblée comme difficiles (aériens, ou hauts, ou base de sustentation précaire, ou nombre de partici­pants engagés). En fonction de ce thème, choisir un espace défini : espace Zingaro, espace studio, espace à l'italienne, espace cirque.

Composition des portés

• Porté en statique uniquement, pas de porté dynamique. • Tous réalisent le porté. • Pyramide en symétrique. • Pyramide en frontal devant le public. • Py ramide de type emp i l emen t en 2 ou 3 niveaux pour les plus acrobates ou étale­ment à 2 niveaux uniquement avec base de sustentation large pour les porteurs. Les plus acrobates au centre avec un porté de deux niveaux. • Souci de tenir la pyramide et d'avoir le bras tendu à l 'horizontale : signe de maîtrise du geste gymnique.

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• Pyramide en « tous pour un » le « un » étant reconnu comme étant le casse - cou ou le plus léger.

Scénographie spatiale

• Reproduction de la prestation dans le même espace d'entraînement, pas de recontextuali-sation : l'espace occupé est donc réduit. • Utilisation de la surface délimitée par le pra­ticable (pas d'utilisation d'objet ou des murs). • Déplacement en acrobatie ou en éléments gymniques de type saut, pas chassé, tour, etc. • Déplacement hasardeux de type marche ou course avec jeux de bras pas toujours identi­fiables pour les spectateurs et pour les parte­naires eux-mêmes. • Travail sur la « fleur » : un au centre, les autres autour. • Omniprésence du « centre » du praticable organisateur de la chorégraphie. L'artistique attendu sera uniquement de type gymnique : maîtrisé avec un espace réduit de type classique (synchronisme, symétrique). Il est conçu comme une liaison chorégra­phique possible entre des portés ou des acro­baties et non comme idée signifiante d 'un thème. Au niveau de l'exécution, les déplacements sur le praticable sont approximatifs, orientés dans le sens avant. Les portés sont instables, imprécis, avec un montage laborieux et un démontage à la « sauve qui peut ».

AXES DE TRANSFORMATION

Au regard de ces caractéristiques de compor­tement, les objectifs de transformation peu­vent être axés sur passer : - de portés instables et dangereux à des portés difficiles et signifiants se réalisant en toute sécurité ; - du symétrique systématique dans les portés à d'autres types d'architectures : - du rythme monotone des déplacements, aux contrastes d'énergie qui dynamisent le mou­vement :

- du synchronisme systématique au décalé, à la cascade ; - de l'espace gymnique à l'espace signifiant par rapport au thème ; - du porté gymnique au porté signifiant de type figuratif ou poétique : - de l'exploit gymnique à l'exploit gymnique et poétique : - d 'une expression anecdotique. narrative à une expression figurative, à une intention.

Recherche d'un thème porteur (avec des soutiens comme la musique, l'espace)

Les thèmes proposés dans un premier temps

renvoient à un univers connu permettant de faire émerger des images coutumières comme la fête foraine, la forêt, le monde marin, le monde des jouets. Puis nous demandons aux étudiants d'appréhender ces thèmes au second degré pour faire émerger des émotions, des états : la fête foraine suscite le vertige, la vitesse, les cris, les fantasmes, le grotesque, etc.

Recherche d'effets

Effets de surprise par le biais des contrastes : lent-vite ; groupé-dégroupé ; haut-bas ; fort-faible. Jeux d'entrées et de sorties différen­ciés. Création de déplacements divers dans

Conduites typiques

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des espaces différents de la ligne en évitant le cercle et les 4 coins. Comment rendre ces effets par la « qualité des mouvements » et susciter l ' imaginaire du spectateur en utilisant un espace scénique et une musique prégnante ?

Conception des portés dans leur phase finale

Le tableau : figuratif ou impressionniste ? En quoi les portés choisis renvoient au thème ? Portés en forme de tableau figuratif qui ne laissent aucun doute sur leur intention ou por­tés qui dessinent l'espace et renvoient à une image, une idée, une impression qui veut sus­citer l'imaginaire du spectateur ?

Montages et démontages

Vont-ils renforcer l ' idée voulue ? Création d'effets de surprise : les montages et démon­tages ne sont pas « téléphonés ».

Conception de l'espace du spectateur

La production doit avoir pour but de marquer le spectateur. Il faut donc infléchir sa percep­tion. Où placer les spectateurs pour que la pro­duction soit la plus percutante possible ?

DÉMARCHE D'ENSEIGNEMENT

ÉCHAUFFEMENT AVEC DES AJUSTEMENTS DE TYPE SPATIAL

Celui-ci se réalise dans un dojo de judo. Il a pour objectif la mise en évidence que des contenus d'enseignement liés à l 'artistique dans sa dimension mise en scène peuvent être abordés dès réchauffement.

Échauffement type parade de cirque

Les étudiants sont placés en deux colonnes sur des diagonales qui se coupent. Le but est de

conserver l'alignement sans choc avec l'autre diagonale. • Travail identique en colonnes par deux ou trois de front ; travail en deux cercles, l 'un intérieur et l'autre extérieur : les partenaires se faisant face. • Travail de déplacement en dispersion puis regroupement et éclatement dégroupé, éclate­ment dans des mini-praticables numérotés. Déplacements variés avec recherche d'évite-ment des par tenaires ou, au contra i re , de contact. • Travail des difficultés acrobatiques en vague sur des trajectoires en épingles à cheveux. • Travail sur des effets par deux en décalage.

en synchronisme, en côte à côte, en face à face. • Travail d'étirement par deux : l'enjeu est d 'œuvrer en partenariat, être à l 'écoulé de l'autre, l'aider à se relâcher, abandonner son poids de corps à l 'autre, l'utiliser pour per­mettre un étirement plus prononcé.

Contenus d'enseignement sous-jacents

Effets spatiaux Construire et ajuster des rendez-vous pour créer des synchronismes. des croisements, des déplacements en cercle à deux, puis à plu­sieurs. Mettre en relation sa propre vitesse (rythme de course et sensations éprouvées) avec la perception de la vitesse des autres. Mettre en évidence des problèmes de repérage du partenaire, des autres dans une structure géométrique statique, puis en mouvement. Mettre en relation des vitesses de déplacement avec des limites de praticable ou des repères fixés à l'avance.

Travail d'étirement et de contact entre les deux partenaires Pour le manipulateur Connaître différents exercices et méthode de stretching des groupes musculaires sollicités lors des portés notamment. Repérer chez l'autre : des attitudes à risque pendant les ét irements et les corriger, les zones de tension et y remédier. Pour le manipulé Dégager la méthode la plus adaptée à son état de tension. Connaître le temps optimal de relâchement : mettre en relation sensation d'étirement, temps d'étirement et méthode utilisée (posture).

Pour les deux : être à l'écoute l'un de l'autre pour agir efficacement, établir un code de communication.

ÉQUILIBRES À DEUX

Le travail d'équilibre à deux fait suite au tra­vail d'étirement à deux. Progressivement nous passons d'un travail utilitaire de manipulation de l'autre à un travail de contact plus intimiste. Voici deux exemples d'exercices.

Exercice 1

Les partenaires conviennent d'un point de ren­dez-vous pour réal iser un porté s tat ique. Celui-ci peut déjà être « coloré » de sens figu­ratif. Exemple : l ' image du surfeur sur la vague, du radeau sur la mer, d'un monstre ou d'un insecte.

Contenus d'enseignement liés

à l'ajustement des espaces d'élan entre volti­geur (V) et porteur (P) Les trajectoires peuvent être réalisées en face à face, en côte à côte, en course d'élan plus longue pour l'un que pour l'autre. U faut donc construire un code (départ, formes de corps et v i tesses des t ra jec to i res) et p rendre des repères de façon systématique sur son parte­naire et l'espace investi.

à la sécurité L'étudiant doit mettre en rapport des principes

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biomécaniques à respecter pour préserver l'in­tégrité physique de chacun, porteur comme voltigeur. Au type de porté correspond un pla­cement des différentes ceintures organisé autour du centre de gravité du couple. L'étudiant doit mettre en relation gainage, mobilisation des groupes musculaires impor­tants (cu i s ses et j a m b e s ) , p l acemen t et construction de la base de sustentation opti­male par rapport au type de porté et recherche d'équilibre (4 pattes, à genoux, allongé au sol).

à la recherche du démontage du porté Comment démonter ? Dans quel espace avec quels principes sécuritaires ? Le même que celui du montage ? Un différent qui crée un effet particulier. Exemple : laisser glisser dans le dos. sur le côté du porteur, à la variation des vitesses du démontage Monter vite (avec précaution) et descendre lentement. Monter lentement et descendre rapidement.

Exercice 2

Les partenaires conviennent d'un point de ren­dez-vous pour s'engager dans un porté de type dynamique. Pendant la phase aérienne le vol­tigeur organise une forme corporelle identi­fiable. Le porté peut être de type gymnique conventionnel. Saut, saut 1/2 tour en l'air, tour complet ou peut être plus créatif en faisant appel à des images particulières (touche en rugby, porté « ventouse » ou « valise ». Le porteur accompagne le voltigeur et assure la réception.

Contenus d'enseignement liés aux portés dynamiques Le porté dynamique implique soit un déplace­ment du porteur qui maintient le voltigeur en position d'équilibre simple ou plus complexe (renversée ou non), soit que le voltigeur pro­pulsé par le porteur réalise une forme corpo­relle en phase aérienne.

à la combinaison des forces Mise en évidence du contrôle et de l'ajuste­ment des prises d'élan (prévision des zones d'impulsion et de réception). Ajustement des poussées de jambes et de bras des partenaires. Contrôle des tonus musculaires.

à la sécurité et au maintien des postures Placement des ceintures et connaissance des différentes prises pour la création de diffé­rentes postures. Le maintien des postures est rendu possible par la qualité du gainage.

au code de communication Repérage visuel et code verbal. La concentration, la vigilance de chacun dans l'action sont garantes de la sécurité. Les étudiants doivent de façon systématique présenter leur production à un autre couple. Le spec ta teu r , pour passer d ' u n regard contemplatif à un regard critique et s'engager dans un rôle de coach, doit avoir l'occasion de regarder, comparer, proposer à chaque séance.

à la compétence du spectateur/entraîneur Mettre en relation des exigences liées à la sécurité et au code (ce qui présuppose une connaissance des principes) avec le produit : repérer les conduites à risques et intervenir. Rendre compte de l 'effet p rodui t pour conseiller et réduire l'écart pour les acteurs entre effet voulu et effet réellement perçu.

DÉMONSTRATION ET CONSTRUCTION D'UN CODE

DÉMONSTRATION

Les spectateurs juges doivent répondre à un certain nombre d'interrogations.

1er axe : l'artistique

Le projet renvoie-t-il à des images, une idée, un thème ? Est-il-abouti , Avec un début, un développement, une fin ? Est-il organisé pour le spectateur : celui-ci se sent-il partie pre­nante du projet ?

Ce projet utilise des soutiens pour mettre en valeur la composition : - une musique (rythme, mélodie, thème), - des effets spatiaux, temporels, d 'énergie repérés et repérables car maîtrisés, - met en scène des portés signifiants car révé­lateurs du thème. Ils sont repérés comme signifiants car maîtrisés.

2e axe : le sportif

Repère-t-on le difficile ? Où se situe-t-il dans les portés, les acrobaties, la succession des difficultés, l'exploit aérien ?

CODE

Afin de déterminer ce qui correspond aux cri­tères de l ' a r t i s t ique et du difficile, nous construisons avec les étudiants un code.

Composition et exécution en termes de pro­jet artistique

Quelle est l ' idée centrale ? Quel scénario (introduction, développement et fin) ? Quels soutiens mettent en relief cette idée, et quelle est leur pertinence ? Quels sont les choix des portés de type gym­nique ? Figuratif ? Impressionniste ?

Composition et exécution des difficultés

Déterminer l'axe de difficulté des portés sta­tiques et dynamiques. Classer du plus facile ou plus difficile en termes de points d'appuis au sol, de hauteur de la pyramide, de points d'appuis du voltigeur sur le ou les porteurs, du nombre de partici­pants à la pyramide. Déterminer les critères de l 'exécut ion en termes de maintien et de stabilité, de sécurité. Le passage de l'évaluation à la notation, c'est la détermination du pourcentage de points au regard de l ' importance que l 'on accorde à l'exploit sportif ou à l'artistique, à l'exécution et à la composition, à la maîtrise et au risque pris. Nous croyons fermement au réinvestissement des acquis constatés en acrosport dans les autres disciplines gymniques. Nos étudiants apprécient cette gymnastique artistique de spectacle qui leur permet à petits pas d'entrer dans les APA. Ils n'hésitent pas à proposer à leurs élèves lorsqu' i ls sont en stage, cette forme par t i cu l iè re de g y m n a s t i q u e qui emprunte à la fois à la planète sport et à celle de l'art.

Joëlle Coasne, Anne Courtois

Professeurs EPS, Faculté des sciences et des métiers

du sport, Valenciennes.

(1) Thirion (J.-F.) et Sionnet (C) , « Le patinage de demain. Isabelle et Paul Duchesnav ». Revue EPS n° 224, 1990.

Bibliographie complémentaire

Coasne (J.). « A la découverte des arts du cirque », Revue EP.Sn* 219, 1989.

Huesca (R.). « Les zones d'ombre des discours classifica-teurs. l 'exemple chorégraphique». Revue EP.S n° 257, 1996.

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